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Le fantasme

Chapitre 3

SM / Fétichisme
(Elle)Je suis à nouveau terriblement excitée et la chaleur humide que je sens se répandre au creux de mon sexe, me réjouit. Je suis finalement presqu’aussi tendue que lui, la gorge serrée par tant d’émotions que l’air ne passe que par saccade. Je cherche à lire sur son corps à présent entièrement assimilé à un sexe, d’où émergera mon plus grand plaisir, ma plus grande jouissance, tellement dépendante aussi de sa satisfaction.
Les yeux fermés, il n’a pas vu mon sein approcher. Mais la chaleur, le contact léger de cette partie saillante de mon corps, la douceur peut-être sur sa joue (j’aime à le penser) les lui font ouvrir et tourner la tête vers mon mamelon. Je ne bouge plus, ainsi tendue et cambrée. Je le regarde. A ma divine surprise, il referme les yeux, frotte doucement sa tête contre ma chair rose, tellement sensible, tel un chat qui roulerait la sienne contre ma main. Mon souffle s’interrompt un moment, doux moment suspendu pendant lequel je le laisse prendre ce plaisir presque freudien qui m’électrise. Puis mon souffle se relâche en un soupir :
— Encore ! »
(Lui)Je n’ai que le temps de me rendre compte que tu as remplacé ta langue par un de tes seins. Vu leur taille et la mienne, contrairement à toi, je ne peux m’occuper que d’un seul à la fois. Je sens que le téton rose qui pointe vers mon visage va être un pur délice. Il est d’une taille parfaite pour remplir ma bouche qui en salive d’avance autant que mon membre. Mais l’horrible femme sadique que tu es, préfère, dans un mouvement sensuel, commencer par lui faire frôler ma figure probablement décomposée d’excitation. Ma respiration est intense, ma tête chavire, ma peau est parcourue de doux picotements qui se mêlent aux doux baisers de ton bourgeon rose. Je ferme à nouveau mes yeux pour ne plus stimuler que ma peau. Mes sens envoient trop de messages sexuels à mon cerveau et je vais devenir fou. Ce n’est plus une main qui roule sur ma peau, mais bien un immense téton qui durcit de plus en plus.
L’intensité de mon excitation est à la mesure de ton gigantisme, comme si la disproportion de tes zones érogènes, disproportionnait mon effervescence sexuelle. Et t’entendre gémir ton plaisir en retour ne fait qu’accroître mon ivresse.
(Elle)Il poursuit toujours sans bouger ses mains, et ne s’arrête pas lorsque j’incline tout mon corps vers le matelas, remontant un genou pour le confort, et lui présentant l’autre sein qui vient le surplomber davantage. Mes seins qui n’ont pourtant rien d’imposants, semblent importants par rapport à sa taille et en tout cas, il s’en trouve partiellement recouvert. Blancheur de ce globe sur son torse, bouton plus sombre sur son visage. Je bouge imperceptiblement, créant la sensation de l’envahir un peu. Il semble apprécier et si ses mains retrouvent de la mobilité, ce n’est pas pour se dégager ou contrôler ce contact. Il les pose sur mon aréole, tout contre la base du mamelon, qu’il enserre et malaxe. J’en perds le fil et je ne le regarde plus. Je ne sais ce qu’il fait de ses doigts ni de sa bouche. Succions, pincements ou serrements restent toujours délicats, dû à sa petite taille et c’est un plaisir immense.
Mon cœur va à toute allure, j’ai l’impression de l’écraser alors que je n’ai quasiment pas bougé, mais ces quelques millimètres que sont-ils pour lui ? À dire vrai, la question m’effleure à peine. Je ne sens rien de contraint dans sa façon de se mouvoir ou de s’occuper de mes seins, au contraire. Car bien que je reste dans cette posture un genou replié, à demi couchée sur le ventre, il se déplace sans difficulté entre mes seins qu’il piétine parfois, les prend en bouche partiellement et fait rouler les mamelons entre ses mains.
A l’autre bout de mon corps, la cyprine s’écoule lentement de mon vagin qu’il faudra bientôt satisfaire encore, et encore ! Cette lave huileuse et fluide de mon feu intérieur d’amante se mêlant à ma glaire matricielle blanchâtre, épaisse et filante.
(Lui)Le moelleux de ton sein contraste avec la fermeté du mamelon qui remplit ma bouche. Mon champ visuel s’est considérablement rétréci depuis que tu m’as emprisonné sous ta poitrine. Mais je suis le plus heureux des bagnards et je m’affaire à la tâche avec une extrême dévotion. Ma langue flatte ce téton, s’insère partout. Elle est comme un mini-pinceau qui glisse sur cette toile brune, froncée d’excitation. La pointe de ton sein savoure les minis mouvements circulaires et précis que seule une langue de cette proportion peut dessiner, tandis que mes lèvres aspirent sa dureté croissante et que mes mains caressent lentement son aréole granuleuse.
(Elle)Je me sens tellement excitée que j’ai la sensation de l’écraser complètement, tant je suis avide et dingue des caresses que sa langue prodigue à mes mamelons. Le regardant parfois, je vois nettement sa bouche emplie de mon bouton et cette vision rajoute encore à mon excitation. Je veux le voir à la fois totalement séquestré sous mon sein, bouche largement ouverte par dessous pour l’aspirer et qu’en même temps, il remplisse mon sexe. Je le veux en moi, et je ne veux pas qu’il s’arrête. Complètement tendue, j’y porte une main libre, totalement au fait de mon plaisir et qui sait que trop bien me faire monter: désir réflexe de comblement pour accompagner le plaisir de mes seins. Je me surprends de cette incroyablement douceur intime. Nid ou cocon pour Homme-jouet, c’est doux, trempé, glissant, ouvert mais surtout, affamé! « Oh mon Dieu ! »

Je m’éloigne alors brusquement de lui et je retire ma main de mon sexe dans un même mouvement plus soudain que je n’aurais voulu. Mon dos s’arrondit, crispant ma main sur le drap à côté de lui. Je me redresse complètement et mes yeux plantés dans les siens crient déjà certainement mon plaisir immédiat ainsi que mon désir intense et impérieux. Je m’assieds face à lui sur mes talons, genoux sur le matelas et cuisses largement ouvertes. A ce stade, mes sens sont à 100% et je crois vivre dans une autre dimension, ce qui est assez proche de la réalité finalement, vu sa taille.
Cambrée par la position autant que par mon désir, je le domine. Je sens la fraîcheur ambiante au bout de mes seins mouillés de sa salive, contrastant avec l’étonnante chaleur de quelques rayons de soleil sur ma peau, pareille à des mains désirantes posées là, ainsi que la chaleur humide de mon sexe. J’entends son souffle et surtout le mien, d’un volume certainement plus élevé que ce qu’il est en réalité. J’ai l’impression d’exhaler cette odeur de sexe par tous mes pores.
D’abord surpris par ce revirement de la situation, il se lève avec un regard pénétrant, marque un temps d’arrêt, s’avance vers moi et s’approche tout près entre mes cuisses. Immobile, ce qu’il regarde de moi me ferait rougir jusqu’à la racine des cheveux en temps normal, tandis qu’à présent, je souhaite qu’il me regarde, encore davantage excitée de mon impudeur. Comme mes sens sont exaltés, ma notion du temps est également comme dilatée par la chaleur qui m’envahit. Je suis dans ce temps déformé par le sexe et le plaisir. Je suis comme hors du temps, dans une bulle de sexe et de désir qui résonne autrement, que je remplis de mon corps immense, et mon corps bientôt de lui. Je reconnais clairement cette énergie phénoménale qui sourd en moi mais qui a encore besoin de se dilater avant d’exploser et de rayonner ; qui pour le moment irradie depuis mes mains et mes genoux, pulsant vers ma gorge et dans mon sexe.
(Lui)Vision de paradis... Vision irréelle et pourtant bien présente... Assise à genoux, cambrée, cuisses ouvertes, les renflements charnus de tes grandes lèvres entourent les pans de soie roses de tes petites lèvres entrouvertes par leur propre poids, à moins que ce ne soit par une faim insatisfaite. Ta position me cache le fond de ta vallée et je me contente de fantasmer grace aux souvenirs récents de ton doux tapis rose contre ma peau ainsi que sur la délicate entrée qu’il recèle, où je ne me suis que trop peu attardé.
Dans cette connexion qui nous unit, je me demande si nos pensées ne s’entremêlent pas un peu: quittant ta position cambrée, ton corps se penche légèrement en arrière contre le dossier du lit, me laissant à nouveau admirer ton trésor. Lentement, tu laisses glisser une main sur ton ventre jusqu’à atteindre ton sexe. Deux doigts glissent autour de tes nymphes et lascivement, tu t’ouvres largement dans un mouvement d’une langueur sensuelle difficilement soutenable.
Je suis là, entièrement nu et face à moi, cette vulve immense, cette vulve qui m’appelle, qui appelle son jouet, son objet de jouissance, ailes toutes déployées entre index et majeur, tel un magnifique Morpho rose dans l’écrin ouvert de ses deux renflements charnus. Cette tenture de soie ourlée ne masque plus rien de l’entrée de ton corridor d’amour vers lequel je serai sans doute dirigé sous peu. Il est à la fois rempli d’envie mais dans le même temps tiraillé de son vide intérieur insoutenable et prêt à m’engloutir au sein de ce fourreau femelle. Ce fourreau de luxure dont la cruelle vacuité devient une torture pour toi.
Ta vallée rose surplombe cet orifice encore fermé de ton sexe. Le charmant arrondi froncé de son entrée, me fait penser aux "chouchous" dont les femmes se parent pour tenir leurs cheveux. Il est comme un bouton d’œillet ornant ton orchidée vulvaire. Définitivement, chaque parcelle de ton corps est une ôde à la sensualité féminine.
Tandis que d’un pas lent, je m’approche de ce bijou de luxure, je vois les délicieuses fronces de ce chouchou rose se déplisser, dévoilant dans un premier temps, le discret orifice urinaire jusque-là caché dans ses replis intimes. Puis à mesure qu’il s’agrandit, il s’ouvre l’espace d’un moment en son milieu, comme s’il m’adressait un rapide clin d’œil et me laisse entrevoir, un bref instant, les prémices de ton monde intérieur. Une telle maîtrise de ton sexe me laisse imaginer les massages les plus sensuels de mon corps devenu un pur objet phallic pour notre plus grand plaisir mutuel.
Je sens une pression dans mon dos et ta main me pousse vers ta vulve offerte. Tel un esclave, je me mets à genoux en signe de soumission absolue à son plaisir. Ta fente dégage un divin parfum sexuel d’un érotisme indescriptible. Mon visage s’approche, ma langue qui sort de ma bouche, glisse en effleurant à peine la tendre muqueuse de ta vallée, récoltant une immense traînée d’un épais mucus laiteux, mêlé d’une liqueur plus transparente, résultat du cocktail de tes fluides vulvaires et vaginaux fusionnés par tes doigts peu de temps avant.
Je me désaltère de tes nectars d’amour, lapant ta vallée de plus en plus avidement et collant mon visage dégoulinant contre tes chairs gonflées ainsi que ma queue tendue d’une façon quasi insoutenable. A mesure que je te nettoie, mon visage progresse vers le haut de ce bijou, jusqu’à atteindre ce renflement palpitant que je libère de son abri à l’aide de mes mains poisseuses de mouille. Je récline délicatement son capuchon et ma langue poursuit son cheminement depuis ta vulve jusqu’aux pourtours de ton clitoris. Je le lèche dans une spirale infinie, partant de sa base pour en atteindre progressivement sa pointe, puis retournant tout aussi progressivement vers sa base.
Retenu dans ta main, j’entends le souffle de ta respiration qui s’accélère et tes gémissements qui s’accentuent. Tu tentes, tant bien que mal, de rester immobile mais ton bassin finit par céder à de minis balancements, minis va-et-vient que ton plaisir ne te permet plus de contrôler. Je te sens qui monte inexorablement les marches qui mènent à l’orgasme. Mais comme je n’ai aucune pitié au final, je décide de te laisser un temps culminer sur l’avant dernière marche en faisant varier, au son de tes gémissements, l’intensité et la vitesse des tours de ma langue sur ton bouton d’amour. Et quand ils finissent par se transformer en une supplique de hoquets, m’implorant une touche finale à cette douce torture érotique, alors le plat de ma langue se glisse sur le bas de ton clitoris et de ma bouche grande ouverte, je le gobe tel le gland d’un pénis dont il a la taille. Je l’aspire sans ménagement dans ma bouche avec la même gourmandise que j’aurais pour une boule de glace à l’italienne.
Effet presque instantané et le spasme de jouissance qui s’empare de toi, m’arrache à ta douce friandise rose, me repoussant sans ménagement contre le lit.
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