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Fanny coiffeuse

Chapitre 8

Avec plusieurs hommes
Fanny avale les queues l’une après l’autre avec voracité, les deux hommes se déshabillent et je vois leurs sexes monstrueux au moins vingt-cinq centimètres de long et au moins quatorze d’épaisseur. Fanny a la bouche déformée lorsqu’elle en avale une mais elle continue de plus belle puis elle se met à genoux. Un homme la pénètre tout de suite et avec la précision du zoom des caméras on voit sa cyprine qui coule tandis que l’autre lui redonne sa queue à sucer.
La qualité du son et des images permet de voir tous les détails de l’action et entendre Fanny crier ses jouissances. Les deux hommes changent de place et reprennent leurs occupations, cela va durer presque une heure avant que les deux hommes ne déchargent leurs foutres dans la chatte de Fanny. Sans perdre un instant celui qui lui a rempli la bouche se positionne derrière Fanny et commence à sodomiser, son énorme engin qui disparaît totalement entre les fesses de Fanny et on entend ses couilles claquer sur ses fesses pendant que le second se sert de la bouche de Fanny comme d’un vagin.
Sa cyprine continue de couler de sa chatte jusqu’au sol en un filet continu, de même sa bave relie sa bouche au sol et les deux hommes vont changer plusieurs fois de place. Le rectum de Fanny reste ouvert entre deux changements de queues semblant attendre d’être de nouveau investi. Nouvelle éjaculation pour les deux hommes. Les trois partenaires font une pause les deux hommes boivent de l’eau et Fanny du champagne, connaissant l’effet du champagne sur Fanny la suite de la nuit s’annonce longue et torride.
Un homme s’allonge sur le matelas et Fanny s’empale sur cette queue l’autre introduit sa queue dans le cul de Fanny, alors les deux hommes synchronisent leurs mouvements pour s’enfoncer en même temps. Fanny reste la bouche grande ouverte et un long moment de silence suit avant l’éclatement de ses cris de jouissance, ce spectacle dure un long moment avant que les deux hommes intervertissent leurs places. Ce petit moment de silence me permet d’entendre Rex qui aboie à la porte
Lorsque les deux hommes recommencent à remplir les trous de Fanny. Rex reconnaît la voix de sa chienne, assis il regarde l’écran du téléviseur comme nous en poussant des hurlements de loup de temps en temps. Cette fois les deux hommes enfoncent leur queue à tour de rôle mais la jouissance de Fanny est aussi intense. Après avoir de nouveau rempli les trous de Fanny de sperme, ils s’accordent une pause pour boire.
Un des hommes murmure à l’oreille de Fanny qui fait oui d’un signe de tête et celui-ci s’allonge sur le dos, le bassin soulevé par un oreiller et Fanny s’empale à nouveau sur cette énorme queue. Le second se place dans le dos de Fanny et nous regardons sur l’écran la queue de l’homme s’introduire petit à petit avec celle du premier dans la chatte de Fanny. Sa chatte est complètement distendue mais accepte ce double investissement à chaque fois qu’un des hommes enfonce sa queue un jet de cyprine gicle entre les deux queues. La jouissance est tellement forte que nous baissons le son tellement les cris de Fanny résonnent en puissance. Et cette double pénétration dure un très long moment avant que les hommes se vident les couilles dans la chatte de Fanny.
Djamel descend récupérer les deux hommes et ils repartent. Fanny est restée allongée sur le dos, le souffle court sa chatte béante se referme tout doucement en expulsant sperme et cyprine. Je décide de la rejoindre avec Rex qui plus rapide que moi est déjà dans la pièce et moi à mi-escalier. Lorsque j’entre dans la pièce Fanny commence à jouir sous les coups de langue de Rex qui se repaît du jus qui coule de la chatte de Fanny. Je présente ma queue à Fanny qui me suce comme si c’était sa première queue de la soirée.
Lorsque Rex cesse de la lécher Fanny se met en position de levrette et Rex recommence ses coups de langue et moi je donne ma queue à sucer. À un moment je remarque que Rex est grimper sur le dos de Fanny et la possède, je ne sais pas s’il est dans la chatte ou le cul mais sa jouissance retentit à nouveau. Fortement excité par le spectacle donné par Fanny j’éjacule de nombreux jets de sperme dans sa bouche et elle avale tout, Rex met plus de temps pour éjaculer à son tour.
Fanny se dit trop fatiguée pour remonter à l’étage et veut rester dormir sur le matelas, Rex reste allongé à côté de Fanny. Arrivé dans le salon je vais éteindre le téléviseur et je constate que Fanny suce le vit de Rex, je vais donc me laver les dents et reviens dans le salon et je reste ébahi car Fanny se fait encore prendre par Rex. J’éteins tout et je vais me coucher, je me réveille vers neuf heures et descends au sous-sol et je n’en crois pas mes yeux Fanny suce le vit de Rex et ensuite se met à genoux pour se faire saillir.
— Bonjour mon chéri, Rex m’a réveillée en me léchant, j’ai joui et je ne lui ai pas refusé quand il est monté sur moi. Il est verrouillé depuis un petit moment, tu vas pouvoir me baiser après.
Effectivement dès que Rex se retire je prends sa place immédiatement et ma queue plonge dans son sperme. Que m’arrive-t-il depuis que Fanny est dans ma vie, j’accepte de la prêter de la partager de l’offrir et j’en retire de plus en plus de plaisir. Je trouve que mes jouissances sont plus fortes en passant après d’autres hommes mais le somment de mon plaisir c’est de passer après Rex ou de partager Fanny avec lui. Bien que les cris de Fanny me percent les oreilles pour moi c’est un son mélodieux de son plaisir et cette foi encore elle jouit très fort et moi j’ai l’impression que ma queue crache et crache encore.
J’accompagne Fanny sous la douche où nous échangeons baisers, caresses. Une idée me vient, je dévisse la pomme de douche et dirige le jet beaucoup plus fort sur la chatte de Fanny. Je vise particulièrement son clito et Fanny écarte ses grandes lèvres pour offrir son clito au jet. La puissance du jet se répercute sur le clito qui grossit et devient très sensible, il faut peu de temps pour que Fanny déclenche une jouissance, elle est secouée de spasmes violents avance et recule son bassin pour mieux jouir. Finalement elle tombe à genoux complètement anéantie par le plaisir et reste un long moment prostrée. On se retrouve allongé sur le lit.
— J’ai joui comme une folle avec les deux queues dans ma chatte, mais ce que tu viens de me faire c’est intense puissant je n’ai jamais connu un tel plaisir. Lors de notre prochaine rencontre ils m’ont promis une double anale.
— Tu poursuis l’escalade du vice ma chérie, tu deviens de plus en plus salope.— Je sais, mais depuis que je t’appartiens je suis comme libérée et pour l’instant je n’ai pas de limite dans mes envies sexuelles, si tu me le permets encore.— Je t’autorise toutes relations qui te donnent du plaisir comme je te l’ai déjà dit, tu me demandes la permission avant et tu me racontes tout après.— Tu es vraiment un homme formidable, une salope comme moi ne peut rêver mieux comme mari si tu veux toujours épouser la plus grande salope de la ville.— C’est mon souhait le plus cher, d’ailleurs tu vas contacter mon avocat pour ton divorce et tu penses aller travailler quand?— Promis tu me donnes le numéro et j’appelle en début d’aprèm, pour le travail je n’ai plus envie d’y retourner si tu m’offres le mien.— Je vais tenir ma parole, voir comment organiser cela, tu veux un salon pour adultes ou les coiffeuses se font caresser, tu vas aussi aller voir ta patronne pour démissionner.— Je t’aime, je t’aime et je t’aime.— Je crois que tu aimes plus baiser que moi?— Non mon chéri car sans ton amour je suis réduite à deux ou trois fois semaines et pas longtemps, alors qu’avec toi c’est autant que je veux.
Fanny contacte mon avocat et va voir sa patronne au salon, de mon côté je contacte le maire pour connaître les endroits ou le salon peut s’implanter et me met en contact avec le commissaire de police pour rester dans la loi. Lorsque je rentre à la maison avec de bonnes nouvelles, je trouve Fanny qui me semble dépitée.
— Puff, je suis obligée de travailler encore un mois et elle nous interdit de continuer d’accepter les caresses des clients. Par contre si j’ouvre mon salon j’ai deux filles qui me suivent pour l’aventure.
Je regarde sur internet le prix du matériel pour équiper le salon et la réglementation sur ce qui est autorisé d’y faire. Je reçois un appel du maire qui me confirme qu’un emplacement libre est disponible dans la nouvelle zone commerciale. Pendant quinze jours je suis très occupé pour faire les plans du salon, commander le matériel et l’agencement du salon.Fanny est d’un côté heureuse et triste de l’autre il lui manque du sexe, elle passe beaucoup de temps avec Rex qui est heureux d’avoir une femelle à saillir plusieurs fois par jour et de mon côté j’assume trois fois par jour. Je propose à Fanny de partir huit jours au bord de la mer, ce qu’elle accepte avec enthousiasme.
Huit jours de soleil, Fanny est heureuse de s’exposer seins nus et dans la petite station balnéaire où nous sommes il y a un petit bar dancing où le soir j’accorde à Fanny de draguer et baiser sur la plage avec un ou deux hommes. De retour à la villa Fanny se partage entre moi et Rex et souvent les deux ensembles. De retour, je décide d’aller voir les travaux du salon, avec les vacances le chantier a huit jours de retard.
Lorsque nous arrivons sur place nous trouvons trois ouvriers blacks qui posent les panneaux, vu la chaleur ils travaillent en short, torse nu et sont assez musclés. Pour Fanny c’est juste une mini-robe assez transparente ce que remarquent les trois hommes et je remarque nettement que leur érection se développe, nous sortons du futur salon.
— Chéri tu as vu comment ils ont bandé quand ils m’ont regardée, j’aimerais bien gouter leur queue je n’ai jamais baiser avec un noir.
Je laisse Fanny parler et me dirige vers les trois ouvriers.
— Cela vous dit de faire deux ou trois heures supplémentaires ce soir.— Pourquoi pas si vous payez bien? — Le travail consiste à donner du plaisir à ma femme, elle est à votre disposition le temps que vous voulez et elle accepte tout, si vous êtes d’accord je vous l’amène à dix-neuf heures.— Ton souhait va se réaliser ma salope tu es à la disposition des trois hommes ce soir le temps qu’ils voudront à partir de dix neuf heures.
Je la dépose devant le salon à l’heure convenue, toujours avec la même robe et juste un téléphone pour m’appeler lorsque la soirée sera finie. Cette salope est tellement impatiente de goûter à une queue noire qu’elle ouvre complètement sa robe avant d’entrer sur le chantier.
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