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Fanny coiffeuse

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
J’ai les yeux rivés sur l’écran de mon ordinateur. Le couple avec qui je suis en contact me confirme le rendez-vous de vingt-et-une heures sur le parking d’un grand magasin à côté d’un dépôt de chariot. Il me précise que leur voiture est un break gris avec une grande caisse métallique à l’arrière. Leur annonce est ainsi rédigée :
"Couple cherche homme pour s’occuper sexuellement de madame suite à un accident de monsieur qui l’a rendu impuissant."
Lorsque l’homme me fait parvenir la confirmation de la date, il joint plusieurs photos de la femme. Une rousse aux cheveux courts, des seins pas très gros, mais qui semblent fermes. Allongée sur un lit, elle porte des bas rouges retenus par une ceinture de la même couleur. Sa chatte lisse est occupée par un gode de bonne taille. Une autre très suggestive en position de levrette où un gode est introduit dans son rectum. D’autres où elle est intégralement nue, ou vêtue de manière sexy, ou dans la campagne promenant un chien. La dernière est un gros plan de son visage avec un gode enfoncé dans sa bouche.
Mon érection grandit rapidement devant ces photos. Je file sous la douche, me débarrasse de quelques poils superflus. Je porte un pantalon d’été léger couleur gris clair sans rien dessus et une chemisette blanche. Je regarde ma silhouette dans une glace qui me renvoie l’image d’un homme de quarante ans, mesurant un mètre quatre-vingt pour soixante-dix kilos, bruns, les cheveux courts. Je suis en instance de divorce et donc libre de toute attache.Je gare ma voiture à côté du break, le conducteur en jaillit immédiatement pour venir au-devant de moi.
— Bonsoir, vous allez bien ?— Très bien merci, et vous ? Et madame ? Voici mon attestation médicale comme convenu.— Fanny est impatiente de vous rencontrer et va être heureuse que vous ne soyez pas obligé de vous couvrir.
L’homme ouvre la portière de la voiture, la femme est à moitié assise et allongée vêtue d’un imperméable qu’elle ouvre pour présenter sa nudité.
— Ma femme vous convient ? Vous n’êtes pas déçu ?— Tout le contraire, c’est une très belle femme et je suis ravi de faire sa connaissance.— Et toi ma chérie, comment trouves-tu monsieur ?— Il est encore plus beau que sur ses photos, j’ai hâte de voir sa queue, ma chatte est déjà toute baveuse.
Je rentre dans la voiture, pour me plier en deux et poser ma langue sur son clito, Fanny est aussitôt secouée de petits spasmes. Il se développe rapidement comme une petite bite que je suce et mordille. Fanny commence à jouir, je décide donc de continuer de m’occuper de son clito tout en introduisant deux doigts dans sa chatte puis un troisième. La chatte de Fanny est remplie de cyprine qui coule entre ses cuisses, ma main fouille sa chatte et déclenche une énorme jouissance. Sa chatte expulse des flots de mouille, elle me fait penser à une femme fontaine.
Sa jouissance retombe doucement. Ma langue remplace mes doigts pour mieux fouiller sa chatte, une nouvelle jouissance commence et sa chatte crache sans arrêt sa cyprine. Je me délecte de son jus.Fanny s’accorde une petite pause pour boire.
— Donne-moi ta queue maintenant, que je déguste ton sperme.
Une main accrochée autour de mes couilles, sa langue virevolte autour de mon vît. Parfois elle m’avale entièrement ou se contente de suçoter mon gland. Sans prévenir, elle plante ses ongles dans mes couilles. Je sursaute, au bord de l’explosion, et pour déclencher ma jouissance, elle m’enfonce un doigt dans le rectum. Ma queue explose et expulse plusieurs jets de sperme qu’elle avale avec délectation.
Je suis ravi de découvrir cette salope, car elle ouvre sa bouche pour me faire voir qu’elle a encore du sperme dedans, puis m’embrasse profondément. C’est rare une femme qui pense à doigter le cul de son mâle pour le faire mieux jouir...
— Tu es contente ma chérie ? Tu as trouvé un bon amant pour la première fois ! Je pense que tu voudras le revoir...— J’ai envie de jouir avec sa queue dans ma chatte avant de partir, et de le revoir rapidement.— C’est suffisant pour ce soir, je pense. Et pas plus de deux rencontres par semaine c’est notre deal.— Non, moi j’ai encore envie.
Et c’est parti pour des échanges assez verts entre le couple qui échange des noms d’oiseaux.
— Je suis ravi d’avoir fait votre connaissance et vous remercie pour ce moment de partage. Ne vous disputez pas pour moi ! Je vous souhaite un bon retour et j’attends de vos nouvelles.
Je descends de la voiture et me dirige vers la mienne, poursuivi par les échanges verbaux du couple. Je démarre doucement, lorsque le chauffeur me fait des appels de phares et klaxonne. Je fais donc demi-tour et m’arrête au niveau de la portière du chauffeur, qui baisse sa vitre.
— C’est bon Fanny a gagné, vous pouvez la prendre.
Je n’ai pas le temps de répondre que Fanny, nue, jaillit de la voiture et pose ses mains sur le capot de la mienne, attendant ma saillie. Je sors prestement ma queue et, la prenant par les hanches, j’introduis ma queue dans le marécage qu’elle a entre les jambes. Avant que son mari ne descende et vienne se poser à côté de nous, elle me dit.
— Baise-moi comme une chienne, défonce ma chatte de salope et remplis-la de ton foutre que je vais garder toute la nuit en moi.
Heureusement que le parking est désert, les hurlements exagérés de cette salope résonnent dans la nuit et m’excitent encore plus. Solidement accroché à ses hanches je lui donne satisfaction en la possédant de puissants coups de queue. Mes couilles claquent sur ses fesses à chaque poussée. Mon plaisir est grandiose, je jouis dans une explosion de foutre dans sa chatte. Fanny se retourne vers moi et m’embrasse encore passionnément avant de me chuchoter à l’oreille.
— Tu m’as fait jouir comme une dingue, à la prochaine rencontre tu me prendras le cul.— Je vous remercie encore pour cette rencontre et j’espère ne pas avoir apporté des problèmes dans votre couple. J’ai beaucoup apprécié la gourmandise de Fanny et j’espère qu’elle a apprécié cet échange.— Je suis ravie, il y a très longtemps que je n’ai pas eu un aussi bon amant, je dirais même que tu es le meilleur.— Je suis désolé du malentendu entre Fanny et moi. C’est elle qui a raison, elle n’a pas rencontré d’homme depuis plus de trois semaines. Êtes-vous libre samedi soir, c’est-à-dire dans deux jours, pour nous rencontrer ? C’est ma façon de me faire pardonner. Je vous envoie un message pour l’heure et le lieu.
Cette première rencontre était sublime. Dommage qu’elle ne dure pas plus longtemps, car je pense qu’avec Fanny une nuit serait torride, surtout sans son mari, vu sa gourmandise... Je m’endors la tête pleine des images de Fanny jouissant.Dès le lendemain, j’ai un message de Robert le mari.
— Rendez-vous à la même heure sur la petite plage après le vieux phare, je vous donne les coordonnées GPS. Fanny ne parle que du plaisir que vous lui avez donné et me supplie de vous rencontrer ce soir. C’est non, mais je vous laisserai plus de temps samedi soir.
Je décline un repas le samedi soir avec un couple d’amis en leur racontant dans les grandes lignes ma rencontre. Margot regarde son mari et annonce :
— Ce n’est pas toi, mon chéri, qui m’offrirait à un autre homme !
Pierre regarde sa femme, étonné par ses dires. Margot part dans un grand éclat de rire tout en me faisant un clin d’œil. Je suis surpris par son attitude et ne sais pas comment interpréter son clin d’œil.
Je retrouve Fanny et Robert sur la petite plage, le lieu est très calme et peu fréquenté. Ils sont appuyés contre leur voiture, Robert fume une cigarette pendant que Margot se déplace pour venir vers moi et s’enroule littéralement autour de moi. Sa langue passe entre mes lèvres pour venir se mêler à la mienne. Pour la soirée elle porte juste des bas rouges accrochés à une ceinture. Je quitte les bras de Fanny pour saluer Robert et le remercier pour cette rencontre.
— C’est normal que j’accepte que Fanny rencontre d’autres hommes, je n’ai pas envie de la perdre... D’habitude elle se contente d’une rencontre ou deux avant de changer d’homme. Tu es le premier qu’elle veut continuer de voir.— Enlève tes vêtements, j’ai prévu une grande couverture pour nous protéger du sable.
Comme deux bêtes assoiffées de sexe, nous nous jetons l’un sur l’autre et commençons un soixante-neuf endiablé, chacun essayant de faire jouir l’autre en premier. Fanny rend les armes la première, elle n’a pas résisté lorsque je lui ai mordillé son clito. Comme la première fois, elle se venge en labourant mes couilles avec ses ongles. Nous échangeons de furieux baisers, échangeant de bouche à bouche cyprine et sperme.
— Je te préviens, je veux que tu me donnes du sperme dans ma bouche, ma chatte, et mon cul pour finir.— Ne t’inquiète pas, petite salope, tu vas avoir ce que tu cherches. J’ai envie de te punir avec fessées et martinet.— Je rêve d’être soumise, punie, avec toi j’accepte tout. Mais c’est difficile avec la présence de Robert... Je trouverai bien un moyen d’être ta chose pour une journée, une nuit ou plus.
Je possède Fanny en levrette pour lui remplir la chatte sous ses cris de jouissance. Une pause boisson est bienvenue, puis Fanny reprend sa position en levrette pour la sodomie. Je lui lèche bien la rondelle puis l’ouvre avec mes doigts. Mon gland quant à lui trouve une résistance, Fanny ne doit pas souvent se faire enculer. Elle pose sa tête sur le sol et passe ses mains dans son dos pour ouvrir son cul.
— Vas-y à fond. Même si j’ai mal, continue, j’ai trop envie de jouir du cul.
Fanny pousse plusieurs hurlements de douleur et de plaisirs avant que ma queue crache mon foutre au fond de son rectum.
— Putain j’ai eu trop mal, mais j’ai joui tellement fort, j’adore me faire enculer.
Pendant un mois, nos rencontres continuent tous les trois ou quatre jours. Lors de la dernière, Fanny me remet discrètement une carte de visite d’un salon de coiffure.
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