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Fanny une maman sexy qui aime le sexe

Chapitre 1

les premiers pas

Inceste
Présentation
Fanny quarante ans, mère de familleStephen dix-huit ansJeremy dix-huit ans Frédéric dix-huit ans
Fanny est professeure d’histoire dans un lycée privé. Elle est très sexy, un visage d’ange avec une grande bouche, une denture parfaite et un corps avec des formes démentielles. De longues jambes, un fessier ferme et des très gros seins. Brune aux yeux bleus, quarante ans, un mètre soixante pour cinquante-cinq kilos. Elle pratique la natation, mais aussi fait plusieurs heures de gymnastique par semaine et du cheval le week-end.
Elle a eu des triplés, Stephen et Jeremy, et le dernier se prénomme Frédéric, tous ont dix-huit ans. Fanny est mariée à Steve qui est chef d’entreprise, soixante ans. Avant d’entrer dans l’éducation nationale, elle a fait du porno. Elle a fait de nombreux films, car depuis son adolescence elle est nymphomane, mais elle a une particularité, elle n’a jamais fait de l’anal, c’est son choix. Cependant, pour elle, c’est du passé, ces films sont bien loin, même si elle a rencontré son mari lors d’un festival érotique.
Stephen très sportif, dix-huit ans, un mètre quatre-vingt-dix et quatre-vingts kg, il est encore au lycée, mère et fils sont très fusionnels. Stephen en cachette mate sa mère, il la trouve trop sexy, au fond de lui, il voudrait coucher avec elle. Mais, il sait que ce n’est qu’un fantasme.
Jeremy un mètre quatre-vingt-cinq et quatre-vingts kg, en revanche lui habite à Bordeaux pour ses études, il rentre très souvent à Bayonne et lui est plus réservé. Et Frédéric un mètre quatre-vingt-cinq, quatre-vingts kg, lui aussi est sur Bordeaux.
Fanny et son mari et leurs trois fils habitent dans une grande maison avec piscine sur Bayonne qu’elle s’est offerte avec l’argent qu’elle avait mis de côté pendant ses années de porno. Depuis plusieurs années, elle partage sa vie entre son travail, ses fils et le sport, et bien sûr son mari.
D’origine italienne, elle porte en elle, comme une signature, un pouvoir de séduction, l’alchimie miraculeuse donne la promesse d’une sexualité explosive ainsi qu’une attention maternelle. Elle noue ses longs cheveux avec une queue-de-cheval et s’habille généralement en tailleur sobre. Pourtant, elle garde une touche de sensualité féminine en portant en dessous de ses affaires des porte-jarretelles et strings.
Elle vit tranquille à Bayonne avec ses fils et son mari jusqu’au jour où Steve lui dit :— Il est peut-être temps de leur parler de ton passé avant qu’ils apprennent par eux-mêmes ou que leurs amis tombent sur une de tes vidéos.— J’ai un peu peur de leurs réactions ?— Oui, mais imagine si un de leurs amis découvre la vérité et leur raconte, leurs réactions seront pires.— Oui, tu as raison, je vais leur dire ce week-end.
En vérité, son mari qui a une maîtresse depuis plusieurs mois espère que la vérité sur l’ancienne carrière de la mère de famille va mettre en colère ses fils, comme ça elle sera occupée à se faire pardonner. Ça va occuper ses fils et sa femme, et comme ça il pourra profiter de sa maîtresse.
Fanny sait qu’une fois les révélations faites, ses fils vont sûrement regarder sur Internet pour chercher des preuves et lui poser beaucoup de questions, mais elle sait que malgré ça elle doit révéler la vérité.
Le week-end arrive et la mère explique à ses fils son passé d’actrice porno, en précisant que c’est fini depuis plus de vingt ans. Un peu choqués, les trois fils de Fanny tombent de haut, eux qui prenaient leur mère pour une sainte, ils ont réalisé que leur maman n’était pas celle qu’ils pensaient. Jeremy ose demander :— Pourquoi as-tu fait ce genre de film ?— Je ne vais rien vous cacher, j’étais une vraie accro au sexe et je le suis certainement toujours et c’est difficile car votre père ne me baise plus depuis des mois.
Stephen lui dit :— D’accord maman, tu aimes le cul, mais pour ma part, je regarderai des scènes.— Oui, toutefois j’ai deux conditions.— Ah oui, lesquelles ?— Vous n’allez pas vous branler en regardant et n’oubliez pas que je suis encore votre maman.
Fanny comprend très vite dans le regard de ses fils leur étonnement, en revanche le plus curieux, c’est le comportement de Stephen qui la mate de haut en bas. Mais à partir de ce moment, Fanny peut s’habiller de façon très provocante à la maison, elle qui s’était interdit ce genre de vêtement pendant des années ; maintenant que ses fils connaissent la vérité, plus besoin de se priver.Jeremy et Frédéric ont repris leurs habitudes sans en vouloir à leur mère, par contre Stephen a une réaction beaucoup plus surprenante. Il colle sa mère tout le temps, lui masse les épaules, se frotte à elle et lui touche même le fessier.
Dans le regard de Stephen il y a du désir et c’est un peu effrayant, mais également très mignon. Ça la dérange un peu que son fils la prenne sûrement pour la dernière des salopes. Elle le lui fait savoir :— Chérie, tu peux arrêter, ce n’est pas marrant.— Maman désormais, j’ai encore plus envie de toi.— Allez arrête tes bêtises.
Elle lui fait un petit bisou sur la bouche et lui dit :— C’est tout ce que tu auras.
Elle veut pousser son fils dans ses derniers retranchements, user de ses charmes et le provoquer l’air de rien. Sans aller trop loin, mais avec de la perversion pour le maintenir sous tension. Et ça l’amuse de voir jusqu’où elle peut pousser le bouchon, puisqu’il la convoitait alors qu’elle n’a jamais rien dit ou fait pour lui inspirer cette attirance. Eh bien, elle va encourager ce désir contre nature pour lui en faire baver. Il n’est pas question d’aller au bout, elle n’a pas perdu la raison ; il est juste question de le séduire pour le rendre fou, elle arrêtera au premier dérapage sérieux. Elle va pouvoir profiter vu qu’elle sera seule avec lui pendant deux semaines.
La première fois, il et surpris quand il croise sa mère en sous-vêtement dans le couloir. Il est ravi de pouvoir se rincer l’œil, mais ne se doute de rien. Puis il réalise qu’elle se promène pratiquement nue devant lui tous les matins sans aucune pudeur et il commence à se montrer méfiant.
Un soir devant la télévision, elle l’allume ouvertement. Elle s’est mise en nuisette très courte et pratiquement transparente, en gardant toutefois des sous-vêtements, . En revanche sa poitrine déborde de son soutien-gorge. Il admire ses magnifiques jambes, il plonge son regard dans le décolleté des gros seins maternel. Elle pose ses pieds sur l’accoudoir du canapé, jambes fléchies et cuisses écartées, puis tourne la tête vers lui :— Il n’y a vraiment rien à la télévision ce soir, je vais me coucher.
Elle l’embrasse encore une fois timidement sur la bouche. Uniquement éclairé par l’écran de la télévision, le spectacle que lui offre sa mère à moitié nue, fait un tel effet à Stephen qu’il baisse les yeux d’avoir eu des pensées impures.
Elle s’étire le buste en avant, les coudes en croix, elle se penche vers son fils, la lourde poitrine se pose au niveau de son visage. Elle l’embrasse sur les joues, le front puis sur la bouche à nouveau avec une affection maternelle, puis elle monte à l’étage. Stephen n’attend pas d’arriver à l’étage pour sortir son sexe, se masturber et éjaculer avant d’arriver à sa chambre.
Dans son lit, Fanny pense que son plan se déroule comme prévu, son fils est sous sa coupe, mais elle craint qu’il ne s’abîme la santé à force de se masturber. Mais, le retour du bâton était prévisible, elle s’est prise au jeu et s’aperçoit qu’elle est tout émoustillée, qu’elle est en proie au même désir coupable que lui. La mère de famille en voit de toutes les couleurs à imaginer qu’il était en train de se masturber à n’en plus finir n pensant à elle.
Tout excitée par ses pensées, elle écarte ses cuisses, retire la culotte et introduit un doigt, deux puis trois dans son vagin. La vague de chaleur la submerge, enflamme ses reins et elle s’embrase toute entière. Elle se mord les lèvres pour ne pas crier.
Elle n’était qu’un robot domestique, une très bonne professeure et bonne mère de famille, mais elle en veut plus. Par une surprenante idée, elle décide de faire un bon dîner pour elle et Stephen. Il est temps qu’ils passent une vraie soirée tous les deux et, qu’elle se comporte en adulte.
Elle choisit des produits avec soins, elle achète du champagne et du bon vin. Ils boivent bien pendant le repas et l’alcool aidant, ils plaisantent ouvertement. Après avoir mangé, ils vont vers le salon. Désinhibé par l’alcool, Stephen trouve sa mère superbe, maquillée et habillée comme pour un rendez-vous galant. Fanny ne tient pas trop l’alcool et bien installée dans le canapé, elle croise et décroise les cuisses. Son fils se demande si elle fait exprès de lui montrer sa culotte si c’est par accident car sous ses yeux, la jupe tailleur remonte jusqu’à mi-cuisse.

Fanny est ivre et le regard insistant de son fils lui provoque un frisson dans le bas de son ventre. Alors elle improvise un ballet des jambes croisées, et commence à se trémousser de plus en plus :— J’ai trop bu, je suis noué et j’ai besoin d’un massage mon cœur. Euh, excuse-moi je ne sais par pourquoi je t’ai demandé ça, je suppose que j’ai trop bu.— Non maman, je veux bien essayer de te masser.— Ne t’inquiète pas mon amour, maman va te guider.
Il aide sa mère à monter à l’étage, la soutenant d’une main par la taille et l’autre main sur son fessier, et c’est dans cette position fusionnelle qu’ils pénétrèrent dans la chambre de Fanny.
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