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Fanny coiffeuse

Chapitre 6

Avec plusieurs hommes
Fanny est très excitée, je lui confirme que ce soir je la livrerai à des hommes et qu’elle pourra assouvir toutes ses envies sexuelles. C’est vraiment une salope avec un grand A, car lorsque je lui annonce la nouvelle à son retour du travail, elle est dans la chambre nue prête pour prendre son bain. Elle est secouée d’un énorme frisson et sa chatte laisse couler sa cyprine abondante jusqu’à ses genoux, c’est vraiment la première fois que je vois cela et pourtant j’ai rencontré pas mal de femmes pour du sexe.
Sortie du bain, on dîne avant qu’elle se prépare pour sa nuit de débauche, elle s’essuie la chatte qui continue de couler plusieurs fois. Elle applique sa fameuse crème sur ses lèvres intimes qui gonflent instantanément ainsi que sur ses tétons qui font de même, elle ne porte qu’une mini-robe sans la boutonner ainsi que des talons. Avant de partir, elle m’embrasse plusieurs fois et je la rassure que je connais les hommes à qui je l’offre, que je suis sur de le vouloir et ne pas lui reprocher demain. Je lui bande les yeux et c’est parti.
Djamel a les yeux exorbités lorsque je lui présente Fanny, il lui caresse les seins et lui doigte la chatte qui est au bord de la jouissance, sa chatte libère un flot de mouille.
— Tu ne te moque pas de moi, c’est une déesse que tu me ramènes et elle semble très chaude, je t’appelle lorsqu’elle veut cesser la soirée.— Je te fais confiance, je sais que tu vas veiller au bon déroulement de la soirée.
De retour à la maison je m’installe dans un fauteuil avec un bon bouquin avec Richard Wagner en fond musical, Rex est sagement allongé sur sa couverture mais il semble bizarre il vient me voir en gémissant après avoir fait le tour de la maison. Je crois comprendre que Fanny lui manque à lui aussi, j’ai un petit tiraillement au creux de l’estomac, pas de jalousie mais plutôt un manque de présence. Je reçois des photos envoyées par Djamel sur lesquelles on voit Fanny sucer, se faire baiser et sodomiser, elle semble radieuse. Je montre les photos à Rex qui semble comprendre car il pousse un petit hurlement et retourne sur sa couverture pour se lécher le vit de mon côté j’ai une grosse érection. Je me crois blindé au niveau sentimental avec les femmes mais cette salope je commence à l’avoir dans la peau.
Il est quatre heures du matin, Djamel m’envoie un texto, soirée terminée. Cela fait six heures que Fanny est offerte à une bande de mecs assoiffés de sexe. Je retrouve Djamel au rendez-vous, il est seul.
— Je suis désolé j’ai deux cousins qui viennent d’arriver et quand ils ont vu Fanny ils ont voulu la baiser aussi et elle a accepté sans problème. Tu veux la voir, suis-moi sans faire de bruit.
Je suis Djamel dans un escalier sombre puis franchissons trois caves successives aux murs percés avant d’arriver devant une porte entrebâillée qui ouvre une grande cave baignée de lumière avec au centre un espace couvert de matelas et autour de la pièce six canapés. Un des cousin de Djamel est allongé sur le sol avec Fanny empalée sur lui pendant que le second lui possède le cul, comme d’habitude elle jouit en criant assez fort.
— Tu sais qu’on en a baiser des salopes dans cette cave, mais jamais comme ton amie depuis son arrivée elle n’as pas cesser de baiser et jouir. Elle a complètement essoré les couilles de six mecs plus les deux nouveaux. La prochaine fois je vais prévoir plus de mecs si tu nous la prête à nouveau.— Si elle est d’accord, je te la prêterai à nouveau.
Nous entrons dans la cave, Fanny me regarde sans me voir trop occupée à sa jouissance. On s’installe dans un canapé comme des voyeurs et regarde Fanny subir les assauts des deux cousins de Djamel. Ce sont des colosses, plus de cent kilos et pas loin de deux mètres. Fanny ressemble à un pantin entre leurs mains, secouée, ballottée comme une poupée de chiffons mais jouissant sans arrêt. Celui qui la sodomise donne de puissants coups de reins qui l’empale davantage sur la queue du premier et le spectacle va durer plus de vingt minutes avant qu’ils se retirent.
Leur queue est à l’image des deux hommes monstrueux de vraies matraques de plus de vingt centimètres et d’un diamètre jamais vu par moi, j’ai l’impression d’être un petit garçon malgré mes dix-huit centimètres et la moitié moins en volume. Fanny met un bon quart d’heure avant de réagir et semble étonnée de ma présence, elle se lève péniblement. Je remarque que sa chatte et son cul sont encore ouverts après l’assaut subi et qu’un liquide blanchâtre coule de ses deux trous jusqu’à ses chevilles, son corps et son visage sont marbrés de sperme. Fanny se précipite pour se coller à moi et m’embrasser avec la bouche pleine de sperme. Mon pantalon et ma chemise sont gluants de sperme.
— Mon homme merci, je t’aime.
— Je peux te poser une question plusieurs fois dans la soirée elle a crié je suis une chienne, prends-moi Rex. C’est qui Rex? — Mon berger allemand.— ça veut dire qu’elle se fait baiser par ton chien? — Oui et elle adore le faire et moi la regarder, mais un mot sur cela. Je compte sur toi Djamel.— Tu as ma parole mais j’aimerai bien voir ça.
Fanny est nue, envolée sa robe et ses talons. Rex tourne autour d’elle en aboyant.
— Tu vois il est content de te voir, laisse le te nettoyer, je vais te réparer un bain.
Sans donner de réponse Fanny est déjà à quatre pattes avec la langue de Rex qui lui lèche l’entrejambe. Cinq minutes je suis de retour, je ne suis pas surpris de trouver Rex sur le dos de Fanny qui la possède. Devant le spectacle je me déshabille et j’attends que Rex se retire de Fanny pour prendre sa place et introduire ma queue dans sa chatte. C’est épais, gluant, visqueux. J’ai l’impression d’être dans un pot de fromage blanc ou plutôt un chou à la crème mais je suis heureux de baiser ma salope et de l’entendre jouir. Je la savonne et la rince deux fois sans oublier de faire entrer beaucoup d’eau dans ses trous comme dans sa bouche. Allongés sur le lit, on discute un peu.
— Merci mon homme, mon chéri, mon amour je t’aime.
Je lui saisis la tête entre mes mains et l’embrasse.
— Moi aussi je t’aime ma salope ne change pas continue d’être telle que tu es.— Redis le moi mon homme.— Je t’aime ma salope.
Le dimanche se passe comme un dimanche de bonne famille, Fanny est habillée sexy mais pas salope, nous nous promenons le long du canal avec Rex tenu en laisse. Ha j’oubliais j’ai deux laisses dans la main la seconde est reliée à un collier de chien, rouge porté autour du cou par Fanny. Elle m’a juré de ne jamais le quitter sauf sur mon ordre et pour la douche. Je suis surpris du manque de réaction des personnes croisées car on rencontre très rarement une femme avec une laisse, je décide que pour la prochaine promenade j’habillerai Fanny en salope pour voir la réaction des passants. Je sais qu’elle dira oui, même si je lui propose de la promener nue, elle dit oui.
À notre retour, je laisse Rex gambader dans la cour et le jardin et je fais l’amour à Fanny qui finalement redécouvre un plaisir partagé sans sexe hard. Nous sommes interrompus par un appel de sa mère qui dure un bon moment.
Chéri, tu continues de me faire l’amour, elle m’a posé beaucoup de questions sur nous surtout sur toi et je ne sais pas quoi lui répondre j’habite chez toi je baise avec toi et ton chien, je ne sais rien d’autre.
— Voilà ma chérie, je m’appelle Claude, j’ai quarante ans, je mesure un mètre quatre-vingt et pèse soixante quinze kilos. Quand mes parents sont décédés dans un accident d’avion j’ai hérité de la fonderie familiale. Travaillant dans l’informatique je ne connais rien à la fonderie c’est mon ex-femme, ancienne secrétaire et maitresse de mon père qui la dirige.— Sur les conseils d’un ami j’ai placé de l’argent sur la crypto-monnaie et Bingo cela rapporte énormément. J’ai cédé la fonderie à mon ex qui me verse un beau revenu tous les mois. Depuis ma séparation rien de sérieux que des rencontres sexe sans suite sauf avec toi, je ne sais pourquoi j’ai flashé sur toi et aujourd’hui je suis fou amoureux de la plus grande salope de cette ville sur trente mille habitants.— J’accepte le compliment de plus grande salope de la ville, cela me touche beaucoup.Moi Fanny je suis née dans une famille d’ouvriers, mon père buvait et cognait ma mère, il s’est fait écrasé par un train alors qu’il était ivre. J’avais dix ans, ma mère femme de ménage trimait pour s’occuper de moi, j’ai alors vu des dizaines d’hommes culbuter ma mère et en grandissant j’ai suivi le même chemin des mecs et du sexe. J’ai quand même suivi les cours de coiffure bien aidée par un professeur que je tenais par le bout de la queue. — J’ai rencontré mon mari dans un dancing, il montrait qu’il avait de l’argent et moi belle nana je lui plaisais. Et me voilà mariée, changement de ton, violent, pingre, me cognait de temps en temps. Après son accident il s’est montré plus doux mais moi je ne peux me passer de baiser, alors par peur que je le quitte il gère mon compte en banque et m’inscrit sur le site de rencontres ou on s’est connus. Généralement une ou deux rencontres par semaine souvent déçue, de petites queues, des éjaculateurs précoces et ceci pendant presque quatre ans. — Quand tu as mis ta queue dans ma chatte pour la première fois j’ai compris que ma vie allait changer, une belle queue et un homme qui sait faire jouir une femme. J’insiste et j’insiste pour te voir tellement tu me baises bien, il commence à se méfier devenant jaloux. Je comprends alors qu’il va cesser nos rencontres et heureusement je pense à te donner la carte du salon et tu es entré dans ma vie, je devrais dire tu es entré dans moi de toute façon et aujourd’hui je suis la salope la plus heureuse rien que de le dire je mouille.— De mon côté, je sais que tu es coiffeuse et si ton mari cesse les rendez-vous je fais le tour de tous les salons de coiffure de la ville pour te trouver. Ta soif de sexe, de jouissance m’a attiré irrésistiblement vers toi, inconsiament tu es le genre de femme que j’attends et maintenant je t’aime comme un fou, tu peux tout me demander.— Moi aussi je t’aime comme une folle, tu acceptes tout de moi, m’offrir à des inconnus sans oublier Rex que je considère comme mon deuxième homme. Fais moi l’amour doucement mon homme.— Tu as encore envie, tu n’en as pas eu assez cette nuit?— Mon chéri je veux que tu me fasses l’amour pas que tu me baises.
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