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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Famille, je vous aime !

Chapitre 2

Orgie / Partouze
Chapitre 2 : grands-parents
Toute la famille s’est réunie chez les grands-parents pour fêter leur anniversaire de mariage.(voir le chapitre précédent)
Les grands-parents qui n’étaient plus habitués à tout ce remue-ménage, étaient montés se coucher les premiers, Ils étaient au lit et avaient pris chacun, un livre. Ils lisaient depuis un certain temps lorsque leur attention fut retenue par les ébats et soupirs qui venaient de la chambre d’à côté, occupée par leur fils Eric et sa femme Sylvie. Quant à leur fille Annie ainsi que leurs petits enfants, Béatrice et Marc, ils étaient au second étage.
— Juliette, tu entends ? Ils n’ont pas l’air de s’embêter nos jeunes, je ne sais pas mais ça a l’air d’être chaud ! Tu l’entends beugler la Sylvie ? Qu’est-ce qu’il doit lui mettre, notre Eric ! Qu’en penses-tu ma chérie ?— Arrête, tu as les idées mal placées et puis c’est encore de leur âge !— Peut-être, mais ça ne me laisse de marbre ! Puutain, je bande. T’as pas envie ?
Elle lui tournait le dos. Il se colla contre elle pour qu’elle sente son sexe en érection. Il la caressa par dessus la chemise de nuit et l’embrassa dans le cou.
— Allons Pierre, qu’est ce qui te prend ? Tu es fou ! Tu ne crois pas que tu exagères ?
Encouragé à poursuivre par ce consentement déguisé, il glissa sa main le long de ses jambes, lui caressa les mollets, remonta sur ses cuisses qu’il écarta, faisant glisser la chemise de nuit sur le ventre. Il plaqua alors une main sur sa chatte et de l’autre, empoigna un sein qu’il commença à peloter, faisant rouler entre le pouce et l’index, le bout qui durcissait déjà. Juliette ne disait rien, ne se défendait pas. Sa respiration s’accélérait. Il poursuivit alors l’exploration de cette chatte qu’il aimait toujours autant. Il y fit pénétrer ses doigts et il la branla doucement, écartant bien les petites lèvres, pour exciter le clitoris. Juliette tressaillait au contact de ces doigts qui la masturbaient de plus en plus vite. Elle fondait littéralement et sentait son jus de femelle ruisseler dans sa fente.
— Salope ! ?a n’as pas l’air de te déplaire ! Tu mouilles ! Putain, j’ai envie de toi, tu me fais bander, j’ai la queue qui va éclater ! Tiens touche-moi, tu verras.
Elle passa sa main sur le ventre de son mari et saisit la bite qu’elle serra dans ses doigts.
— Mais c’est vrai, t’ es tout excité mon salaud ! Rassure-toi, t’es pas le seul, je mouille comme une folle ! Tu vas pouvoir te régaler, mon cochon !
Sa chemise, retroussée jusqu’aux aisselles, elle colla son dos contre le ventre de son mari, souleva une jambe et, impudique, frotta sa chatte et la raie de son cul avec le gland. Enfin, elle se retourna pour lui faire face. Elle serait plus à l’aise pour se faire mettre. Elle écarta elle-même son sexe pour le caresser avec la bite qu’elle introduisit ensuite dans sa chatte. Pierre glissa une main sous ses fesses et de son majeur, lui branla le petit trou, lui aussi détrempé. Il introduisit son doigt délicatement sans rencontrer la moindre résistance au passage du sphincter. L’habitude, sûrement ! Ca suintait de partout. Juliette avait toujours été une rapide !
— Putain que j’aime ça ! Je sens le bout de ma queue dans ta chatte, à travers ton cul. C’est bon de te bourrer des deux côtés. Dis le que tu aimes, vieille cochonne ! Attends, je vais te mettre deux doigts et te les faire sucer que tu retrouves ton odeur. Tiens, tu sens ? Suce !

Il lui fourra les doigts dans la bouche. Elle les suça comme elle le faisait de sa bite. Il se remit à l’enculer mais avec trois doigts maintenant, alors qu’elle faisait entrer et sortir le gland de sa chatte, se masturbant le clitoris au passage.
Ils se dégagèrent des draps et finirent de se dévêtir, subitement pris d’une envie folle de jouir.
Juliette avait su rester belle avec l’âge. Ses cheveux bruns étaient coupés courts, à la garçonne. Elle était moyennement grande et mince, presque maigrichonne. Sa poitrine, haut placée, était petite, un peu comme celle d’une adolescente. Ses seins étaient pointus, le mamelon très foncé et proéminent. Sur son ventre plat, seule la peau, avec le temps, s’était détendue et fripée, elle se plissait. Ses hanches étaient saillantes. De face, c’est son pubis, très proéminent, qui attirait l’oeil,. Les replis des petites lèvres sortaient et pendaient, ornées de deux petits anneaux. Sur le pubis bombé, quelques poils grisonnants, coiffaient la longue fente de son sexe sur le bas ventre. Vu de dos, ses fesses étaient celles d’un garçon, haut perchées, peut-être en moins serrées ; Elles donnaient envie qu’on les écarte encore davantage. Le trou de son cul, brun foncé, était relâché et enfoncé. Ses cuisses disjointes paraissaient presque maigres, les mollets bien formés mais un peu flasques. Pierre, en regardant, ses grands yeux qui lui mangeaient le visage, avait toujours pensé à une enfant grandie trop vite, avec ce petit air vicieux de gamine qui, très jeune, a connu la queue.
Lui, au contraire était assez corpulent et avait de l’embonpoint. Son bas ventre retombait. Sa bite plutôt grosse et courte, s’appuyait sur de grosses couilles. Deux belles boules ? bien pendantes ? et séparées, un peu comme celles d’un taureau.
Il descendit dans le lit et entreprit de la satisfaire avec sa langue. Il aimait enfouir son nez entre ses cuisses et sucer sa chatte, faire courir sa langue dans la fente, aspirer les petites lèvres, téter le clitoris puis descendre vers l’anus pour le défoncer du bout de sa langue. Celui-ci était parfaitement dessiné et strié. Depuis longtemps déjà, il ne se refermait plus complètement. Il faut dire qu’il avait été tant de fois défoncé ! Et pas que par une bite ! Juliette raffolait des bonnes doubles pénétrations anales ! Et putain, qu’est-ce qu’elle sentait bon, cette salope ! Cette odeur forte de chienne en chaleur l’enivrait. Pierre fouissait dans cet entre-cuisses comme un enragé, le visage enduit de ce mélange de mouille, de salive et de sueur. Un vrai bonheur !
Elle se mit à quatre pattes, cuisses écartées, le nez dans le drap, reins creusés comme chez le proctologue pour un examen rectal. Elle pointait son cul, prête à subir ce qu’elle savait être un de ses plaisirs favoris. Se faire bourrer le cul !Mais lui voulait encore davantage. Il prit dans le tiroir de la table de nuit un tube de gel lubrifiant et commença par en faire couler une ou deux gouttes sur la rondelle qu’il commença à masser, en tournant autour puis de plus en plus profondément. Elle comprit ce qui l’attendait.
— Enlève ta montre, sinon, tu vas encore pas me déchirer le fion !

Il s’exécuta. L’anus était maintenant carrément ouvert, un cratère rouge sang surplombant un gouffre brun foncé. Il ne put résister à l’envie d’y foutre son nez puis sa langue. Mon Dieu ! Ce parfum ! Il enduisit sa main de gel et entreprit de faire pénétrer deux puis trois doigts dans le rectum. Juliette gémit un peu mais se laissa faire. Il massa l’intérieur pour bien le distendre et fit pénétrer le quatrième doigt puis inséra enfin le pouce qu’il avait replié sous les autres. Il poussa doucement enfonçant chaque fois davantage jusqu’à ce que l’anus cédat au passage de son poing. Toute la main, jusqu’au poignet, était maintenant dans de cul de Juliette. Il resta immobile un instant, le temps que sa femme se décontracte, puis fit aller et venir sa main, la ressortant presque entièrement à chaque fois, de manière à retrousser le sphincter. A chaque passage, Juliette couinait de bonheur. Le jus de son cul coulait de son anus, elle mouillait autant que par devant. Elle aimait cela. Elle était une grosse vache à l’insémination !
— Ca y est chérie, tu sens bien tout ? T’es bien bourrée ? Madame est satisfaite ?— Oui, continue, encore, encore, enfonce !
Il poussa encore plus au fond. De l’autre main il lui touchait le ventre gonflé par ce poing qui lui barattait le cul.
— Si tu pouvais voir ton trou du cul ! On pourrait y faire entrer une bite de cheval maintenant. T’es vraiment qu’une grosse salope. Et puis, cette position à quatre pattes, c’est vraiment bestial ! C’est ça, on est comme des bêtes ! On léchera ma main tous les deux tout à l’heure. Dis-moi, t’es pas lavée depuis ce matin. Putain, c’est dégueulasse. Ca va sentir bon !— Tu sais bien que c’est comme ça que tu l’aimes mon cul, espèce de vicelard !
Il retira son poing gluant de jute. Fasciné, il regarda l’énorme trou béant qui lentement se refermait. Une grotte ! Puis il prit Juliette dans ses bras et l’embrassa. Ils léchèrent soigneusement la main gluante qui sentait effectivement fort, suçant chaque doigt soigneusement, langues mêlées. Un vrai régal !
— Oh, chérie, je t’aime comme un dingue ! T’as pas eu mal ? Mais j’aime tellement le défoncer ton trou !— Je sais, t’es toujours le même gros cochon, mais moi aussi j’adore ! Il me semble que je pourrais engouffrer n’importe quoi dans mon cul. J’aime me sentir comme une chienne en chaleur ! Et puis il y avait déjà quelques temps que tu m’avais oubliée. J’étais en manque !— Oui, t’as raison, t?es qu’une grosse truie. Et moi, ton gros verrat !
Elle se pelotonna amoureusement contre lui comme une gamine, satisfaite et comblée. Elle aimait l’entendre murmurer des cochonneries à son oreille. Le cinéma parlant, quoi !
Il était maintenant sur le dos, le sexe à moitié en érection reposant sur ses grosses couilles. Elle prit entre ses doigts le gland qu’elle décalotta en tirant bien sur le prépuce. Le filet était tendu. Elle pressa le bout pour ouvrir le méat et du bout de sa langue commença à le titiller. Elle le coinça alors entre ses lèvres et l’aspira comme si elle voulait le téter et déjà lui vider les couilles. De sa main elle serrait la hampe très fort, à la base. Quelques pressions et elle sentit le sang affluer. Cela l’émerveillait comme au premier jour. Voir gonfler ce sexe. C’était son oeuvre !Pierre, genoux relevés, cuisses écartées, s’offrait à son regard. Elle était obnubilée, comme dans un autre monde. Elle le branla de plus en plus vite, tirant sur la peau jusqu’à lui faire mal : elle trayait une vache !
— Maintenant à mon tour de m’amuser ! Tu vas voir, je vais te mettre la queue comme un chou-fleur.
Bien calée, le nez juste au-dessus de son cul, elle le masturba. Elle souleva la bite pour aller lécher les couilles et fit courir sa langue jusqu’à l’anus. Elle la pointa sur l’orifice et l’enfonça de plus en plus jusqu’à ce qu’elle pénètre à l’intérieur. Ah ! Ce petit goût aigrelet, ce petit fumet !
— Si j’avais une bite, je te prendrais comme un chien. Dis-moi que tu aimerais que je t’encule.— Oui, oui ma chérie, j’aimerais me faire mettre comme une femme.— Bon ça suffit, vieux sale, il faudra que je te dégotte un mec pour qu’il te ramone le fion ! Tu verras un peu ! En attendant, baise-moi maintenant, et fort !

Elle abandonna sa position, se coucha sur le côté, une jambe relevée et s’écarta elle-même les fesses pour qu’il la prît par derrière. Il se cala dans son dos et lui fourra directement la bite dans la chatte. Il la limait vigoureusement. Il entendait le clapotis de sa queue qui baignait dans le jus tellement elle mouillait. Il la ressortit et la fit glisser dans la raie de son cul, puis l’encula. Après quelques va et vient, il déchargea à l’intérieur de longues giclées de sperme. Juliette était transfigurée par le plaisir de cette saillie. Elle aussi venait de jouir. Elle resserra son cul autour de la bite pour la retenir et comme pour en extraire la dernière goutte.
— Oh ! Oui ma chérie, fais travailler ton anus sur mon gland. Ca le musclera ! Serre le cul et masse moi. Putain quelle branlette !

Ils restèrent enlacés, lui en elle, un long moment jusqu’à ce sa bite ramollisse et ressorte d’elle-même, gluante et poisseuse de ce cul, ou plutôt, de ce garage à bites.
— On est vraiment deux vieux sales, hein, mon chéri ? De vraies bêtes ! Tu crois que les autres sont comme nous ?— Rassure-toi, on est pas les seuls. Mais imagine ce que pourraient penser les enfants, s’ils nous voyaient !
Elle se dégagea et s’accroupit pour aller sucer encore une fois cette bite ramollie. Puis elle écrasa son gros cul sur la bouche de?Pierre.
— Tiens mon amour, regarde ton sperme qui coule de mon cul. T’as vu le paquet que tu m’as fourré. Putain ça me coule sur les cuisses. Qu’est ce que tu veux : me lécher ou bien venir me laver sur le bidet ?— Non, Non, surtout pas ! Tu gardes tout jusqu’à demain matin. Comme ça tu sentiras la femelle encore plus fort ! T’auras qu’à t’asseoir sur ma gueule pour me réveiller demain matin et on essaiera de recommencer !— Tu ne serais pas un peu présomptueux de tes forces. T’as plus vingt ans ! C’est plus facile d’ouvrir la bouche que de tendre le bras !

Sur cette sentence, tendrement enlacés, ils s’endormirent. Ils étaient beaux.

A suivre ... Chris
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