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Ma famille, mes amours

Chapitre 2

Inceste
Chapitre II
Le lendemain, c’est samedi et quand j’ouvre les yeux j’aperçois le soleil traverser les tentures de ma chambre. J’émerge doucement et les souvenirs de la veille me font glisser la main entre mes cuisses. Je constate que je n’ai pas eu le courage de rechercher ma robe de nuit et j’ai dormi entièrement nu. Mon entre cuisse est encore poisseux du jus de mes amours. Je me rends dans la salle de bain et je me douche en insistant sur mon sexe et mes seins. Au contact de l’eau d’agréables picotements parcourent mon ventre. Il y a bien longtemps que pareille chose ne m’est plus arrivée. Lentement je m’abandonne, une main pétrit mon sein droit tandis que l’autre insinue un doigt à l’entrée de mon vagin. Après quelques mouvements rapides, un orgasme profond m’oblige à m’adosser à la paroi de la douche. Je me rends compte alors de l’impact que la soirée d’hier a eu sur moi et je sens la honte embraser mon visage.
Je me dirige vers ma chambre en me disant qu’une explication avec mes fils est nécessaire et que pareille situation ne peut se reproduire. J’ouvre alors mon armoire pour y prendre une robe de nuit mais posé sur celles-ci, se trouve un paquet joliment garni de trois rubans, un rouge sur lequel est inscrit : Bon anniversaire Maman, un bleu avec la mention : Tes fils adorés et un jaune avec les trois prénoms.
Les larmes aux yeux, j’ouvre le paquet et y découvre trois nuisettes avec trois strings assortis.Un petit mot y est glissé. Je l’ouvre et il m’invite à passer une de ces tenues et à descendre pour le petit déjeuner. Prise au jeu, j’enfile le string et aperçois dans la glace de la commode les poils de mon sexe qui dépassent de partout. Je retourne à la salle d’eau ou avec les ciseaux d’abord, le rasoir ensuite, j’enlève ces poils disgracieux pour ne laisser qu’un petit triangle sur mon pubis. Une lotion hydratante calme le feu du rasoir.
De retour devant le miroir, je ne suis pas peu fière de mon allure, de mes seins bien fermes, de mon ventre plat, de mes longues jambes fuselées et de mon sexe aux lèvres bien dessinées, de mon pubis ornés de ce duvet noir triangulaire qui indique la voie à suivre pour accéder à mon puits d’amour. Je reconnais que je suis bandante et cela loin de me troubler, provoque une sensation des plus agréables qui remonte le long de ma colonne vertébrale.
Je remets de nouveau le string bleu qui maintenant me sied parfaitement et laisse apparaître le contour de mes lèvres. J’enfile la nuisette qui met ma poitrine en valeur mais qui en plus d’être profondément décolletée ne descend pas plus bas que mes fesses. Bien que ravie de ce que j’aperçois dans le miroir, je n’ose pas descendre dans cette tenue aussi j’attrape ma sortie de bain éponge et la passe par-dessus l’ensemble.
Quand j’arrive dans la cuisine, mes trois garçons se lèvent et viennent m’embrasser. Ils m’installent devant le petit déjeuner qu’ils m’ont préparé. C’est Simon qui m’interroge en premier : « bien dormi maman ? »
« Oui mon chéri, merveilleusement merci ».
« Tu n’as pas vu notre cadeau ? »
« Si, mais c’est trop osé pour mon âge ».
« Oh tu n’aimes pas » me dit Pierre.
« Si mon ange mais une maman ne peut pas s’exposer comme cela devant ces enfants et d’ailleurs ce qui s’est passé hier soir ne doit plus se reproduire. Vous devez l’oublier et rencontrer des jeunes filles de votre âge ».
« Ecoute maman nous t’aimons et ce qui s’est passé hier ne peut et ne doit pas être effacé de nos mémoires ni de nos cours » dit Michel.
« Pour nous, c’était merveilleux et nous pensions qu’il en était de même pour toi ».
« Oui mes enfants je n’avais plus connu pareil bonheur depuis longtemps mais encore une fois nous devons oublier ».
Pierre et Michel se lèvent pour partir au stade en me demandant de réfléchir et qu’on en parlerai à leur retour.
Restée seule avec le cadet, je me sers un café et prend un croissant.
Je termine mon petit déjeuner quand Simon vient près de moi. Doucement à mon oreille il me demande si j’ai gardé la tenue et laquelle j’ai choisie.
« Oui, je l’ai gardée et c’est la bleue »
« Oh maman, c’est celle que j’avais choisie, la blanche est celle choisie par Pierre et la saumon celle choisie par Michel ».
« Je peux la voir sur toi ? S’il te plaît maman »
Devant son regard suppliant, je ne peux résister, je défais la ceinture de ma sortie de bain et laisse le vêtement glisser derrière moi. Le regard de Simon se pose sur ma poitrine puis il saisit ma main et me demande de me lever. Debout devant lui, j’ai l’impression d’être nue et de passer un examen. Le rouge de la honte empourpre mon visage.
Sans tenir compte de mon état, Simon me fait pivoter plusieurs fois et comme je lui tourne le dos, il se plaque contre moi et me caresse le ventre. Son sexe dressé se presse contre mes fesses. Je m’écarte, me retournant je lui dit d’arrêter, que . Je ne peu continuer car ses lèvres se sont collées aux miennes et sa langue fouille ma bouche et me fait perdre pied. Au lieu de le repousser je pose ma main sur sa nuque et lui rend son baiser. Nos langues se trouvent, se perdent pour se retrouver encore. La main de Simon caresse mes seins, il pince les bouts au travers de la nuisette puis quittant ceux-ci elle descend sur mon ventre. Ses attouchements doux et délicats me font mouiller et remplir mon string de ma cyprine. Je n’ai plus aucune volonté, seuls les décharges électriques qui parcourent mon corps ont de l’importance.
Sans interrompre ses baisers, sa main descend vers mon pubis s’y arrête. Ses doigts se mettent à chercher à fouiller puis il enlève sa main cesse de m’embrasser et il se laisse tomber sur les genoux la tête juste devant mon sexe. Ses mains se posent sur mes hanches et lentement je sens mon string qui descend le long de mes jambes. Par habitude, je soulève un pied puis l’autre et Simon porte l’objet à son nez puis à sa bouche.
Se relevant, il me prend la main et m’entraîne dans le living
« Maman, tu es merveilleuse avec ton sexe épilé, j’ai envie de l’embrasser ».
« Oh non chéri pas ça ».
Comme s’il n’avait rien entendu, il me pousse dans le divan, écarte mes cuisses et vient placer sa tête entre elles. Quand sa langue touche mes grandes lèvres, je sais que plus rien ne pourra nous empêcher de nous aimer.
Le petit chenapan se met à me lécher, me sucer, sa langue remonte vers mon clitoris qu’il se met à mordiller, deux doigts pénètrent dans mon vagin et commencent un va et vient qui me fait hurler de désir.
« Oooh ouiiiiiii mon ange plus fort, je vais jouir ouiiiii je viens ».
Un orgasme fulgurant me traverse de part en part et me fait éjaculer ma mouille dans la bouche et sur le visage de mon fils. Celui-ci ne reste pas inactif car sa langue courant sur mon sexe me nettoie complètement. Je ne sais pas si le fait d’avoir la chatte épilée y est pour quelque chose, mais ce petit nettoyage m’excite de nouveau.
« Simon, mon amour viens près de moi ».
Je le prends dans mes bras comme quand il était bébé, sort un sein et pose le mamelon sur sa bouche. Il se met à me sucer le téton et à le mordiller ce qui me fait pousser un long gémissement de plaisir et me fait perdre à nouveau tout contrôle. Hochant la tête de gauche à droite, je marque ma jouissance et mon plaisir. Ma main se pose sur son sexe et je sens que son pyjama est couvert d’un liquide gluant.
« Tu as jouis mon ange ? »
« Oh oui maman c’est venu tout seul, j’étais tellement excité ».
« Mais j’ai encore envie, occupe toi de moi ».
Il s’installe dans le divan et écarte les jambes. Je me mets à genoux, me penche et prends son sexe dans ma bouche. Son dard n’est pas encore très gros vu son âge mais a déjà une belle longueur. Poussant son bassin vers moi, je sens son gland au fond de ma gorge. Je me mets à le pomper tout en caressant ses bourses. Il gémit de plus en plus fort et soudain me dit :
« Quel bonheur maman, je viens, je vais jouir ».
Je referme mes lèvres sur son sexe et après un long spasme, quatre giglées de son sperme chaud se répandent dans ma bouche. Je suce encore un peu et recueille les dernières gouttes sur ma langue. Son sexe se met à ramollir et j’ouvre la bouche pour le laisser sortir.
Les yeux encore un peu dans le vague, il me dit :
« Je t’aime maman viens près de moi ».
Je m’étends à ses côtés, me colle contre lui.
« Moi aussi mon chéri je t’aime. Je t’aime et j’ai besoin de toi ».
Il me serre contre lui et nous nous assoupissons.

Lorsque j’ouvre les yeux je m’aperçois que Simon n’est plus dans la pièce et qu’un profond silence règne dans la maison. Je m’assieds sur le bord du divan et contemple les dégâts. Sur le sol se trouve mon string maculé de ma liqueur. Je glisse la main entre mes cuisses et la retire gluante de ma mouille. Le petit salaud m’a fait jouir et tout mon être ressent encore l’onde qui m’a porté au septième ciel. Je me rend à la salle de bain ou je me douche afin d’évacuer les derniers soubresauts qui agitent encore mes entrailles.
Je passe dans ma chambre ou j’enfile une culotte blanche propre, un soutien gorge blanc qui remonte ma poitrine et met mes seins en valeur, un chemisier vert d’eau que je noue sur mon ventre et une mini jupe blanche plissée qui laisse voir mes cuisses fuselées et halées.
L’image que me renvoie le miroir de ma chambre me rend heureuse et fière de pouvoir encore malgré trois grossesses disposer d’un corps que beaucoup de jeune femme envierait.
D’un pas léger je descend dans la cuisine et commence à préparer un petit repas que l’on pourra prendre au bord de la piscine quand les deux grands rentreront de la salle de sport.
Par la fenêtre je vois Simon étendu sur une serviette près de la piscine. Comme une gamine, je sors et le rejoins en sautillant. Arrivée près de lui, je m’agenouille et lui dépose un baiser sur le torse. Au contact de mes lèvres, il ouvre les yeux, se redresse et me sourit.
« Oh maman, que tu es belle. Que c’est agréable de t’avoir près de moi ».
A ces mots, il pose sa main sur ma nuque, m’attire à lui et couvre mes lèvres d’un doux baiser. Sa langue effleure doucement la mienne. Au contact de sa bouche, mes derniers scrupules s’envolent et c’est avec tout mon amour de mère, de femme, d’amante que je lui rends son baiser.
« Eh bien on ne s’ennuie pas ici ! »
C’est la voix de Pierre qui nous fait sursauter. Je sens mes joues brûler, mes jambes trembler et je coure vers la cuisine pour y cacher ma honte. Par la fenêtre je vois mes trois lascars se lancer dans une discussion animée. J’espère de tout mon cour qu’ils ne se disputent pas à cause de moi, eux qui savent se comprendre et s’estimer.
Perdue dans mes pensées, je passe dans le living et m’assieds sur le bras du divan.
« Maman, où es tu ? »
Je ne peux répondre et m’effondre en pleurs dans le divan.
Deux mains me prennent par les épaules et m’oblige à me redresser. C’est Pierre qui ému me prend dans ses bras.
« Maman, pourquoi pleures-tu, pourquoi ne me réponds-tu pas ? »
D’une voix étranglée par les sanglots, je lui explique que ma conduite est inqualifiable. Une mère ne peut se laisser aller à de tels agissements. Après ce que j’ai fait je ne peux plus regarder mes enfants dans les yeux. Je me sens la dernière des catins.
« Ecoute maman, tout ce qui est arrivé est de notre faute. Nous pensions te donner après toutes ses années de sacrifice un peu de chaleur et un peu d’amour comme mon père aurait pu te donner. Si cela a commencé comme un jeu, nous avons réalisé au cours de la soirée que ce n’était plus notre mère que nous aimions mais une femme très belle, très douce que nous adorons. Crois moi maman mes frères et moi ne regrettons rien de ce qui s’est passé entre nous. Personne ne peut nous juger. Nous sommes en âge de pouvoir prendre nos décisions, d’être responsable de nos actes ».
A ces mots, Pierre glisse sa main sous mon menton relève ma tête, pose ses lèvres sur mes yeux pour y déposer un petit baiser puis prend ma bouche tendrement. La douceur de ses lèvres sur les miennes me fait fondre. Mes bras se lèvent et entourent son cou, ma poitrine s’écrase sur son corps musclé, mon ventre est collé à lui dans une offrante remplie d’amour et de désir. Je sens son sexe durcir contre mon bas ventre. Je réponds à son baiser, j’entrouvre mes lèvres afin que sa langue puisse glisser dans ma bouche. Notre baiser provoque en nous des vagues de plaisir indéfinissables.
Après de longues minutes, Pierre s’écarte de moi, me prend la main et me dit :
« Viens maman mes frères sont inquiets allons les rassurer ».
« Attends, je dois être affreuse, laisse moi quelques instants ».
« Non maman, tu es resplendissante et tes jolis yeux reflètent l’amour que tu nous portes ».
Ces mots remplis de sincérité me vont droit au cour et je me laisse entraîner vers la piscine.
Michel et Simon s’approchent timidement de moi en regardant inquiet leur grand frère.
J’ouvre alors les bras,
« Venez mes chéris, venez m’embrasser ».
Nous nous asseyons sur la terrasse devant la piscine, Michel se charge des rafraîchissements, Simon des amuse gueule et nous trinquons tous les quatre.
Il va être quinze heures, nous décidons de faire un barbecue ce soir et comme le temps s’y prête et que la chaleur devient accablante, Simon propose de piquer une tête dans la piscine.
Acceptée à l’unanimité, Simon et Michel se lèvent, ôtent leur T-shirt et leur short et entièrement nu se jettent à l’eau. Pierre se lève à son tour, me regarde et dit :
« Maman, tu comptes te baigner habillée ».
« Non, je vais passer un maillot et je reviens ».
Je me retourne mais à peine ai-je fait un pas que Pierre vient se plaquer dans mon dos. Ses mains se posent sur mes épaules, descendent sur mes seins et viennent dénouer mon chemisier. Avec des gestes d’une extrême douceur il écarte les pans du chemisier puis me caresse amoureusement le ventre. Une onde de choc traverse mon corps des pieds à la tête.
Le « noooooon » qui sort de mes lèvres trahi mon désir. Mon chemisier glisse sur le sol, de ses doigts agiles il dégrafe mon soutien gorge et m’attire contre lui. Ayant lui aussi enlevé son T-shirt, je sens sa peau contre la mienne. Il pose à nouveau ses mains sur mes épaules et fait glisser les bretelles sur mes bras puis remonte vers mes clavicules et redescend sur mes seins. Mon soutien gorge rejoint le chemisier. Je suis tétanisée, incapable d’esquisser le moindre mouvement, tout mon corps s’électrise, mon sexe est de nouveau humide. Je me plaque contre lui, lève le bras, passe ma main dans sa nuque et plaçant ma joue contre sa poitrine, l’embrasse passionnément.Ses mains sont passées sur mes fesses, remontent à la ceinture ouvrent le bouton pression de ma jupe qui tombe à mes pieds.
Pierre me prend alors dans ses bras puissants et me dépose sur une serviette de bain. Il enlève son short et vient s’étendre sur moi. Instinctivement, j’entrouvre mes jambes et sens son sexe noueux sur ma chatte. D’un doigt il écarte ma culotte, écarte mes lèvres remplies de cyprine et pose son gland à l’entrée de mon vagin.
Haletante et ivre de désir, je lui crie :
« Prends moi, je t’en prie prends moi ».
« Je suis à toi, oohhhh ouiiiii, je suis à toi »
Je sens alors mes chairs qui s’écartent, d’un mouvement du bassin, je me jette contre lui, son sexe me pénètre entièrement et ses bourses viennent heurter mes fesses. Bien au fond, collé contre mon utérus, il ne bouge plus pendant une vingtaine de secondes puis lentement il commence des mouvements de va et vient. Il ressort complètement de moi pour me pénétrer avec force. Après quelques mouvements je sens un feu brûlant au fond de mon ventre et j’explose sans retenue en hurlant ma jouissance. Les parois de mon vagin se contractent et pressent son sexe ardent qui entre et sort de plus en plus vite. Un « aahhhh » et une poussée plus violente m’indiquent qu’il va jouir, je lève les jambes et entoure ses fesses pour qu’il reste au fond de moi. Plusieurs jets de son sperme se répandent en moi et un second orgasme plus violent me fait perdre connaissance.
Lorsque je reprends conscience, je suis couchée dans les bras de Pierre, ma tête posée sur son épaule, mes mains jointes posées sur son ventre.
« Maman, je t’aime dit-il en posant ses lèvres sur ma bouche ».
« Moi aussi mon ange je t’aime, je suis bien ».
« Allons nous rafraîchir dans la piscine ».
Main dans la main nous nous dirigeons vers la piscine. Arrivée au bord, j’enlève ma culotte trempée de ma liqueur et du sperme de mon fils la fait tourner plusieurs fois au dessus de ma tête puis la jette au loin. Je saute dans l’eau, rejoint mon fils et lui demande où sont ses frères.
« Il y a un bon moment qu’ils sont rentrés, il voulait nous laisser seul je crois ».
Je me serre amoureusement contre lui, je suis heureuse.

Etendue au bord de la piscine, alanguie par l’amour, je profite des derniers rayons du soleil qui entretiennent le hale de ma peau de méditerranéenne. Je suis bien, heureuse et détendue, je savoure ce bien être qui m’habite et me remémore tout ce qui s’est passé depuis hier soir.
Il n’y a plus de gène, plus de honte, je sais et je sens au plus profond de moi que les sentiments qui m’unissent à mes fils n’ont rien de sale, c’est une merveilleuse histoire, un hymne à l’amour.Je me soulève et regarde autour de moi, je suis seule. De la maison me viens des rires, des cris, Michel et Simon sont probablement en action sur la console de jeu. Dans le coin de la pelouse, j’aperçois Pierre occupé au barbecue. Je me rends compte alors qu’il se fait tard et mon estomac me rappelle à l’ordre. Je me lève et envoie un baiser à Pierre qui me regarde tendrement. A son regard, je comprends que ma nudité le trouble, aussi je me dirige vers mes vêtements qui sont resté sur le sol. Je ramasse mon chemisier, ma jupe mais je ne trouve plus ma culotte et mon soutien gorge. Bizarre !!!
Je remets donc le chemisier directement sur moi laisse tous les boutons ouverts et noue celui-ci sur le dessus de mon ventre. J’enfile la jupe, rechausse mes mules et rejoint la terrasse. Assise dans un des fauteuils en rotin, je sens un vent léger passer sous ma jupe et se perdre sur mon pubis. Bien qu’il fasse relativement chaud, un frisson parcours tout mon être.
Moi qui refoule mes envies de sexe depuis le décès de mon mari, je dois constater que ces envies me reviennent en force. L’absence de rapport avait fini par endormir ma libido, mais maintenant que j’y ai goûté à nouveau, tout mon corps, tous mes sens se réveillent.
Pour échapper à ces pensées et reprendre la maîtrise de moi, je crie :
« J’ai faim, j’ai soif, à moi au secours !! »
« C’est bientôt prêt, Michel, Simon, la table » crie Pierre.
Comme je me lève pour me rendre à la cuisine prendre le pain, la salade composée et les sauces, Simon arrive en courant avec les assiettes et les couverts et m’oblige à me rasseoir.
« Bouge pas maman une princesse aussi jolie que toi doit avoir ses serviteurs ».
Michel qui arrive lui aussi avec les serviettes de table et les boissons, clame haut et fort :
« Ordonne Princesse et nous t’obéirons ».
Nous partons tous les trois dans un grand éclat de rire qui devient vite un fou rire. Michel et Simon se soutiennent mutuellement pour ne pas s’écrouler, moi les yeux plein de larmes, je crie :
« Assez, arrêtez, oh j’ai mal au ventre ».
C’est à ce moment que Pierre arrive avec la viande grillée, son visage sérieux au lieu de nous calmer fait redoubler nos rires. Ce n’est qu’après quelques minutes que les rires s’estompent et que le calme revient.
Nous sommes tous affamés, le repas de déroule dans la gaieté et les rires. Le vin servi par Michel n’est pas étranger à l’ambiance qui règne.
Après avoir fait honneur au repas, nous nous installons confortablement dans les fauteuils et levant son verre, Pierre porta un toast :
« A la plus jolie des mamans ».
« Oui répondent les deux autres : à toi maman ».
Je suis comblée, je n’ai jamais ressenti autant d’amour autour de moi, je me lève pour les embrasser.
En me penchant sur Michel, celui-ci me dit malicieusement : tiens maman tu ne mets plus de soutien gorge maintenant. Ni de culotte surenchérit Simon qui est assis derrière moi et qui vu ma position a une vue superbe sur mes fesses et l’entrée de mon sexe.
« Oh vous alors petits cochons qu’avez-vous fait tout à l’heure de mes dessous ? »
« Nous, rien » me dit Michel
« Franchement tu es beaucoup mieux comme cela, tu ne devrais plus en mettre ».
Pierre n’est pas d’accord, bien qu’il trouve cela très agréable, à son avis un homme adore enlever le soutien gorge et la culotte d’une femme.
Le débat était ouvert, nous nous lançons dans une discussion ou le sexe, les envies des uns et des autres en sont le centre d’attraction.
Après deux heures de parlottes animée, Simon se lève et dit : comme ce n’est pas mon jour, je vais me coucher. Je ne comprends pas ce qu’il veut dire mais je n’ai pas le temps de lui demander une explication.
Je me lève et pendant que Michel et Pierre débarrassent la table, je monte dans ma chambre. Je prends une petite douche. Après m’être séchée, je passe sur moi un lait hydratant, met un peu de mon parfum préféré, enfile le string saumon et la nuisette assortie. L’image renvoyée par le miroir de ma chambre est vraiment très belle, le bonheur irradie de mon corps et affine un peu plus mes formes. Cette fois, il n’est plus question de me couvrir de ma sortie de bain, je me sens bien, je me sens femme. Tout mon corps exprime le désir de plaire.
D’un pas léger je descends dans le living et aux regards que me portent Pierre et Michel, je sais que je suis belle. Pierre s’approche de moi, me prends la main, la porte à ses lèvres et me dit
« Bonsoir princesse, vous êtes radieuse ».
Il quitte la pièce et nous laisse Michel et moi. S’approchant de moi, Michel tend les bras et pose ses mains sur mes hanches en relevant ma nuisette. Il m’attire à lui et doucement vient poser ses lèvres sur les miennes. Quand sa langue pénètre dans ma bouche, c’est comme si un interrupteur venait d’être ouvert, un éclair fulgurant parcours mon corps, je sens le bout de mes seins durcir et devenir de plus en plus sensibles, de mon sexe une coulée inonde ma culotte. Je lève les bras pour entourer son corps, ma main passe sur sa nuque et je réponds à son baiser avec fougue et passion.
Après quelques minutes, il s’écarte de moi, prend ma main et me dirige vers l’escalier. Je sais qu’il veut m’attirer dans sa chambre et je ne résiste pas. Arrivée sur le palier, c’est vers ma chambre qu’il se dirige. Une fois entré, il ferme la porte derrière nous et me pousse vers le lit.
Je n’offre aucune résistance, je m’allonge sur le lit et le regarde se dévêtir. Une fois nu, le sexe déjà tendu, il vient s’étendre tout contre moi, passe son bras dans mon dos, me serre contre lui et m’embrasse avec passion. Sa main glisse sur mes fesses et remonte ma nuisette qui termine sa course sur le parquet. Posant sa main sur mon ventre, il prend l’élastique de mon string entre le pouce et l’index et fait glisser celui-ci. Je me soulève légèrement pour lui faciliter la tâche et la petite pièce de lingerie rejoint la nuisette sur le sol.
Collé à moi, il glisse la tête sur ma poitrine, couvre mes seins de baisers et arrive sur le bout avec des lèvres gourmandes. Mes tétons excités doublent de volume et deviennent de plus en plus sensible, je ne peux résister et me mets à pousser des petits cris.
« Oh oui, j’aime, vas y plus fort, oh oui encore, encore, aaahhhhh ».
Encouragé par mon excitation, sa bouche passe d’un téton à l’autre, les sucent, les mordillent, ses mains englobent mes seins et les pétrissent. Je deviens folle, je suis au bord de l’orgasme. Ma main descend sur mon pubis, mes doigts écartent mes lèvres remplies de cyprine et commencent un frottement rapide sur mon clitoris. Je pousse des cris de plus en plus long, de plus en plus fort, il n’y a plus que ma tête et mes pieds qui reposent sur le lit, tendue comme un arc, je sens une onde fulgurante partir de mon clitoris, traverser mon ventre, se répandre dans mes seins. Je perds conscience quelques cours instants, mon corps s’effondre sur le lit, je suis secouée par les spasmes de ma jouissance.
Il me faut cinq bonnes minutes pour récupérer. Je me tourne vers Michel et l’embrasse tendrement.
« C’était bon maman ? ».
« Oh mon chéri c’était merveilleux ».
Ma main descend sur sa poitrine, sur son ventre que je caresse lentement, passe sur ses cuisses et remonte vers son sexe tendu que je prends en main et que je commence à masturber.
« Oh oui maman continue, fait moi jouir ».
Je me penche vers lui, passe ma langue sur son gland, glisse le long de son membre puis remonte et l’introduit dans ma bouche. Projetant son bassin vers moi, il enfonce son dard au fond de ma gorge, me prend par les cheveux et guide ma tête dans un long va et vient. Je le sens gonfler à l’intérieur de ma bouche.
« Je vais jouir maman, aaaahhhhh, je viens ».
Dans un long râle, son sexe tressaute dans ma bouche et plusieurs giclées de sperme chaud inonde mon palais et ma gorge. J’avale cette liqueur et suce son gland pour en recueillir les dernières gouttes. La caresse de ma main sur ses bourses lui redonne une nouvelle et puissante érection. Etonnée de ses performances, je chevauche mon amant prends son sexe le frotte sur mes lèvres, titille mon clitoris descend à l’entrée de mon puit d’amour et m’empale jusqu’à la garde. Je reste ainsi pendant quelques minutes, sans bouger, en respirant par petit coups, les parois de mon vagin enserre sa verge. Je sens un cour battre dans mon sexe mais je ne peux dire si c’est le mien ou le sien, nous ne faisons plus qu’un, unis dans un même plaisir. Je commence à onduler pour que son pieu caresse les parois de mon vagin. Ne tenant plus, Michel me renverse sur le lit, son corps est contre le mien, son sexe est toujours en moi. Je prends mes cuisses en mains et les ramènent sur ma poitrine lui offrant le spectacle de ma chatte empalée. Michel entame une série de va et vient plus puissant les uns que les autres, je sens sa queue toucher mon utérus. Abandonnant mes cuisses, mes mains pétrissent mes seins, étirent les bouts jusqu’à la douleur. Un nouvel orgasme survient, puissant, violent. Michel se retire, vient placer sa bite entre mes seins et éjacule de longues giglées sur mon menton, ma bouche, mes yeux et mon front.
Etendus côte à côte, nous tentons de récupérer. Après quelques instants, je me lève et me dirige vers la douche, Michel me suit et c’est sous l’eau vivifiante qui caresse nos corps, qu’il me dit
« Je t’aime maman, quel bonheur de t’avoir dans mes bras »
Enserrant ma taille, il approche ses lèvres des miennes pour un baiser passionné.
Fatiguée par cette journée pleine d’amour, je me mets au lit. Michel se glisse près de moi, se colle dans mon dos, passe son bras sur moi et pose sa main sur mon sein. Je suis bien dans ses bras et je m’endors d’un sommeil profond.
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