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Famille, je vous aime

Chapitre 7

Une visite surprise

Inceste
J’étais seule chez moi en ce début de samedi après-midi. Je devais sortir avec des copines en fin de journée, mais là je n’avais rien à faire, et je m’ennuyais, zappant devant la télévision, sans trouver quelque chose qui pourrait m’intéresser. Comme toujours en de tels moments, je savais que cela se terminerait par une bonne séance de plaisir solitaire, et j’allais à la table de nuit de ma chambre prendre mon gode préféré avant de me réinstaller sur le canapé, devant la télé. Ma main commençait à caresser doucement mes seins, lorsque j’entendis la sonnette de la porte d’entrée retentir. Comme je n’attendais personne j’étais en tenue un peu négligée, mais cependant présentable, et j’allais ouvrir la porte.
— " Maman ! Quelle surprise ! "
— "Oui... bonjour ma petite fille... Tu vas bien Bénédicte ? "
Elle déposait deux baisers sur mes joues.
— "Oui, ça va... et toi ? "
— " Bien, bien... J’ai déjà pris mon café, mais... tu en veux un ? "
— " Non merci, pas à cette heure, cela m’empêcherait de dormir cette nuit ! "
— " Vas-y maman, rentre, viens t’assoir sur le canapé. "
C’est à cet instant que je vis avec stupeur que mon gode était resté sur le canapé. J’y précédais maman et essayais de le cacher précipitamment sous des coussins ;Elle s’était assise, semblant ne rien avoir remarqué.
— " Tu regardais quoi ? "
— " Rien de spécial, j’allais de chaîne en chaîne, sans trouver quelque chose d’intéressant. "
Je baissais le son, que nous puissions bavarder toutes les deux sans être obligées de parler trop fort. Nous commençâmes à parler, mais elle d’habitude si volubile, je la trouvais un peu gênée, elle avait du mal à garder le même sujet, laissait des espaces entre ses mots, entre ses phrases... pas du tout son genre ! Je la laissais parler un moment puis, comme le silence semblait s’installer...
— " Je suis contente que tu sois venue maman, je suis contente de te voir... mais je suis certaine que tu n’es pas venue jusque chez moi pour me parler uniquement de la pluie et du beau temps... "
Je lui pris la main ;
— " Qu’est-ce qu’il y a maman ? "
Je la regardais dans les yeux, et je vis ses joues prendre des couleurs...
— " Et bien, c’est à dire... "
Elle baissa la tête, prit une profonde inspiration...
— " Bénédicte... J’ai appris, pour toi et ton grand père... "
C’est certain, j’espérais que cela n’arrive pas jusqu’à ses oreilles ; mais cela ne me gênait pas spécialement. J’assumais pleinement mes choix et mes actes, et il y avait belle lurette que ma réputation était faite. Et puis, maman avait dit cela d’un ton assez léger ; c’était tout sauf un reproche D’ailleurs elle n’ajouta qu’un seul commentaire :
— "J’espère qu’au moins... vous faites attention ! "
— " Bien sûr maman, ne t’inquiète pas ! Nous sommes deux adultes très au courant des choses de la vie et nous prenons toutes les précautions possibles. "
— " Ton frère lui par contre n’est pas au courant de, comme tu dis, toutes les choses de la vie... "
— " Ah... parce que tu sais aussi, pour Thomas ? "
— " Oui, je sais aussi ! Tout comme je sais également que tu ne recules pas, lorsque l’occasion se présente, à avoir des rapports... lesbiens ! "
Elle avait dit tout cela d’une seule traite, et elle semblait maintenant soulagée ; ses joues pâles recommençaient d’ailleurs à reprendre un peu de couleurs.
" Tu sais maman que j’ai toujours eu un grand besoin de sexe, un grand besoin de faire l’amour, un grand besoin d’éprouver le plus de plaisir possible ! Avec Gran’Pa  tu sais que nous avons toujours été proches l’un de l’autre, et que notre entente a toujours été parfaite, depuis mon plus jeune âge. Entre nous deux, tout est venu tout naturellement, à force de m’occuper de lui, de lui faire sa toilette, de l’emmener, nu, sous la douche. Obligatoirement, si je désirais bien le laver j’étais obligée de prendre son sexe en main. Un sexe qui, je te prie de le croire, malgré son âge se porte encore à merveille ! Et je n’ai pas pu résister à cet appel. Et comme je me doutais qu’il ne devait plus avoir de rapports avec des femmes, j’ai eu envie qu’il connaisse encore le plaisir. Et crois-moi, je ne regrette rien tellement il me procure encore de fabuleux orgasmes !
Avec Thomas, c’est différent. Depuis qu’il est adolescent il me confie toutes ses aventures, mais me parle aussi de toutes ses interrogations . Et comme il se posait beaucoup de questions, je me suis un jour retrouvée nue devant lui pour lui enseigner comment était fait le corps d’une femme. Quant à nos premiers rapports, ils ne datent pas tellement. Cela remonte à l’anniversaire de ses 18 ans. Ce soir là comme je prenais ma douche il est venu dans la salle de bain, et m’a « emprunté » mon string. Ne le trouvant pas, je me suis rendue sans faire de bruit dans sa chambre, et je l’ai touvé en train de se masturber, en reniflant l’odeur de mon sous-vêtement... Quand j’ai été le retrouver après le dîner, il avait encore son pénis, bien bandé, dans sa main. Et il m’a avoué avec un tel sentiment de détresse qu’il était encore puceau que cela a fait naître en moi l’envie de me donner à lui pour ses 18 ans. Mais notre relation est avant tout basée sur la camaraderie, et je le laisse entièrement libre de ses actes et de ses choix. Pour le moment il a encore beaucoup de choses à apprendre et il a besoin de moi. Mais je sais -nous savons tous les deux- que cette aventure n’est pas faite pour durer dans le temps. "
Elle m’avait laissée parler, sans m’interrompre, en me regardant, en me souriant, en me caressant la main. Mais elle prit bientôt à son tour la parole.
— " Tu sais, je peux te dire que cela ne me dérange pas. Je connais ta soif de plaisir, mais aussi ton besoin de donner du plaisir. Avec ton frère, cela m’a un peu surprise, au début, mais en y réfléchissant je me suis fait à cette idée. Je te fais confiance Bénédicte, je sais qu’avec toi Thomas est entre de bonnes mains, et qu’il ne pouvait pas mieux tomber pour faire sa découverte du monde de la sexualité. Et puis... vous êtes si beaux, tous les deux ! Je suis certaine que quelque part, cette liaison était programmée, depuis très longtemps !Quant à ton grand père... je t’envie Bénédicte ! "
— " Tu m’envies... tu veux dire que... toi aussi, à mon âge... "
— " Oui, moi aussi, avec mon grand-père. Quand j’y repense, je suis certaine qu’il ne désirait que cela. Mais l’époque était différente, les meurs étaient bien différents de ce qu’ils sont maintenant. Et je n’ai pas osé franchir ce pas. Et maintenant, je le regrette ! Oui, après le décès de ma grand mère, je crois que j’aurais beaucoup aimé donner du plaisir à ton arrière grand-père ! "
Je la regardais différemment. Ainsi, elle aussi, avait été attirée par une relation incestueuse, et il n’aurait pas fallut grand chose pour qu’elle s’y adonne.Je trouvais ce côté inconnu de maman fort sympathique !
" Et maintenant... avec Gran’Pa... cela ne te tente pas ? C’est encore... « un bon coup », tu sais... "
— " Non, pas avec mon père. Cela, je ne pourrais pas, j’aurais trop l’impression de tromper et ton père et ta grand mère. "
Elle me prit alors la main entre les deux siennes.
— " D ’ailleurs... ma petite fille... je voudrais que tu me promettes de ne pas avoir d’aventure avec ton père. "Je lui avouais que cela ne m’était jamais venu à l’esprit, et qu’elle pouvait être tranquille de ce côté.Elle avait gardé ma main entre les siennes, elle me la caresait, doucement, tendrement. Elle leva son regard sur moi et je vis ses joues devenir un peu plus rouges.
— "Et, dis-moi... tu as aussi des aventures... avec des femmes... "
— "Oui, c’est vrai, j’aime aussi donner et recevoir du plaisir avec une femme ; J’ai gardé d’excellents contacts avec quelques unes de mes amies du lycée, et je passe parfois la nuit avec l’une d’entre elles.  Et puis aussi avec mes collègues du travail, ainsi qu’avec ma chef de service. "
— " Et... c’est bon de caresser une femme ? "
Elle tenait toujours ma main dans les siennes, et s’était rapprochée de moi.
— " Tu sais, avec ton père... ce n’est plus extraordinaire sur ce plan la ! Non pas que nous ne nous aimions plus, bien au contraire ! Mais physiquement il est bien diminué, et je crois qu’il a un peu perdu l’envie de faire l’amour... ce qui n’est pas mon cas... au contraire je crois ! Mais, même si cela ne prête pas à conséquence, je ne veux pas le tromper ; Par contre...Par contre, oui, Bénédicte... je crois que j’aimerais beaucoup faire l’amour avec une femme... et... avec toi... cela ne sortirait pas de la famille... je n’aurais vraiment pas l’impression d’être infidèle à ton père ! "
Elle avait dit cela d’une toute petite voix, elle me regardait avec un regard implorant, et je voyais ses yeux qui devenaient humides.
— " Maman... oui, pour toi, si tu le veux... je peux être ton amante... et, tu verras... c’est aussi très bon avec une femme. Différent d’avec un homme, mais il y a aussi de très grands momenrs de plaisir. "
Nous étions serrées l’une contre l’autre, nos lèvres semblaient être attirées les unes vers les autres. Je posais enfin les miennes sur les siennes et nos langues se trouvèrent pour un somptueux ballet, très doux, très possessif et très romantique. Il me sembla durer une éternité.
— " Laisse toi faire maman... laisse moi prendre l’initiative ! Tu verras ! On va passer un super moment toutes les deux ! "
En lui parlant je caressais doucement son visage, ses cheveux, mes yeux fixés sur les siens. Elle avait ravalé ses larmes, et maintenant ses grands yeux noirs me souriaient, en attendant la suite.Mes yeux toujours plantés dans les siens, je défis lentement les boutons de son chemisier Son soutien gorge en fine dentelle blanche fut bientôt devant moi. Elle avait encore une belle poitrine et lorsque je le lui enlevais je pus constater qu’elle était encore assez ferme et se tenait encore bien. Ses aréoles, très foncées, étaient également très larges, très dévelopées. Je caressais doucement la pointe de ses seins, et je les sentis rapidement durcir entre mes doigts.Maman ne disait rien mais je sentais et j’entendais sa respiration qui devenait de plus en plus saccadée. Mes lèvres et ma langue remplacèrent bientôt mes mains sur sa poitrine. Elle avait fermé les yeux, et se tortillait de plus en plus sur le canapé, commençant à gémir. Elle se laissait complètement faire, s’étant entièrement abandonnée à mes caresses. Ma main descendait le long de son ventre, passait sous l’élastique de sa petite culotte. Elle leva le bassin vers moi pour que je la fasse glisser le long de ses jambes.

Elle était nue devant moi !

Sa toison était abondante, mais bien entretenue, bien découpée. Mes doigts jouaient légèrement avec ses poils bouclés. Je la sentais qui se tordait, qui gémissait de plus en plus fort. Ma main caressait sa fente, ses lèvres intimes s’écartaient toutes seules et mes doigts commencèrent à la fouiller, s’enfonçant facilement tant sa cyprine devenait abondante.
— " Oui... oui ma chérie... continue... oui, tu avais raison... ouiiii... c’est trop bon ! "
Lorsque mes lèvres se posèrent sur son petit bouton elle fut emportée par un orgasme ravageur.Quand elle reprit ses esprits je l’entendis me dire :
— "Ma chérie... quand je suis arrivée... j’ai vu que tu cachais quelque chose sous les coussins du canapé... "
— " Ah oui... mon gode... "
— " Oui... c’est ça... je voudrais que tu t’en serves avec moi ! "
Je le récupérais, commençais à le passer le long de sa fente, commençais à la pénétrer. Et puis une idée me vint...
— " Attends ma petite maman... j’en ai un autre... qui sera beaucoup mieux, pour nous deux. "
Du tiroir de ma table de nuit je sortis un gode ceinture qui comprenait deux beaux pénis.
— " Regarde maman... je vais en mettre un en moi... et je te prendrais avec l’autre... ainsi nous nous prendrons toutes les deux en même temps. "
Je fis pénètrer une des deux verges en moi, bouclais la ceinture... et doucement je pénétrais maman. D’abord doucement, pour qu’elle s’habitue bien, et puis j’augmentais la cadence.Je sentais avec un grand plaisir sa poitrine contre la mienne, ses jambes qu’elle venait croiser autour de moi.Dans un grand cri nous arrivâmes ensemble à l’orgasme. 

***** FIN DE "FAMILLE, JE VOUS AIME" *****
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