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Ma famille et mes besoins sexuels

Chapitre 3

Enfin ma mère se livre à moi !

Inceste
Pour mon anniversaire, ma grand-mère m’avait promis un joli cadeau :
— Mon chéri, la semaine prochaine, pour cette occasion, ça te dirait de nous prendre toutes les trois ?
Les trois femmes de ma famille, ma petite sœur Clara, ma mère et ma grand-mère livrées à moi en guise de cadeau, pour satisfaire mes besoins sexuels ? Quelle idée géniale ! Trois minous magnifiques, tous mouillés, prêts à recevoir ma queue toute dure, pleine de jus. Le seul problème était que ma mère refusait complètement ce genre d’expérience avec moi. Clara et ma grand-mère n’avaient rien contre le sexe en famille, tant que c’était agréable. Mais ma mère, par contre, refusait tout compromis. Parce que j’étais un garçon, parce que j’étais son fils et qu’une mère ne fait pas ça avec son fils. Des prétextes stupides...
— Tu as réussi à convaincre maman ? demandais-je à ma grand-mère. — On va y arriver, je te le promets, mon chéri. Tu vas pouvoir te régaler dans sa chatte, la baiser à ta guise, gicler à l’intérieur d’elle-même si tu veux, tout comme dans moi et ta sœur. — J’espère bien, mamie. J’adore le sexe avec toi et Clara. Mais j’aimerais tellement le faire aussi avec maman ! — Sois patient, mon chéri ! Elle a des scrupules, elle hésite, mais elle en a très envie. Ça n’est pas si facile pour une maman de faire le pas, d’accepter de faire ça avec son fils. — C’est stupide, mamie, j’ai tellement envie de lui apporter du plaisir ! Elle ne sera pas déçue. — Je sais, mon petit, mais sois patient.
Enfin arriva le jour de mon anniversaire. En rentrant de l’école, j’ouvris la porte de la maison et je les trouvais là, à m’accueillir, debout l’une à côté de l’autre dans le salon.
— Joyeux anniversaire Kevin ! lancèrent-elles en me voyant.
Ma grand-mère et ma sœur s’étaient habillées très sexy pour l’occasion. Clara, toute mignonne, portait une petite jupe bleu clair très courte, au ras de la minette, et un t-shirt blanc qui moulait joliment ses petits seins. Ma grand-mère, de son côté, avait choisi la totale : un bustier en dentelle rouge, le genre de chose qu’on trouve dans les sex shops, bien transparent, porté sans soutien-gorge. La vision en transparence de ses énormes, splendides seins et de ses tétons bruns suffit à me faire bander. Mais c’est vers ma mère que se portèrent tous mes regards. Elle était magnifique, avec une jolie robe verte, à fleurs, très courte elle aussi, qui laissait imaginer sans peine les trésors qui étaient cachés là dessous. Avait-elle changé d’avis à mon sujet ? Allait-elle accepter l’intimité dont j’avais tant envie avec elle, se livrer à moi ? En tout cas, elle semblait détendue, tenait dans les mains un joli gâteau d’anniversaire.
— Bon anniversaire mon chéri ! s’exclama-t-elle.
Une fois que j’eus soufflé mes bougies, ma grand-mère se tourna vers ma mère qui s’était assise dans le grand canapé du salon, souriante.
— Nathalie, ma chérie, peut-être que tu peux montrer ton "cadeau" à Kevin ?

Bien calée au fond du canapé, ma mère répondit par un petit sourire. Elle remonta alors une jambe et posa son pied sur le rebord du canapé. Dans cette position, jambes écartées, la robe était remontée toute seule et avait dégagé la vision sur son entrejambe, me laissant voir sa petite culotte blanche en dentelle. J’en avais si souvent rêvé, de cette petite culotte, et de ce qu’il y avait dedans ! Mon cœur se mit à battre la chamade. Ma mère commença à promener deux doigts sur sa culotte, à l’endroit du sexe, caressait avec malice les bourrelets que formait sa vulve. Ma grand-mère s’impatienta.
— Nathalie, ma chérie, c’est très sympa ce que tu fais là, mais ça ne sert à rien d’exciter Kevin si tu ne montres rien. Assez perdu de temps, enlève donc cette culotte !
Ma mère fit mine d’hésiter, par principe, mais sa décision était prise. Elle retira donc prestement sa culotte, la jeta sur une chaise, puis écarta à nouveau largement les jambes, me laissant enfin admirer sa divine, fantastique vulve. C’était la première fois que je la voyais. Elle était magnifique, une vraie chatte de maman mature, à la toison bien entretenue de poils châtain clair, avec ses délicates petites lèvres rosées, toutes plissées, qui dépassaient largement des grandes lèvres. Elle commença à se caresser, écarter les lèvres de son sexe pour bien me montrer l’intérieur de ses charmes, dégageant son clitoris qu’elle commença à titiller.J’étais subjugué, c’était magnifique. Ma grand-mère, qui s’était approchée de moi, me susurra à l’oreille :
— Elle est jolie ta mère, tu ne trouves pas ? — Heu, oui, très jolie.— Sa chatte est très désirable, n’est-ce pas ? — Oui, très désirable !
Elle posa la main sur ma queue à travers mon pantalon et constata avec satisfaction que j’étais tout dur.
— Super ! Je suis heureuse qu’elle te plaise. Est-ce que tu veux voir nos trois minous, à toutes les trois en même temps ? — Bien sûr, mamie. J’adorerais ça !
Ravie, ma grand-mère s’installa à côté de ma mère dans le grand canapé et enleva sa culotte à son tour. Ma jeune sœur Clara fit de même et les toutes trois se retrouvèrent face à moi, l’une à côté de l’autre, nues, jambes écartées. Jamais je n’aurais imaginé qu’une telle chose soit possible : les trois femmes de ma vie, sœur, mère et grand-mère, étaient là pour moi, à poil, chatte à l’air, superbes. Leurs trois vulves étaient très différentes les unes des autres, mais toutes les trois follement désirables. Le petit minou de ma sœur, tout frais et lisse, parfaitement épilé, m’était familier depuis bien des années. Avec Clara, nous avions découvert très jeunes que le sexe ensemble, pratiqué entre frère et sœur, était quelque chose de vraiment agréable et très pratique à faire à la maison lorsqu’on a des besoins. Du coup, je connaissais sa chatte presque par cœur.
Le minou de ma grand-mère, quant à lui, était moins frais, bien qu’épilé de près aussi. Les lèvres du sexe pendouillaient un peu et les chairs brunes étaient un peu flasques. Mais il me faisait tout autant bander. Et puis il y avait celui de ma mère, un sexe plus poilu, mais incroyablement désirable.
Et voilà qu’aujourd’hui, j’avais la chance de pouvoir choisir entre ces trois vulves laquelle j’allais pénétrer en premier. C’était bien sûr de ma mère que j’avais le plus envie, car son sexe m’était inconnu. J’avais une envie folle de la baiser, depuis des années. Ce n’était pas faute d’avoir insisté, mais elle ne m’avait jamais laissé faire, et jusqu’à ce jour avait toujours refusé mes avances au motif stupide que j’étais son fils... Aujourd’hui, elle était enfin d’accord, et je comptais bien en profiter ! Elle avait retiré sa robe entièrement et c’est magnifiquement nue qu’elle s’offrait à moi. N’écoutant que mon désir, je me rapprochais d’elle, me positionnais entre ses jambes, les écartait. Qu’elle était belle, la minette de ma mère ! Je me penchais vers elle pour l’embrasser.
— Non, vas-y direct, mon chéri. Ça ne sert à rien d’attendre, j’ai envie de ta grosse queue.
Un peu décontenancé par cet aveu un peu soudain, mais ravi devant tant d’empressement, je positionnais mon gland à l’entrée de sa vulve, et tout doucement, je poussais. Rentrer mon sexe dans le sien fut un bonheur incroyable. Depuis le temps que j’attendais ça ! Une fois au fond, je ne bougeai plus, profitant, immobile de la délicieuse sensation de ce chaud vagin qui entourait ma queue. Collé contre le corps nu de ma mère, j’avais approché ma bouche de la sienne et nous échangions des petits baisers amoureux, mêlant nos langues avec délice.
— C’est bon, mon chéri, de te sentir au fond de moi. — Ho oui c’est bon, maman. Mais pourquoi tu voulais pas avant ? — J’avais peur que ça soit trop bon, peut-être...
J’entamais alors des va-et-vient sur un rythme régulier. C’était délicieux. Ma mère, les yeux fermés, savourait elle aussi ce moment d’intimité avec son fils, trempée de désir. Je m’appliquais, allait et venait à l’intérieur d’elle avec joie.
— Maman, tourne-toi s’il te plaît. J’ai envie de te prendre en levrette.
Ma mère se retourna alors et m’offrit son beau postérieur.
— Vas-y, baise-moi fort, mon chéri !
Je pénétrais alors à nouveau ce beau vagin avec tout le désir d’un fils qui aime sa mère par-dessus tout, superbement excité par ce cul magnifique. Agrippant ses hanches fermement, j’envoyais de bons coups de rein, me régalant de la défoncer. Et plus j’y allais fort, plus elle gémissait. Je la pris ensuite dans d’autres positions, toutes plus délicieuses les unes que les autres. Je sortais ensuite de ma mère et regardait ma petite sœur à côté d’elle. Qu’elle était belle, elle aussi ! Je me déplaçais et vins me positionner en face de Clara. Celle-ci était ravie que je m’occupe d’elle à son tour. Je poussais et mon sexe glissa doucement dans le sien. Pénétrer ma petite sœur était toujours un délice. Sa petite chatte avait été la première de ma vie, à l’époque où nous étions deux adolescents inexpérimentés, et la retrouver me faisait toujours un bien fou. Puis je passais à ma grand-mère, cochonne parfaite à qui je devais une fière chandelle d’avoir si bien organisé les choses.
— Merci mamie, c’est tellement chouette de ta part... — De rien mon chéri. Allez, arrête de parler et baise-moi !
C’est ainsi que je me retrouvais à les baiser toutes les trois, alternativement, passant d’un minou à l’autre avec le même plaisir, du vagin trop large, mais chaud et humide de ma grand-mère, à celui juste parfait de ma mère, puis revenant à celui plus étroit de ma sœur.
— Ha que j’aime vous baiser ! Toutes les trois ! Vous êtes merveilleusement cochonnes !
Après un long moment à alterner entre ma grand-mère, Clara et ma mère, ce fut à l’intérieur de cette dernière que je me sentis défaillir.
— Ha putain, qu’est-ce que t’es bonne, maman ! Je vais... je vais...— Oui mon chéri, vas-y, jouis à l’intérieur de moi. — Ha oui, maman ! C’est trop bon ! Argh ! Ho ouiiii !
Je me raidis et laissais un flot de plaisir me parcourir. Ce fut un jet d’énergie pure, une explosion qui inonda l’intérieur de ma chère mère. J’eus l’impression de déverser en elle des litres de sperme, c’était fou.
— Merci, merci ! Vous êtes toutes géniales, je vous adore, vous êtes des cochonnes de rêve !— Merci à toi, lança ma grand-mère, je suis fière d’avoir un petit-fils aussi vaillant. Tu nous as bien baisées ! Joyeux anniversaire !
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