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Fantasme à 3

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
L’histoire est simple : c’est celle de notre rencontre érotique et charnelle avec le vainqueur de notre annonce libertine, mon engagement physique à m’offrir durant une soirée et une nuit à un autre homme, sans contraintes ni restrictions pour la première fois, devant les yeux de mon mari Sam. Histoire : C’est ce soir... enfin (ou déjà) ! Ce soir, nous accueillons notre vainqueur à notre annonce. Le tirage au sort a eu lieu il y a maintenant 3 semaines et malgré les mécontents et les réclamations, nous avons maintenu notre engagement à offrir cette rencontre si particulière. En effet, ce soir, c’est le premier soir où nous accueillerons dans notre couple une tierce personne. Il se nomme Nicolas, il nous a envoyé ses coordonnées, quelques photos et ses papiers d’identité pour valider son accord de respect mutuel. (Petit gage de garantie afin d’éviter tout quiproquo ou mauvaise rencontre.) Nous avons l’angoisse au ventre, mais nous ne pouvons plus faire marche arrière. Bien que nous en ayons beaucoup parlé avant ce jour, Sam me rappelle mon engagement et le défi de m’offrir sans refus à toutes les demandes de notre hôte et qu’il aura lui-même approuvé. Sans compter sur celle que Sam imposera lui-même en tant que spectateur. Je suis émue et à la fois terrifiée, ce soir, j’accueille dans ma vie, dans ma maison et peut être aussi dans mon corps un autre homme.Je sais que je vais tromper mon mari pour la toute première fois et c’est là ma plus grosse honte. Après cela, notre couple sera totalement différent, j’espère qu’il se renforcera au lieu de se briser. Je tiens à Sam plus que ma vie, et si j’ai accepté de franchir ce pas, c’est pour lui prouver ma capacité de lui donner du plaisir dans un fantasme commun et au-delà de toutes mes pudeurs habituelles.
Durant toute la journée, je suis émue, j’ai du mal à me concentrer dans mon travail, le stress me donne mal au ventre durant plusieurs heures, imaginant que tout le monde (collègues et amis) savent et que leurs regards sur moi réclament la vision de mon corps et mes actes promis ce soir... Il est 18h00, je suis rentrée chez moi après avoir déposé les enfants chez ma mère. Je suis obligé de lui mentir pour qu’elle me les garde pour la nuit, prétextant des contraintes professionnelles et l’absence de Sam en séminaire durant 2 jours. Encore un mensonge dont je ne suis pas fière.Bref, je rentre à la maison et je retrouve un mot de Sam sur la table de la cuisine avec simplement écrit: « Prépare-toi, je t’aime ». Je vais prendre ma douche, mais malgré l’eau chaude à 40°c qui me coule sur le corps, je ne peux m’empêcher de frissonner. Stressée et angoissée, je me douche et me lave deux fois puis commence mon nettoyage et mon rasage intime, comme il a été convenu. Entre mes lèvres, je découvre mon clitoris déjà gonflé de désir alors que dans ma tête se bousculent certaines envies de fuites et d’abandons. Je me ressaisis rapidement en entendant les clefs dans la porte d’entrée et Sam arriver. Immobile sous le jet d’eau qui ruisselle sur moi, j’écoute ses pas s’approcher, il me rejoint dans la salle de bain puis voyant un peu mon angoisse, me prend dans ses bras pour me sécher et me cajoler. J’en avais besoin et comme toujours : il est là, sa protection me rassure et me calme. Puis comme à son habitude, il m’inspecte et finalise mon rasage intime dans tous les détails. Pour finir, il dépose un doux baiser sur mon bouton gonflé pour me dire que je suis parfaite. Il m’embrasse dans le cou et donne le frisson. Puis vient le temps de l’habillage... encore une fois et comme convenu, je dois me plier aux exigences de Sam et de Nicolas. Afin de mettre en valeur mon physique tout en étant sexy et désirable, Sam a choisi ma tenue ce soir toute en noir (contraste idéal pour ma peau claire certainement). J’ai sur le bord du lit devant moi : une robe portefeuille, des bas autofixants et des escarpins de 7 centimètres. Aucun sous-vêtement ni même de soutien-gorge, ce qui ne m’arrange pas, puisque dès que je me baisserai, mes seins modérés et généreux (90c) pousseront le décolleté de ma robe comme pour s’en échapper. Un brin de maquillage encore et je suis prête à ouvrir la soirée de Sam et découvrir un nouveau monde. Il est 19h00, l’angoisse monte encore pendant que j’aide Sam en cuisine à finir notre apéro dînatoire... il est l’heure prévue... je commence à transpirer de peur et Sam me rassure... il me caresse la nuque et glisse aussi sous ma robe pour me détendre. Il constate que mon sexe n’est plus excité comme avant... l’angoisse ayant stoppé la sensation de désir, mon bouton restant au plus calme et mes lèvres à peine humides n’indiquent plus mes troubles. Il me répète qu’il restera présent à chaque instant et que ce n’est qu’un dîner comme un autre... avec un dessert extraordinaire si je m’en sens capable... Il dirigera la soirée et pourra tout stopper si je le lui demande. Je sais que Sam et notre invité Nicolas seront être des gentlemen, mais je ne peux m’enlever de la tête le fait que je vais certainement tromper mon mari et que je risque aussi de casser notre couple pour réaliser ce fantasme.
Il est 19h18 : on sonne !!! C’est lui !!! C’est Nicolas !!!... Je l’imagine derrière la porte, grand et viril comme sur les photos qu’il nous a transmises, les cheveux poivre et sel, avec un physique commun, mais bien fait. J’espère secrètement que lui aussi angoisse de nous rencontrer afin que nous ne soyons pas les seuls à ressentir ce stress. Sam me demande d’aller ouvrir, je tremble un peu, je réajuste ma robe pour ne rien laisser voir, et me dirige vers cette porte. Dans le couloir, elle me semble si loin et le temps semble s’arrêter, seul résonne le bruit de mes talons sur le carrelage... Puis, 2eme coup de sonnette, je me fige à 1 mètre de la porte... je le distingue à travers le vitrage opacifiant, il semble plus grand que ce que j’imaginais. J’avance un pas, saisis fébrilement la poignée, respire profondément pour canaliser ma peur... et ouvre. Nicolas est là, face à moi, à tout juste 3 mètres, il tient à la main un joli bouquet de fleurs et une bouteille de vin ou de champagne (je ne distingue pas bien avec la pénombre et la brume de la rue). Le silence est intense.
— Bonsoir... Estelle ?! — Oui... heu... bonsoir... Nicolas c’est bien cela ??? Entrez, ne restez pas ainsi dehors, Entrez !— Merci... quelle magnifique maison vous avez et vous... vous êtes ravissante ! — (timide, rougissante en lui faisant une bise de bienvenue) heu... Merci... entrez, donnez-moi votre veste, je vous en prie, Sam va arriver tout de suite.
Voilà Nicolas est là... parmi nous, dans notre foyer, notre vie... le troisième acteur de notre couple. Je pense rêver, mais la réalité est bien là... nous avons franchi un premier pas.
— Bonsoir, Nicolas ? (mon mari arrivant dans la pièce) Vous avez fait bon voyage jusqu’à nous ? Entrez, installez-vous... et pour faire tout de suite plus simple, je vous propose que nous nous tutoyions, ça permettra de casser un peu l’ambiance et cette atmosphère si pesante qui règne ici... non ???
— Oui avec plaisir... ça aidera tout le monde, je pense aussi... le stress est palpable bien que légitime. — Oui, en effet, cher Nicolas : bienvenue... je suis ravi de te rencontrer enfin. J’espère que tu vas bien... Pas trop déçu de la réalité ? — (un peu en retrait, j’essais de participer à la conversation): Oui, Bienvenue. Venez ! Nous allons nous installer au séjour, on sera plus à l’aise pour discuter... — Non, non, pas du tout déçu, bien au contraire, c’est très joli chez vous. Et... le reste semble plus que bien. (dit-il en me regardant...)
Sam emmène Nicolas au séjour et moi, chargée de la veste et du sac de notre invité, les suis sagement. Il est plus grand que Sam de bien 10 centimètres, il n’est pas très gros et présente très bien. On dirait un peu en VRP. Cette image me fait sourire en moi-même, mais un courant d’air froid de l’extérieur passant entre mes jambes me ramène vite à ma réalité... la porte d’entrée étant toujours ouverte. Rapidement, je la ferme de peur qu’un voisin ne nous voie et surtout pour calmer la réaction de mon corps toujours en panique. Sam débarrasse Nicolas des fleurs et de la bouteille tout en commentant la décoration de notre habitation pour l’accueillir chaleureusement, puis après ce rapide tour d’horizon l’installe sur le canapé, pour ma part, je range encore ses affaires sur la patère de l’entrée et viens les rejoindre avec la peur au ventre, et l’angoisse me parcourant tout le corps. Bien évidemment, je suis ce soir : la gentille femme soumise de Sam et comme il est convenu, je dois faire le service à ces messieurs. Parfois, un silence lugubre amplifie le bruit de mes talons sur le sol et donne une ambiance très particulière à la soirée qui s’annonce. Durant les discussions et afin de me faire bouger et me montrer à notre invité, Sam me demande de mettre en place le cocktail sur la table basse, ce qui m’oblige à circuler entre leurs fauteuils et mettre mon corps en extension pour attraper les flûtes dans le meuble juste à côté d’eux. Bien évidemment, les 2 hommes ne perdent pas une miette de mes courbes qui se dessinent sous ma fine robe, et le froid (ou la peur) faisant pointer mes seins indique clairement que je ne porte pas de soutien-gorge alors que je passe à quelques centimètres d’eux.
— Comme tu vois cher Nicolas, nous avons respecté nos accords. Elle est vêtue comme tu l’avais suggéré, et si tu le souhaites, elle peut te le prouver... — Eh bien... ravi de le savoir... eh oui, je veux bien vérifier si tu m’ y autorises... — (timide et saisie de peur face à eux, je balbutie)... Heu quoi ?... Et comment je fais pour...? — (rigolant) On a tout le temps... je te remercie de nous servir déjà à boire, mon ange. Nicolas a apporté du champagne, nous allons donc arroser notre rencontre avec... si cela convient à tout le monde évidemment. Et prépare aussi la suite... j’ai quelques bouteilles au frais.
Sam et Nicolas plaisantent entre eux, pendant que je cherche cette bouteille...Durant ma courte absence, je remarque que Sam a bougé de place et s’est placé face à Nicolas dans un autre fauteuil... afin de mieux l’analyser ou le jauger. Un rival pour lui, mais peut-être un ami aussi. Je ne sais plus où j’en suis et les observe de loin sans entendre leur discussion. Revenant de la cuisine, je m’avance alors vers eux et Sam me demande de les servir en précisant «Fais-le comme nous en avions parlé : Sers nous de face et jambes tendues, s’il te plaît mon ange ». Je m’exécute et saisis la première coupe sur la table... l’effet est immédiat, sans soutien-gorge, ma poitrine commence à entrouvrir ma robe et le bord de mes globes blanc de mes seins commencent à apparaître doucement dans l’échancrure. De plus, le fait d’être jambes tendues m’oblige à me baisser davantage et offre à ses messieurs une vue très plongeante dans mon décolleté, mais aussi sur le haut de mes cuisses que la longueur de ma robe ne couvre plus que jusqu’à la lisière de mes fesses.Je me sens mortifiée de la posture, et de ma soumission, mais cela n’a pour effet qu’une gêne palpable de la part de Nicolas (ne sachant où regarder) et un rire de Sam qui nous observe. Nicolas toujours gêné, malgré sa supériorité physique sur Sam, se sait observé et testé...L’ambiance est un peu lourde, mais très vite, Sam détend les choses en parlant du travail et de la soirée, du dîner et des affinités de chacun... bref, nous parlons, dînons et buvons (beaucoup) tout en riant de nous-mêmes. Cela dure un certain temps afin que nos esprits sympathisent et que nos peurs s’atténuent (partiellement). Puis l’alcool aidant, la soirée avançant et les esprits se réchauffant doucement, Sam, Nicolas, et moi-même abordons le sujet de notre rencontre et parlons de l’annonce et nos échanges de mails, de la soirée, et des idées de chacun. Malgré l’alcool et la seconde (ou troisième) bouteille de champagne qui nous aide vraiment à nous désinhiber, je ne me détends qu’à moitié (et cela bien que j’ai bu plus que d’habitude et que ma tête tourne déjà)...L’ambiance et les corps se réchauffent naturellement avec leurs propos parfois salaces ou grivois, et cela me met parfois mal à l’aise sur mon fauteuil juste entre eux. Mon angoisse et mon stress se ressentent physiquement si bien qu’à force de mouvements sur mon siège, ma robe laisse apparaître un décolleté toujours plus prononcé, mes seins pointant au-dessous commençant inexorablement à se dévoiler.
Malgré l’ivresse qui me monte au visage, j’essaie de me cacher de leurs regards et m’ajuster discrètement. Ma honte et ma pudeur essayant de garder le contrôle. En ma tête, j’essaie de me rassurer de la situation, car même si Nicolas et des quelques autres hommes m’ont déjà vue à demi nue sur un écran, il n’en reste pas moins que la réalité est bien différente. Heureusement, Nicolas et Sam sont très gentlemen et courtois avec moi malgré mon stress qui reste très palpable et mes efforts pour rester discrète, courtoise et souriante.Les discussions vont bon train, et commencent doucement à dériver sur les détails de la rencontre, les photos échangées et les performances de chacun, Sam et Nicolas se taquinent mutuellement. Au milieu, je n’ose rien dire... Je reste dans mon rôle de femme soumise...(le silence et la honte m’aident beaucoup pour cela). Sur certaines photos plus intimes et explicites, Sam fait l’éloge de mes prestations buccales (ce qui me met très mal à l’aise et rougir de honte face à eux). Il parle de mes qualités de tendresse et de douceur. Sam est un poète même quand il parle de sexe, et j’aime beaucoup sa description et sa vision flatteuse qu’il a de moi. Inconsciemment, cela m’excite et je sens mon corps réagir sans le laisser paraître.
— Oui cher Sam, je t’avoue que les histoires et les photos de ta femme sont magnifiques, (ajouta notre invité) et que j’ai souvent eu le plaisir de me caresser sur les images de son corps et sa bouche. J’imagine qu’elle a (ou qu’elle doit) avoir un savoir-faire merveilleux et que tu en profites bien souvent. J’imagine souvent la voir en action et je te remercie très sincèrement pour l’invitation aujourd’hui.— (mon mari gêné et fier) Oui, je te confirme, elle est plutôt douée et même si elle n’ose pas les extrêmes, elle prend toujours soin de moi. Et tu sais... depuis notre décision de poster l’annonce de notre fantasme via le site de rencontre, je trouve même qu’elle fait des progrès, sans doute la honte, ou la peur de mal faire...
Sur ces mots, toujours dans le silence, je baisse les yeux de honte... « Comment parlent-ils de moi ?? » me dis-je en moi-même. Je me sens vraiment humiliée d’être décrite comme une vraie salope, mais fière aussi d’être reconnue comme une épouse aimante et soutenue par son mari, car aucun de leurs mots n’est vulgaire ou insolent à mon égard, tout n’est qu’éloge. Bien sûr, la discussion se poursuit, et je constate que ces messieurs commencent à avoir leurs pantalons de plus en plus étroits. Je distingue à présent leurs bosses et m’imagine déjà leurs douleurs à cause de leurs enfermements. Pour ma part, mes seins pointent toujours, et ma robe s’ouvre toujours un peu plus chaque fois que je me penche pour saisir mon verre... je croise mes jambes et serre les cuisses pour essayer de garder un peu de dignité sur moi-même, mais je sens bien que l’alcool me fait perdre un peu plus de force à chaque minute. Sam, me voyant coincée et renfermée dans mon fauteuil, intervient alors :
— Estelle, mon cœur, ça va ? Cela te gêne notre discussion ? Nous allons peut-être trop loin, je suis désolé mon cœur... — Heu quoi ? Non, non... je me doutais bien qu’on arriverait à cela... — Ah, bien. Mais sinon, dis-le-moi... il n’y pas de problème. — Oui bien sûr... je... je te dirai déjà. (dis-je timidement)— Je pense que... tu devrais un peu respirer, tu sembles avoir chaud... Et je pense aussi que l’heure passe et que notre ami Nicolas a beaucoup de mal à être concentré avec ce que tu donnes en spectacle sur tes photos... Je pense que le virtuel pourrait être remplacé par un peu de réel ? Qu’en penses-tu ???
Agar, je réalisais que les choses sérieuses allaient démarrer...
— Heu... oui. Enfin... Comment ?... je dois ?... Quoi ? (Balbutiais-je) — S’il te plaît ma chérie, tu as très bien compris et tu sais le pourquoi nous sommes là ce soir. Ouvre maintenant ta robe et montre-nous tes jolis seins... Nicolas et moi-même n’attendons que cela depuis tout à l’heure... n’est-ce pas ??? — (presque gêné sur son fauteuil, le pantalon déformé par son érection.) Heu oui, enfin si elle veut... Oui, j’ai hâte de la voir aussi, mais faut pas qu’elle se force... — Estelle, s’il te plaît... tu veux bien te lever... et faire ce que je te demande.
Je me lève alors de mon fauteuil, et leur faisant face... délicatement, du bout de mes doigts, j’ouvre les 2 pans de ma robe laissant paraître mes seins ronds et blancs dans la lumière du séjour. Je m’expose ainsi : tête baissée et rouge de honte, debout sur mes talons hauts, eux deux dans leurs fauteuils et moi écartant ma robe pour afficher fièrement et honteusement ma poitrine nue et tendue. Le silence se fait, et l’admiration de Nicolas de me voir en réel est clairement visible sur son sourire et dans son regard malicieux. Sam de son côté se sent fier, et me regarde avec amour... ce qui m’aide un peu à tenir la pose. Sam se lève alors à son tour et me rejoint... je reste immobile... il passe derrière moi et de sa main, caresse mes hanches et le pourtour de mes seins, l’effet de sa main sur moi est net, sa caresse durcit encore un peu mes tétons et gonfle ma poitrine de plaisir. Sam me les pèse et les effleure, les touche et les pince un peu. Il me donne en spectacle à Nicolas resté assis les yeux exorbités de bonheur et lubriques.Moi, je ferme les yeux et « miaule silencieusement » de plaisir sous la caresse, oubliant presque notre invité. Puis dans le creux de l’oreille, Sam me dit : « Je lui laisse ma place, reste immobile, je pense qu’il a droit aussi de goûter à ta douceur. »(Sam lui faisant signe de le rejoindre) (voulant protester) - Quoi ??? Heu oui, non... quoi ? Comment ? » Je ne réalise pas encore que Nicolas est déjà face à moi, je suis toute petite à nouveau devant ce colosse de 1.85m. Délicatement, il avance ses mains et me saisit les seins à pleines paumes. Il me les presse avec douceur, mais fermeté, les malaxe un peu et les fait rouler. Il les rapproche et les tire, m’arrachant de petites plaintes et gémissements à peine audibles. Je ferme mes yeux et me mords les lèvres pour contenir mes sensations et ma souffrance. Je réalise qu’un autre homme me touche... je suis perdue et honteuse.
— Ils sont magnifiques, et très doux. Un vrai délice... pour les yeux et le reste... dit-il en souriant.— Oui, j’aime beaucoup lui tenir les seins, ils sont bien ronds et fermes, juste la bonne taille pour mes mains. — Pour les miennes aussi... J’adore... !
Je suis entre eux, petite et immobile, chacun d’entre eux me tenant un sein et commentant leurs sensations sur ma peau, je reste immobile et un peu en panique...Sam est là et cela me rassure. Ils s’amusent de me tripoter et commenter mon corps blanc et tendre. Puis j’entends un « Je peux ? » et l’instant d’après, je sens les lèvres de Nicolas se coller à mon mamelon et me téter. Sa langue tournant sur mon aréole et mon téton, le rendant très sensible et dur. Sam, derrière moi, me glisse à l’oreille : « Ça va ? On continue ou tu veux arrêter... ??? » Je ne réponds pas et il ajoute « Bien, ton silence est la réponse que j’attendais, tu vas te laisser aller et te laisser faire... » Nicolas continue ses baisers sur mes seins, moi tenant toujours ma robe ouverte et Sam s’éloignant de nous pour admirer le spectacle. Je cherche Sam du regard, pour me rassurer et me calmer, je le fixe, laissant Nicolas me dévorer le corps à la fois. Mon mari s’installant dans son fauteuil, me regarde ainsi offerte, son sourire charmeur me rassure et me confie qu’il surveille toute la scène et que je n’ai rien à craindre...
— Nicolas, vas-y doucement, Estelle est sensible et il ne faut pas la brusquer. A présent, elle est à toi !!!... Tu peux la prendre !!! Comme convenu... mais attention, je suis là. Pas de bêtises.
Ces mots font monter en moi l’angoisse d’un cran, mais sa présence me rassure. Je suis la poupée d’un homme qui de ses mains, caresse mes hanches et mes flans, mon dos et mes reins et qui de sa bouche, lèche et embrasse mes seins déjà sensibles.
— (se tournant vers Sam) Je te remercie, je peux tout faire ? Tout demander ? Et elle obéira ? Ou dois-je lui imposer et passer par toi ? — Elle est à toi ! Fais comme bon de te semble, elle sait qu’elle doit obéir à tes demandes. Mais avec tendresse, je te prie. Si ça ne convient pas, j’interviendrai déjà... — Merci... c’est presque trop... j’apprécie...
Puis Nicolas s’éloigne un peu de moi pour me toiser sur toute la hauteur, son visage semble heureux de me posséder, il attendait cela depuis maintenant 2 bonnes heures et je suis maintenant devant lui, bien plus petite, presque minuscule et à sa disposition.
— Ma belle Estelle, voyons voir si tu es si soumise... écarte ta robe... je veux voir si tu es rasée... ensuite, mets-toi à genoux, je te prie.
Je lui obéis sans mot dire, toujours tête baissée, je laisse mes mains descendre et ouvrir les plis de ma robe, je la remonte et doucement dévoile ma nudité et ma fente fraîchement épilée à son regard dominateur. Ensuite, après quelques secondes, humiliée et docile, je me place devant lui à genoux, je devine son sexe toujours en érection et coincé dans son pantalon qui se trouve juste au niveau de mon visage, sa prison de textile me fait machinalement sourire, pourtant ma position ne me rend ni fière ni forte face à lui. J’imagine la suite et sa demande certaine de le libérer pour que je le prenne en bouche...
— Maintenant, grimpe sur ce fauteuil à 4 pattes... Petite soumise...
Un peu perdue, et ne m’attendant pas trop à cette suite, je m’avance alors à 4 pattes sur le carrelage, ma robe remonte sur mes fesses et dévoile mes bas... mes talons ne me servent plus qu’en décoration, et mes seins pendent vers le sol vulgairement. Je m’applique à faire bonne figure et me dirige vers le fauteuil indiqué (celui juste face à Sam), puis monte dessus tel un animal. Mes mains posées sur l’accoudoir, mes genoux dans l’assise, ma croupe se dresse et mes reins se creusent devant leurs yeux émerveillés. Nicolas à présent derrière moi distingue très bien, sous le tissu délicat de ma robe, ma fente qui apparaît dans la pénombre.
— (d’un ton plus autoritaire) Tourne-toi ! Fais face à ton mari et regarde-le ! Ecarte plus grand tes cuisses, mets un genou sur l’autre accoudoir que je puisse bien te voir ! Parfait soumise, maintenant, passe ta main sur ta fente et cambre-toi bien.
Sam surveille chacun des ordres et des actes, et bande fortement dans son coin, il saisit son portable et mitraille de photos ma posture offerte. Je m’exécute, j’ouvre doucement mes jambes et pose mon genou sur l’accoudoir, je sens un peu d’air glisser jusqu’à mon ventre, et caresser mon sexe ainsi dénudé et à peine caché. Nicolas se présente derrière moi, je le regarde d’un coin de l’œil, mais continue de regarder Sam, toujours très attentif et souriant.
— Ne stresse pas comme ça Estelle, je ne te ferai aucun mal, tu es une magnifique femme et je ne veux rien de plus que ton consentement et ton plaisir.
Nicolas saisit alors les bords de ma jupe et délicatement, la remonte dans un effleurement sur mes fesses et sur mes reins... Je suis cul nu, à 4 pattes devant un inconnu, les seins libres sous moi et lui avec ses grandes mains sur mon bassin qui admire ma croupe fraîchement épilée et soyeuse, il m’écarte les fesses pour ouvrir mon scion et voir mon anus... je me sens humiliée et dégradée.
— Elle est superbe... tu penses qu’elle ira plus loin ??... dit notre invité s’adressant a mon mari...— et mon mari a m’interrogeant: Estelle, on continue ? Ou tu arrêtes ? — heu je ne sais pas... heu... on continue, c’est ton fantasme mon chéri, donc... Oui... (oses- je dire timidement)
Par sa question, Nicolas avait fait la demande à Sam pour la permission d’être plus entreprenant et plus agressif avec moi... et verbalement, je lui donnais moi-même mon accord pour aller plus loin. Nicolas posa alors une main sur mes reins pour me cambrer puis... « CLAC » !!! il venait de me donner une première fessée. Le bruit dans le silence du salon résonna très fortement, la douleur et la sensation de piqûre me transpercèrent et me coupa le souffle. Je lâchai un cri de surprise plus que de douleur et regarda Sam pour l’appeler « au secours », mais il ne dit rien. « CLAC »... une seconde fois, sur l’autre fesse, Nicolas abattit sa grande main sur moi... Je sentais la chaleur envahir mon fessier et la honte monter à mes yeux... et pourtant je ne bougeais plus. De peur et par surprise.
— Parfait, elle rougit !!! Pour me faire pardonner, je vais être plus tendre... je te prie de m’excuser Estelle... — Encore !!!— Comment cela ??? — Quoiiiii ??? Non... m’offusquais-je— Donne-lui encore la fessée, elle ne connaît pas cela, donne-lui la fessée encore deux/ trois fois. Et sur chaque fesse, je te prie. Vas-y franchement... même si elle crie. Imposa mon mari.— Quoi ?? Sam... non... !
Nicolas reste un peu perplexe, mais obéit à Sam. Je n’eus pas le temps de finir ma phrase et ma protestation que Nicolas avait à nouveau frappé ma fesse, encore plus fortement qu’avant. Je tournai la tête, mes yeux larmoyant vers lui pendant qu’il réarmait son bras pour la suivante. Et « CLAC » à nouveau sur mon cul à présent rouge et endolori... chaque coup m’arrachait un cri de douleur et un sanglot d’humiliation. « Ça suffit !! » cria enfin Sam...
— Pardon Estelle, je voulais voir tes fesses bien rouges et surtout si tu restes docile à ton nouveau maître, c’est tout... tu es une soumise, ne l’oublie pas et ce soir, tu dois être offerte à notre plaisir. Je l’ai demandé justement pour rappeler ton engagement... et tu m’apportes satisfaction par ta tenue...
Il avait raison, je m’étais engagée à cela ce soir... mais je ne m’attendais pas à une telle maltraitance non plus.
— Pardonnez-moi Estelle, je n’ai fait qu’obéir a votre maître. — Arrête ton cinéma Nicolas, tu en avais envie aussi... et puis ce soir, elle a 2 maîtres donc... Fais-toi plaisir, je te répète qu’elle est à toi. — Parfait alors... nous allons voir ses limites et faire des petits jeux... J’espère qu’elle sera à la hauteur, sinon... nous la punirons. (rires)
Encore tremblante et sonnée par les coups et les mots (ou l’alcool), je restais en position offerte, mes yeux mouillés et rivés dans ceux de Sam qui lui, jubilait de me posséder par intermédiaire. Pour se faire « pardonner », Nicolas glissa ses mains sur mes fesses pour les caresser et les soulager, il reposa une de ses mains sur mes reins, m’obligeant à me cambrer encore pour tendre mes fesses et de son autre main flattait mes globes rougis non sans effleurer mon scion... puis toujours en position, il glissa très doucement sa main vers l’intérieur de mes cuisses et passa son bras jusque sur mon ventre. Je sentais à présent son avant-bras entre mes cuisses ouvertes et contre mon sexe. Il me touchait les seins et le ventre par-dessous, puis très délicatement, sa main se dirigea vers ma vulve nue et disponible... il passa sa main très doucement sur mon sexe presque lisse et glissa un doigt entre mes lèvres pour les entrouvrir. (Je frémis de ce contact impudique). Il continua ainsi quelques secondes, me massant le clitoris et finit par déposer le bout de ses doigts dans mon scion et sur mon anus bien en vue.Il indiquait ainsi tout un parcours sensuel et sensitif sur mon corps qui me faisait doucement onduler. « Elle est humide et réceptive !! C’est bien... je pense qu’on va bien s’amuser... dit-il soudain...Ses attouchements sont délicats et tendres... cela compense avec la dureté des coups reçus qui me piquaient encore les fesses. Je ferme les yeux pour ne plus trop penser, à la situation, à ma posture, et l’inconnu qui me touche. Puis d’un coup, un frisson me parcourt le dos et je rouvre les yeux, je sens son souffle, Nicolas a glissé son visage vers mon sexe, et délicatement vient embrasser ma vulve et mon bouton qui commence à gonfler. La honte, le plaisir et l’angoisse se mêlent lorsque je sens sa langue fouiller entre mes lèvres et goûter mon corps frémissant... Nous y sommes (deuxième pas de franchi), je suis offerte à un autre homme, je suis en train de tromper Sam, mon mari bien aimé, et peut-être détruire notre couple. Je commence à paniquer sans pouvoir bouger. Pour me rassurer, voyant mes regards et mon angoisse, Sam s’approche...
— Qu’y a-t-il ? Ça ne va pas ? Il te fait mal ? Tu veux arrêter ma cherie ? — Oui... il me touche, il me... S’il te plaît, je t’aime... je ne veux pas détruire notre couple.— Tu ne détruis rien, tu le renforces, je suis si fier de toi et du cadeau que tu m’offres. Mais si c’est ton choix alors on arrête.— Tu es sûr ? On ne détruit rien... ?— Oui, j’en suis sûr ! Je t’aime ! Et je sais que tu aimes être livrée comme cela. Car tu le fais pour moi et que tu aimes me donner du plaisir tout en recevant, n’est-ce pas ?— Oui je t’aime, je ferai tout pour toi... Mais... — Mais rien du tout... je suis fier de toi mon amour. Et je sais que tu vas aller au-delà de toutes nos espérances. Pense que je suis lui, et que je suis en train de te faire la même chose.
Remarque un peu idiote de sa part, mais qui me rassura en sentant la langue de Nicolas fouiller encore l’entrée de mon sexe et doucement faire appel à mon plaisir. Quelques secondes s’écoulaient ainsi, Nicolas goûtant mon clitoris et jouant et glissant ses doigts entre ma vulve et parfois mon anus, m’arrachant de petits frémissements de surprise. De son autre main, il venait aussi prendre mes seins toujours pendants et effleurant le tissu du fauteuil... j’étais à sa merci totalement... ma robe sur les reins et dans une posture des plus équivoques. Après un court instant, Sam revient vers moi, me relevant la tête et me dit :
— Ça va ? — Oui... j’ai chaud... — Je vois... tu veux quoi ? Qu’il arrête ? Ou autre chose... ? — Oui... non... C’est bon comme ça... pas plus... (la tête me tourne) — Tu aimes ça ? Tu es une petite coquine ? Ça t’excite d’être offerte ainsi ? Tu aimes que je te regarde et te prenne en photo ? Dis-moi ? — (entre 2 coups de langue de Nicolas qui me font sursauter et vibrer). Oui, j’aime bien ça !!! Mais je ne suis pas une coquine..., j’ai envie de te faire plaisir... je t’aime, mais j’ai honte... — Dis-le encore ! Dis-moi ce que tu veux ! — Toi mon chéri.
A ces mots, Sam m’embrassa tendrement et présenta son pantalon gonflé de son érection face à mon visage. Il ouvrit sa ceinture, puis son pantalon et sortit son sexe déjà très dur et plein de désir juste devant mon regard... Il me prit alors la tête et d’une main, guida son sexe entre mes lèvres à demi ouvertes. Son gland entra en moi sans difficulté et je lui fis une fellation très délicate... Cependant, je réalise que nous ne sommes pas seuls, Nicolas est toujours là et très aventureux... Voyant Sam prendre ma bouche, il s’arrête et lui demande si c’est agréable.
— Oui, c’est sublime, comme toujours, mais ne t’arrête pas, elle est à toi cher ami, mais je me sers un petit acompte aussi. — En effet, ça donne envie...
Puis Nicolas retourne à mon clitoris, m’arrachant encore des vagues de plaisir et quelques gémissements étouffés par le sexe de Sam dans ma bouche.
— Suce-moi bien Estelle, c’est très bien !! Tu aimes sentir sa langue te fouiller pendant que tu me suces ?
Ne pouvant répondre qu’avec les yeux je hoche la tête doucement en guise de: oui.
— Tu m’excites... continue. !
Nicolas semble très excité aussi derrière moi, je le sens m’ouvrir les fesses de ses mains et sa langue remonter le long de mon scion. Mes yeux s’ouvrent en grand lorsque je le sens glisser sa langue sur le tour de mon anus, comme pour le lubrifier. Sa main caresse mon sexe et pince un peu mon clitoris... je sens ses doigts entrouvrir mes lèvres et mon vagin humide, mais sans me pénétrer. Après quelques va-et-vient de surface, il remonte ses doigts sur ma rondelle, testant ma résistance et mon élasticité... je veux protester de cet attouchement lubrique et sale, mais Sam me remplit la bouche et me maintient de ses mains avec force. Nicolas insiste et me lubrifie l’anus délicatement avec un mélange de ma mouille et de sa salive... puis d’un regard, avec Sam, il gagne mon accès interdit. Doucement, je sens 2 de ses doigts entrer dans mon vagin et un troisième pousser sur mes sphincters anaux. Je gémis et me tortille pour refuser l’intrusion, mais je ne peux empêcher l’inévitable, Nicolas me pénètre seulement de quelques phalanges, mais suffisamment pour que mon esprit réagisse : « Mon Dieu, je suis en train de tromper Sam, Nicolas me pénètre ! un autre homme touche mon corps et me prend !!! » Cette réflexion me terrifie.Je suis leur poupée, Sam toujours dans ma bouche, m’empêchant de crier ou protester, Nicolas m’embrassant le clitoris et insérant ses doigts dans mon sexe humide... je suis perdue entre eux, entre le plaisir et la honte. Puis Nicolas se relève, gardant sa main sur ma vulve en guise de caresse... je m’attends à tout dans cette position, je suis immobile et terrifiée de ce qu’il va me faire. Mécaniquement, je m’applique sur Sam qui s’amuse à déformer mes joues pour me prendre en photos avec son membre en bouche et mes fesses nues en arrière-plan. Nicolas, caressant mon dos et mes seins, se rapproche de mon oreille en embrassant délicatement mes épaules avant de me dire « A mon tour !!! Viens me sucer petite soumise ! » Les 2 hommes se regardent avec complicité et Sam quitte ma bouche, non sans un soupir de regret. Nicolas est debout devant moi et je me retourne pour m’asseoir sur le canapé et lui faire face. Je regarde Sam pour le supplier de répondre quelques mots, mais ses paroles sont nettes :
— Alors Estelle, tu ne veux pas le sucer aussi ? Il a bien le droit de goûter à tes talents.— Mais Sam ?... Comme cela ? Sans... ? — Oui ! A nu ! Pour une pipe, tu n’as pas besoin de lui mettre de capote, je veux qu’il sente ta langue l’honorer comme tu me le fais si bien. — Et toi, interdit de jouir... sinon, c’est dehors !!! Compris ?! repris Sam— Oui, compris, même si ça sera difficile...(rire) Les yeux de Nicolas brillent de plaisir et d’envie en me surplombant de toute sa hauteur.
Alors Estelle, tu viens ? Viens t’occuper de moi, je veux tester tes compétences de suceuse. Mets-toi à genoux et viens me sucer la bite !Tristement honteuse, je m’exécute et tombe à genoux devant mes 2 hommes, je m’avance vers Nicolas et dirige mes mains vers sa ceinture pour libéré son chibre de sa prison. Il bande aussi très fortement et j’imagine la douleur qu’il ressent coincé ainsi dans son jeans. Délicatement, les mains tremblantes, j’ouvre sa ceinture, dégrafe chacun des boutons de son jeans et l’ouvre pour lui faire descendre. Son sexe est beau, comme celui de Sam, pas trop long 16/17 centimètres peut-être, mais aussi épais (environ 5 centimètres de diamètre). Il ressemble beaucoup à celui de Sam à l’exception qu’il n’a aucun poil. Un sexe d’adulte, mais en mode petit garçon. Son prépuce recouvre encore à moitié son gland déjà très rond et dur... Son mat doucement veiné et rigide se dresse devant mon visage. Etrangement Mon mari, interrompit le moment:
— Nicolas, va t’installer confortablement, ne reste pas debout comme cela. — Quoi ? Comment ?? — Oui, prends ce fauteuil et installe-toi, Estelle va venir te sucer et je te donne un verre de vin pour que tu apprécies le moment, si cela te va ?— Heu... oui, bien sûr...évidemment.
Nicolas retire son jeans complètement et se dirige vers le premier fauteuil du salon pour s’y asseoir. Moi, toujours à genoux, et perdue dans mes pensées le suivant du regard.
— - Estelle, mon cœur, donne ce verre de vin à Nicolas s’il te plaît. Ensuite, obéis à son ordre. Veux-tu ? Ha et puis à moi aussi, je boirai bien un truc s’il te plaît. — Heu oui... comme tu veux... de quoi ?
Je ne réalise pas ma soumission à cet instant, Sam et Nicolas se sont installés chacun dans un fauteuil et moi, à demi nue entre eux, leur fait le service telle une soubrette apprivoisée.
— Parfait, j’adore cette soirée... plaisante mon mari— (souriant et verre à la main) Et moi donc... repondit notre invité.— Alors Estelle... je t’attends... Montre-moi comment tu fais une bonne pipe.
J’hésite, mon regard passe de Nicolas à Sam puis à leurs sexes tous les 2 en érection pointant vers le plafond. Je cherche le réconfort de Sam qui arrive lentement et qui ne me rassure qu’à moitié... Sa main effleure mes fesses à mon passage et tire sur la ficelle-ceinture qui tenait encore ma robe accrochée à ma taille, il me la retire et je me retrouve à présent toute nue entre eux, juste en talons et bas noir... (L’image d’une prostituée de luxe, d’une bourgeoise soumise me traverse l’esprit).
— À genoux maintenant !
Le ton de sa voix est ferme et directif, mais mon hésitation en est la cause. Obéissante, je me place face à Nicolas qui a ouvert les jambes pour me permettre de m’approcher. Son sexe devant moi, pointant fièrement vers mon visage me paraît plus grand et gros qu’avant... j’hésite encore, le regardant boire son vin.
— Alors ma belle, tu as peur ? Suce-moi ! Fais honneur à ta réputation de salope...
Je regarde Sam qui sourit et m’encourage par sa présence. J’approche doucement mes mains et saisis la base de ce sexe nouveau pour moi... il est doux, chaud, et lisse...Délicatement, je tire sur le prépuce pour découvrir son gland rouge et soyeux. Puis lentement, je l’embrasse et le prends dans ma bouche...Le soupir (ou le râle) de Nicolas exprime l’effet que je lui procure et la délicieuse sensation de chaleur que je lui offre. « Je trompe Sam, je suce un autre homme... et en plus devant lui, j’ai honte, pardon, mon amour. » mes pensées s’entrechoquent dans ma tête... mais je ne m’arrête pas. Je pense à mon engagement et son fantasme. J’entends Nicolas soupirer de bonheur sous la pression chaude et humide de mes lèvres et de ma bouche sur son sexe. Je le titille un peu du bout de ma langue avant de reprendre à pleine bouche...Je m’applique, le gobe, le fais coulisser dans ma main et entre mes lèvres. Je le fais entrer en moi selon son désir... comme Sam, il est un peu trop grand pour le prendre en entier, mais mes mouvements et sa bonne taille suffisent à me remplir la bouche et à lui donner un maximum de sensations.Sa main libre se pose à présent sur ma tête pour m’empêcher de fuir et me pousser un peu loin parfois. Je sais que Sam me voit et me photographie... j’espère qu’il est fier de moi. Nicolas, lui, déguste de la vision et la sensation de ma pipe tout en buvant son vin. J’imagine la scène : moi à genoux entre ses jambes, nue, et fesses tendues, en train de sucer pendant que les hommes échangent encore quelques mots, verre à la main. On dirait un film noir. Nicolas commence à gonfler en moi, et je sens que si je continue, il va jouir... j’essaie de me retirer, mais il me bloque. Heureusement, il reprend conscience et me libère avant que cela n’aille trop loin... je le retire, mais continue mes baisers sur sa hampe et ses bourses... Je me redresse, lui caresse un peu les testicules et les lui embrasse. Il semble être au paradis...
— (surexité) Haaa bon sang, que c’est bon... putain ! Suce-moi encore... tu es trop bonne... allez, bouffe-moi les couilles aussi, lèche-moi bien la bite et les orphelines, je suis sûr que tu aimes te montrer petite pute... tu aimes montrer ton cul à ton mari pendant que tu me suces... tu es une bonne chienne. Vas-y, place tes mains dans ton dos, écarte tes fesses pour ton mari, je veux voir tes seins se balancer pendant que tu me suces... obéis, salope... — J’obéis encore, bien que ses insultes me gênent et m’humilient autant que la posture offerte que j’offre à leurs regards.
Sans attendre, je place mes mains dans le dos, je plonge sur sa queue pour la glisser entre me lèvres, je le serre, l’aspire et le suce du mieux possible, parfois, je le sors pour m’appliquer sur ses testicules que je gobe et lèche... lui, de son côté, appuie sur ma tête pour me donner la cadence et la profondeur... il aime voir mes seins pendre sous moi et imprimer le rythme de mes allers-retours sur son sexe tendu. Puis Nicolas m’interrompt pour éviter le drame ou juste profiter de ma posture et de la scène...
— Bravo belle suceuse, tu as failli me faire exploser... Viens maintenant me branler avec tes seins... dépêche-toi... Tu as vraiment beaucoup de chance avec ta femme... Sincèrement. Elle pompe divinement bien...
Docilement, je remonte entre ses jambes et sur le canapé pour glisser son sexe entre mes seins... puis de mes mains, je l’enserre et le fais coulisser entre mes mamelles... nos regards se figent l’un vers l’autre et ses mains accompagnent mes mouvements...
— Viens te joindre à nous mon ami... après tout, c’est ta femelle... donc profites-en..... — Non, je te remercie, ce soir, c’est la tienne... elle est offerte et je préfère la voir ainsi.
Intérieurement, je regrette un peu que Sam ne vienne pas me secourir, mais d’un autre point de vue, je me concentre pour m’auto-convaincre que Nicolas n’existe pas et que c’est à Sam que je fais l’amour ce soir.
— Mon ami, merci, mais j’insiste... viens l’honorer aussi... elle mérite d’être récompensée pour tout le bien qu’elle me donne. — Que veux-tu ?... Je ne suis même pas censé intervenir... je le ferai après toi... peut-être.— Très bien... Donc je peux en faire ce que je veux... et même la baiser ? — Absolument... tu as toute la soirée pour cela... enfin si elle est d’accord... bien qu’elle n’ait pas vraiment le choix.
Entre eux 2 et leur conversation, le sexe de Nicolas entre les seins et parfois au bord des lèvres, je me sens perdue... que veulent-ils vraiment de moi... et comment ?
— (Autoritaire) Relève-toi ma belle, j’ai envie de ta petite chatte... approche...
J’obéis...
— Approche, je te dis... !
Nicolas, sans tendresse, passe sa main entre mes cuisses et saisit mon entrejambe pour me tirer vers lui. Je tombe à demi sur lui et sur le canapé, lui mettant mes seins en plein visage... ce qui lui procure sans doute un sentiment de puissance. Tout en essayant de me relever et le repousser, il me suce un sein, le mordille pour me faire gémir et à la fois, je le sens insérer 2 doigts dans mon vagin pour me faire onduler. Son intrusion me fait mal et je me tords sous sa contrainte. Je suis sur lui, il me veut. Et me le fait savoir... il m’ordonne un baiser « Ouvre ta bouche et embrasse-moi !!! », et tout en fourrant sa langue dans ma bouche, il vient écarter mes fesses et toucher mon scion. Je me cambre pour échapper à son emprise, mais reste maintenu par la force de ses puissants bras... Sa langue me fouille la bouche et mes supplications s’étouffent en gémissements.
— Je te veux et je vais te baiser, petite salope !!... Allez, tourne-toi ! Face à ton homme ! Maintenant ! Je veux qu’il te voit quand je vais entrer en toi !
Son regard est froid et presque cruel lorsqu’il m’ordonne de refaire face à mon mari. Je me redresse face à lui et doucement, me retourne face à Sam, les yeux ébahis du spectacle que je lui offre.
— Allez Estelle, viens te mettre sur ma bite, viens t’empaler... je suis sûr que tu en a envie... tu vas me sentir dans ta chatte et dans ton ventre... et je veux que tu le fasses devant ton mari comme une bonne soumise que tu es. Allez, dépêche-toi.
Face à Sam, honteuse et un peu larmoyante, je tourne le dos à Nicolas qui me saisit les poignets pour me faire descendre sur son sexe érigé comme un poteau sous moi...
— Stop !!! Tu n’oublies rien... ??? Capote mon ami... interrompt soudain Sam.— Oui c’est vrai, ça sera encore meilleur et comme cela, je pourrai jouir en elle sans me soucier de te la féconder.
L’ambiance glauque retombe d’un coup, l’intervention de Sam a été bénéfique et m’a remis les pieds sur terre. Moi qui quelques secondes auparavant (comme sous hypnose) allais me laisser perforer le ventre sans résistance ni même réactions.
— Ma chérie, va chercher ce qu’il faut, c’est sur le buffet dans l’entrée, Nicolas les a amenés dans son sac... d’ailleurs, tu peux amener tout le sac... je crois qu’il y a des petits trucs sympas aussi... — Heu... oui... si tu veux... oui... (j’obei mécaniquement)
Docilement, et nue, je m’éloigne de la pièce, leur offrant une vue sur mon fessier encore rose des claques reçues en début de soirée. Je cherche alors le sac rempli de divers objets inconnus pour moi (sauf un gode que je distingue au fond). Au milieu de ce bazar, je trouve enfin le paquet de préservatifs qui semble encore plein et dont l’inscription indique « extrafin - peau à peau - endurance ». Clairement, il s’agit d’une protection tellement fine que je ressentirai les choses comme si rien ne nous séparait... et qui dit endurance, dit aussi retardateur pour faire durer le plaisir et l’acte. Je me dis en moi-même que la soirée risque d’être longue et très délicate pour moi... je regrette presque d’avoir accepté ce jeu et cette situation malsaine. Pourtant je suis déjà allé trop loin.De retour au salon, je découvre que les 2 hommes sont à présent totalement nus et m’attendent, la bite fièrement dressée. Malgré moi, je souris de les voir ainsi, oubliant presque moi aussi que je suis nue et que c’est moi qui vais devoir les satisfaire. Par habitude, je me dirige vers Sam et ouvre la boîte pour en extraire le capuchon protecteur.
— Où vas-tu ? Tu te trompes de personne ma chérie, mais ce n’est pas grave... — (en riant, encore ivre) (merci l’alcool) Oups, pardon, tu as raison...
Je me retourne et fais face à Nicolas, mon sourire s’efface rapidement, réalisant que le capuchon en main, c’est à lui que je vais devoir le passer. Lui qui quelques minutes avant me traitait comme une femme de petite vertu. (Que je suis devenue). Lui qui dans quelques minutes maintenant, va venir dans mon corps. J’angoisse.
— Allez, soumise, viens ici. J’attends... remets-toi à genoux et suce-moi pour me réchauffer un peu avant...
J’obéis et m’avance devant lui avant de me pencher sur son sexe. Sans ménagement, il me saisit la tête et m’enfonce sa bite dans la bouche, presque à m’étouffer et me forçant à le sucer avec vigueur... pendant plusieurs allers-retours, je manque de vomir, tellement il me l’enfonce loin vers la gorge... Son comportement a changé, il est devenu brutal, plus sûr de lui et très autoritaire... sans doute emporté par l’action et mes faveurs.
— Parfait, tu es une belle soumise, viens maintenant te mettre sur moi et montre à Sam ce que tu lui as promis pour votre fantasme.
Je me redresse alors, regarde Sam avec inquiétude, mais son sourire me fait comprendre de poursuivre... j’approche le préservatif de Nicolas et doucement le déroule sur toute la longueur de son sexe... Il semble aimer cela et même si personnellement, je trouve le préservatif un peu étroit pour sa taille, je continue et le flatte de ma main...
— Merci Estelle, maintenant, tourne-toi, je veux que Sam ait aussi du plaisir ce soir et je veux qu’il te voit offerte comme tu t’y es engagé.
Sans dire un mot, je me retourne à nouveau et regarde Sam face à moi, il bande très fort aussi, j’aimerai m’occuper de lui plutôt que de Nicolas...
— Estelle, ma chérie, ça va ? — (interrogative et ivre) Oui... je crois...— Tu es sûre ? Tu veux franchir cette étape ? — Heu..... je t’aime, pour toi... heu oui... si tu le veux.— Oui, je le veux...
Nicolas me saisit alors les hanches et place ses jambes entre les miennes, m’imposant d’ouvrir en grand les cuisses. Puis doucement, il me tire vers lui, m’obligeant à m’asseoir sur lui. Sam vient de se lever et s’est approché de nous, je lui tends ma main comme pour me sauver, il la saisit et l’embrasse... Main dans la main, mon regard toujours dans les yeux de Sam, je sens le contact du sexe de Nicolas contre mon scion... je sursaute de ce premier contact mal placé.
— Place ma bite en toi, salope soumise... Vas-y réchauffe-moi avec ton ventre. A moins que tu veuilles que je t’encule directement.
Toujours le regard fixe, mon autre main glisse vers mon entrejambe et saisit le sexe de Nicolas qui effleure mes lèvres humides... « Nous y sommes ! Il est prêt ! Je le tiens dans ma main et il va me prendre ! Je suis en train de briser ma vie et mon couple ! Sam me regarde, j’ai honte même si je sais que cela lui fait plaisir, une larme commence à monter». Mes pensées se bousculent encore. Les mains de mon amant me tiennent toujours les hanches pour garder mon équilibre, mais ne me portent presque plus... Ma main guide à présent le gland de Nicolas entre mes lèvres, puis plus loin, « il me pénètre ! je le sens en moi, son gland est gros et chaud, il m’écarte et m’ouvre entièrement...» je le tiens encore et me laisse descendre sur lui, enfonçant inexorablement son sexe dans le mien. « Il est en moi !!» Je le sens m’ouvrir le ventre et son gland vient buter contre le fond de mon vagin. Je m’immobilise une fois l’action faite. Les larmes me montent aux yeux, je me sens pleine et humiliée...Sam soutient mon regard et constate avec bonheur (ou effroi) que le sexe de Nicolas est pratiquement entier en moi.Nos mains ne se quittent plus... « Voilà, il est cocu... mais il l’a voulu. » cette pensée me fait presque rire, mais les sanglots de honte sont plus forts et quelques larmes coulent de mes yeux. Nicolas - derrière - jubile de me sentir le serrer et de me remplir le ventre... mes sanglots donnent quelques soubresauts à mon corps, ce qui amplifie encore sa sensation de pénétration... « lol, la boîte avait raison... peau à peau... je le sens en moi sans problème, son gland, son mat et ses veines, sa chaleur. Même nos battements de cœurs, je les ressens en moi ». Je me sens honteuse et humiliée, ainsi pénétrée, cuisses grandes ouvertes, et remplie par cet inconnu d’Internet. Je suis pleine de lui, ses mains ont lâché mes hanches et me caressent le dos et les fesses à présent.
— Merci douce soumise, tu es délicieuse... Maintenant, ondule ton corps et montre à ton homme comme tu aimes te faire baiser. À moins que tu souhaites que je pistonne directement. — (sanglotant) Oui... je vais faire...
Toujours en contact avec le regard de Sam, celui-ci me lâche la main pour saisir son portable et me prendre en photo. Il observe la scène que je lui offre, mon corps nu, mon sexe ouvert et plein, mes seins ronds pointant en avant et parfois soutenus par d’autres mains.
— Estelle, ça va ?— Oui... Je... je t’aime, tu sais... je te demande pardon.— Pardon de quoi ? De me faire honneur et plaisir ? — De te tromper... — Tu me rends fier, ce n’est pas pareil... maintenant ma chérie, ondule comme il te l’a demandé, n’oublie pas que tu dois te donner à toutes ses volontés...
Je sens Nicolas se raidir en moi, poussant un peu plus son sexe dans le mien... je commence alors mes ondulations et quelques va-et-vient... je le sens me pénétrer et me baiser... ou devrais-je dire, je me baise sur lui... durant plusieurs minutes, il me pistonne parfois en douceur parfois avec vigueur, faisant sauter mes seins en cadence, mêlant les compliments et les commentaires salaces, voire certaines insultes humiliantes... Sam, lui ne perd aucun moment et me photographie en détail.
— Tu es bonne Estelle, tu aimes me sentir comme ça... tu aimes être offerte et baisée ?— (hésitante, mais jouant le jeu) Oui, j’aime ça... — Ça t’excite de te faire prendre comme ça devant ton mari, avoue-le ?— Oui, j’aime... J’aime ça...— Tu aimes ma bite qui vient cogner au fond de toi, tu la sens bien qui te bourre la chatte ?— Oui, je la sens... oui.— Montre-toi mieux à ton homme, soumise, redresse-toi un peu salope bourgeoise, mets tes mains derrière ta tête et ton dos, je veux qu’il regarde sa femme se faire baiser et sauter sur ma queue... — Oui... que tu me baises pour lui...
Je lui obéit et lui réponds sans réfléchir, le sentant coulisser en moi, son gland frappant mon utérus et sentant mes seins balancer lourdement devant moi... je place mes mains en arrière et me cambre encore sur ce pieu qui me remplit complètement et me donne le frisson. Nicolas me tient la taille et imprime la cadence. Il me besogne avec force et tendresse. Malgré la scène et la honte ressentie, j’aime cette sensation d’être nue et offerte mélangée à celle d’être remplie par ce sexe... je me laisse porter par l’action durant de longues minutes. Le bruit de me fesses sur les cuisses de Nicolas, nos gémissements de plaisir et parfois de douleur (pour moi), offre un spectacle pornographique sublime à Sam qui se caresse devant nous. Puis Sam s’éloigne un instant avant de revenir avec à la main, le sac de Nicolas...
— Estelle ? Ça va ?...— Oui... je... je t’aime, tu sais... je te demande pardon...— Pardon de quoi ??? D’être ainsi ? Nue ? De te faire baiser... ? — (dans un gémissement) de ressentir du plaisir...— tu as raison, ce n’est pas correct... tu devrais avoir honte... — (les yeux grands ouverts de sa réponse), mais je le suis... Mais ??... Pardonne-moi mon ange. Sam, pardon...(en suppliant et en fondant en larmes)— Je plaisante mon cœur... calme-toi... Mais maintenant, on va jouer un peu... ça sera ta punition pour me tromper sous notre toit.— Sam... Pardon, non je ne voulais pas... non... — Détends-toi... tu es à nous ce soir... on ne te veut aucun mal, pas vrai Nicolas ?— Mmmmm ouiiii, c’est clair... on va bien s’amuser avec toi... Nicolas me soulève alors, me libérant de son emprise, et je tombe à genoux devant Sam pour me faire pardonner...— Bien !!!... Estelle... ça va ???... Tu veux arrêter ou bien te faire pardonner ?— Je... je...(je ne comprends plus la question : je veux me faire pardonner en arrêtant ce supplice, ce n’est pas clair pour moi) je veux que tu me pardonnes...— Parfait... j’attendais cette réponse... donne-moi ta main mon cœur et plonge la dans ce sac s’il te plaît... Ressors le premier objet que tu touches et cela sera ton premier défi... »
Hésitante, je me retourne vers Nicolas, qui, reprenant son souffle, sourit à présent de me voir entre eux, obligée de choisir parmi les objets lubriques qu’il a ramenés ce soir... Je me retourne encore et face à Sam, plonge ma main dans le sac. Je sais qu’un gode s’y trouve et je prie pour ne pas le toucher... ma main touche une étoffe et je m’en saisis rapidement avant qu’un nouvel ordre de Sam ou Nicolas vienne m’imposer quelque chose de pire... En ressortant ma main, je constate que je tiens entre mes doigts non pas un mais 2 rubans de tissu. La précipitation m’ayant fait refermer les doigts sur plusieurs objets, je regarde Sam.
— C’est quoi ??... Je... Je prends lequel ??— On va prendre les 2... tu te sens prête à jouer... ???— Heu... comment ?? Quoi ?? (J’hésite encore)— Parfait, joli choix, je vais t’aider ma belle soumise intervient Nicolas... tu es à moi ce soir, donc à moi de te préparer et faire mon devoir... Viens me voir et tourne-toi, rassure-toi, ce n’est qu’un jeu et je pense que tu l’aimeras.
Nicolas à présent derrière moi, Sam devant, il prend le premier ruban et me le passe devant les yeux... je suis à présent sans contact visuel avec Sam et l’angoisse me revient rapidement. Nicolas saisit ensuite l’autre ruban et me glisse à l’oreille «Devant ou derrière ??»... sans que je n’aie eu le temps de répondre, il me saisit les poignets et m’attache les mains dans le dos... Sam est juste à côté de moi, je sens son souffle devant moi, il m’embrasse et me murmure « je t’aime, n’aie pas peur». Puis chacun d’eux s’éloigne, me laissant immobile au milieu du salon, cambrée sur mes talons, les mains dans le dos et aveugle... je sens mes seins pointer devant moi, j’imagine la scène que j’offre et avec quelle impudeur je me livre. J’entends qu’on déplace des meubles à côté de moi, et Sam qui me prend encore en photo...
— Estelle, marche pour nous, mais ne te fais pas mal, avance doucement, on va te guider.
J’avance de 2/3 pas, puis je sens une main me saisir le bras... la sensation est intense, je sais que la main qui me tient est celle de Nicolas. Il me fait tourner dans la pièce plusieurs fois, au point que j’ai un peu de mal à garder mes repères et mon équilibre. Sam a mis un peu de musique pour mon défilé impudique. Puis après un moment, il m’immobilise et me lâche.
— Avance d’un pas... ! (J’obéis...) Encore un... — Oui... que faites-vous... ???(Inquiète)— Silence soumise !! Écarte un peu tes jambes maintenant. Ne bouge pas !
Sam a arrêté la musique pour faire place à un silence angoissant... Je ne sais pas trop où je suis dans la pièce. Mais je ressens sur ma poitrine, mon ventre et vers mes cuisses, un peu de fraîcheur... je ne vois rien, j’entends seulement mes 2 dominants murmurer derrière moi et quelques cliquetis de photographie... le temps passe. Je reste immobile et ne bouge pas durant cette séance de photo lubrique... Sam :
— Bien maintenant, bombe le torse ma chérie, et cambre-toi... Je veux voir tes seins se gonfler et pointer... (J’obéis)— Elle est superbe comme cela ta femme... tu as raison de l’exposer cher ami... — Tourne-toi maintenant et reprends ta pose...— Magnifique... Estelle, tu es une magnifique soumise... Avance d’un pas s’il te plaît... et cambre tes reins au maximum, qu’on puisse voir ton sexe par-derrière...
J’avance, et me penche en avant pour leur offrir la vision demandée... Le temps passe... Puis Sam remet à nouveau la musique... Nicolas se rapproche à nouveau de moi, effleure mes seins tombants et caresse mon fessier tendu en arrière... « tu es superbe » me dit-il à l’oreille... avant de m’embrasser. Puis il me saisit le bras et me guide à nouveau dans la pièce... Je réalise à ce moment que nous allons tout droit et qu’en réalité, je m’exposais devant la baie vitrée du salon (l’air frais venant du vitrage proche de ma peau)... je veux me libérer de sa main et commence à demander des explications. (Enervée)
— Sam !! Sam !! Tu es où ? Qu’est-ce que tu me fais faire ? Libérez-moi...— Calme-toi, c’était ta punition et tu l’as réalisé sans effort et avec une grande classe...
Derrière, moi j’entends le rideau se tirer, ce qui confirme que je me suis bien exposée à la fenêtre totalement nue, et face à la propriété de notre voisin déjà lubrique. La honte me serre le ventre et le feu me monte au visage. Moi :
— Sam, libère-moi, je t’en prie, dis-moi que tu ne m’as pas offerte au voisin, non. Je ne veux pas...— Calme-toi, ne nous donne pas des idées supplémentaires... Ce n’est qu’un jeu Estelle dit Nicolas... il n’y avait personne et le rideau est toujours tiré, ne t’en fais pas... nous voulions juste te mettre en stress et en condition pour la suite...
Nicolas retire mon bandeau et je constate avec soulagement que le rideau est bien fermé et que toute la mise en scène a certes été faite pour m’exposer, mais que personne d’autre ne m’ait vu ainsi. (enfin je crois)
— (à demi soulagée et honteuse) vous êtes dégueulasse de me faire ça...
L’angoisse et la pression retombant, je commence presque à en rire avec eux... pourtant mes mains sont toujours liées, et Nicolas revient déjà avec le bandeau...
— Bien soumise, on va vraiment jouer maintenant, les choses sérieuses vont commencer... nous allons voir comment tu te débrouilles...
Nicolas me rebande les yeux et me place au centre de la pièce. D’une petite tape sur les fesses, il m’ordonne de ne plus bouger et d’ouvrir mes jambes... Il glisse sa main sur mon ventre, me pince un sein, puis saisit dans sa grande paume mon sexe humide... il joue de me tenir ainsi, il glisse 2 doigts en moi et les fait aller et venir. Mon clitoris ne reste pas insensible à la caresse et je commence à me tortiller sur place... je me pince les lèvres pour ne pas gémir de ses attouchements. Je préférerais que cela soit la main de Sam, il serait sans doute plus tendre.
— Estelle, comme ce soir tu es à moi et que Sam a vu ta totale soumission, maintenant qu’il est officiellement cocu par ta faute, je vais à présent te donner plusieurs ordres que tu vas devoir exécuter, je ne tolérerai aucun refus ni plainte. Tout manquement sera sévèrement puni... suis-je clair ?— (perdue dans mes pensées) heu... oui... c’est clair.— Je t’aime ma chérie répond Sam... sois docile... je vais aller prendre ma douche durant ce temps. Nicolas, je te la laisse, ne lui fais pas de mal et profites-en bien... je reviens après...— (paniquée) Sam... Quoi ? Ne me laisse pas. Non, s’il te plaît... Nooon !
Je l’entends s’éloigner, me laissant seule avec notre invité, la peur me saisit à nouveau... il m’avait pourtant promis... je reste immobile et tétanisé, e attendant les premiers ordres... au loin, j’entends l’eau de la douche couler, je suis à présent nue et docile face cet inconnu.
— (autoritaire) Ecarte tes jambes, salope ! Mieux que ça... ! Tu as honte ? Tu aimes être traitée comme cela ? Réponds-moi connasse ?— (hésitante) heu... oui... — Parfait, car c’est pas encore fini... j’ai été gentil tant que ton mec était là, mais maintenant, je vais me faire plaisir...
Je me force à jouer le jeu afin que Nicolas calme ses ardeurs et soit plus tendre dans son discours et ses demandes.
— Cambre-toi bien, je veux voir ton cul en détail... je suis sûre que tu aimerais te faire enculer par ma bite... Tu aimes te faire enculer salope ??? Hein ?
J’obéis et il me caresse les fesses avant de me les claquer encore une fois. « CLAC ». Je crie de surprise et à la fois de peur. Ses doigts parcourent mon scion et il pousse un doigt contre mon anus frémissant. Je proteste silencieusement.
— Reste comme ça, j’aime voir tes seins comme ils pendent... Tu aimes quand je te touche ??? Réponds-moi. — (timidement)Ou... oui... j’aime... — Et ma bite, tu l’aimes ma bite ??? Tu as aimé me sucer avant... ?? — Heu... oui, oui j’ai aimé te sucer.— Et après ???... Tu as aimé tromper ton cocu de mari ? Tu es une salope, tu sais ? Tu as aimé te faire baiser devant lui, avoue le... tu y as pris du plaisir de me sentir te remplir la chatte hein... — (hésitante) heu... oui, j’ai aimé baiser... et te sentir... mais je suis pas ta salope. Je reste sa femme.— Mauvaise réponse... tu es une salope... mets-toi à genoux ! Tout de suite...
En ma tête, je réalise la puissance de ses mots et ma soumission totale... je me laisse tomber à genoux, tristement vaincue de mes aveux. Nicolas s’approche de moi et tire sur mes cheveux pour me retourner la tête en arrière...
— Maintenant, recommence ta réponse !!! (dit-il sur un air presque méchant) et sois convaincante. — Je suis... Je suis votre salope... — J’aime mieux ça... je suis sûr que tu vas aimer quand je vais t’enculer...
L’eau de la douche coule toujours au loin, je me sens vulnérable sur le sol du salon, liée, humiliée et soumise... Sam semble m’avoir abandonnée à cet homme qui profite de son absence pour m’humilier encore plus férocement.
— Bien, on va poursuivre, bouge pas, je reviens... on va voir si tu es douée et ouvre ta bouche de petite pute !
J’ai peur... J’entends Nicolas s’éloigner et ouvrir une porte, puis le silence absolu... je reste immobile et terrifiée au milieu du salon, seule et angoissée durant quelques minutes faisant encore monter en moi mon angoisse. Puis je l’entends revenir à pas feutrés. Nicolas s’approche alors de moi et glisse sa main sur mon visage. Il m’ouvre de force la bouche, il glisse son pouce et ses doigts sur ma langue et de son autre main descend vers ma poitrine... il me tire la pointe d’un sein, m’arrachant une plainte de douleur intense.
— Seconde erreur, ma belle. On a dit « pas de plaintes »... garde la pose et ouvre ta bouche. »
Je lui obéis encore... puis l’instant d’après, je sens un gland se poser sur mes lèvres à demi ouvertes.
— Goûte !!! Ouvre ta bouche et suce !! C’est un ordre !...
J’ouvre un peu plus mes lèvres et un sexe massif entre en moi... je crois que c’est Nicolas, mais étrangement, il n’a pas l’odeur du latex du préservatif... je sens des mains me tenir la tête et pousser ce sexe dans ma bouche sans que je puisse réagir ou protester. « Je m’interroge, qui est en moi ? Qui donc me force la bouche ? ».
— Suce... salope, suce encore... tu aimes ça... !! Vas-y, montre-moi comment tu aspires cette bite.
Nicolas ou la personne se retire, me laissant reprendre mon souffle, il me caresse le visage de son sexe, puis se représente à nouveau sur mes lèvres...
— Vas-y, maintenant, avance ta gueule, prends-la dans ta gorge, je veux te voir la bouche pleine en entier... mmmm c’est bon, viens mettre ton nez contre mon ventre.
Je fais de mon mieux, mais n’y parviens pas, je sens des mains se poser sur ma tête et pousser... je frémis et gémis pour protester, mais cela ne ressemble qu’à des gémissements de plaisir étouffés pour lui. Il me force à avaler son membre et m’oblige à le prendre très loin... au point que la nausée commence... Je le suce ainsi quelques secondes puis il se retire à nouveau. Et moi, je reprends mon souffle difficilement...
— C’est bien ma petite salope, tu aimes ça ???? Réponds-moi... — (hoquetant) Oui... j’aime ça... Mais...(je me ravise rapidement de poursuivre ma phrase)— C’est bien ma belle, ouvre encore ta bouche...
J’obéis à nouveau, mais ce qu’il présente sur mes lèvres est diffèrent, c’est froid... c’est rigide et n’a pas bon goût... il me le glisse sur les lèvres et la langue. Au toucher, cela ne ressemble à pas grand-chose... puis me tirant la tête en arrière, il me l’enfonce doucement dans la bouche jusqu’à la limite de ma gorge pour que l’alignement soit le plus profond possible. En refermant mes lèvres dessus, je réalise qu’il s’agit du gode qui était avant dans son sac... Durant un moment, Nicolas me tire les cheveux et me maintient la tête en arrière puis de son autre main me fait appliquer une fellation profonde sur ce gode sans saveur. J’ai la nausée à chaque fois qu’il le pousse en moi, il est bien plus gros que ce que j’imaginais.
— Tu aimes ça ma salope, c’est quoi à ton avis ???— (entre 2 aller-retour - gloups), un g... un gode... — Bonne réponse, et tu sais ce que ça veut dire, je pense ?... On va peut-être s’en servir si tu n’es pas sage..... Maintenant, écoute-moi bien... Suce ce gode et garde le bien en bouche... ne le fais pas tomber, sinon ça ira mal pour toi... j’ai envie de te caresser et te voir la gueule pleine de bites...
Nicolas enfonce le gode en moi assez profondément, et je serre mes lèvres dessus pour ne plus bouger. Sa vulgarité et sa violence verbale comme physique me terrifient et j’attends en silence le retour de Sam pour me libérer de la situation qui m’échappe totalement.À genoux, nue et au sol, silencieuse par obligation, je reste pétrifiée de peur à attendre qu’il se serve de moi. Puis vient le moment fatidique et je sens ses mains venir sur mes seins et mon ventre, il me tourne autour... je le sens descendre sur mon sexe, glisser ses doigts sur ma vulve et mon clitoris... puis remonter sur mes seins. Il me masse les épaules... A force de caresses, cela en devient presque agréable, mais le gode en bouche étouffe mes gémissements.
— Tu es bonne Estelle, Sam a beaucoup de chance... allez, ouvre à nouveau ta bouche... tu vas me sucer un peu...
Il retire le gode, et me présente à nouveau son gland, il est gros et un peu sec, puis doucement il me remplit la bouche...(c’est étrange) son goût est à nouveau différent d’avant, ce n’est pas lui ?... À moins que cela ne vienne du silicone du gode que j’avais à l’instant... je le suce ainsi encore un moment tout en essayant de comparer son goût à la première pipe que j’ai faites ce soir... d’une oreille, j’essaie de savoir si Sam est de retour, mais le bruit de la douche continue...Je suis toujours à genoux et le suce telle une poupée... son sexe est doux, je sens sa main sur ma tête puis une autre sur mon sein qui me pince et me malaxe... puis d’un coup, coup de terreur : je sens une troisième main sur mon dos et mes reins. Je gémis et essaie de me m’extraire, mais il est difficile de bouger ainsi, la troisième main descend encore et viens parcourir mon scion, touchant et titillant mon anus serré. Puis je le sens passer au-devant... l’inconnu me masturbe pendant que je suce ce sexe que je ne reconnais toujours pas et qui devrait être en principe celui de Nicolas.Je suis en panique... Sam est sous la douche et maintenant 2 hommes autour de moi profitent de mon corps, ma nudité et ma soumission... ce n’était pas convenu ainsi... je me débats et gémis encore...
— Arrête ton cirque Soumise, sinon c’est la punition... !!!
Je n’ai pas le temps de me calmer que j’entends Nicolas dire : « Tu l’auras voulu... Vas-y mets lui !!! Ca la calmera. ! » A qui parle-t-il ??? Je sens alors que l’on me tient, le sexe dans la bouche m’empêchant de crier, je sens qu’on me glisse quelque chose entre les cuisses et qu’on tente de me l’insérer dans le vagin... c’est le gode de tout à l’heure... Il est gros. Il me pénètre. Je me sens prise par 2 endroits à la fois. J’ai peur et j’ai honte... Nicolas me pousse alors sur les épaules et me fait asseoir presque jusqu’au sol. Le gode (sous moi) s’enfonce avec difficulté à cause de sa grande taille, mais malgré cela, mes chairs et mon ventre se remplissent inexorablement de cet intrus de plastique. Difficilement, je m’enfonce et je sens les mains de l’inconnu forcer et me tenir les reins pour guider l’engin en moi... puis « bzzzzzz » il l’allume, c’est un vibromasseur... les vibrations en moi sont intenses et m’arrachent encore plus de gémissements...
— Ondule maintenant... Vas-y !!! Baise-toi, et enfile le bien en toi, salope... Fais ça correctement, je veux que Sam soit fier de toi quand il verra toutes les photos que j’ai prises de toi depuis que tu es à genoux. Suce-moi, j’ai envie de jouir dans ta bouche. Tu vas avaler aussi avant qu’il ne revienne...
Ces mots me terrifient, je me débats encore et gémis de peur, mais mes plaintes restent étouffées par son sexe fermement enfoncé dans ma bouche et presque à la limite de ma gorge... Puis l’inconnu me caresse encore... j’essaie de me calmer et obéir à leurs ordres immondes, j’ondule mon bassin sur le gode qui me remplit le sexe, et m’applique pour sucer mon bourreau... puis on m’enlève le bandeau... soulagement et larmes sortent de mon corps... Certes, je suis en train de sucer Nicolas, mais l’inconnu n’était que Sam qui a pris plaisir à ne rien dire et profiter de ma faiblesse durant tout ce temps...
— Alors soumise, ça va mieux ???? Tu as eu peur ???? (rires) je t’ai dit que je ne te voulais pas de mal, c’est juste un jeu... ne t’en fais pas... — Je crois qu’elle a compris maintenant et la peur a eu raison de ses limites... je pense qu’elle sera docile avec toi à présent. Je te la laisse...— Mmmm oui, mais là, par contre, va falloir que j’arrête sinon je vais vraiment la faire avaler...(rire)
Nicolas se retire de ma bouche, me laissant enfin respirer et m’exprimer.
— Bande de salauds, j’ai eu peur, Sam tu es horrible... Et... et qui j’ai sucé au début alors... ce n’est pas ???... C’était qui. ?— C’était moi. Pour une fois, je voulais tester un peu ta gorge... et tu m’as bien fait plaisir...
Quelques minutes passent, le temps que nous reprenions nos esprits et pour calmer le jeu...
— Bon alors, vous me libérez maintenant... Vous avez assez joué et rigolé, je pense ? Sam, s’il te plaît... libère-moi. — NON !!! dirent en cœur les 2 hommes hilares de ma situation
Sam retourne s’asseoir dans son fauteuil et se resserre un peu de vin... moi je reste à genoux, le vibromasseur toujours actif dans mon ventre et les mains liées dans le dos. Nicolas toujours en forme en face de moi me prend en photo pour immortaliser mon visage, mon sexe ouvert et rempli, et ce superbe moment.
— Qui a dit que tu devais t’arrêter d’onduler ??? Allez, soumise continue... montre nous tes talents... — Attends, on va l’aider... la pauvre, regarde-la... (Rires)
Sam alors se relève et ramène devant moi la table basse, il m’aide à me relever (ce qui me fait perdre le gode), puis le ramasse et le pose à la verticale sur la table...
— Bonne idée Sam... Viens te goder maintenant Estelle. Viens te l’enfoncer et te masturber devant nous.
Le gode posé tel un pilier sur la table, je regarde Sam presque suppliante de me sauver de cet acte dégradant. Mais celui-ci garde son sourire comme pour me défier de le réaliser.
— Allez ma chérie, obéis à notre invité ! Tu sais bien que je ne peux rien faire pour toi ce soir, c’est lui qui décide, nous l’avions convenu ! Va te mettre sur ton jouet de petite bourgeoise. Tu es à lui ce soir et nous avons encore beaucoup à faire, je crois...
Nicolas, sourire aux lèvres, me regarde, abandonnée par Sam et jubile d’avoir le plein pouvoir sur moi et mon corps.
— Attends ma belle, je ne suis pas un monstre et je ne tiens pas à créer de conflits dans votre couple non plus. Tourne-toi s’il te plaît, que je puisse te détacher.
Nicolas défait alors le ruban dans mon dos, me redonnant l’usage de mes mains et mes bras qui me tirent depuis maintenant 30 minutes.
— Merci, ça fait du bien... (Dis-je en bougeant mes épaules endolories)— Justement merci à toi, tu vas continuer à nous faire plaisir et tu vas te remplir la chatte maintenant ! Tu vas encore te faire du bien et cela devant nous. On veut te voir et t’entendre gémir sur ce petit jouet...
« Petit ? Petit ? » me dis-je en moi-même. Pas si petit que cela ! Il est même bien plus gros et plus long que leurs sexes à eux, et il ne me sera pas facile d’exécuter cet acte si dégradant.
— (Plus autoritaire) Allez ! Bouge-toi le cul ! Va te mettre dessus. Mets-toi face à nous et écarte les cuisses pour le spectacle.
Nicolas rejoint à présent Sam dans un fauteuil, je les regarde s’installer et moi rester immobile et nue au milieu de la pièce. Chacun d’entre eux trinque et déguste leur verre, tandis que moi, je m’approche de la table et du pieu érigé en ma direction... je leur fais face. Puis doucement, je m’accroupis et dirige le gode pour ouvrir mes lèvres. Délicatement, je le prends en main pour ne pas qu’il tombe (il est plus gros, je le savais), je le glisse sur ma vulve humide et effleure mon bouton pour me donner courage et envie...
— Alors la soumise... tu attends quoi ???
Je relève mes yeux pour les fixer, j’ai honte de moi, mais j’essaie de le cacher, je n’aime pas faire cela et bien sûr, Sam le sait, sans doute c’est lui-même qui l’a suggéré à Nicolas, justement pour forcer mes limites. Le gode en main, je commence à descendre dessus... sa taille m’ouvre les chairs et me remplit progressivement... à mi-parcours, je le retire puis recommence... je me penètre, honteuse avec l’engin, tout en essayant d’ignorer leur présence afin de rester concentrée sur mes mouvements et ne pas craquer nerveusement.
— Estelle... ? — Mon cœur, ça va ?— (perdue dans mes pensées) Heu... oui. Quoi, comment ? — Je te demande si ça va ?— Oui. oui je... je crois... oui ça va... — Alors, enfonce-le maintenant, arrête de jouer. Mets-le dans ta chatte en entier. Sinon je te le fourre dans ton cul... dépêche-toi soumise.
Je regarde Sam, Nicolas a donné son ordre, et je vais l’exécuter... je descends encore et rentre ce gode énorme (pour moi) dans mon ventre... je le sens, il me remplit jusqu’à pousser sur l’entrée de mon utérus... je bouge encore dessus pour l’ajuster et le faire coulisser... la sensation n’est pas désagréable, mais pas évidente, bien que l’appareil est très gros et un peu froid en moi...
— Mets-le en route ma chérie... — (rire) Tu m’enlèves les mots de la bouche cher Sam, oui soumise, active ton jouet et bouge bien dessus... j’ai envie de te voir pleine. Et quand il sera bien au fond, enlève ta main qu’on te voit correctement en train de te baiser... — (entre gémissements et plaintes) : Bien... je ferais ce que vous voulez...
Je suis anéantie de la situation (je pense) «Sam et Nicolas sont devenus des bourreaux pour moi, il me traite comme une... comme je dois l’être : une soumise ! C’est vrai, j’ai accepté ma condition ce soir et je dois m’y plier, j’ai honte»...J’active donc le vibromasseur qui me fait sursauter et me secoue le ventre... j’ondule doucement dessus et le pousse au plus loin en moi avant de le lâcher... mes mains en arrière, appuyées sur la table basse, je m’incline pour leur montrer mon sexe ouvert et plein. Comme demandé, j’ondule face à eux et je gémis de honte sentant le supplice vibrant entre mes reins... le temps passe et eux se délectent de vin, de photos et de mon corps nu, plusieurs fois, ils me reprennent, m’imposant de me masturber avec énergie face à eux... Transpirante et soumise, j’obéis, n’arrivant à plus réfléchir... en transe, je me laisse baiser par cet objet phallique immonde.
— Si on avançait un peu, cher Nicolas, qu’en penses-tu ?— Oui, j’ai quelques idées pour ta femme, j’ai bien envie de la baiser si tu me le permets.— Ca mon cher, c’est elle qui décide (rire) ou pas. Mais oui, vas-y, fais-toi plaisir... elle est à toi.
Nicolas se lève alors, et se dirige vers moi... Immobile sur la table, je le laisse arriver et manipuler le vibromasseur planté dans mon sexe... Il change son programme par de multiples secousses, puis lui imprime une cadence de va-et-vient pour me baiser encore plus fortement avec l’engin. Sa main le fait taper dans le fond de mon ventre, j’ai un peu mal de cette pénétration forcée, mais le plaisir commence à monter en moi. Puis délicatement, il retire l’objet de mon corps, et se met à genoux pour commencer un baiser langoureux sur mon clitoris et mon vagin ouvert et humide... j’aime ça et lui fais comprendre en m’allongeant sur la table et lui caressant les cheveux.
— Tu es une belle salope Estelle, tu aimes qu’on te baise comme ça... ?— (ivre et fatiguée) Oui... j’aime ça... c’est doux...
Je réalise soudain que je parle à Nicolas et non à Sam, l’ambiance me fait perdre la tête, et la honte ressentie ralentit le plaisir naissant dans le creux de mon ventre... nous nous regardons, je le vois bander comme un fou entre mes jambes, prêt à se jeter sur moi...
— He ho... Capote l’ami !!— Oui pardon, j’oublie à chaque fois, mais elle est trop excitante... désolé.
Rapidement, il enfile un nouveau préservatif et se présente entre mes jambes... Il attend, mais pourquoi ???... Sam s’est à présent levé et est venu pour s’accroupir prêt de mon visage. Il souhaite me parler... mon cheri me prend la main et me dit :
— Tu le veux ? Tu es prête ? Tu es sûre... ? — Quoi... ?— Tu veux de lui en toi ?— Et toi, tu veux quoi ?— Juste ton bonheur et que tu me rendes fier de toi.— Alors, je suis d’accord... pour toi !! Il peut me prendre comme cela.— Je t’aime tu sais.— Moi aussi... même si... je te demande pardon.
Sam m’embrasse et me tient la main, nos regards se figent l’un dans l’autre, et Nicolas présente son sexe à l’entrée du mien... je le sens, gros et chaud, son gland ouvre mes lèvres et se glisse en moi... Il fait de petits va-et-vient puis pousse pour s’enfoncer en entier dans mon ventre. Je gémis de le sentir me prendre ainsi... Sam au bout des lèvres, Nicolas me pénétrant de toute sa longueur. Je suis leur marionnette, leur jouet sexuel, leur soumise... nous faisons l’amour à 3... pour la première fois de notre vie. Nicolas commence à s’activer en moi... il me fixe du regard pour capter mon attention et mes sensations, Sam lui est spectateur de la scène. Nicolas et moi faisons l’amour ensemble... ses coups de reins me secouent et ma poitrine suit chacun des mouvements de son bassin... il me relève et écarte encore mes cuisses pour m’ouvrir davantage. Il me plante son sexe jusqu’au fond du ventre... je gémis de le sentir, de me prendre si bien et si fort...
— Tu es bonne Estelle, tu aimes ma queue en toi... — Oui j’aime... — J’adore voir tes seins... comme il bouge sous mes coups de bites... et toi Sam, tu aimes ta femme comme ça ?— Oui, vas-y, défonce là...
Ses mots résonnent dans la pièce comme un ordre, et Nicolas frappe violemment mon ventre de la puissance de son sexe planté en moi... il me fait mal et me force avec plaisir... il me bourre et m’ouvre le sexe comme un fou... parfois, il s’agrippe à mes seins pour les pincer et les pétrir... Nos pubis claquent l’un contre l’autre, il me remplit totalement.
— Nico, enlève tes mains, je te prie, tiens la ailleurs et mets-lui comme il faut. »
Nicolas s’exécute et viens mettre ses mains sur mes hanches, son emprise est forte et lui donne encore plus de force lors de ses coups de reins... Sam passe à côté de nous et photographie en gros plans mon corps, mon visage et nos sexes collés l’un à l’autre. Je sens les couilles de Nicolas butter contre mon scion, son sexe me perfore avec vigueur, j’essaie un peu de le repousser en poussant son torse, mais je n’ai aucune force pour résister. Je gémis a chaque mouvement...
— Sam,... han... non... je... je t’en prie. Mmmm. Doucement... mmm— Vas-y, fais de beaux souvenirs de ta femme... Je vais lui mettre profond. — Non Sam. Pas de photo comme ça... hann... Non...
Mes protestations entrecoupées de gémissements restent sourdes à son oreille, Sam continue de me prendre en photo durant le temps que Nicolas me pilonne avec force. « Soumise ?? Tiens toi-même tes seins !!! Je veux te voir... dis-moi de te baiser » impose Nicolas dominateur... Je lui obéis encore, mes mains venant entourer mes seins, caressant mes tétons dressés par les précédents pincements, je lui réponds entre haletant.
— Oui... prends... prends-moi... Je suis... je suis à toi... baise-moi. — Caresse-toi, touche ton clito, et viens sentir ma bite quand je te défonce... tu aimes ça, petite salope, dis-le encore...
Je regarde Sam qui approuve sa demande, et docilement, je viens mettre mes doigts sur mon bouton, je le sens en moi, mon vagin ouvert et lui dedans... c’est bon... je me touche en même temps, nous ne faisons qu’un.
— Salope, je t’ai dit de répondre... Dis-le à ton mari que tu aimes ça... dis-lui que tu aimes qu’on te baise. Dis-lui que tu es une pute et que tu veux qu’on te remplisse de sperme.— (succombant au plaisir malsain entre gémissements et spasmes) Oui... oui... j’ai... j’aime ça... je suis... je suis une... haaa oui.
Nicolas se raidit en moi et me plante son sexe jusqu’au fond du ventre... je le sens : il jouit !!! Il me remplit, c’est doux et brûlant à la fois... je sens monter en moi la vague de chaleur qui m’inonde et je jouis à mon tour, empalée sous mon amant. L’orgasme est fort et intense, mon ventre se contracte autour de lui et il le sent... je tremble, mon corps parcouru de spasmes de douleur et de plaisir mélangés se raidit sous l’emprise de cet homme...Encore quelques coups de reins de sa part, puis il se retire me laissant là : nue et ouverte : totalement vaincue. Nous sommes tous les deux épuisés, moi sur la table, lui au sol... cela fut si intense. Quelques minutes de repos sont nécessaires pour que nous revenions à nous...La réalité du lieu me ramène sur terre et me fait prendre conscience que notre couple a définitivement changé. Nicolas encore essoufflé est assis sur le sol, son préservatif en main est plein de sa semence. Il semble lui aussi hors du temps. Je regarde ensuite Sam et je m’inquiète.Il est assis dans un fauteuil et m’obverse un verre à la main. Son regard semble sombre, presque sévère, je me relève et me précipite dans ses bras... Sam est grave, je n’aime pas le voir ainsi.
— Je te demande pardon, mon amour... — Pardon de quoi... ??? — Tu sais bien... De tout ça... tu voulais que je sois la soumise à notre hôte ce soir... et j’ai fait ce que tu me disais, mais, je t’aime et je ne veux pas briser notre vie... tu sais bien...— Mais tu ne brises rien, je suis toujours fière de toi... mais c’est vrai... tu as raison !— J’ai raison (j’angoisse) — Oui tu es sa soumise, et tu m’as fait cocu ce soir... donc il va falloir te faire pardonner encore.
Je le regarde inquiète, les larmes montant aux yeux...
— Mais non, détends-toi, mon ange, je suis fière de toi... Je ne pensais pas que tu accepterais de le rencontrer et d’aller déjà aussi loin...
Sam (à Nicolas) : Alors ??? Ça va ??? Tu te remets ????
— Oui... mais bon sang, ta femme est délicieuse... je n’ai pas tenu longtemps je suis désolé.— Oui j’ai vu... c’est pour cela qu’on va continuer encore un peu... mais si ça ne vous dérange pas, je m’invite avec vous... j’attendais votre orgasme à chacun pour cela... maintenant, je vais aussi jouer un peu... enfin, si tu es toujours d’accord ma chérie... — Heu... Quoi ??? Encore jouer ??? Toi ??? — Oui, elle est d’accord. Elle n’a pas le choix, c’est moi qui commande ce soir... et je suis sûr qu’elle a envie de 2 bites à la fois...— Tu as raison, il fait chaud ici, non ? Tu n’as pas soif Nicolas ? Estelle va nous chercher à boire... — Oui absolument, je boirais bien un truc... — D’un ton directif et fort, notre invité tres sur de lui me crie dessus : Soumise, dépêche-toi de nous servir, sinon on te punit encore... »
Surprise par le ton employé, je reste immobile et regarde Sam pour comprendre.
— Estelle... tu veux décevoir ton mari et ton maître ? — Non... non pas du tout... tout de suite... j’y vais.
L’écho de la punition me fait rapidement réagir et je me dirige vers la cuisine pour chercher de nouvelles bouteilles... Je déambule ainsi, nue et encore un peu chancelante, mes talons résonnent sur le carrelage et la vision de mon dos et mes fesses semble avoir un effet positif sur eux... Nicolas reprend de la vigueur et une nouvelle érection commence déjà à apparaître... Sam m’interpelle alors...
— Soumise Estelle !!! Plutôt que de nous servir ici, tu vas nous apporter cela en haut... dans la chambre... tu as entendu. ? — Dans la chambre ??? Heu oui... pourquoi... ?— Ne pose pas de question et obéis...
Je commence alors mes allers et retours entre le séjour et la chambre. Munie d’un plateau, je monte les coupes et la nouvelle bouteille... je me promène nue entre eux, tel une soubrette et une esclave sexuelle docile. Nicolas, toujours dans son canapé en train de discuter avec Sam m’impose aussi de monter avec le sac aux ustensiles...Je me sens vulnérable et sens le piège se refermer sur moi à nouveau... que vont-ils vouloir me faire avec les objets du sac..... Durant mon dernier trajet, je monte l’escalier et j’essaie furtivement de jeter un œil à l’intérieur, je ne distingue rien... je sais que le gode y a été remis avec les rubans... je vois ou distingue une sorte d’objet brillant vers le fond et je crois y voir des pinces à linge... Je ne suis pas sûre.
— (criant dans l’escalier) Soumise !!! — Oui... ???— Mets-toi à genoux ! Face à un angle de mur et mets tes mains derrière ta tête... nous arrivons.
Je m’interroge, pourquoi cette mise en scène ? Rapidement et surprise, je les entends arriver et me place en position devant le premier angle libre venu... En les entendant rire derrière moi, je réalise l’erreur de mon choix. Mortifiée et honteuse, je réalise que je suis à côté de la grande fenêtre de la mezzanine, les rideaux ne sont pas fermés et toutes les lumières de l’intérieur sont allumées... Bref, tous les voisins et même dans la rue peuvent me voir nue et à genoux ou ont pu profiter de mes allées venues, nue depuis maintenant 10 minutes, avec mes plateaux, mes bas et mes talons et sans aucune pudeur... J’ai honte.
— Je vois que ta femme prend goût à l’exhibition... d’elle-même, elle se positionne face à votre voisin... (Rires) — Oui, je vois que son initiative est encourageante... — (honteuse, tout en me cachant contre le mur) Mais non... arrêtez de vous moquer... ce n’est pas ça... Non... (je sanglote encore)— Ne renie pas ton statut... tu es une petite salope soumise..... Mais tu as raison... tu ne l’es que pour nous... on se moque gentiment, excuse-nous...
Sam tire alors les rideaux et les 2 hommes viennent de chaque côté de moi... Je leur tends mes mains pour qu’ils m’aident à me relever, mais ceux-ci me les saisissent et les posent sur leurs sexes déjà dressés... Je comprends leurs intentions... je dois maintenant les branler et les sucer ensemble... Doucement, je les enserre et commence à les astiquer devant moi... ils bandent à présent tous les deux fièrement... Puis, Sam caresse mes cheveux et me guide vers le sexe de Nicolas... je le prends en bouche et commence une douce fellation... Ensuite, c’est au tour de Nicolas de me guider vers Sam... Chacun leur tour, je les accueille dans ma bouche... j’imagine dans ma tête la situation et ma position de salope à leurs genoux... je me dégoûte d’agir ainsi et du spectacle que je leur donne... Leurs sexes presque similaires en taille et en forme passent l’un après l’autre en moi. Je redeviens leur objet...
— Nicolas, j’ai bien aimé le petit jeu avant avec le ruban... tu peux me le redonner... s’il te plaît. — Attends, je le fais... Estelle, donne-moi le sac que je t’ai confié avant et reviens me voir ensuite...
Je me relève et lui obéis sans trop réfléchir... Nicolas se saisit du sac et extrait un ruban de soie... il m’attache les poignets fermement, mais cette fois, par le devant... suivant ainsi la recommandation de Sam qui jubile de me dominer ce soir.A nouveau les mains liées. Je suis mise en position de faiblesse...
— Viens me voir ma belle... — (timidement) Oui... Que vas-tu faire... ??? Sam... réponds-moi.
Il ne me répond pas, m’embrasse langoureusement tout en caressant mon corps frémissant... puis se glisse derrière moi et me renoue un bandeau autour des yeux pour me rendre aveugle et docile pour la seconde fois de la soirée...
— Sam... non pas encore. S’il te plaît... ne me laisse pas... j’ai peur... Arrête, je veux plus... non... — Chuuuuuttt ça va bien se passer... Laisse-toi faire... je suis là...
Nicolas revient alors prêt de moi et me lève les bras au-dessus de la tête... je sens qu’on me fixe les poignées avec une autre corde sur une des poutres de la moise de la mezzanine, me suspendant comme un fagot de paille... je ne peux plus bouger... je suis exposée ainsi : nue et étirée pour une mise à disposition lubrique... Je sens leurs mains passer sur moi, sur mes seins et mon ventre... puis... « CLAC » une main vient de s’abattre sur mon cul avec violence... je crie de surprise et de douleur à la fois... tout en chancelant sur mes talons. L’un d’eux repasse devant moi et me saisit les tétons pour me les tordre et les dresser... je crie et supplie qu’ils arrêtent leurs tortures, mais ils ignorent mes plaintes.
— Tu ne t’y attendais plus à cela... n’est-ce pas ??? Tu l’espérais, je pense... tu vas être servie, salope.— Non pas cela, arrêtez... non je n’aime pas cela... — Demande nous encore... demande nous de te fouetter petite soumise, tu as été vilaine...— (en sanglots) : Nooon... s’il vous plaît... arrêtez... Saaaammmm !!!
« CLAC » ce n’est plus une main, mais une ceinture ou une sangle qui me cogne les reins et s’enroule jusqu’à mon ventre... la douleur est immense... et je m’écroule, suspendue par les cordes. (3 coups fendent l’air et frappe ma peau) « CLAC »... le coup frappe mon dos et finit sur mes seins... Je hurle sous le supplice... (3 coups aussi me mettent au supplice)
— Ca suffit... arrête-toi... elle a compris... je pense que maintenant, on va pouvoir lui faire faire encore plus de choses...
Je suis en larmes, le délire de Nicolas prend fin sous les injonctions de Sam... La torture s’arrête et ils me décrochent du plafond...
— Pardon, je te prie de m’excuser... nous ne voulions pas te blesser, mais juste te soumettre davantage. — Nous y sommes... gardons son bandeau et ses liens, mais donnons-lui du plaisir avant d’en prendre...
Encore chancelante et sonnée par leurs actes et mots, le grand Nicolas me prend dans ces bras et me porte jusqu’à notre chambre. Il me dépose sur le lit et me retire mes talons et mes bas... bien qu’attachée et aveuglée, je suis à présent totalement nue sous leurs yeux que j’imagine ravis. Afin de faire disparaître les douleurs, Nicolas et Sam commencent un massage à 4 mains sur mon corps. Chacun à un endroit, ils m’enduisent le corps d’huile de massage et relaxante. Je sens leurs mains glisser délicieusement sur moi, passant par mon cou, mes bras et mes épaules, mes seins, mon ventre et mes cuisses. Parfois, l’un d’entre eux (sans que je sache lequel) ose me toucher le sexe ou m’embrasse délicatement, sous les caresses, je ne reste pas insensible, mais toujours un peu angoissée...Ils m’imposent d’ouvrir mes jambes, pour mieux me toucher et accéder à mon corps... je sens leurs mains délicates passer sur ma fente puis vers mon scion...Je gémis une petite plainte lorsqu’il me caresse l’anus...Une main le touche et tourne doucement dessus pour le rendre plus réceptif et souple... il en profite... l’huile l’aidant à y glisser délicatement son doigt et l’ouvrir un peu... Je n’aime pas trop cela.
Mais je ne peux résister physiquement à l’intrusion...La tendresse de leurs mains se poursuit encore, et la chaleur dans mon ventre commence à nouveau à monter... je me laisse aller à gémir de plaisir cette fois-ci et à onduler mon bassin sous leurs caresses. Ils ne restent pas insensibles non plus... je les sens se déplacer à côté de moi... puis délicatement sur mes lèvres, je sens le contact d’un de leurs sexes... qui est-ce ??? Son propriétaire incline ma tête et m’ouvre la bouche pour que je le suce. Son gland est gros et dur..., il me remplit la bouche et commence quelques va-et-vient tout en poursuivant ses massages... dans la pièce, il n’y pas de bruit, juste nos soupirs et nos respirations... durant cette fellation, les caresses sont plus précises, mes seins en recevant une grande partie. On me les tire un peu, pince mes tétons, mais sans me faire mal...Mes mains bloquées au-dessus de ma tête, je suis ouverte et disponible...Je me laisse totalement faire et guider...Le deuxième homme commence une ligne de baiser sur mon corps... partant de mon cou, puis... descendant jusqu’à mon ventre...C’est si agréable... à présent il m’écarte les cuisses et ouvre les lèvres de mon sexe... il y glisse 1 premier doigt puis un second... puis 3... il me masse et me masturbe à la fois... Je gémis sous leurs caresses, même si la moitié reste étouffée par ce gland dans ma bouche... La chaleur en moi monte encore d’un cran, le deuxième homme commence un cunnilingus magistral... mon bassin ondule sous ses coups de langue comme pour l’appeler à venir me prendre... je sens que mon plaisir augmente rapidement... je me cambre et me laisse porter... l’homme que je suce en même temps accélère aussi, m’enfonçant plus loin son sexe encore... je sens que le plaisir monte dans mes reins... puis l’orgasme explose... Je jouis et je tremble en gémissant de bonheur entre leurs mains et cette bouche délicieuse. J’essaie de reprendre mes esprits, mais la fatigue me gagne aussi... L’homme dans ma bouche se retire... de peur de jouir sans doute aussi...
— Qui ??? Qui m’a fait ça ??? Merci à lui... Qui c’était ? — (répondant) c’est Sam... !!!
Cela ne m’étonne pas, il a toujours aimé cela et il est plus que doué pour me faire du bien avec sa langue.
— Comment tu te sens ma chérie ?? — Bien... Merci mon amour... je t’aime, tu sais... — Tu veux qu’on continue ou bien qu’on arrête là pour ce soir... — (sans réfléchir)Je t’aime, je veux te faire plaisir..... — Tu es divine... je te confie alors à Nicolas... tu dois lui obéir sans résistance à présent... je reste à côté de toi... — Quoi ??? Comment ???? Sam, tu es où. ? — Tu es à moi....... Enfin, je vais profiter de toi... et j’apprécie d’autant plus que je vais te baiser dans ton lit conjugal... j’espère que ça te fait plaisir de tromper ton mec dans votre plumard... petite pute.
L’ambiance change radicalement, et l’atmosphère devient plus lourde, je sens les mains de Sam sur moi qui me calme « Ca va aller, laisse-toi faire » me chuchote il à l’oreille. Mais l’angoisse et ma position d’ouverture ne me rassurent pas... J’essaie de refermer mes jambes, mais il est déjà trop tard... je sens un corps me bloquer les cuisses et s’avancer au-dessus de moi... C’est Nicolas... je le sens contre moi... Pendant ce temps, Sam me retire mon bandeau pour que je puisse voir ce qu’il va me faire... je suis un peu paniquée et le vois entre mes jambes en train d’enfiler un nouveau préservatif... il va vouloir me prendre en missionnaire comme sur la table basse du salon... Sam, assis prêt de mon visage, observe la scène (et prend encore des photos). Il me garde les bras tendus au-dessus de moi. Puis de son autre main, il me caresse et effleure un sein pour me calmer... ça me chatouille un peu...
— Alors soumise... ça te fait quoi d’être offerte à un inconnu ce soir... — Je... je... (je ne sais pas quoi dire) — Tu aimes te montrer sur Internet petite salope... tu aimes qu’on se branle sur toi, je suis sûr... — Sam... J’ai peur... Sam...— Sam ne t’aidera pas... Tu es à moi maintenant, et je vais te baiser dans ton lit de femme mariée... J’espère que tu réalises ce que tu vas faire petite soumise... j’espère que tu as honte de le tromper ici et comme ça... ha ha...
Et sur ces mots, il dirige son sexe dans le mien et me pénètre sans tendresse... Je le sens me remplir encore une fois... ses coups de reins sont intenses et profonds... il me prend devant Sam, dans notre chambre et sur notre lit... je me sens définitivement humiliée et honteuse de l’accueillir ici, dans ma vie, dans mon corps et dans mon couple... il a raison... je suis une soumise, je suis une salope et une pute... il me baise et je n’ose pas refuser. Nicolas jubile, son sexe énorme me remplit et coulisse en moi avec force. Son mat veineux et intense frappe mon ventre de toute sa puissance et sa longueur pendant que ses insultes frappent mon esprit et alimentent ma honte... je cherche Sam du regard pour me consoler...
— (sentant quelques larmes de hontes couler) Sam... Sam... pardonne-moi... — Tu es parfaite... je t’aime... — Ferme ta gueule sale pute... ta honte sera mon plaisir... tu vas la sentir ma queue dans ta chatte de chienne.
Nos regards se croisent et il comprend ma détresse... enfin, je pense... Sam se redresse alors... et pensant qu’il va intervenir pour calmer les assauts de Nicolas, se met à genoux prêt de moi pour me présenter à son tour son sexe gonflé de désir... « Suce-moi aussi chérie... Ce soir, tu es ma salope soumise... Suce-moi ! » Il me force à son tour la bouche, et m’enfonce son sexe déjà très gros jusqu’à la gorge... Me voilà prise entre eux deux... Sam me remplit la bouche et coulisse sur ma langue... Nicolas, lui, me baise et se couche presque sur moi... Mon corps est secoué de toute part, je les accueille sans résistance.
— Tu aimes me sentir petite salope ???? Tu aimes te faire sauter comme ça ???
Moi, ne pouvant répondre, le regarde fixement pour lui communiquer ma honte et ma détresse.
— Je le savais, tu es une bonne bourgeoise... Je sens que je vais te remplir encore une fois...
Sam se retire de ma bouche et fait signe à Nicolas de ralentir... Je suis sous eux... en attente de ma libération... Nicolas se retire à son tour... et on me positionne à 4 pattes. Sam me remet le bandeau sur les yeux et j’entends leurs déplacements dans la pièce. On me fait tourner sur moi-même. Parfois, une main vient me claquer le cul, d’autres fois, on me presse et écrase les seins... j’entends le bruit de l’appareil photo et le bruissement des draps. On me touche et on me place dans des positions humiliantes. Je suis leur jouet au milieu de notre lit.
— Ouvre ta bouche soumise et viens me bouffer les couilles. Tu vas aimer ça. On a encore une surprise pour toi ma jolie... n’est-ce pas Sam ? — Oui... je vais chercher la surprise... (Rires)
À 4 pattes, en travers du lit, l’un d’eux me présente son sexe devant les lèvres. J’ouvre instinctivement ma bouche pour le sucer, mais celui-ci détourne sa bite et me fait gober ses testicules... il joue ainsi de moi quelques secondes. Puis, viens alors la « surprise » : les fesses en l’air, une main appuie sur mes reins pour me cambrer davantage et je sens que l’on me plante le gode dans le vagin en simulant une levrette. Je couine sous cette humiliante et profonde pénétration qui me fait mal...
— Sors ta langue salope. On veut te voir en détail... dépêche-toi... sinon ça sera le fouet... tu me comprends petite pute...
On me tient la tête... un homme joue avec son gland sur ma langue. On m’oblige à me cambrer pour ouvrir mes fesses et mes cuisses, mais qui ? Je m’imagine en posture, remplie du gode et offerte pour des photographies humiliantes et dégradantes. Puis sans un mot, ils se synchronisent : le premier m’enfonce son pieu dans la bouche déformant mes joues et mes lèvres et au même moment, je sens le second retirer le gode et se présenter à l’entrée de mon ventre... Ensemble, ils poussent et ouvrent mes orifices pour se loger dans la chaleur de mon corps... je me sens prise de toute part sans pouvoir réagir ou me défendre... cela dure ainsi quelques minutes, puis l’humiliation reprend...
— Salope de Estelle, tu aimes la bite, avoue-le... — Oui. Elle va aimer... répond mon mari— On va la bourrer à fond cette salope... tu pourras en être fier.
Toujours avec le bandeau, je reconnais la voix de Sam qui est derrière. Il saisit mes hanches et me baise avec fougue. Chacun de ses coups de reins le plonge entièrement en moi et m’arrache des gémissements que Nicolas étouffe dans ma gorge avec son membre. Mes seins balancent sous moi au rythme de ses violentes pénétrations. Il me baise avec rage et passion, faisant claquer mes fesses sur son ventre... de l’autre côté, Nicolas admire le spectacle et mes va-et-vient forcés sur sa bite. Je ne peux rien faire que subir cette baise torride et intense. Sam est virulent, je ne le reconnais presque pas, il me pilonne et me défonce comme pour me punir ou me faire comprendre que je suis sa pute de luxe et qu’il est mon maître absolu. Je le subis...Puis sa main glisse sur mon dos et me tient par les épaules. Il me tire les cheveux en arrière, offrant ma gorge déployée à Nicolas devant moi. Il me masse et joue avec l’huile et ma sueur mélangées. Il me tient, je suis coincée entre eux, ne pouvant presque plus bouger... je sens alors une main toucher le creux de mon scion et un doigt s’enfoncer dans mon anus... je me cambre pour refuser cette intrusion.Mais ma protestation reste étouffée, on ne distingue plus mes plaintes de mes gémissements. L’inconnu me fouille ainsi puis se retire. Qui m’a prise ? Qui m’a forcée ? Qui a osé franchir mon interdit ? Je l’ignore et ma détresse augmente avec ma honte.
— J’ai bien envie d’en profiter. On échange ? — OK si tu veux...
Un peu à regret, Sam se retire de moi pour laisser Nicolas profiter de mon fourreau chaud et humide. Les grandes mains de Nicolas se posent sur mes fesses puis sur mes reins avant que je ne sente son pieu venir m’ouvrir le ventre à son tour... il me prend ainsi, en levrette, très calmement et doucement. Il pousse loin son sexe dans le mien, me faisant gémir et presque crier un plaisir honteux naissant entre mes reins. Il me tient et je me laisse porter par ses vagues. Mes seins effleurent les draps, provoquant en moi une excitation supplémentaire. Dans un petit instant de lucidité, je constate que Sam est absent, certainement spectateur et photographe de mon corps en train de se remplir de plaisir.
— J’ai envie de lui ouvrir le cul à ta soumise. J’ai envie de l’enculer ta salope... Tu m’autorises ?— Je suis désolé, mais je doute qu’elle soit prête pour cela. Mais, caresse-la, peut-être qu’elle voudra...— (surprise, puis suppliante) Quoi, ?... de quoi... ? Non pas comme ça. Pas derrière... Sam... Non... — Tais-toi salope. On décide et tu obéis... tu n’as pas le choix cette fois... je vais te la mettre...
Puis continuant de me baiser. Je le sens forcer mon orifice avec son doigt. Je me tortille encore pour le refuser, mais l’huile de massage a raison de moi et de mes sphincters. Nicolas, vigoureux dans ma chatte, me lime et me baise avec fougue, tout en faisant de petits mouvements d’avant en arrière ainsi que des petits ronds pour m’ouvrir et me détendre la rondelle avant de glisser un second doigt en moi... ça me tire et me lance : il m’ouvre davantage, je gémis, protestant pour sa prise de pouvoir sur moi. Je le sens prendre du plaisir et ses coups de reins sont plus intenses. Je sens ses couilles cogner ma fente ouverte, il me bourre avec puissance et rage. Il me remplit complètement, frappant son gland au fond de moi et son ventre contre mes fesses. Il me besogne tout en m’enculant de ses doigts... je grimace de douleur, mais le laisse me prendre. Je cherche Sam, suppliante de mes mains liées dans mon obscurité.
— Doucement avec tes doigts, je te prie !! Mets-lui ça... je pense que ça sera plus efficace...
Nicolas retire alors ses doigts en souriant. Je ne comprends pas ce qu’il va faire ou m’insérer sur la demande de Sam... J’ai peur, j’essaie de me retourner, mais mes liens me maintiennent et m’empêchent de savoir ce qui se passe derrière moi. J’ai peur que cela soit l’énorme gode, j’ai peur qu’ils veuillent me le présenter et me l’enfoncer dans l’anus et le ventre pour m’ouvrir et me déchirer... j’essaie de savoir, mais ils ne disent rien.
— Oui, merci, elle sera magnifique avec ça. Elle sera bien ouverte. ».
Je les entends rire. C’est quoi le « ça » dont ils parlent ??? J’angoisse !
— Estelle ? Ça va ? — Sam ? Que fais-tu ? Que vas-tu me faire et pourquoi ? Comment ? J’ai peur...— Tu aimes te faire prendre ? Tu aimes le sentir en toi ? — Sam... je... Je t’aime, mais... j’ai peur. Dis-moi ce que vous faites... — Je veux que tu me fasses confiance... Détends-toi. Ça va bien se passer. — Sam dis-moi !!... Non j’ai... (Je ne finis pas ma phrase) — Détends-toi salope. On va juste te prendre le cul... Et tu vas aimer. — Fais-moi confiance... et laisse-le te prendre... il en rêve et moi aussi... n’oublie pas que tu es soumise. — (en levrette et en panique) Non... Sam, non pas par là, pas le gode. C’est trop gros. Pas derrière. Non pas ça... — Ca ira. Ne t’en fais pas... ouvre-toi... — Sam, mets-lui ça en bouche. Elle va le sucer pendant que je lui ouvre son cul... ça l’empêchera de crier. — Ouvre ta bouche. Et suce-moi ça. Je veux te voir faire comme si ta vie en dépendait. Suce-le avec envie et passion...
Sam m’ouvre la bouche et y glisse le gode... La panique me gagne encore... « si j’ai le gode en bouche, que vont-ils alors enfoncé dans mon cul ??? » Je sens Nicolas quitter mon vagin et présenter son gland sur mon anus... il pousse doucement et le glisse sur mon office souple, serré et disponible. Je le supplie de ne pas entrer. J’ai mal. Mais il n’écoute pas et continue de jouer sur mon anus jusqu’à ce que la pression laisse passer son gland en moi... Il m’encule !!!. Il est passé !!! Je sens son nœud, gros, rond et doux m’ouvrir et me figer, j’en ai le souffle presque coupé. Je me sens ouverte et humiliée. Il ne bouge plus le temps que mon corps s’adapte à sa présence...
— Nicolas ! Attention, pas de bêtises.— Oui, je sais, mais... c’est trop tentant. Elle a le cul bien serré. Laisse-moi lui ouvrir un peu...— (plus autoritaire) je t’ai dit... attention !!!
Je suis tétanisée. Sam ne m’a pas écouté et Nicolas a planté son sexe dans mon anus encore fragile... Il ne bouge pas, mais son champignon chaud me remplit le trou, dilatant mes sphincters. Je reste immobile et fébrile, le cul en l’air et ouvert. J’essaie de ne pas penser, je suce ce gode tout en minimisant mes mouvements pour ne pas m’empaler sur mon intrus. Je sens que Nicolas s’impatiente et trépigne de m’enfoncer tout son sexe, mais pourtant, il ne bouge pas... je le sens grossir simplement, il m’ouvre... Sam me prend en photo et on commence à voir mes larmes passer sous le bandeau. Je suis en attente et garde le gode entre mes lèvres pour étouffer mes gémissements, mes pleurs et mes plaintes.
— C’est bon... Elle est prête. Tu peux lui mettre.
Je suis tétanisée par ses mots. Il autorise Nicolas à me sodomiser en profondeur... je serre les dents et mords le gode pour me préparer à son intrusion qui je le sais, va me déchirer et me torturer.
— (étouffée) hummm Sam... nooonn... Pitié...
Nicolas me saisit les hanches et se positionne comme pour prendre son élan. Je suis terrifiée et supplie. Il bouge encore un peu, s’enfonce doucement... Puis...Oh surprise se retire. Il quitte mon corps et mon trou restant encore ouvert de sa visite... mais la sensation n’est que de courte durée. Très vite, je sens autre chose : c’est froid. Lisse et dure...Il me présente un nouvel objet sur mes orifices. Une main le glisse sur mes lèvres et vient frotter mon clitoris puis délicatement le fait remonter et me l’enfonce dans le vagin... c’est froid, métallique. Je reste immobile, bouche fermée et pleine, je le sens jouer en moi puis il remonte encore...L’objet est à présent sur ma rondelle partiellement ouverte, il glisse puis pousse l’entrée pour se figer en moi. Le froid me crispe l’anus et je me referme sur cet objet planté en moi... j’ai la tête qui tourne à trop penser qu’est-ce que c’est ? La sensation de cet objet ressemble à une boule ou un suppositoire de très grande taille. Mon anus le serre, mais il ne se ferme pas, car une partie est toujours en dehors de moi et me recouvre la rondelle.
— Elle est magnifique... Juste la bonne taille. — Oui superbe... J’aurais dû lui offrir un bijou d’anus depuis longtemps. — Ça va la bourgeoise ? Il est bon ton gode ? Tu le suces bien ?
Je réalise ma position et mon humiliation. Je comprends ce qui est en moi. Sam a parlé de bijou. Je suppose qu’il s’agit de l’objet métallique vu au fond du sac de Nicolas : un «rosebud» comme ils l’appellent. Sam me retire alors mon bandeau, le gode toujours serré entre mes lèvres ainsi que mes liens aux poignets avant de me dire. « Merci, tu es parfaite».
— (me retirant le gode de la bouche) couche-toi mon amour. Tu es superbe ainsi ornée. Repose-toi un instant.
Je m’écroule littéralement sur le côté puis sur le dos, encore perdue de ce qu’il vient de se passer. Chacun d’eux venant s’allonger à mes côtés. Après un instant de calme, Nicolas me saisit et me tourne alors vers lui et je me retrouve allongée sur lui. Son sexe toujours en forme caresse mon ventre.
— Viens ! Viens ma belle me donner du plaisir. Viens te frotter sur moi et t’empaler sur ma queue.
Obéissante, je remonte alors en peu et glisse son sexe en moi...La sensation est douce et chaude. Le bijou me donne plus de sensation à chaque mouvement et je commence à onduler sur son corps. Mon clitoris frottant sur le ventre de mon amant. Nos sexes se mélangeant, je me remplis de lui et de plaisir. Sam à côté nous observe et me regarde. Il caresse mes seins lorsque ceux-ci ne sont pas dans la bouche de Nicolas. Je sens mon désir augmenter et l’orgasme arriver rapidement. Je me cabre et m’enfonce au mieux sur son sexe avant de m’écrouler tremblante et vaincue sur son corps. Je jouis...Nicolas me retourne alors et me prend en missionnaire. J’ouvre mes jambes et mes bras pour qu’il puisse me voir entière et admirer mon corps secoué par ses va-et-vient en moi... mes seins battant la mesure sur chaque pénétration. Je le sens gonfler en moi rapidement. Puis au dernier instant. Il se retire, arrache son préservatif et vient éjaculer sur mon ventre et mes seins dans un cri rauque animal... nous jouissons et nous sommes épuisés.Sam à côté observe toujours et nous sourit. Il semble fier de moi. Pourtant la réalité me ramène à ma honte, j’ai trompé mon mari et mon amour... j’espère qu’il me le pardonnera un jour.
— Sam... Pardonne-moi... je t’aime !!!! — Je t’aime aussi. J’espérais que tu jouisses ce soir et tu m’as fait honneur... Merci mon cœur.— (épuisé) Oui jolie soumise... tu es une femme merveilleuse. Et je ne regrette pas d’avoir répondu à votre annonce. J’ai hâte de recommencer. Mais là... j’avoue. Je suis Ko.
Nous rions ensemble encore un instant. Puis Sam indique la salle de bain à Nicolas qui souhaite prendre une douche. Nous nous retrouvons juste nous 2 et je me blottis contre lui.
— Et moi ? Tu oublies qui je suis...— Toi ??? Tu es mon chéri. Mon amour. Je ferai tout toi. Tu le sais... — Oui. Tout ? Vraiment tout ? — Heu... oui ! — Alors, va retrouver Nicolas sous la douche et va te laver avec lui... — Tu... tu es sûr ? je dois... — Vas-y, je vous rejoins...
Je me lève alors et me dirige vers la salle de bain, le bijou en moi me procure d’étranges sensations, très agréables et particulières... Nicolas sous la douche est surpris de ma présence et machinalement cache ses attributs par pudeur... Nous rions sur l’instant puis je me faufile avec lui sous les jets d’eau chaude. Le savon et l’eau ruissellent sur nos corps et nous nous frottons encore l’un à l’autre avec une grande sensualité... Nicolas n’est pas insensible à mes mains sur lui et une nouvelle érection le reprend...
— (observant de loin, nous photographie et filme) Estelle ! Soumise ! À genoux et suce-le...
Je m’exécute et me dirige entre les jambes de Nicolas... il me place les mains sur ses fesses et m’oblige à le sucer juste par le contact de mes lèvres. Cela dure un instant, mais rapidement, je l’entends gémir et soupirer, je le sens gonfler en moi, il me pousse son gland vers ma gorge et imprime la cadence... Je garde mes yeux fermés, le laissant faire et laissant l’eau de la douche caresser mon visage mon dos et mes reins... c’est agréable...
— Humm c’est bon... Je... je vais jouir... — Vas-y, lâche-toi... tu peux jouir en elle...— Soumise, accueille-le en toi à présent... Mais interdiction d’avaler...
Je suis perplexe, le ton autoritaire de Sam me terrifie par sa détermination, pour la première fois, je dois recevoir sans protection le sperme de Nicolas et c’est Sam qui m’ordonne cette humiliation... j’ai peur (encore une chose non convenue et un cap de franchi). J’ai honte... mais je lui obéis. Nicolas, lui continue, et me tient la tête... il se cambre pour me remplir et je sens ses jets chauds inonder toute ma bouche... Nous restons ainsi quelques secondes... Lui en moi et moi la bouche pleine... puis il se retire, me permettant reprendre mes esprits et ma respiration...
— Estelle, avant de recracher... regarde ton maître dans les yeux et ouvre ta bouche... je veux que tu lui offres ton image de pute soumise et humiliée.— Oui, montre-moi ta langue pleine de foutre. Tu es belle comme ça. Une belle Salope.
Nicolas détourne alors les jets de la douche et j’ouvre alors ma bouche, laissant apparaître sa semence, je redresse ma tête pour le fixer dans les yeux, mais le mouvement fait glisser son sperme vers ma gorge (il sourit vainqueur et dominateur) Sam immortalisant par photo la scène... Je tiens ainsi quelques secondes, mais proche de l’étouffement, je m’incline pour recracher. Nous finissons alors notre douche l’un contre l’autre... Nicolas sort puis Sam prend sa place, m’imposant de rester sous l’eau avec lui... je me serre à lui comme pour me consoler et pour qu’il pardonne mes actions... Il souhaite que je le lave... je le savonne et le caresse avec tendresse... À genoux derrière lui, je m’autorise de lui embrasser les fesses. Il se retourne et manque de me planter son sexe dans l’œil... nous rions de la situation... mais sa main vient me tenir les cheveux et son pieu approche de ma bouche... Je le prends, le suce et lui lave avec ma salive... je l’aime tant et lui montre...
— Humm tu suces bien..... tu es bonne... merci, mon amour...— Soumise, obéis à ton maître... fais-lui la même chose. Suce-le et garde-le bien en toi...
J’accepte volontiers d’accueillir mon amour en moi... je l’aime tant... Sam me baise la bouche... l’eau chaude nous ruisselant dessus... il détourne ensuite le pommeau d’eau et me fixe du regard... je sais et je sens qu’il va venir... il retire mes mains de son membre et me demande de les mettre dans mon dos... j’obéis... puis je le sens se contracter et jouir... il crache son foutre en moi, plusieurs jets venant jusque dans ma gorge et me faisant hoqueter de surprise... Il en a une grande quantité... je le reçois et me laisse faire... Il guide son sexe entre mes lèvres et me remplis complément...
— (nous regardant) Tu veux lui faire plaisir à ton cocu de mari ???
Ne pouvant répondre, je le regarde interrogative... et inquiète...
— Avale ! Salope... Avale-le... il le mérite... avale son sperme jusqu’à la dernière goutte... bois le jus de ton homme...
Mes yeux s’écarquillent de surprise, je n’aime pas cela, je veux refuser, mais le sexe de Sam planté en moi empêche de recracher ou de répondre. Mes yeux se remplissent de larmes, mais je me résous à déglutir sa semence et offrir ce moment humiliant et honteux à mon homme. Nous nous séchons ensemble et mutuellement, avant de rejoindre notre chambre et d’aller nous coucher... Tous les 3 ensembles, nus, dans le même lit, moi au centre, je les laisse encore me toucher et me caresser, je me blottis contre Sam en faisant face à Nicolas, nous discutons encore un instant avant que le sommeil et la fatigue ne nous emportent. Il est 8h25, du matin... je me réveille sous les caresses et les baisers de Sam dans mon cou. Nicolas me regarde et effleure mon ventre et mes seins du bout de ses mains... Sam, derrière, se colle à moi et je sens son érection entre mes cuisses.Sam :
— Tu veux ??? — Quoi ??? De quoi tu parles ??— Tu veux qu’on finisse en beauté... veux-tu encore un peu de tendresse... ?— (Sans réfléchir) Oui... je t’aime...
Sam me caresse, puis doucement il m’écarte les jambes et glisse son sexe dans mon ventre... offrant une vue imprenable de mon vagin rempli par son sexe, Nicolas en face de moi... puis d’une main, il me pousse dans le dos et je m’incline vers Nicolas nous observant, je sens qu’on me pince et me pelote les seins, Nicolas se redresse dans le lit et vient présenter son gland à l’entrée de ma bouche... Je me retrouve à nouveau prise entre eux deux. Mon corps est courbaturé de la folle soirée et nuit, et je ne réagis pas immédiatement à leurs intrusions et pénétrations... je me laisse faire... et ils me font l‘amour avec délicatesse... Je suis leur poupée et ils en abusent sans résistance...
— Hum... la pipe du matin... C’est le bonheur.— Oui et le reste est tout aussi bon...(rires)
Le câlin matinal se finit rapidement, Nicolas éjaculant sur mes seins et mon cou... pendant que Sam, lui, se vide à l’intérieur de moi. C’est doux, chaud et agréable... Nous sortons ensuite de la chambre pour prendre notre petit-déjeuner... Je dois les servir et rester nue entre eux.
— Veinard Sam, j’aurais bien aimé rester le week-end en entier... Mais je t’avoue que vous m’avez épuisé. Et j’ai encore pas mal de route à faire... donc... Je pense à présent qu’il est tant pour moi de vous quitter.— Oui je te comprends, toute bonne chose a une fin, j’espère que tu as apprécié cette rencontre et que nous avons tenu nos engagements pour toi. — Oui et même au-delà... — J’ai un dernier souvenir pour toi... Estelle va dire au revoir à notre ami, je te prie... et donne lui ce DVD de la soirée... il y a toutes nos photos et vidéos de notre rencontre... ça lui fera un bon souvenir.— (honteuse) Quoi ?? Des vidéos ??? Sam... non... tu n’as pas... pas tout ça ??? — Allez, ma chérie, va te soumettre à notre invité...
À genoux, puis à 4 pattes, je m’approche alors de Nicolas qui ressort son sexe mou et lisse de son pantalon et le prend en bouche pour une mini-pipe. Puis, pour le final, je remonte vers lui pour l’embrasser sur la bouche. Il se laisse faire et profite de mon corps nu contre lui, il me caresse et me tient fermement les fesses durant notre échange buccal. Il titille encore mon bijou laissé en moi...
— Merci ma belle salope. À bientôt vous deux... et merci pour tout... vous êtes extra. — Estelle, accompagne-le à la porte...
J’obéis, nue, et raccompagne notre hôte, le froid passant par la porte ouverte me fait frémir et me donne la chair de poule, mes seins se dressent et pointe avec ardeur. Nicolas se retourne, souri, me les touche et les effleure avec tendresse.
— Merci jolie soumise... tu es merveilleuse.
Nicolas s’en retourne et s’éloigne. Je retourne rapidement voir Sam et me blottis contre lui, presque en larmes et soulagée de que tout soit enfin fini... 9h37 du matin. Sam me prend dans ses bras et m’emmène alors dans notre chambre... il m’allonge sur le lit et nous faisons l’amour comme pour la première fois... c’est si bon... je m’abandonne à lui et jouit dans ses bras... Un seul détail change... j’ai toujours mon bijou en moi... et notre couple est plus fort que tout. 10h23. Après une nouvelle douche, je m’habille et pars à la boulangerie. Sam a voulu que je garde le bijou en moi pour mes courses et la journée, et m’a imposé une jupe courte avec un chemisier pigeonnant... je me sens bien et sexy... Le bijou me donne des sensations dans le corps et le ventre, mais moins que les souvenirs qui passent dans ma tête. Au retour, je croise notre vieux voisin lubrique que je salue tout de même par politesse tout en baissant les yeux, honteuse de mes actes et souvenirs cachés.
— Bonjour jolie voisine, vous allez bien ? La soirée a été bonne ?? Moi je l’ai trouvée magnifique, et la lune était superbe, l’avez-vous vue ? Non ? (rire) A bientôt chère Estelle et... Dites encore merci à votre mari... — Bonjour, Oui. Heu. La lune, non ??... Merci ?? De quoi ?
Il tourne les talons, me laissant perdue dans mes pensées (hier soir, il n’y avait pas de lune, c’était brumeux !!!). Puis en retournant vers ma maison, je constate que toutes les fenêtres et rideaux sont grand ouverts et que l’on distingue parfaitement notre salon, notre chambre et notre intérieur... de quoi faisait allusion ce voisin... Aurait-il tout vu ????? Aurait-il vu ce que j’ai fait hier ??? Le rouge aux joues, je rentre en courant et m’enferme... pleine de honte et tremblante... je réalise que ma vie vient de basculer...
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