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Le fantasme de la baby-sitter

Chapitre 9

Ca continue

SM / Fétichisme
Lundi et mardi se passèrent comme d’habitude. Nina passa son lundi entre les mains d’Annabelle, qui lui caressa les seins au cours de massages torrides. Elle l’embrassait avec passion. Mais quand David rentra, les deux femmes discutaient sagement de chiffons, et autres trucs féminins. David ramena la jeune fille. Il profita de la route pour enfoncer son doigt dans le vagin de la jeune fille.
— Tu es déjà bien mouillée, ma poupée. — Euh... — Tu pensais à moi !
Nina hocha la tête, elle pensait souvent à David, quand Annabelle la touchait, de même qu’elle pensait à Annabelle quand David la touchait. Nina se penchant en avant, en criant sa jouissance avant d’arriver chez elle. Il l’embrassa et elle quitta la voiture. David se gara dans un coin, et se masturba, la main pleine de mouille de la jeune fille sur sa bite. Il avait besoin d’évacuer le stress de ces derniers temps. Il envoya un message à une des soumises pour lui donner rendez-vous le lendemain soir.
Le mardi soir, Annabelle reçut un message de son mari qu’il allait rentrer tard pour finir sur un dossier. Au fond, cela ne dérangeait pas trop la jeune femme, elle aurait Nina, rien que pour elle ce soir. Après le couchage des enfants, les deux femmes s’allongèrent dans le salon. Nina était couchée par terre. Le pantalon et la culotte en bas de ses chevilles, et Annabelle léchait son petit sexe avec délice. Nina criait en étouffant son plaisir pour les enfants, au milieu du salon de la famille Darma. En se frottant contre le sol, elle pensa au sperme de David qu’elle avait craché non loin, après lui avoir fait une fellation.
David, dans son bureau, cliqua pour lancer le logiciel lui permettant de voir le salon. Il n’allait sans doute pas voir grand-chose, puisque Annabelle avait dû rentrer à cette heure-ci. Sauf qu’il ne vit rien du tout. L’écran était tout noir... Et la jolie roue bleue tournait sur son écran, signe que le logiciel avait planté.
— M*r*e ! dit-il en l’éteignant l’ordinateur, en espérant que c’était passager.
Un petit coup à la porte, et sa soumise franchit la porte de son bureau. Elle était habillée comme il aimait, en jupe courte, avec des bas, et des porte-jarretelles, et bien sûr pas de culotte. Et sur le haut, c’était une chemise simple, sans soutien-gorge dessous.
— Maître ! se présenta la jeune fille.
David se leva, et ordonna la femme de se mettre à genoux. Il lui présenta son sexe, et elle mit en bouche. David était ... pressé. Il prit donc le visage de la femme dans ses mains, et lui baisa la bouche avec violence, et rapidité. Il éjacula dans sa bouche, et elle avala le tout. Ensuite il lui dit de se mettre à quatre pattes. Il ouvrit son coffre et en sortit un martinet, et donna un coup sur les fesses de la femme, puis un autre. Elle cria, il lui dit de cambrer son dos, et il claqua sur son vagin.
Il tira son fauteuil, et s’assit dessus, il ôta sa chaussure et sa chaussette de son pied gauche et glissa son pied entre les cuisses de sa soumise. Il la caressa avec son pied et ses orteils. Elle se mit à jouir sur son pied. Il lui ordonna de se retourner pour lui ordonner de lui lécher les pieds. Ce que sa soumise fit. La femme se mit à genoux devant lui, et se mit à lécher son pied pour récupérer toutes les traces de sa jouissance. Mais ce n’était pas suffisant pour David, il enchaînait les actes barbares et violents avec cette femme.
— Tu te souviens... du mot de passe ? demanda-t-il.
La femme hocha la tête. Satisfait qu’elle soit toujours là de son plein gré. Il se releva de son fauteuil, et lui colla la tête au sol, souleva ses fesses, et y enfonça son sexe avec violence. Il la pilonna en la maintenant au sol d’une main ferme. Son vagin n’était pas si chaud que celui de sa poupée, ni aussi serré. Alors il changea de trou, et plongea dans le cul de sa soumise, sans même l’avoir préparé.

Elle se mit à crier, mais ce n’était pas sa première sodomie, en tout cas, elle avait déjà eu la sienne dans le cul. David fit de puissants va-et-vient dans son cul, c’était plus serré, mais ... pas encore suffisamment. Il imagina alors prendre le petit cul de sa poupée. Quel délice cela allait être ! David se mit à jouir dans le cul de sa soumise.
— Vous êtes ... pressé ce soir, maître !— Je joue à la poupée. Il faut du temps ... pour l’éduquer, expliqua David. — Vous êtes ... en manque. Vous pouvez toujours aller au « donjon », proposa sa soumise.
David connaissait cet endroit, il y était allé souvent d’abord avec son oncle, puis seul pendant dix ans. Puis il y avait eu son mariage avec Annabelle. Pendant un an, cela lui avait suffi pour assouvir ses besoins, et il y avait eu les enfants... pendant la grossesse d’Annabelle, la jeune femme lui avait semblé moins attirante. Il avait rappelé ses soumisses, mais il n’avait remis les pieds au Donjon.
— J’y penserais ! Bien, allonge-toi sur le dos. Les jambes écartées, ordonna David.
Il tenait son martinet dans la main, et regarda sa soumisse avec un sourire sadique. La soumise posa ses mains sur ses pieds, et ferma les yeux.
— Trente coups... ce soir ! annonça-t-il avant de commencer à fouetter son petit vagin. Tu les comptes... Attention de ne pas te tromper ni de fermer tes cuisses.— Oui, maître, fit-elle.
David joua avec son martinet, donna des coups plus ou moins violents sur le sexe de sa soumise. Il imagina Nina, sa belle poupée, dans la même situation. Il banda une nouvelle fois, rien qu’à cette pensée. Elle serait si belle, si soumise, si confiante, allongée face à lui.
— 28 ! cria sa soumise.
Elle était en train de jouir, la belle s*l*p* ! Il frappa le vingt-neuvième plus fort, et le trentième avec force. Elle se mit à crier comme une folle, sans doute à la fois de plaisir et de douleurs. Mais c’était le principe ... du sado-masochisme. David s’accroupit vers elle.
— Veux-tu ... une récompense ? proposa David. — Est-ce que vous pouvez ... me lécher, la chatte, Maître ! — Oui ! fit David avec un sourire.
David s’assit. Il tira le corps de la femme, l’obligeant à se mettre dans une position étrange. Elle était presque pliée en deux. Son sexe était face à sa bouche. David avait un bras derrière son dos, et sa tête était penchée en arrière. David se mit à la lécher, son petit sexe était mouillé, sa cyprine avait un goût amer, plus que celle de sa poupée. Il sentit sa soumise jouir sous sa langue. Il releva sa bouche, souffla sur le sexe, et se releva, abandonna sa soumise sur le sol.
David congédia sa soumise comme une vulgaire femme, puis regarda si son ordinateur fonctionnait à nouveau. L’écran afficha enfin ce qui se passait dans le salon. Nina était allongée sur le canapé, elle semblait dormir. Il zooma sur son doux visage endormi, elle semblait heureuse, avec un sourire béat sur le visage. Demain, il allait s’amuser avec elle.
Il rentra chez lui, et déposa un doux baiser sur la joue de sa poupée. Il passa dans la salle de bain, pour se laver, avant d’aller se glisser dans le lit avec sa femme. Il glissa ses doigts dans le vagin de sa femme, qui était étrangement humide.
— David !... murmura-t-elle, à moitié endormie. — Qui veux-tu que ça soit d’autre ? demanda-t-il.
Annabelle ne répondit pas qu’elle aurait apprécié que Nina vienne glisser ses doigts dans son vagin. Mais elle avait une petite main si douce, rien à avoir avec les doigts de son mari, bien plus gros, et bien plus long.
— Je sais pas... mon mari, peut-être ! rigola Annabelle.
David glissa son sexe dans celui de sa femme, et ils jouirent ensemble dans une position de la cuillère. Nina dormait dans le salon comme une bienheureuse sans entendre les gémissements d’Annabelle, et la voix rauque de David.
Le mercredi matin, tout le monde se prépara en quatrième vitesse. Les enfants devaient être déposés à la crèche, Nina devait passer chez elle, récupérer ses affaires pour le lycée. David devait se rendre à son entreprise, il avait un entretien. Et bien sûr, Annabelle était la seule à ne travailler qu’à partir de quinze heures ? Annabelle conduisit en premier la jeune fille chez elle, Nina récupéra ses affaires et redescendit à la voiture. Elle déposa ensuite la jeune fille au lycée, et passa le reste de la matinée avec ses bouts de choux.
Dans la journée, Nina reçut un message de David. Il lui demandait de se préparer pour un nouvel après-midi tous les deux. La jeune fille rougit et se mit à mouiller au milieu de la salle de classe. La jeune fille lui répondit un oui, David. Je serais là à 14h. Comme la semaine dernière, elle envoya un message à sa mère pour lui dire qu’elle allait à la bibliothèque. La veille, Annabelle avait appelé sa mère pour lui dire qu’elle ne laissait pas Nina partir toute seule dans le noir. Qu’elle était désolée d’être rentrée trop tard pour qu’elle prenne le bus, et que son mari était coincé au bureau. Que tout ça tombait mal et ce n’était pas très bien enchaîné.
C’était bizarre pour Nina de voir la bouche d’Annabelle rire avec sa mère au téléphone, alors que cinq minutes avant, elle était posée sur son sexe pour la lécher avec douceur, et ... avidité. Annabelle avait dit à Nina de se rendre dans la chambre d’amis si elle le souhaitait, mais la jeune fille s’était finalement endormie sur le canapé. Aujourd’hui, elle allait retrouver David, ça fait ... un moment qu’il ne s’était pas retrouvé tous les deux. Juste cinq minutes le lundi soir, et elle n’avait plus pu avoir que son doigt. Nina voulait plus...
La jeune fille quitta le lycée, elle avait toujours le catalogue dans son sac, de même qu’elle avait ôté son soutien-gorge dans les toilettes de l’école. Elle monta dans le bus, et regarda le paysage défiler. Elle était de moins en moins nerveuse de rejoindre David, peut-être parce qu’il savait la mettre en confiance, et qu’Annabelle lui avait montré le plaisir féminin. Elle commençait à savoir ce qu’elle aimait, ou ce qu’elle n’aimait pas. Nina sonna à la porte. David ouvrit la porte et découvrit sa petite poupée devant lui. Elle portait un petit tee-shirt qui lui moulait divinement la poitrine. Elle était vraiment magnifique. Le bas était un simple pantalon, mais il savait qu’elle n’avait pas les jupes pour le contenter.
— Entre, ma poupée ! fit-il.
Nina sourit et franchit la porte avec le sourire. Elle avait hâte de commencer à jouer avec lui. Elle était confiante.
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