Après la baise sur la table, le repos !!! sur le lit à me faire lécher, Mado me propose un petit en-cas.... Ben oui ! 9 heures de route et des efforts sexuels dès mon arrivée et j’ai besoin de me remonter un peu. C’est dans le plus simple appareil qu’elle prépare un petit repas et c’est dans le plus simple appareil que je reste moi aussi. C’est toujours dans cette tenue que nous prenons de façon amicale, tel un vieux couple, ce repas amoureusement préparée par Mado et nous papotons comme au téléphone avant notre rencontre, histoire de se connaitre un peu plus et malgré nos tenues sans le moindre désir sexuel, tels des naturistes. Elle me demande si je connais les carbonnades flamandes... Bien sûr que je connais mais elle me propose d’en préparer le lendemain pour midi. Puis nous allons au lit comme un couple normal et elle veut me dévoiler quelques aspects cachés de sa personnalité et surtout de son passé sexuel.... Elle prend sur un fauteuil un baise-en-ville, le bien nommé, qui y était posé.Elle l’ouvre et ..... ô surprise ..... tout un matériel de baise, masturbation, bondage, sadisme.... Des godes de différentes tailles et couleurs ; un martinet, mais pas un martinet de foire comme ceux que l’on trouve dans les sex-shops, un vrai martinet à chiens acheté dans une animalerie ; des menottes ; des cuillères et des spatules en bois ; un gode-ceinture ; des cordelettes souples ; des pinces à seins et à clito....... Bref tout le nécessaire pour jouir et faire jouir. Mado me révèle qu’après un mariage raté avec un homme pas du tout porté sur le sexe mais qui lui a malgré tout fait 4 enfants dans le noir, sans allumer la lumière, ce qui fait qu’elle a pu sentir et toucher sa bite mais sans jamais la voir et lui-même bien qu’il ait tiré son coup le plus naturellement du monde il ne l’a jamais vu nue. Après son divorce elle a décidé de vivre sa vie et a collectionné les hommes, jusqu’à se prostituer plus par plaisir que pour gagner de l’argent..... Elle a tout tenté et les accessoires dans son baise-en-ville, toujours bien nommé, oont servi sur elle au début et ensuite elle s’était aperçue que certains hommes aimaient être dominés et punis par une femme sévère. Elle prend la parole : "Voilà mon chéri ! Si nous devons vivre ensemble toi et moi je veux que t(u saches quelle salope je suis.Avec moi tu peux tout faire, tout me demander, je serai autant ta femme que ta femelle, autant ton épouse que ta maîtresse, autant ta chérie qu’une simple chienne, à la fois vide-couilles et garage à bite... Je te promets fidélité mais je veux du sexe tous les jours et je te le répète, je ne refuse rien, je veux tenter toutes les expériences, réaliser tous nos fantasmes, quels qu’ils soient avec toujours cette possibilité de recommencer si ça nous plait ou de laisser tomber si ça ne nous plait pas.... Mais au moins nous aurons tenté l’expérience". Je ne sais pas vous, mais moi j’ai ressenti ça comme une déclaration d’amour me disant "je veux viv re avec toi, mais je veux que tu saches qui je suis, une salope, prête à faire la pute si ça te p)lait, prête à baiser avec toi en n’importe quel lieu, à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit, seuls ou devant voyeurs". En un mot elle donnait entièrement à moi, telle une femelle p^lus salope que soumise et c’est bien ce que j’aime. Si dans son travail, elle s’occupe à domicile de personnes âgées, les aidant à se lever le matin, leur faisant leur toilette, les aidant à s’habiller ; elle rentre quelques heures chez elle puis repars vers midi pour les faire manger ; reviens quelques heures puis repars en fin d’après midi pour les mettre au lit..... Au sein d’une association dont elle est salariée elle travaille ainsi 4 jours de suite et a ensuite deux jours de repos. Je disais donc, si dans son travail elle est habillées sagement, longue jupe ou pantalon, culotte pour éponger sa mouille (elle mouille tout le temps), tunique sur soutien-gorge ; le reste du temps les sous-vêtements classiques disparaissent et les tenues les plus affriolantes, sexys et osées apparaissent. A la maison et aussi en promenades ville ou campagne et pour les courses en ville au marché ou au supermarché. Je lui redis ce que j’avais déjà dit au téléphone lorsque nous nous parlions avant de nous rencontrer : J’aime les jolies femmes très salopes et qui s’habillent comme des putes...... J’aime que ma compagne ait l’air d’une pute, mais seulement l’air. En avoir l’air ne veut pas dire qu’elle en soit une..... C’est donc plus de la provocation que du racolage.... Mais sur j’aime que cette femme ne soit pas qu’un simple objet sexuel mais qu’elle sache tenir sa maison et aussi être à la fois bonne épouse et bonne mère. Pour cela j’ai pu constater par la suite qu’elle était une très bonne mère bien que le Tribunal ait confié la garde de ses deux enfants les plus jeunes (8 ans à l’époque, des jumeaux) leur père et ce dernier la laisse les voir à chacun de ses jours de repos. Mais nous sommes le soir et nous avons envie de dormir dans les bras l’un de l’autre mais avant cela ellke ne résiste pas au désir de venir une nouvelle fois me chevaucher jusqu’à changer légèrement de position, j’ai pu m’apercevoir de sa souplesse à ce moment, se mettant en position assise sur moi en se tenant une jambe contre elle, elle se soupèse pour s’asseoir sur mon vit fiérement dressé. Elle descend doucement sur ce dernier et s’encule elle-même sans que j’aie à faire le moindre mouvement. C’est vraiment une salope, elle m’ déjà vidé les couilles au possible par sa dernière suçion et elle arrive encore à me faire décharger dans son tréfonds... Petite décharge, mais décharge tout de même. Elle se retire et enfourne mon sexe pas encore totalement dégonflé en entier dans sa bouche et entreprend de me le nettoyer sans laéisser la moindre trace ne serais-ce que de sperme. Puis se blottissant conte moi, écrasant ses seins volumineux et majestueux contre ma poitrine nous revoilà partis à dialoguer de tout et de rien jusqu’à ce que le sommeil nous prenne. Pour dormir elle me tourne le dos et me demande d’enfoncer mon sexe dans son trou du cul et de passer mes bras autour d’elle, l’un sous sa nuque et l’autre autour d’elle en tenant un de seins dans chacune de mes mains. Elle veut s’"endormir en se sentant prisonnière dans mes bras et en me sentant en elle en même temps. Bien sûr ma bite est ressortie d’elle-même dès notre endormissement. Demain est un autre jour, celui des carbonnades et d’autres découvertes et prouesses. Vous ai-je dit qu’une de ses filles, âgée de 20 ans vit avec elle mais que pour notre rencontre elle est allée coucher chez un copain ? Nous en parlerons demain..
