Ce soir c’est l’anniversaire de Fanny et j’ai décidé de lui faire un cadeau « spécial ». Je lui ai demandé de se faire belle et que je l’emmènerai à la nuit tombée chercher sa surprise « érotique »… Je lui fais ôter tout ses vêtements, et lui dis d’enfiler son manteau de fourrure par-dessus, comme unique tenue. Elle refuse mais j’insiste fermement et elle finit par accepter en se faisant prier. Nous montons en voiture, elle s’assoit à l’arrière après que je lui ai posé un bandeau sur les yeux. Nous roulons jusqu’au lieu que j’ai prévu, je m’arrête devant une maison à étage, des hommes sont là et nous attendent. Je descends et ouvre la porte à Fanny, je lui tiens la main car elle ne voit rien avec son bandeau… Je l’entraine jusqu’à la pièce située à l’étage. Nous devons passer par un escalier dans lequel des hommes attendent debout, et discutent entre eux à voix basse. Les marches sont hautes et chaque pas l’oblige à lever haut la jambe, le bas de son manteau de fourrure s’écarte à chaque pas et laisse deviner sa toison impeccablement entretenue. Elle est obligée de frôler les hommes, qui ne font rien pour lui faciliter le passage et l’obligent à se frotter contre eux! Nous arrivons dans la pièce, immense, avec comme seuls meubles un très grand lit et des fauteuils installés autour… Les hommes qui attendaient dehors entrent à leur tour dans la pièce, se déshabillent et se disposent en cercle autour du lit. Je sors mon caméscope, le mets en marche et celui qui semble être le meneur vient devant ma femme, dont je me suis légèrement écarté. Il en fait le tour, l’inspecte et revient se poster devant elle. Il défait les boutons un à un et écarte les pans du manteau de fourrure pour découvrir la poitrine de Fanny, dont le visage est rouge de honte et d’émotion. Elle sent qu’elle est tombée dans un guet-apens mais elle ne peut plus reculer. Il enlève doucement le manteau et le laisse tomber par terre. Elle essaie de cacher maladroitement sa poitrine et sa chatte mais l’homme lui prend les poignets et les lui maintient fermement croisés dans le dos. Son cœur bat la chamade, ses seins dénudés et exposés à la vue de tous pointent effrontément. Maintenant chacun peut également admirer sa chatte soigneusement taillée en ticket brésilien. La plupart des hommes bandent déjà et certains se caressent doucement. J’avais « fait mon marché » pour les choisir et j’avais pris un peu de tout : jeune, vieux, blanc, noir, arabes, ce qui donnait toutes les sortes de queues possibles en tailles, formes, et couleurs. Le « chef » lui pose les mains sur les seins et caresse doucement les tétons plus tendus que jamais. La poitrine de Fanny se soulève rapidement et régulièrement, au rythme de sa respiration. Une main de l’inconnu malaxe avec douceur les seins de ma femme tandis que l’autre descend maintenant vers son ventre, et après en avoir fait le tour plusieurs fois, continue sa route vers le pubis. Elle a chaud et ses joues sont rouges de confusion et d’excitation mêlées. Les doigts de l’homme jouent tranquillement avec sa toison puis avec ses grandes lèvres. Il continue plus bas et enfonce un doigt inquisiteur entre les lèvres humides. Les cuisses de Fanny sont serrées et le gênent dans son exploration. Il lui fait écarter légèrement les jambes et reprend son travail là où il en était. Il lui libère une main et la pose sur son pénis fièrement dressé. Elle reste ainsi, la main autour de cette queue inconnue et ne bouge pas, tétanisée. Il lui prend à nouveau la main et la fait monter et descendre le long de sa verge gonflée pour lui indiquer qu’elle doit le caresser, ce qu’elle fait mécaniquement. Les doigts de l’inconnu fouillent toujours Fanny et semblent lui faire de l’effet car sa chatte émets par moment des bruits qui ne trompent pas sur le taux d’humidité de son intimité… La main de ma femme est enroulée autour de la queue et la caresse fébrilement, n‘hésitant pas à la lâcher pour soupeser les bourses bien pleines et à tirer sur la peau pour la décalotter. Quand l’homme estime qu’elle est prête, il la prend par la main et la fait s’allonger sur le dos, bras et jambes en croix. Il fait un signe et les autres hommes s’approchent et commencent à leur tour à explorer avidement le corps offert de ma femme. Chacun caresse la partie qui est devant lui, qui un sein, qui une cuisse, qui un ventre, qui une chatte…Elle résiste un peu puis s’abandonne rapidement à leur curiosité perverse. L’un des hommes semble très jeune, 16 ans maxi, sa présence est sans doute un « cadeau » de son père car il a une certaine ressemblance avec celui qui dirige la cérémonie, et il est presque aussi bien membré, ca promet… Le « chef » désigne au jeune l’entrejambes de ma femme et lui dit « lèche la !». Le gamin se penche vers elle et colle sa bouche sur la chatte. Il active sa langue, maladroitement, sans ménagement. Fanny essaie de se dérober mais les autres hommes lui maintiennent les jambes grandes ouvertes, l’intérieur de sa chatte bien visible et offert au gamin. Elle se tortille sur le lit, la langue du jeune finit par l’émoustiller malgré elle. Le chef interrompt leur jeu au bout de quelques minutes et relève les jambes de Fanny, les replie sur sa poitrine pour bien dégager la vulve, et invite le jeune garçon à la pénétrer. Il semble intimidé et maladroit, mais présente fièrement sa queue bien tendue à l’entrée de la chatte de Fanny et s’enfonce sans rencontrer de résistance. Il entame rapidement des va et viens fougueux pendant que les autres hommes tiennent les cuisses de Fanny relevées, et que d’autres encore lui caressent les seins. Les mains de Fanny bougent et finissent par rencontrer des queues tendues sur leur passage, queues dont elle s’empare fermement, comme pour s’y agripper… Elle ne se gêne pas pour les caresser, maintenant qu’elle est en train de se faire baiser par des inconnus la retenue n’est plus de mise. Le jeune accélère ses mouvements et Fanny commence à éprouver du plaisir et laisse échapper des soupirs espacés. Le chef en profite pour introduire un doigt inquisiteur dans l’anus de ma femme, et après en avoir fouillé consciencieusement chaque recoin, décide que le gamin ne doit pas jouir comme ca. Il le coupe dans son élan afin qu’il ne perde pas de sa vigueur en déchargeant trop vite. Il le fait se reculer, et positionne Fanny à genoux, penchée en avant. Il fait signe au jeune de s’approcher à nouveau, et après avoir déposé une noix de lubrifiant sur l’anus de Fanny, s’empare de la jeune verge, la présente devant la rondelle qu’il a préparée juste avant avec son doigt curieux, et appuie fermement. Fanny tente de se dérober mais les hommes la tiennent à nouveau. Le jeune appuie avec sa queue et tente d’enfoncer son gland dans l’anus de Fanny. Elle crie et serre son orifice tant qu’elle le peut, mais il continue à tenter de forcer le passage étroit. Sur l’ordre du chef, il appuie encore et lorsque Fanny n’a plus la force de résister à la vigueur du pieu de chair qui veut la pénétrer, le garçon réussi à enfoncer son gland en entier. Fanny remue toujours et supplie qu’on arrête mais elle ne peut pas s’échapper, les hommes la tiennent et le garçon est maintenant solidement enfoncé dans son cul… Elle continue à serrer tant qu’elle peut mais trop tard, le plus gros est passé, elle sait que le reste va suivre qu’elle le veuille ou non… Ses muscles qui resserrent son orifice ne font qu’augmenter les sensations du jeune qui est en train de l’empaler et qui ressent avec plaisir l’anus de ma femme enserrer sa queue, comme pour l’empêcher de la retirer … Il pousse à nouveau et à chaque coup de rein son pénis s’enfonce un peu plus dans l’étroit et délicieux fourreau. Il est rapidement au fond, complètement emmanché, les couilles collées contres les fesses de ma femme dont la rondelle a cédé malgré elle. Il peut maintenant savourer sa « victoire » et donner de vigoureux coups de boutoir, ce qui arrache des gémissements à la femelle qu’on vient de lui offrir de la plus belle manière qui soit … Il n’a pas le temps de profiter de sa chance et ne peut se retenir plus longtemps, il se lâche et se vide bruyamment dans le cul de Fanny, qui pousse un gémissement de plaisir à chaque giclée chaude qu’elle ressent au plus profond de son corps. Elle n’imagine pas un seul instant que c’est un gamin qui est en train de l’enculer en public et de la faire jouir ! Le jeune se retire, sa queue est toujours raide et fini de gicler quelques gouttes sur les reins de ma femme. Aussitôt un autre homme, excité par ce spectacle, décide de profiter de la place encore chaude… Sa queue n’est pas un peu moins grosse que celle du garçon, mais elle est nettement plus longue ! Il place son gland contre l’anus de Fanny, qui reprend à peine son souffle, toujours solidement maintenue en place par les futurs candidats, et l’enfonce doucement. Il n’a pas besoin de beaucoup forcer, le terrain ayant été convenablement préparé par son jeune prédécesseur… Elle pousse un cri vite étouffé par la queue que l’un des hommes lui a introduit d’autorité dans la bouche. L’autre en profite pour continuer à enfiler son engin, centimètre par centimètre. Il semble prendre tout son temps et savourer pleinement son bonheur… Il finit par être complètement introduit dans la partie la plus intime de Fanny, sa queue étant plus large à la base lui a complètement dilaté l’anus. Pendant qu’il commence à effectuer des mouvements de piston, les autres ne restent pas inactifs et caressent chaque centimètre carré de la peau de Fanny. Des doigts jouent avec le bout de ses seins, s’introduisent dans sa fente trempée et la fouillent avec avidité jusque dans le moindre recoin. C’est un déluge de sensations, elle pousse des grognements de plus en plus violents et rapprochés, je ne sais pas si c’est de plaisir ou de douleur, ou des deux… Elle finit par laisser échapper la queue qui lui remplissait la bouche et l’homme qui est au bout en profite pour lui lâcher de grandes giclées sur le visage. Elle ne fait rien pour les éviter et malgré le bandeau qui lui cache les yeux elle parvient même à en recueillir un peu dans sa bouche, sans doute pour gouter… Son cavalier « arrière » accélère le rythme à sont tour et elle souffle plus fort, elle sent le plaisir monter malgré elle à la seule penser de cet homme en train de l’enculer devant des inconnus et qui va à son tour se vider dans son cul comme le précédent. Elle sent la queue devenir encore plus dure, signe qu’il va bientôt jouir, et cette seule pensée déclenche en elle un orgasme violent au moment où l’homme se vide au plus profond d’elle en poussant des cris d’animal à l’agonie... Il reste collé à elle quelques instants puis se retire, comme à regret. La rondelle de Fanny est encore bien dilatée, un filet de sperme s’en échappe et lui coule entre les cuisses. Les deux gaillards ont dû la remplir copieusement !!! Elle se sent humiliée mais en même temps elle trouve la situation très excitante… C’est le tour d’un grand black de lui faire sa fête, il se place derrière elle, la queue collée contre les fesses de Fanny, et lui caresse les reins et les épaules. Elle apprécie ce moment de douceur après le déchainement des deux hommes précédents. Les mains qui parcourent ses épaules et sa nuque lui font un bien fou, mais elle est troublée par la taille de la bite qu’elle sent se balancer entre ses cuisses … Elle ne la voit pas mais elle sent qu’elle doit être énorme, elle n’a jamais ressenti ca auparavant et elle est un peu inquiète car elle a peur qu’il la déchire s’il veut la prendre comme les autres… D’un autre coté elle a très envie que cet engin de rêve la ramone et la fasse jouir comme une chienne… Le black est maintenant ‘en forme’, et même si sa queue ne parvient pas à se lever à cause de son poids, elle a encore grossi et a désormais la rigidité nécessaire pour accomplir sa besogne. Il la présente à l’entrée de la fente qui n’attendait que ca, et l’enfile doucement. Fanny suffoque et crie de surprise, elle a un peu mal mais elle a trop envie de la sentir dans son chatte qui a été délaissée par les deux mâles précédents et ne fait rien pour l’en empêcher, bien au contraire. Elle cambre ses reins pour faciliter la pénétration, l’attente d’être complètement emmanchée lui semble trop longue. Elle sent maintenant le pieu de chair qui lui touche le fond du vagin et à l’impression d’être enfilée sur une brochette humaine… mais le manche continue de s’enfoncer et commence à lui faire mal. Elle crie et avance pour tenter de lui échapper. Il comprend le problème (l’habitude sans doute !) et se retire doucement. Il la caresse à nouveau et la fait s’allonger à plat ventre, bras et jambes en croix. Il s’allonge sur elle et la pénètre à nouveau, cette position lui permet d’enfiler entièrement sa queue dans Fanny sans la déchirer. Elle apprécie la position et ne tarde pas à manifester son plaisir sous les coups de boutoir dont elle est la victime consentante. Le gars la lime consciencieusement, à coups de grands aller-retour, et des cris de jouissance sortent de la bouche de Fanny pendant que des flots de sperme sortent de la queue du black et se répandent tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de sa chatte, restée béante après qu’il ait sorti sa bite pour finir de se vider sur les fesses de ma femme. Il se relève, lui caresse la nuque en guise de remerciement et reprend sa place autour du lit avec les autres. Le ’chef’ arrive enfin, en dernier, fait asseoir Fanny sur le bord du lit et lui met sa queue dans les mains. Il l’a quasiment au niveau du visage de Fanny et elle comprend vite que c’est dans sa bouche qu’il veut la mettre… Elle prend son temps et décide de le faire attendre, elle lui lèche avec application les couilles, les aspire l’une après l’autre, lèche la bite comme s’il s’agissait d’une glace et passe sa langue dans tous les coins et recoins. Une fois revenue en haut de la verge tendue et au bord de l’explosion, elle l’engouffre dans sa bouche et se met à l’aspirer de toutes ses forces, tout en faisant monter et descendre sa bouche autour du gland. Il lui tient la tête et lui imprime le rythme qui lui plait, il ferme les yeux et se tend encore plus, elle aussi a senti qu’il va bientôt jouir et accélère le mouvement, il se lâche et lui maintient la tête afin d’être sûr de se vider dans sa bouche et la forcer à tout avaler, ce qu’elle fait péniblement. Le gamin est à nouveau en pleine forme après un tel spectacle, nouveau pour lui, et s’approche à son tour. Elle suce à son tour la jeune queue qui se tend vers elle puis la prend dans sa main et la masturbe énergiquement jusqu’à ce qu’elle gicle ce qui lui reste de semence dans le cou et sur la poitrine. Je fais u signe au « chef » pour lui indiquer que j’en ai assez et il m’adresse un clin d’œil complice, je récupère le manteau de Fanny, la fait se lever et lui pose la fourrure sur les épaules. Je l’embrasse et la ramène à la maison, elle a beau me traiter de salaud une fois dans la voiture, je n’en crois pas un mot et je sais qu’elle a beaucoup apprécié sa soirée d’anniversaire…
