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Famille, je vous aime

Chapitre 6

La salle obscure

Inceste
Je pense souvent à Thomas, à cette mémorable soirée, la veille de son anniversaire. Je ressens encore en moi sa belle et longue verge, je ressens encore sa jouissance, dans ma bouche, et dans mon vagin... et cela me manque !Oh je ne reste pas pour autant inactive, enchaînant toujours les aventures ! Mais il n’empêche... c’est à la verge de mon petit frère à laquelle je pense.Et j’y pense même tellement que comme ce mardi je termine de bonne heure, je lui ai donné un rendez-vous, en début d’après-midi, pour aller au cinéma. Le nom du film que nous allons voir, euhhh... je ne m’en souviens pas ! Ce que je sais par contre c’est que pour cette séance de début d’après-midi la salle sera pratiquement vide et que nous serons tranquilles tous les deux.En sortant du travail je passe rapidement chez moi, me doucher, me changer. C’est à dire que je ne mets ni string ni soutien gorge... Il fait si chaud en ces premiers jours d’été !
Et je retrouve Thomas, sa bonne humeur, son sourire, le goût de ses lèvres qui éffleurent légèrement les miennes lorsque nous nous retrouvons. Nous sommes un peu en avance, et nous discutons tous les deux de choses et d’autres en attendant que la salle soit plongée dans le noir. En effet, il n’y a pas grand monde, et nous nous sommes installés au dernier rang. Les quatre ou cinq  rangs devant nous sont absolument vides.
Enfin, la lumière baisse doucement, nous plongeant maintenant dans l’obscurité. Lorsque le film commence, Thomas tourne la tête vers moi, me sourit. Je lui rends son sourire... et ma main vient se poser sur la bosse qui déforme déjà son short au niveau de son bas-ventre. Je le caresse longuement ainsi, à travers la double épaisseur du short et de son boxer. Je sens son sexe qui gonfle encore, qui se tend sous mes doigts. Thomas se tasse bien dans son fauteuil, jambes allongées, les cuisses bien écartées. Quand je juge que sa verge est à bonne dimension ma main s’insère dans son boxer. Son sexe est dans ma main. Ce contact l’électrise, je le sens qui se tend encore plus et je vois qu’il tente d’écarter ses cuisses le plus possible, pour que mes mains disposent de plus de place pour le caresser. Lestement je dégage son sexe. Je le sens tout dur, tout chaud. Je retrouve cette verge que j’aime. Ce n’est pas parce que c’est mon frère, mais... oui, il est vraiment bien « monté ! »Je pense qu’il aura beaucoup de succès auprès de le gent féminine... mais pour le moment c’est moi qui en profite. Et j’espère en profiter le plus longtemps possible, tout en sachant très bien que je le laisserai partir et vivre sa vie dès qu’il en éprouvera le besoin. Mais dans l’immédiat je veux vivre jusqu’au bout cette magnifique aventure avec Thomas, mon petit frère...  C’est une belle, une très belle histoire, entre un frère et une sœur qui ont toujours étés proches l’un de l’autre, qui se comprennent d’un regard, qui se comprennent à demi-mot.Dans le fond, notre histoire n’est pas une surprise, nous avons peut-être su tous les deux, inconsciemment chacun de nôtre côté que nous en passerions par là.
Et pour le moment le sexe de Thomas est entre mes mains, tout dur, bien tendu... comme je les aime ! Ma main le caresse encore un peu puis ma langue vient goûter à son gland. Elle en fait plusieurs fois le tour, provoquant chez lui une respiration un peu plus saccadée, quelques gémissements de plaisir. Mes lèvres se referment enfin dessus, descendent le long de la hampe et son gland vient frapper ma gorge; je répète plusieurs fois les mêmes mouvements, m’interrompant parfois pour venir aussi lècher ses bourses. Je les sens bien dures, toutes pleines du plaisir qui va bientôt couler en moi. De nouveau quelques rapides coups de langue sur son gland, et je le reprends en bouche. Il pose sa main sur mes cheveux, je sens ses doigts qui se contractent sur ma nuque... 
C’est fou la quantité de sperme qu’il peut me donner !
Je continue de la caresser encore un moment, nettoyant son sexe, avalant bien les dernières gouttes de son nectar. Et puis je remets en place son boxer et son short.Il me prend par la main, nos doigts se croisent. Ma bouche se penche vers lui, cherche la sienne. Nous échangeons un tendre et langoureux baiser.Nous restons un moment main dans la main, à regarder sans les comprendre les images qui défilent devant nous. Et puis les doigts de Thomas se séparent des miens et je les sens bientôt sur l’un de mes genoux. Lentement ils remontent la face intérieure de mes cuisses. C’est à mon tour de m’assoir confortablement, d’écarter les cuisses pour mieux apprécier les caresses de mon petit frère. Sa main est tout en haut, je sens son majeur sur ma vulve. Il me regarde alors en souriant : il vient de se rendre compte que j’étais nue sous ma jupe !
Sa main caresse ma fente, qui ne tarde pas à devenir toute humide. Mes grandes lèvres s’écartent d’elles mêmes et je sens deux doigts qui viennent me fouiller. Il va et vient en moi, longtemps, me laissant plus mouillée et pantelante de plaisir à chaque mouvement. Il ressort un instant ses doigts de mon minou pour me les faire lécher, avant de les réintroduire en moi, de plus en plus loin. Cette fois, en même temps son pouce appuie légèrement sur mon clitoris. C’en est trop, je sens que je vais partir. Je porte une de ma main à ma bouche et la mords vigoureusement pour ne pas crier mon plaisir. En même temps je sens un grand jet de cyprine qui arrose mes cuisses. Thomas retire sa main, me regarde.
" Ici je ne peux faire plus... mais... on finira chez toi ma sœur bien aimée... "
Pressés tous les deux par le même désir, nous nous levons en même temps... nous avons déjà loupé plus de la moitié du film, alors inutile d’en attendre la fin... et nous sommes si impatients...En arrivant chez moi, je lui demande s’il désire boire quelque chose...

" Oui... mais quelque chose de très, très intime... "
Il n’est pas long à me déshabiller, me demandant de m’assoir ensuite sur le canapé. Il se met alors à genoux devant moi, m’écartant bien les cuisses de ses mains. Aussitôt je sens la chaleur de son souffle sur mon intimité. Mes lèvres s’ouvrent, sa langue me pénètre et je ne tarde pas à sentir le plaisir qui monte en moi. Je place mes deux mains derrière sa nuque, le colle bien à ma vulve que je sens de plus en plus dégoulinante...

" Ah Thomas... Thomas..."

Je ne peux plus rien dire et je jouis à grands cris, laissant échapper un grand jet de cyprine dont il se délecte. Il m’allonge ensuite sur le canapé, vient sur moi, je sens son sexe tout dur qui frotte le mien. Il me pénètre avec douceur, ses mains caressant les pointes de mes seins, sa langue venant trouver amoureusement la mienne. Il reste un moment au fond de moi, sans bouger, avant de commencer à aller et venir en moi, d’abord doucement avant d’amplifier ses mouvements. Mes mains sont sur ses fesses, et j’appuie bien dessus quand je le sens au fond de mon vagin. J’ai envie qu’il me pénètre encore et encore, je voudrais que la course de son bélier en moi soit infinie...
Il me fait jouir une nouvelle fois mais lui se contient et je ne sens pas son sperme couler en moi. Une fois mon orgasme passé je le regarde dans les yeux...

" Thomas... j’ai aussi envie de t’offrir autre chose aujourd’hui... viens, prend ma place sur le canapé. "
Il s’allonge à son tour. Son sexe est tout tendu. Je place mon anus juste au dessus, avant de doucement le laisser me pénétrer... J’offre ainsi à mon frère sa première sodomie.. Tout excité qu’il est d’avoir déjà possédé mon minou, il n’est pas long à venir et je pars dans un nouvel orgasme lorsque je sens son sperme qui m’inonde.
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