Il s’est passé quelques semaines depuis cette soirée et rien de bien spécial à raconter, à part que depuis cette soirée, ma mère est beaucoup moins pudique. Ma mère a toujours été habillée, jamais vue en pyjama ou très peu de fois, mais depuis cet événement, ma mère n’hésite plus à se montrer dans d’autres tenues, des nuisettes laissant apparaître ses jambes et par moments, lorsqu’elle se baisse : la base de son fessier. Par ailleurs, elle qui ferme toujours la salle de bain, ne prend plus la peine de la fermer, je l’ai surprise à deux reprises en sous-vêtements en dentelle et malgré moi, je n’ai pu me retenir de regarder quelques secondes, ma mère a véritablement un corps magnifique. Ma petite sœur Chloé a quant à elle pas réagi au fait que ma mère se balade en nuisette et ne ferme plus la porte, je pense qu’elle est peut-être trop absorbée par son copain pour remarquer quoi que ce soit. Pour retourner au sujet de ma mère, j’ai véritablement compris qu’elle avait changé de vision sur la pudeur quand un matin, elle est arrivée avec une nuisette vraiment provocante pour le coup et qu’elle m’a demandé ceci. — Dis voir, tu en penses quoi de cette nuisette ? Elle me va bien ? J’ai relevé la tête et j’ai pu pleinement regarder en détail cette fameuse tenue, et le moins que je puisse dire, c’est qu’elle est provocante, on voit son ventre, car le tissu est très fin et la poitrine n’est simplement cachée que par les coutures judicieusement placées, pareil également pour le bas qui ne cache que l’essentiel. — Elle est bien, du moins elle te va bien maman, mais dis-moi, tu mets de plus en plus ce genre d’habits alors qu’avant, tu n’en mettais jamais.— Oui, j’ai décidé de me libérer depuis notre soirée et puis tu ne vas pas te plaindre, tu te rinces l’œil petit coquin. Elle me fait un clin d’œil et sourit avant d’aller se faire un café, je rougis légèrement et secoue la tête, je reluque un tout petit peu, il est vrai, mais sans plus. Elle revient après s’être fait un café et se pose, se penchant et me laissant une vue sur son décolleté, je fais mine de rien et replonge mon attention sur mon téléphone. — Dis voir, on ne se ferait pas de nouveau une soirée film demain, Chloé disparaît encore chez son copain alors autant en profiter. Je redresse la tête et misère pour moi, car mes yeux atterrissent machinalement sur son décolleté et le tissu est décroché de sa peau et je peux apercevoir ses tétons, ce qui me déstabilise et met du temps à répondre. — Tu écris à une copine pour être aussi troublée ?— Euh, non, je réfléchis à quel film on peut regarder, c’est tout. Une disquette pas convaincante selon moi, mais qui semble marcher pour ma mère qui ne relève pas plus que ça. — Oh, t’inquiète pas, j’ai déjà quelques idées de films à regarder, du coup, c’est OK ?
— Oui avec plaisir. Elle sourit et repart dans la maison, me laissant une vue sur son fessier, je dois me calmer d’avoir vu tout cela, car même si c’est ma mère, cela reste une femme et mon célibat, qui commence à dater, tape à ma porte, me rappelant que j’ai une libido aussi. Je fais taire cette pensée et décide de m’occuper. Le week-end arrive et le samedi démarre sur les chapeaux de roue, dans l’après-midi, peu de temps après le départ de Chloé chez son copain, j’arrive dans le salon pour voir ma mère fouiller dans l’armoire pour sûrement chercher quelque chose, rien de bien incroyable, sauf qu’elle est accroupie et comme ça, je peux apercevoir sa culotte. On dirait qu’elle fait exprès de s’exhiber, je ne dis rien et disparais aussi rapidement que je suis venu. Je commence à avoir peur pour cette soirée, et recommence à chasser les images et les idées qui peuvent venir influencer mon esprit perverti. Le soir arrive et je débarque dans le salon, la lumière est éteinte et ma mère est dans le canapé, une bouteille est posée sur la table de salon. Je m’assois donc et décide de me servir un verre, ma mère me regarde et sourit. — Ce soir, tu regardes un classique, Dirty Dancing.— C’est quoi ?— Un film sur une romance entre deux personnes et qui tourne sur la danse.— Tu n’as pas mieux ? La romance, tu sais.— Laisse, regarde, tu verras, c’est non négociable. Je me tais alors et elle lance le film. Je ne l’ai pas dit, mais bien évidemment elle ne s’est pas changée, elle est toujours en nuisette. Je décide de ne pas faire attention et de regarder le film, que je n’aime pas clairement, c’est nul et assez niais, je ne suis pas fan de tout ça, mais ma mère semble adorer alors je lui fais plaisir. Je la vois s’agiter aussi de temps en temps, je me demande pourquoi et lui pose la question. — Il t’arrive quoi à t’agiter comme ça ?— Oh rien, tu sais ça me rappelle mon époque où je draguais à tout-va et des beaux garçons comme lui étaient mon fantasme, alors ça m’émoustille.— Tu es en feu en ce moment, on peut dire. Je ricane, mais ma mère remarque cette phrase qui est peut-être déplacée, et elle décide de me taper gentiment. — Je ne te permets pas vilain, depuis la dernière fois, j’ai pris conscience que je me privais trop, alors je décide de changer et d’arrêter cette privation.— Ce n’est pas un mal maman, tu sais, je disais simplement ça pour t’embêter.— Tu veux que je t’embête ? Intrigué, je relève un sourcil et la regarde se lever et chercher quelque chose, encore une fois, je peux admirer sa culotte et son fessier, je tourne les yeux et regarde ailleurs pour ne pas me donner d’autres images. Elle revient et lance donc un film, que je ne connais pas. — Tu vas voir ! Je la regarde soucieux, je me demande ce qu’elle peut bien faire pour m’embêter, et je comprends vite ce qu’elle fait. Elle vient de lancer un film porno, je reconnais la musique cliché et le style vieillissant. — Ne me dis pas que ?— Et si, tu vas regarder un film porno, tu verras si tu n’as pas le feu toi aussi. Là, je suis vraiment en mauvaise posture pour le coup, entre ma mère et mes idées bizarres au sujet d’elle, et maintenant un film porno, je ne sais pas comment réagir, et surtout si je dois partir ou non, je décide de rester quand même, quelque chose en moi m’empêche de partir, sûrement la curiosité. Le film avance rapidement à la fameuse scène où les messieurs et les mesdames se déshabillent, les véritables problèmes commencent.Il est bien monté dis donc, j’oublie que certains en ont des aussi grandes.Tout ça me met mal à l’aise et je ne voudrais pas qu’il m’arrive une chose que je redoute dans un sens, c’est d’avoir le barreau, car le film, bien qu’il soit un peu vieux, je le trouve plutôt bien. Ma mère dans tout ça ne m’aide pas, car elle lâche des petits “Ouais pas mal” et tout un tas de commentaires différents. — Tu es gêné ?— Non bien sûr que non, mais c’est bizarre de regarder un porno avec toi, tu sais.— Ça va chéri, ce n’est pas comme si tu te faisais du bien et que moi aussi, je fais ça pour te taquiner.— Oui, ce n’est pas totalement faux. Et sans que je ne puisse faire quelque chose, mon érection pointe le bout de son nez au moment même où je parle avec ma mère, je suis sûre qu’elle a remarqué. Le film avance et il n’y plus aucune retenue notable, l’acteur et l’actrice s’en donnent à cœur joie, obligé dans tout ça de placer mon engin d’une certaine manière afin qu’il fasse moins mal et qu’il soit moins visible. Cependant, je note le regard de ma mère au même moment et je suis surpris en pleine action. — Alors ? On a des soucis ?— La réaction normale de mon corps oui.— Je pensais être la seule qui réagisse à ce film, ça me rassure, j’ai le feu aux poudres. Dans ma tête, je me dis qu’elle devrait se taire, ses commentaires sont une véritable invitation à tous les vices en matière de plaisir et une invitation à déraper. Ce n’est pas moi qui vais tout commencer, mais elle une nouvelle fois, je vois sa main se balader sur son corps et gentiment toucher sa poitrine, je regarde malgré moi, cette vue m’attire, je ne peux plus de me cacher, et le film plus le fait que ma mère soit là à commencer à se faire plaisir, m’excite de plus en plus. Sans un mot, la situation et l’ambiance changent du tout au tout. D’une soirée film romantique, on est passé à de la taquinerie avec un film spécial, à maintenant une ambiance plus chaude et ambiguë. Ma mère continue son petit plaisir et ne fait pas attention à moi, je décide quand même de tenter une retenue et tourne la tête vers le film, replaçant encore une fois mon sexe qui me gêne une nouvelle fois. Je vois du coin de l’œil, ma génitrice transférant sa main directement dans sa culotte et lâchant un petit gémissement. Je ne vais pas mentir et dire que ça ne sert à rien et les dernières barrières partent et je me masse doucement à travers mon pyjama, nos regards se croisent à ce moment-là et elle m’adresse un sourire léger et reprend sa petite affaire qui semble lui faire plaisir. Mon regard reste lui sur elle, j’ignore complètement le film et me concentre sur elle, je suis hypnotisé par ce qu’elle fait sans pouvoir faire quoi que ce soit, machinalement guidé par mon appétit sexuel, je retire légèrement mon pyjama pour laisser apparaître mon sexe qui se dresse vers le plafond, excité comme jamais par la situation. Ma mère elle, elle ne bronche pas, ne quitte pas son regard de mon sexe et oscille entre lui et mes yeux dans un début de concert de légers gémissements. C’est le coup de massue sur ma moralité et ma retenue qui cède définitivement et je glisse mon pantalon le long de mes jambes pour le laisser à mes chevilles, je suis là, le bassin à l’air, le sexe tendu, je ferme les yeux et je me fais du bien, dans cette situation exaltante par la perversité de notre acte à nous deux, mais également la complicité naturelle à laquelle nous avons lentement glissé dedans. Pendant un instant, je me concentre sur mon plaisir, sans faire attention aux alentours, lorsque j’ouvre de nouveau les yeux, je tourne mon regard vers ma mère qui elle de son côté s’est également lâchée dans notre moment. Sa poitrine est sortie de son pyjama, je peux l’observer et apprécier la forme de ceci, sa culotte est partie, par terre, laissant le champ libre à mes yeux pour observer son intimité, un fin duvet de poils se montre, sa main s’agite frénétiquement sur son clitoris, en voyant cette scène, je ressens comme un coup d’électricité dans mon bassin, ça ajoute encore plus d’excitation. Tout en regardant son corps s’onduler de plaisir, je me masturbe, je trouve ma mère extrêmement jolie dans cette situation. Et enfin après quelques minutes de légers soupirs, de gémissements, je me décharge sur mon torse tandis que peu de temps après, ma mère explose dans un orgasme bruyant et puissant tout en me regardant. C’est fini, nous avons franchi les barrières morales, et je ne réalise pas encore tant mon esprit est encore embrumé par mon plaisir, mais notre relation ne sera plus jamais la même maintenant. D’un air nonchalant, ma mère se lève, récupère sa culotte, je la sens encore fébrile, son plaisir a dû être immense, et m’embrasse sur le front tendrement comme une maman rassurant son enfant. Je reste moi, de longues minutes à réaliser ce qu’il vient de se produire, et je crois que je ne regrette pas.
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