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La famille, stage américain

Chapitre 1

Divers
A la fin de mon séjour parisien j’avais géré quelques conseils d’administrations avais aussi négocié avec des banquiers et des chefs d’entreprises et avais en sus saisis le fonctionnement de la partie obscure de la famille.
Je suis retourné en Italie pour une petite semaine de presque repos puis ai pris l’avion pour Détroit.
Détroit est une ville intéressante dans la mesure ou la pauvreté est considérable et les voyous partout, issus de gangs latinos, blacks, quelques polaks et des italiens mais une forte communauté grecque. Forcément, les casinos au bord du lac portent comme les bars et restos alentours des noms grecs.
Les US c’est ni la France ni l’Italie. Les liens de Tonton Tonio sont ce qu’on nomme, ici, les ‘ mechanics ‘. Tout comme Fabio et Tonton, Jack est sorti de l’ombre pour m’instruire. Son boulot, d’ordinaire, c’est effacer ceux qui gênent. Pour arriver à ce poste il faut être membre éminent et de confiance.
Bref Jack me prend en charge et me confie une Ford Taurus et les clef d’une petite maison proche de l’aéroport. Sans me laisser le temps de souffler malgré les sept heures de décalage horaire il me traîne dans un resto italien. Comme je suis fumeur et Jack aussi nous sommes installés dans une salle qui n’est pas le resto. Il y a quelques habitués si j’en juge. A notre table une femme de soixante ans au moins, grasse comme un clou et très anguleuse nous accueille. ‘ Comment vont Lydia et Sonia jeune homme ? ‘. ‘ Tuti bé Madame ! ‘. ‘ Laisse tomer le madame, Je suis Jane, de la la famille Ciavald … ( désolé pour ne nom, je n’ai pas le droit ). ‘.
Le dîner est agréable, nous parlons en anglais et mon accent amuse Jane et Jack. Le portable de Jack sonne, il répond en phrases courtes et hachées puis prend congé, il a du travail.
Après le souper Jane glisse des billets dans sa serviette et la fait glisser jusqu’à moi. ‘ Ici tu es l’homme, tu paye, conteste la note, sans raison ! ‘. Je fais comme on me dit et le serveur semble très contrarié et prêt à m’allonger une baffe. Je suppose que c’est un test. Je lui parle en italien : ‘ Ecoute mon beau, tu me parles correctement, je serai contrarié d’avoir à te monter comment sont les bonnes manières de ma Famille, capito ? ‘. Il regarde Jane puis moi, puis décide d’aller chercher le patron. Un petit gros sans âge à l’accent napolitain se pointe, il voit Jane et se confond en excuses, lui dit que le souper est gratuit pour elle. Sèchement elle l’informe que c’est moi qui paye. Il est bloqué un instant puis il me dit que je dois la moitié de la note. J’allonge la totalité de ce qui était demandé en précisant : ‘ Don Gino vous invitera le jour ou vous nous rendrez visite. ‘. Le mec commence à transpirer et demande comment je connais le Don. ‘ So’ su figlio ! ‘. Savoir que je suis le fils le fige, il se tourne vers le loufiat et le traite de ‘ stronzo ‘ ce qui est peu amène puis me rend l’argent et m’informe que ‘ MA table ‘ sera toujours réservée.
Je propose à Jane de la ramener chez elle et elle me dit qu’elle prendra un taxi de chez moi parce que je ne connais pas bien le chemin de mon nouveau chez moi.
Pas de chichi, une fois dans ma nouvelle maison elle m’explique ou se trouve le bar et m’informe de son contenu avant de sortir deux verres et une bouteille de bourbon.
Elle me regarde droit dans les yeux et me demande si je veux faire l’amour.
Heureusement que j’ai roupillé dans l’avion, façon j’ai très envie de me vider les couilles.
Elle se met nue et je découvre son corps très sérieusement fripé, les seins pendants, le sexe brodé de poils blancs. Elle entame : ‘ C’est comment une fille de 73 ans ? ‘.
Je la trouve, comment dire, touchante ? Émouvante ?

Elle vient contre moi et cherche mes lèvres, je l’embrasse. Mes mains glissent sur sa peu froissée, empoignent les petites fesses molles puis je la soulève et la porte sur le canapé. Je la dépose doucement assise puis glisse entre ses cuisses pour goûter son odeur.
Ma langue cherche, fouille, jusqu’à trouver, sentir les reins se cambrer, le corps vibrer et la jouissance exploser ;
Ensuite ? Baise à la papa pour vider l’homme.
Mon avis, à ce jour ? Les hommes sont des machines à faire jouir puis les femmes veulent bien relâcher la tension du sexe tendu de leur partenaire ;
Je vais vous dire les filles, votre plaisir est devenu notre préoccupation au détriment du nôtre … Lorsque que nous avons envie de vous faire plaisir ;
Je conclue sur une soirée moyenne en téléphonant à un taxi.
Le lendemain la journée est lourde, ici il n’y a pas de place pour autre chose que le business. Quatre négociations, trois visites de courtoisie et une punition qui se termine par un bras cassé. Selon Jack c’est le quotidien, rien d’exceptionnel.
Je sais pas pourquoi j’ai confiance.
Le soir, Jack m’invite à dîner, les fajitas au requin sont bonnes et les deux filles qui nous accompagnent doivent être pas mal. Jack me conseille Karen … ‘ C’est la cochonne incarnée, je veux pas savoir petit, éclates toi. ‘.
Karen m’a à la bonne, une trentaine, bien gaulée et des yeux de vicelarde.
Je raccompagne Karen, on verra bien.
Chez elle ça sent les chats, elle en a trois ou quatre et l’encens …
Elle m’informe qu’avec ce qu’elle a mangé il lui faut aller aux toilettes. Je la suis. Elle lève sa robe, baisse sa culotte et s’assoie en me regardant avec des yeux de crapaud mort d’amour.Très vite, je sais, sans ambiguïté qu’elle se vide les intestins, entre les plocs plocs et l’odeur il est clair qu’elle chie. Je lui refile ma queue à sucer, elle s’exécute en douceur. Je suis envahi de cette suprématie qui avilie la femme en la mettant en situation inconfortable et en se faisant sucer. Je pourrais lui éclater une rasade dans la gueule et me barrer mais je prends plaisir à l’instant.
Lorsqu’elle déchire un peu de papier cul, je stoppe son mouvement, lui demande de me présenter son cul et lèche sans compter en me repaissant du goût acre et de l’odeur … Du coup elle part illico et prend un pied infernal.
Cinq minutes après nous sommes au lit. Elle m’a mis sur le ventre et me masse le dos et les cuisses puis elle plie mon mollet vers le haut et masse doucement les muscles autour du tibia et du péroné puis s’occupe de mes pieds, je suis à point, j’aimerai jouir, là, maintenant …
‘ Karen, I need you. ‘. Façon élégante de lui laisser le choix de son plaisir, elle s’affale sur le dos et ouvre largement les cuisses. C’est clair, je la mange, la bouffe et me délecte pour l’amener à un point ou elle frissonne, se tends, soudain se cambre et, selon moi, jouie.
J’ai gagné une manche, je me glisse à son côté et la caresse … Visiblement le moindre attouchement lui fait déborder la libido. Je me décide a grimper sur elle et à la pénétrer sans ménagement. Elle a sûrement perdu tous sens de l’instant puisqu’à peine mes couilles touchent son cul, elle beugle et remue comme une digue … Elle gueule : ‘ fuck me good, fuck, son of a bitch, I need you to screww me ! ‘. Je ne prend pas le temps de la retourner pour changer de trou et la sodomiser en force. Ses yeux sont écarquillés, elle a la bouche ouverte, sans un son et je la défonce encore sous le coup de la fatigue et du petit coup avec Jane. Je ne sais pas combien de temps, j’ai envie d’exploser mais elle presse mon périnée dans l’espoir de me faire durer plus longtemps. Ses yeux se révulsent elle ôte son doigt pour le glisser dans sa bouche et je lui rempli le cul par longues saccades en sentant des décharges électriques au creux de mes reins et en bavant dans un baiser de fin du monde.
Yes, c’était plutôt sympa.
Elle me dit qu’elle a mal au cul, je lui rétorque que moi je dois évacuer mon dîner et que le premier aux chiottes a gagné. Je suis le premier, elle sa vautre par terre sur le dos et ouvre la bouche.
Est-ce que c’est le décalage horaire ? Le changement de régime ? J’ai la chiasse et je me vide dans sa bouche accroupi, sans la regarder, ça dure, j’ai vraiment la dégoulinante et je m’attend à ce qu’elle se relève et se plaigne mais j’entends des borborygmes. Cette truie bouffe de la merde ?!
Quand j’ai terminé, je me redresse, la regarde et lui pisse dessus. Elle se branle frénétique et entre deux râles réclame de la bitte.
Je lui enfonce ma queue dans la bouche poussant le reste de merde au fond de son gosier et je m’enfonce jusqu’à ce qu’elle tente de s’échapper. Je me retire et elle vomit, son Rimmel a coulé, elle est pleine de merde et du reste de son repas, se penche sur le côté et dégueule encore.
Je la tourne sans ménagement tandis qu’elle est toujours prises de hoquets et lâche les reste du dîner par terre, je lui écarte les fesses et enfile trois doigts dans son cul, elle se contracte et se relâche sans cesse. Je retire ma main puis en force j’appuis du poing sur son anus qui cède tandis qu’elle hurle. J’ai la main dans son cul et je force jusqu’à la moitié de l’avant bras. D’un seul coup je m’extirpe de son fion, la merde dégueule … Tant mieux ce sera lubrifié, j’en remets un coup presque jusqu’au coude, elle s’effondre, elle n’en peu plus est parcourue de spasmes, je sens son anus se contracter et son plaisir gicler sous mon bras.
Putain, qu’elle salope !
Il faut que je me vide, comme elle est quasi inerte, je me branle entre ses pieds, je sens que le point de non retour arrive, je remonte vers son visage, elle est attendrissante, la joue posée bien à plat, je mets mon gland contre son oreille et explose une dose dans son conduit auditif.
‘ La prochaine fois, p’tote fille, je te crève un oeil pour baiser ton orbite!‘.
Elle a rien compris, se glisse un doigt dans l’oreille pleine de sperme et lèche ses doigts.
Elle conclue : ‘ Fabulous ! ‘.
Je suis debout je lui balance ses fringues en lui disant de se casser.
J’ai beaucoup besoin de me reposer.
Au matin, Jack me demande comment je vais … Je lui dit que je suis HS. Ben je dormirai dans la voiture puisqu’il ne veut pas me foutre la paix.
Karen est devenue mon attitrée à Detroit.
J’ai ensuite passé trois semaines à Chicago, une à San Francisco, deux à Dallas Fort Worth et une semaine à Washington DC.
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