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ma famille naturiste...et libertine

Chapitre 1

Inceste
Ma famille naturiste…et libertine

D’abord mon papa : Jean, 38 ans, grand et mince, cadre supérieur.Ensuite maman : Julie, 36 ans, plutôt petite et ronde, esthéticienne.Et enfin moi : Thomas, 18 ans depuis peu, taille moyenne et mince.Comme mes parents gagnent bien leur vie, nous habitons une grande maison avec piscine sur une propriété entourée d’une clôture végétale impénétrable aux regards indiscrets.C’était aujourd’hui mon dernier jour de lycée et mes parents et moi partirons dans quelques jours pour deux semaines de vacances en Ardèche dans un camping naturiste. Nous y avons loué un mobile home avec tout le confort et une grande terrasse couverte.Je suis allongé nu sur un transat à côté de la piscine et j’attends mes parents, tiens j’entends le talons de maman sur les dalles.— Tu es là mon chéri, te voilà en vacances maintenant, profites-en bien tu l’as mérité.Maman porte aujourd’hui une petite robe légère et quand elle s’accroupit à côté de moi pour m’embrasser sur la bouche, je vois qu’elle n’a pas de culotte comme d’habitude, elle n’a pas de soutien-gorge non plus et sa robe ne tarde pas à voler pardessus sa tête. Maman est potelée elle a de jolis seins ronds et fermes et des fesses à croquer dedans. D’ailleurs le fait de la détailler fait grossir ma bite au grand plaisir de maman.— Ah mon chéri ! c’est le plus bel hommage que tu peux rendre à ta maman en lui présentant ta belle queue en érection.Elle s’empressa de prendre l’objet de son désir dans sa belle bouche aux lèvres pleines et commença une pipe délicieuse.C’est dans cette position que nous trouva papa, il s’accroupit à côté de maman et lui caressa ses belles fesses d’une main experte.— Salut fiston, je vois que tu es entre de bonnes mains ou plutôt entre de belles lèvres.Maman lâcha ma queue pour embrasser son mari tout en lui flattant le contenu de sa braguette.— Va enlever tout ça mon amour, j’ai envie de gouter aussi ta queue.Maman me tira par la main pour me faire entrer dans la maison.— J’ai envie de faire pipi mon chéri, viens avec moi, il faut que je te parle de quelque chose.Chez nous la porte des toilettes n’était jamais fermée sauf si l’occupant du moment risquait de gêner l’odorat des autres. Maman s’installa sur le siège et, comme je le faisais souvent en pareille circonstance, je m’accroupis devant elle et passai ma main entre ses jambes écartées. En souriant, maman lâcha son jet doré et odorant sur ma main et quand elle eut fini je lui glissai mon index bien mouillé dans son joli trou du cul, maman adorait ça !— Tu sais chéri il m’est venu à l’idée que je profiterais mieux de tes jolies couilles si tu acceptais de les faire épiler, tu n’as pas beaucoup de poils mais si on les enlevait ça serait tellement plus agréable de prendre tes boules dans la bouche, tu ne crois pas ?— Sans doute, mais tu es meilleure juge en la matière, je te fais confiance, mais comment on va faire ?— Tu viendras demain à l’institut vers 10h et avec ma collègue Nadine on verra ce qu’on pourra faire.Le lendemain, par un soleil radieux, je rejoignis l’institut de beauté de maman à vélo. Je ne portais qu’un short léger et un polo. Maman m’accueillit avec un baiser profond sur la bouche sous le regard amusé de Nadine. Elles portaient toutes les deux leur tenue de travail qui consistait en une courte blouse très échancrée en haut et déboutonnée en bas pour permettre, au moindre mouvement, de voir qu’elles ne portaient pas de culotte ni l’une ni l’autre.— Nadine je te présente mon fils Tom dont je te parle souvent, il est venu pour se faire épiler les couilles.— Oh, mais je vais m’en occuper avec plaisir Julie si tu le permets, viens Tom, passons à côté.
Nadine me tira par la main dans la pièce adjacente dont elle laissa la porte ouverte. Elle m’enleva mon polo et descendit mon short sur mes genoux.— Ouah ! la jolie bite !Nadine empoigna ma queue et la branla légèrement.— Tu sais Tom, il vaut mieux que tu bandes, comme ça tes couilles seront plus accessibles.Elle n’eut pas besoin d’insister car je bandais comme un âne. Maman entra dans la pièce et se plaça à côté de la branleuse que j’ai d’ailleurs oublié de vous décrire : Nadine est une petite brune bien en chair avec un joli cul rebondi que maman était en train de peloter sous sa courte blouse.— Julie tu veux aussi que je lui épile la raie du cul, ça sera plus confortable à lécher, non ?Comme maman était d’accord il en fut ainsi. L’opération se passa sans aucune douleur et les deux spécialistes semblèrent satisfaites du résultat. Maman ne put s’empêcher de prendre mes couilles dans sa bouche pour se rendre compte de la différence et sembla apprécier le résultat. Ce qui évidement me fit bander à l’instant. Voyant cela, Nadine se mit à quatre pattes, souleva sa blouse sur ses fesses et me présenta son cul. Maman me lâcha les couilles et me tira par la bite vers les fesses de Nadine.— Tu la veux dans le minou ou dans le trou du cul ma chérie ?— Dans le cul s’il te plaît !Je me plaçai derrière Nadine sous le regard bienveillant de maman qui guida ma queue vers la rondelle froncée— Ah c’est bon mon chéri, je sens ton gland qui m’éclate la rondelle.Je sentais son fourreau chaud et étroit enserrer ma bite sur toute sa longueur et mes couilles désormais glabres taper contre les lèvres gonflées de la chatte de Nadine. Quand je sentis un doigt de maman s’enfiler dans mon trou du cul, je n’ai pas pu me retenir.Quand j’eus déchargé mon foutre, maman se précipita pour lécher le sperme qui coulait du trou du cul de Nadine.— Merci à vous deux, je vous aime !Maman et Nadine me regardèrent enfourcher mon vélo en riant et en se tenant par la taille.Le surlendemain nous partions en vacances. Mes parents avaient réservé un mobile home dans un camping naturiste en Ardèche. Jusque - là nous allions toujours au village nudiste du Cap d’Agde mais un de ses amis avait conseillé à papa ce camping en Ardèche. D’après cet ami on pouvait tranquillement se promener dans le camp avec une érection ou avec la main entre les cuisses de la dame qui vous accompagne. Au Cap d’Agde il valait mieux se cacher à cause de la présence d’enfants, ce qui n’était pas le cas en Ardèche puisque les mineurs n’étaient pas admis.Nous arrivâmes à destination assez fatigués du trajet et, après nous être installés sommairement nous allâmes dormir. Le lendemain matin, sous un soleil radieux, nous avons entrepris de faire le tour de notre nouvel environnement. Le camp s’étendait autour d’un lac et était ceinturé d’une clôture arborée empêchant les regards indiscrets. Les lieux semblaient propres et les gens rencontrés étaient d’un abord agréable. Ce qui devait arriver arriva : au vu de tous ces beaux corps nus ma bite se redressa et je me retrouvai avec une érection de belle facture. En arrivant à notre mobile home nous vîmes une voiture tractant une caravane s’arrêter devant l’emplacement à côté du nôtre. La voiture était immatriculée en Hollande. Devant les efforts infructueux du conducteur essayant de placer la caravane en marche arrière sur l’emplacement somme toute assez réduit, mon père s’approcha du conducteur et proposa à notre désormais voisin de dételer la caravane et de la pousser à la main pour la placer correctement, ce qui fut accepté avec joie. En plus du conducteur il y avait une dame et un jeune homme de mon âge dans la voiture, ce jeune homme s’avéra être le fils du couple hollandais qui, eux, avaient à peu près l’âge de mes parents. Nous nous présentâmes le mari Jan, grand, mince et musclé, la maman Lisa, une blonde sculpturale et le fils Tim, un bel éphèbe blond, les cheveux légèrement bouclés, un joli visage d’ange et un corps svelte et élancé : un joli petit minet, comme devait dire ma mère un peu plus tard. Ils étaient encore habillés (quoique très légèrement) et nous étions nus. Je remarquai qu’ils nous détaillaient discrètement et je vis surtout une belle bosse se former sur le short du papa et aussi sur celui du fils. Ce dernier s’empressa d’ailleurs de se débarrasser de ce vêtement désormais inutile, imité dans la foulée par ses parents. Nous pouvions maintenant détailler nos nouveaux voisins ce qui provoqua chez papa et moi une belle érection. Il faut dire que Lisa était magnifique, on ne savait pas où porter le regard en premier : les beaux et gros seins, le ventre légèrement bombé, les cuisses rondes et un peu grasses ou les fesses volumineuses mais fermes. Je vis que maman fixait la queue de Tim avec envie. Il faut dire que la queue de Tim était plus longue que la mienne ou celle de papa mais beaucoup plus fine.Une fois la caravane en place il ne restait plus guère d’espace que pour l’auvent. J’étais occupé à mettre en place les stabilisateurs à l’arrière au moyen de la longue manivelle prévue à cet effet. J’étais légèrement penché en avant, les genoux fléchis quand je sentis que Tim voulait passer derrière moi, l’espace était réduit, il a donc dû se coller contre moi et je sentis sa bite à demi raide se frotter dans la raie de mon cul. Tim devait apprécier autant que moi car il fit coulisser sa queue de haut dans ma raie plusieurs fois de suite. Je sus alors que mon voisin était bi comme moi. Je me redressai, me tournai vers lui et lui roulai une pelle profonde tout en lui caressant tendrement sa jolie queue.Sur ce, maman nous appela pour l’apéro sur la terrasse. Papa et maman étaient assis en face de Lisa et de Jan autour de la table, Tim et moi nous assîmes l’un à côté de l’autre en peu en retrait sur une banquette.Lisa était en train de raconter l’histoire de sa vie :— J’ai vécu à l’orphelinat jusqu’à mes 18 ans, les nonnes ne pouvaient pas me garder plus longtemps et elles me cherchèrent un emploi et, éventuellement, une famille d’accueil. Les parents de Jan possédaient un magasin de fleuriste et cherchaient une aide. Après un bref entretien ils me proposèrent de m’apprendre le métier et aussi de m’héberger. Je ne tardai pas à m’apercevoir que la vie dans cette famille était bien différente de ce que j’avais vécu chez les nonnes. — Dans cette famille les gestes de tendresse les uns envers les autres étaient la norme. La maman de Jan me prenait dans ses bras pour me dire bonjour le matin, elle le faisait aussi avec son mari et son fils. Le papa de Jan n’hésitait pas à lui caresser les seins pardessus ses vêtements ou à lui mettre carrément la main sous ses jupes, ce qu’elle acceptait volontiers avec plaisir. Je vis bientôt que Jan faisait pareil avec elle et qu’elle n’hésitait pas à leur mettre la main à la braguette. Jan était très gentil et tendre avec moi et à force de me caresser comme il caressait sa mère il me dépucela. Je faisais maintenant vraiment partie de la famille.Jan prit le relais :— Au risque de vous choquer il faut que vous sachiez que ma famille était tout ce qu’il y a d’incestueux. Nous avons toujours vécu sans aucun tabou. Papa et moi nous baisions et enculions maman, elle nous suçait et j’enculais papa et réciproquement.— Un jour, ce devaient être les vacances car je n’avais pas école, mes parents étaient au magasin où je les rejoignis. Maman était debout derrière le comptoir en train de porter des chiffres dans un registre, papa servait une cliente. Je m’approchai de maman, me faufilai entre ses jambes qu’elle écarta obligeamment, je collai mes lèvres sur sa chatte et commençai à la lécher comme papa et elle me l’avaient appris. Du magasin on ne pouvait rien voir de spécial, mais en jetant un œil pardessus le comptoir on aurait vu la patronne, la robe remontée à la taille et son fils en train de lui lécher la moule. Je m’évertuais à bien faire ce qu’on m’avait appris et quelques soupirs de plus en plus rapprochés de maman me confirmèrent que je m’y prenais plutôt bien. Je passais ma langue sur toute la surface de la belle chatte de maman en écartant bien les grandes lèvres, arrivé en haut sur le bouton assez volumineux de son clito, je faisais tourner la pointe de ma langue autour de la belle petite bite, je la prenais entre mes lèvres et la suçais comme maman suçait nos bites à papa et à moi. J’avais les mains accrochées à ses fesses et je sentais au tremblement de ses jambes contre mon torse qu’elle n’était pas loin de jouir. Je glissai un doigt entre ses belles fesses et ça la fit partir, elle lâcha tout dans un grand râle pendant que je n’arrêtais pas de la lécher, elle jouit tellement fort qu’elle ne put plus contrôler sa vessie qui se vida sur mon visage et dans ma bouche, j’étais couvert de sa pisse, j’en ai bu une partie et ça m’a tellement plu que je l’ai léchée partout où je pouvais. Papa s’était approché (la cliente était partie) et quand il a vu le tableau il a tellement ri qu’il a dû s’asseoir. Maman était confuse et j’ai dû lui répéter que j’avais beaucoup aimé et que je ne demandai qu’à recommencer.Pendant le récit de ses parents Tim se caressait la queue qui était aussi raide que la mienne. Enhardi par le récit, j’avançai ma main et la posai sur la sienne, il me sourit, lâcha sa queue et attrapa la mienne, nos visages se rapprochèrent, nos bouches se joignirent et nos langues se mêlèrent en un baiser doux et passionné.Quand elle nous vit comme ça Lisa sourit— Les garçons, si vous veniez nous faire profiter de vos jolis corps ?Nous nous approchâmes, maman et Lisa nous firent allonger sur la table l’un à côté de l’autre sur le dos, elles ne purent s’empêcher de flatter nos queues et durent se faire violence pour les lâcher.— Lisa à toi l’honneur de sucer la queue de Tom et moi je vais déguster celle de Tim. J’espère que nos hommes vont profiter de notre position pour faire visiter une chatte que ne connaît pas encore leur queue.Ainsi fut fait à la grande satisfaction de tous les participants.Pendant le reste des vacances toutes les variantes furent expérimentées et il m’arrivait souvent de m’endormir le soir avec ma queue dans une chatte ou un trou du cul. J’avais une affection particulière pour le cul de Tim et il me le rendait bien.
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