Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 289 J'aime
  • 4 Commentaires

Fanny coiffeuse

Chapitre 3

Avec plusieurs hommes
Le lendemain matin, à peine huit heures trente, je reçois un message de Fanny.
— Libre de midi à quatorze heures, tu veux une rencontre à l’hôtel. Ta chienne a envie de ta queue.— Avec plaisir ma salope, même hôtel. Je t’envoie le numéro de la chambre.
Douze heures cinq, une tornade ouvre la porte et s’avance dans la chambre. Fanny porte des talons assez hauts, une jupe plus courte avec un chemisier serré près du corps qui laisse jaillir sa poitrine libre de tout soutien.
— Tu travailles dans cette tenue, tu vas faire bander tes clients.— Pas les talons, trop fatigants, sinon le reste oui. Je décide de faire voir à tous que je suis une salope, mais à partir d’aujourd’hui, je ne baise plus qu’avec toi ou avec ta permission. Je me suis engueulée avec mon mari ce matin au sujet de ma tenue, du coup je lui ai annoncé que j’accepte de baiser seulement avec toi et que tu deviennes mon amant où et quand je veux.— Il doit être furieux et ne pas accepter ta proposition.— Je lui annonce que c’est ce que je veux sinon je le quitte. De toute façon je pars avec toi quand tu le veux si tu veux partager ta vie avec la salope que je suis.— Tu emménages chez moi et tu peux faire ta salope autant que tu veux.— Assez parlé, donne-moi ta queue à sucer et vide tes couilles dans ma bouche.
Fanny est vraiment une affamée de sexe, elle me pompe la queue comme une morte de faim tout en plantant ses ongles dans mes couilles. Cette sensation est nouvelle et j’adore, j’ai l’impression que ma queue double de volume, je me retiens pour ne pas jouir le plus longtemps possible, mais vaincu par la puissance de ses aspirations, mon foutre lui remplit la bouche. Fanny ouvre la bouche pour me faire voir mon sperme, elle déglutit plusieurs fois en me montrant le sperme qui reste dans sa bouche. Elle en a gardé en bouche pour m’embrasser et mêler sa langue avec la mienne et me faire partager le reste de mon sperme. Fanny s’allonge sur le dos, cuisses largement ouvertes.
— Viens goûter ma chatte, elle est pleine de ma mouille pour toi mon homme.
Sa chatte bâille légèrement, laissant couler sa cyprine entre ses lèvres intimes luisantes de son désir. Je passe le bout de ma langue entre celles-ci et je récupère sa cyprine à chaque passage. J’enfonce ma langue un peu plus profondément dans sa chatte et cela suffit pour déclencher la jouissance de Fanny. Pour la première fois, sa jouissance n’éclate pas à pleine puissance, mais monte progressivement. Ma langue monte titiller son clitoris et j’introduis trois doigts assez facilement dans sa chatte. Sa jouissance est totale ponctuée de cris et de coups de bassin pour mieux absorber ma queue. Un quatrième doigt rejoint les trois premiers, je constate que mes doigts flottent un peu dans sa chatte alors j’introduis ma main entière, sous ma poussée je sens que son col résiste, mais avec un peu de pratique je sais que ma main rentrera plus loin. Pour finir, je continue avec mon poing fermé pour lui défoncer la chatte.
Fanny reste exsangue, seule sa respiration soulève sa poitrine, son corps est couvert de sueur.
— Tu trouves toujours une nouvelle manière de me faire jouir et c’est de plus en plus fort, tu es vraiment l’homme qu’il faut pour une salope comme moi.
Tout en parlant, Fanny se met à genoux la tête posée sur ses bras et la croupe tournée vers moi, les cuisses bien écartées. La première claque retentit sur une fesse suivie d’une autre et d’une autre encore, ses fesses comme mes mains deviennent écarlates et Fanny commence à jouir. Je lui saisis les hanches et pose mon gland sur sa rondelle et je pousse très fort pour enfoncer ma queue dans son cul. Elle pousse un hurlement, ce qui m’encourage à davantage lui pilonner le cul de grands coups de bite qui lui déchirent le cul. Tout en continuant mes pénétrations je lâche ses hanches pour saisir ses tétons et lui étirer au maximum, sa jouissance est au paroxysme, bientôt rejointe par la mienne.

— Plus tu m’encules plus j’adore ta queue dans mon cul, je veux la garder en moi pour travailler tout l’après-midi.— Ce n’est pas possible, demain je vais t’apporter un plug que tu garderas en toi.— Ho oui, pour cet après-midi ton sperme qui va couler le long de mes cuisses ne sera que du bonheur. De toute façon, on se voit demain midi.
Le lendemain midi, Fanny arrive à l’hôtel avec une tenue encore plus dévergondée qu’hier, des talons de dix centimètres, une jupe si courte qu’on aperçoit les jarretelles qui retiennent ses bas oranges malgré la chaleur et un petit top transparent qui laisse saillir ses tétons en érection. Mon érection est immédiate devant ce portrait de salope en chaleur.
— Comment tu me trouves, j’ai choisi cette tenue pour toi et j’en ai d’autres plus sexy encore.— En parfaite salope, ma queue a sauté quand elle t’a vue dans cette tenue. Continue à t’habiller comme cela, j’adore.— J’ai eu deux clients ce matin qui ont été conquis par ma tenue, aussitôt après leur départ trois de leurs amis on demandé un rendez-vous pour une coupe, occupe-toi de ma chatte, elle a envie d’avaler ta queue.— Mets-toi à genoux au bord du lit.
La chatte de Fanny est dégoulinante de mouille et chaude comme un volcan.
— C’est moi qui te fais mouiller ou tes clients.— Pour être honnête les deux, le dernier a eu les mains un peu baladeuses sur mes fesses et mes jambes, je l’ai même laissé entrer deux doigts dans ma chatte un court instant. Il s’est léché les doigts en me disant :— Elle est bonne ta mouille, j’ai envie de te baiser.— Tu n’auras jamais rien de plus que me toucher, le reste c’est pour mon homme.— Tu es vraiment une sacrée salope pour te conduire ainsi, cela me plaît beaucoup de savoir ce que tu es vraiment. Tu n’as pas eu envie de lui dire oui pour baiser.— Pour être honnête, j’ai eu envie de dire oui tellement j’aime baiser, mais je t’ai promis de ne le faire qu’avec ta permission ou en ta présence.
Notre dialogue est interrompu par la jouissance de Fanny, du coup je commence à lui donner une bonne fessée, ce qui augmente son plaisir. Je constate que sa chatte éjecte de plus en plus de cyprine et s’étale sur le lit. Sur le point de jouir, je me retire de sa chatte et lui présente ma queue à sucer. Fanny gobe ma queue comme un fruit mûr qui dépose mon foutre au fond de sa gorge qu’elle déguste avec délectation avant de m’embrasser pour partager un peu de foutre. Le temps est vite passé avec notre long dialogue et Fanny doit déjà partir au travail.
— À ce soir mon homme, tu me rempliras le cul de ta semence.
Vers vingt heures, je reçois le texto suivant :
— Je ne souhaite plus que Fanny vous rencontre, elle est amoureuse de vous et cela ne me plaît pas beaucoup.— C’est vous le maître du jeu, mais quelques fois on se brûle les ailes à vouloir trop jouer.
Le lendemain matin, Fanny m’appelle, dès neuf heures, elle est furieuse.
— Ce salop, il va me le payer cet affront, on ne peut se voir ce midi, le salon est fermé, on est en stage, attends-moi à l’hôtel vers dix-huit heures.
Fanny arrive dans une tenue extravagante très sexy, elle a le chic de savoir s’habiller en salope. J’imagine le nombre de mecs qui doivent bander en la regardant, car on devine trop facilement l’absence de sous-vêtements.
— Mon homme voilà ta salope, j’ai envie de baiser et baiser encore, j’espère que tu es en forme, car je compte passer une bonne partie de la nuit avec toi. J’ai envie de me faire enculer tout de suite dans une autre position.
Je lui demande de s’allonger sur le dos, je relève ses jambes écartées relevées par mes mains en les remontant vers ses épaules et ma queue rentre facilement son cul qui commence à bien s’ouvrir pour l’accueillir. Je commence par des pénétrations assez lentes, mais puissantes, Fanny impatiente donne des coups de reins pour mieux se faire sodomiser.
— Défonce-moi le cul à fond, je veux jouir, jouir comme jamais.— Prends tes jambes avec tes mains pour libérer les miennes.
Mes mains libres se posent sur ses seins que je malaxe, triture, je saisis ses tétons pour les pincer et les étirer. Ce qui augmente la jouissance de Fanny qui a commencé dès que ma queue est entrée dans son rectum. Je ne sais combien de temps elle jouit, mais je commence à fatiguer et reste fiché en elle. Une petite pause pour se rafraîchir.
— Tu n’as pas joui mon homme.— J’ai eu beaucoup de plaisir, je me réserve pour remplir ta chatte.— Alors, laisse-moi te sucer un peu et après je vais te chevaucher tu pourras t’occuper de mes seins.
Son téléphone sonne sans arrêt.
— Il va continuer longtemps ce con.— Réponds-lui.— Et je lui dis quoi ? — Que tu baises, que tu jouis, et que cela va durer toute la nuit.— Il me demande avec qui ? — Dis-lui trois hommes.
Fanny me dévore la queue avant de s’empaler dessus et entame une cavalcade effrénée. Du fait de ses mouvements saccadés, il me suffit de tenir ses tétons entre mes doigts pour qu’ils s’étirent à chacune de ses montées et descentes. Sa jouissance est terrible, j’espère que les chambres sont bien insonorisées. Lorsqu’elle sent les soubresauts de ma queue qui crache mon foutre, Fanny reste immobile ma queue bien plantée au fond de son vagin.
— Plus je baise avec toi, plus j’ai envie d’avoir ta queue en moi tout le temps. Si tu le veux encore, je quitte mon mari pour venir habiter chez toi si tu veux partager ta vie avec une salope comme moi.— Je suis l’homme le plus heureux de partager ta vie de salope, ne change surtout pas, maintenant je vais te défoncer la chatte avec ma main.
Ma main entre facilement dans la chatte de Fanny et je l’enfonce au maximum, mais je n’arrive pas à aller plus loin pour l’instant. Je ferme mon poing et lui pilonne la chatte qui s’ouvre assez pour permettre à mon poing de sortir et de rentrer sans difficulté. Sa chatte libère de la cyprine qui coule sans arrêt, je continue pendant un bon quart d’heure ce traitement sous les hurlements de plaisirs de Fanny.
Diffuse en direct !
Regarder son live