Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 8 J'aime
  • 0 Commentaire

Fanny

Chapitre 3

Erotique
Nous rentrons de Bordeaux par l’autoroute, il fait beau et le trafic est très fluide en cet après-midi de printemps. Fanny regarde par la vitre, perdue dans ses pensées. Je roule tranquille, les deux mains sur le volant, et me dit qu’une seule main suffirait et que l’autre serait mieux sur la cuisse de ma femme… Je décolle ma main droite et la pose doucement sur sa cuisse. Elle me laisse faire et écarte doucement ses jambes pour me faciliter la tâche. Je relève sa jupe jusqu’en haut, ce qui me permet de profiter du spectacle de temps en temps, car j’évite de quitter la route de yeux… Nous dépassons un camion et elle rabaisse sa jupe et resserre les cuisses par pudeur. Une fois le dépassement effectué, je la remets d’autorité dans la position initiale : jupe relevée le plus haut possible et jambes largement écartées… Ma main caresse sa cuisse de haut en bas, et s’attarde de plus en plus vers l’intérieur, en haut… J’écarte d’un doigt son slip et caresse sa toison, puis ses grandes lèvres. Surprise, elle referme les cuisses mais je les lui écarte à nouveau… Je lui demande d’enlever son slip qui me gêne, elle résiste un peu puis abandonne la lutte, me donne l’objet désiré, et me laisse faire tout en continuant à regarder dehors, appuyée contre l’appui-tête. Mon doigt glisse le long de ses lèvres. Je les parcours de bas en haut, les pince délicatement, et constate qu’elles sont trempées… Je souris et en profite pour glisser un doigt curieux à l’intérieur de sa chatte, qui n’oppose pas de résistance à cette intrusion… Mon doigt fait des va et vient lents et réguliers, je jette un œil rapide et apprécie le spectacle qui m’excite beaucoup… je m’arrêterais bien sur la Bande d’Arrêt d’Urgence pour la sauter… Nous approchons à nouveau d’un poids-lourd et elle tente de refermer les jambes mais je l’en empêche… j’ai décidé de doubler le camion dans cette position, une main sur le volant et l’autre plongée entre les cuisses grandes ouvertes de ma femme… j’accélère à peine et le dépassement est lent, très lent, je roule à peine plus vite que le camion… je surveille le chauffeur dans le rétroviseur du camion lorsque j’arrive à sa hauteur et je vois avec plaisir ses yeux exorbités !!! Avec le pare-brise panoramique de notre monospace, il doit avoir une vue imprenable sur les cuisses largement écartées et mes doigts plongés dans la jolie chatte ouverte ! Fanny a également remarqué que l’homme nous avait vus et elle sourit derrière ses lunettes de soleil, apparemment ravie de sa petite exhibition ! Nous continuons notre chemin comme ça, offrant un spectacle inoubliable aux rares camions que nous avons à dépasser. Certains semblent de pas nous voir, absorbés dans leurs pensées, mais d’autres se rincent l’œil sans vergogne et semble apprécier le spectacle ! Je décide de m’arrêter à la prochaine aire d’autoroute afin d’assouvir un besoin naturel et de faire la petite pause dont la sécurité routière nous rabat les oreilles… Elle fait de même et nous nous retrouvons à la sortie des toilettes. Là, surprise, un camion est arrivé entre temps et je me dis qu’il a dû reconnaitre notre voiture… Le chauffeur descend de sa cabine se retrouve sur notre passage, sourire aux lèvres. Il nous dit bonjour, nous lui répondons poliment, sans plus. Il nous demande « vous avez déjà visité un poids-lourds comme celui là ? C’est la Rolls des poids-lourds, vous serez épatés ! » Fanny me regarde et je réponds à l’homme « pourquoi pas ? ca doit être sympa, qu’est ce que tu en penses chérie ? » elle répond que oui, et l’homme ouvre sa porte pour faire monter ma femme dans la cabine. Les marches sont hautes et l’homme la prend fermement par les hanches pour lui éviter de glisser, et, volontairement ou pas, son geste fait remonter la jupe de Fanny suffisamment haut pour avoir une vue imprenable sur ses fesses et même une bonne partie de son intimité puisque la culotte de ma femme est toujours dans ma poche… il est visiblement surpris mais n’en perd pas une miette et la complimente sur la beauté de ses jambes. Je la vois rougir, elle vient de se rendre compte qu’il a dû se rincer l’œil outrageusement… elle s’assoit au volant comme si de rien n’était et l’homme lui explique fièrement l’usage des innombrables boutons et manettes, on dirait un tableau de bord d’Airbus… Par moments il doit se pencher pour actionner une manette et ne se gêne pas pour poser sa grosse main sur sa cuisse pour prendre appui, et bien sûr il oublie de l’enlever lorsque ce n’est plus nécessaire et se frotte contre elle plus que de raison… En tenant le volant, il teste innocemment avec son avant-bras la fermeté de la poitrine de Fanny. Il doit sentir à travers le mince chemisier que ses tétons sont gonflés et pointent fièrement ! Je suis en bas, devant la porte de la cabine, et je souris de son manège grossier et de le voir draguer ma femme aussi ouvertement. Il lui propose de continuer la visite. Elle se glisse sur le siège du fond tout en jetant un œil discret sur la protubérance que l’on ne pouvait pas manquer au niveau de la braguette du routier… Il bande toujours depuis le spectacle involontaire offert par ma femme lors de la montée des marches. Il la suit tout en la dévorant du regard car le mouvement a encore fait remonter un peu plus sa jupe. Je monte côté conducteur en refermant doucement la porte. Il recommence à lui vanter les mérites de son engin, et elle regarde partout, en évitant de croiser son regard pour le laisser se rincer l’œil à sa guise… Elle est fière d’être l’objet de toute notre attention. Elle remarque un rideau derrière les sièges et lui demande ce que c’est. Il répond que c’est sa chambre, ouvre le rideau, et nous fait découvrir une cabine de repos très spacieuse, tapissée de photos de femmes nues dans des positions suggestives… Il lui demande de l’excuser et lui explique qu’il voyage seul loin de sa famille parfois pendant plusieurs semaines. Elle lui demande s’il arrive à bien dormir dans une cabine de camion, il répond que oui, et lui propose de l’essayer… Curieuse elle passe derrière et s’allonge pour tester le confort de la couchette. Il s’agenouille devant elle et elle se retrouve pratiquement coincée sur la couchette, l’homme lui barrant le passage vers la sortie… il pose sa main droite sur le genou de ma femme puis remonte doucement vers le haut de sa cuisse tout en la regardant droit dans les yeux. Gênée, elle tente de se relever pour se dégager mais il appuie sa main gauche sur sa poitrine et l’oblige à se rallonger ! Elle proteste devant tant d’audace mais il n’écoute pas et déboutonne le chemisier de ma femme avec sa main gauche tout en continuant à promener son autre main sur sa cuisse. Elle lui demande d’arrêter immédiatement, qu’il va trop loin, mais il répond « tu faisais moins la fière dans ta voiture, avec les jambes bien écartées ! ». Elle vient de comprendre que l’homme l’avait vue s’exhiber en le doublant et que maintenant il voulait tâter la marchandise promise... Rouge de honte, paralysée à la fois par la peur et l’envie, elle ferme les yeux, en se disant que finalement cette situation avec un inconnu l’excite beaucoup et que de toutes façons elle n’a guère le choix... Le routier a maintenant entièrement défait et écarté le chemisier, et malaxe plus qu’il ne caresse les seins de Fanny pendant que son autre main se glisse sous sa jupe et se plaque sur sa chatte. Il est agréablement surpris de sentir directement sa toison ! ‘ma salope, tu n’as pas remis ta culotte !‘ s’exclame t-il, ravi et admiratif. Il la caresse quelques instants puis lui relève la jupe et examine longuement l’objet de sa convoitise… elle ne lui facilite pas la tâche mais il s’en moque, il est le plus fort et fera d’elle ce qu’il voudra. Elle serre les cuisses pour l’empêcher d’aller trop loin mais elle provoque l’effet inverse de celui recherché… lui, il pense qu’elle y prend du plaisir et qu’elle veut l’empêcher d’enlever sa main ! Il lui replie les jambes puis les écarte complètement et admire sa chatte ouverte avec ravissement avant d’y plonger un doigt inquisiteur et de la fouiller sans ménagement au plus profond de son intimité déjà trempée… elle sursaute mais ne dit rien, elle est à la fois morte de honte et terriblement excitée de se faire doigter par un inconnu, sur un parking où on pourrait la surprendre… il lui pelote les seins, dont les pointes lui font mal tellement elles sont dures, l’autre main lui caresse la chatte de long en large, parcourt sa fente, plonge ses gros doigts à l’intérieur, et elle se surprend à ne plus protester, et même à trouver cela agréable… Elle tourne la tête vers la cloison afin de ne pas lui montrer qu’elle commence à y prendre goût, mais le type le sent bien et ne se prive pas de le lui faire savoir par un peu galant « mais tu mouilles en plus ! ». il en abuse tranquillement, un doigt, puis deux… elle est tellement trempée que l’homme les introduit et fait des va et vient sans difficulté… elle essaie tant bien que mal de résister à la montée du plaisir mais son corps la trahit… Il se penche en avant et lui lèche les seins, puis lui aspire les bouts pendant que sa main continue de la doigter sans ménagement. Malgré elle, ses reins ondulent et vont à la rencontre des doigts pour leur faciliter le travail et leur permettre de s’introduire toujours plus loin. L’homme explore chaque recoin de son intimité, le moindre centimètre carré n’a plus de secret pour lui. Il n’a plus besoin de lui écarter les cuisses car d’elle-même elle les écarte largement et elle trouve finalement bien agréable de s’abandonner ainsi à la perversité du mâle… La main de Fanny est coincée entre sa cuisse et le pantalon du type. Elle sent une bosse qui lui semble énorme au niveau de la braguette et la touche plus ou moins involontairement. Elle la pince doucement de haut en bas pour en apprécier la taille et la raideur. Le routier se sent encouragé et lui dit « elle te fait envie ma queue ? je suis sûr que tu n’en a encore jamais vue comme celle là… ca va te faire du bien, trempée comme t’es…» il joint le geste à la parole, ouvre sa braguette et sort un engin véritablement imposant. Par pure curiosité féminine, elle relève la tête pour le regarder et en reste bouche bée… Il prend la main de ma femme et l’enroule autour de sa queue, dont elle peut à peine faire le tour avec ses doigts ! Pendant que l’homme plonge à nouveau ses doigts dans son intimité, elle fait glisser sa main autour de l’engin et le branle doucement, puis caresse les bourses qu’elle soupèse pour en estimer la taille et là aussi elle est surprise du volume, les réservoirs semblent pleins... Elle tire sur la peau et décalotte le gland gonflé. Il se penche à nouveau mais cette fois c’est entre les cuisses que sa langue se pose. Il lèche les grandes lèvres en exprimant bruyamment son plaisir de gouter au nectar intime de Fanny pendant qu’elle le masturbe « quelle salope, t’es trempée… » . Il introduit sa langue dans son petit trou et elle gémit de plaisir en ondulant les hanches et en remuant sa tête en tous sens, les yeux fermés. Le gars est très excité (moi aussi d’ailleurs, ce spectacle m’échauffe pas mal…) et ordonne à ma femme de se mettre en levrette, les genoux sur le sol de la cabine. Le passage de transmission fait une grosse bosse sur le sol et oblige Fanny à écarter les cuisses de part et d’autre. Il lui relève la jupe en haut des reins, de manière à bien lui dégager les fesses. Il les caresses et lui dit quelle a vraiment un beau cul et qu’il va lui défoncer la chatte et la remplir de sperme ! Elle doit être effrayée vu la taille de la bête qu’elle vient d’apercevoir, mais il n’hésite pas et présente son gland à l’entrée de la fente encore inondée. Elle pousse un cri de surprise en prenant conscience de la taille du pieu de chair qui va la pénétrer mais il pousse fermement et commence à s’enfoncer lentement. La nature est bien faite car malgré elle, les lèvres s’écartent docilement sous l’assaut viril et finissent par avaler entièrement l’énorme gland. Elle souffle et sa respiration se fait plus bruyante. L’homme la tient fermement par les hanches. Il pousse encore et son mandrin continue de s’enfoncer entre ses cuisses, puis finit par disparaitre, comme avalé ! Elle à l’impression d’étouffer tellement cette queue lui remplit le ventre et elle accélère encore sa respiration. Elle a envie de sentir le liquide chaud couler en elle et d’un coup de rein donne le signal de départ au mâle. L’homme est ravi de se sentir encouragé et commence à la ramoner à grands coups de piston. Elle halète et laisse bientôt échapper des petits soupirs espacés. Il posé les mains sur chaque fesse de Fanny, les écarte pour mieux admirer son petit trou, et y’enfonce vigoureusement son pouce. Il lui dit « c’est ca que tu voulais salope, t’es vraiment une chienne.. Tu la sens ma queue ? Tu aimes ca ? Vas-y dis le !» Devant son insistance, elle répond d’un « oui » timide entre deux gémissements. Et lui : « dis le plus fort salope, tu l’aimes ma queue ? je veux t’entendre ! et ne mens pas, tu es complètement trempée ! » elle lui crie « oui !!!» lui : « je vais te défoncer le cul, je vais te faire jouir comme une chienne en chaleur » elle « Ooouui… vas-y ! C’est bon, je la sens… humm… elle est groooosse….humm… vas-y…ooooh ooooouuiii…» il accélère le rythme et ses hanches cognent contre les fesses de Fanny, il l’insulte et lui dit les pires insanités, elle répond toujours « oui… » . il commence à se répandre dans sa chatte, elle ressent chaque giclée du sperme brulant au plus profond de son corps et les accompagne d’un gémissement qui traduit la force de chaque coulée… épuisé, il ne bouge plus mais elle ondule encore doucement comme pour le vider jusqu’à la dernière goutte de sa semence. Il reste planté dans la chatte de ma femme, complètement emmanché. Quand il sent que sa queue a diminué de volume, il la retire doucement, et une fois entièrement sortie j’aperçois une grande coulée blanchâtre sortant du vagin encore dilaté et coulant sur les cuisses de Fanny. Il a dû la remplir copieusement pour que ca déborde autant ! Il la fait se retourner et présente sa queue devant la bouche de ma femme. « Suce-moi » ordonne t-il. Elle hésite une seconde, il insiste et lui tient la tête, puis elle approche sa bouche de la queue qui vient de la faire jouir. Elle sort sa langue et la passe sur bout du gland, récoltant une goutte qui était restée là, puis fait le tour de l’engin en léchant doucement et quasi religieusement chaque centimètre carré de bite, comme pour la nettoyer de la moindre trace de leurs ébats… Elle revient vers le bout puis l’avale, mais elle ne peut aller très loin étant donné le diamètre inhabituel de cette queue… elle se contente de sucer et aspirer le bout du gland, et ne tarde pas à redonner une belle vigueur au pieu qui l’a ravagée si délicieusement. Le gars la complimente en lui disant qu’elle suce « comme une pro », pas très romantique mais bon… « putain tu m’a refais bander… je vais m’occuper de ton petit cul, il doit être bien serré s’il est comme ta chatte… » elle s’inquiète et ne souhaite pas qu’il passe à l’acte, il la déchirerait avec un tel engin ! Elle décide de prendre les devants, se saisit de la queue et la branle vigoureusement. Au bout de quelques secondes à ce rythme effréné, elle lui fait cracher une dernière giclée, qui atterri sur sa poitrine et coule entre ses deux seins. Elle s’essuie la poitrine et les cuisses puis nettoie consciencieusement la queue encore gonflée qui vient de lui procurer tant de jouissance… Le routier lui caresse affectueusement les seins et les fesses une dernière fois avant de la laisser partir en lui disant qu’elle est bonne et qu’il la rebaisera quand elle voudra, et me dit «merci pour la partie, amusez vous bien ce soir, je penserai à vous ! » elle finit de se rhabiller tant bien que mal, et nous repartons sans demander notre reste après cette demi-heure de pure folie…
Diffuse en direct !
Regarder son live