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Le fantasme de la baby-sitter

Chapitre 10

Le film porno

Divers
David fit entrer sa poupée dans la maison, il se saisit de sa bouche et l’embrassa à pleine bouche. Elle s’ouvrit comme une petite fleur dans ses bras. Elle se mit à gémir contre sa bouche, et se serrait contre lui. Il saisit le bord de son tee-shirt et le fit passer par-dessus sa tête. Il le laissa tomber devant la porte de la maison.
— Je crois que je ne me lasserai jamais de cette vue, ma poupée, fit David en regardant les seins de la jeune fille.
Nina sourit, elle appréciait beaucoup les compliments de David, mais aussi ceux d’Annabelle. Mais ça ne pouvait pas le dire à Mr Darma, ce... elle ne voulait pas mettre le feu dans leur couple. Ils avaient l’air si bien ensemble, elle ne comprenait pas très bien, pourquoi ... ils faisaient ... ça avec elle. Mais la jeune fille se trouvait belle, désirable entre leurs mains, ils étaient tous les doux et gentils, alors elle n’allait pas tout gâcher.
— Installe-toi ! Tu as regardé le catalogue ? Tu veux boire quelque chose ? demanda David. — Euh... Oui et Oui ! J’aimerais boire ton sperme ! fit Nina.
David échappa le verre qu’il tenait, et leva son regard vers elle. D’où est-ce qu’elle sort une phrase comme ça ? Le jeune homme fit un sourire en coin, et chercha le balai pour réparer les dégâts. Nina paniqua en voyant que David avait paru si surpris, et qu’il ne lui répondait plus. Est-ce qu’elle avait fait une bêtise en disant une phrase de ce genre ?
— Où est-ce que tu as entendu ça ? demanda David. — Euh... et bien... je voulais ... euh comment dire... J’ai regardé...— Un film porno ? proposa David.
Nina hocha la tête, tout intimidée. Elle avait ses bras croisés sur sa poitrine pour cacher un peu ses seins. Un soir, elle s’était glissée dans son lit, avec son ordinateur portable, et avait cherché un film, et le regardait. Mais elle n’avait pas trouvé ça bien... Les images n’avaient rien à avoir avec ce que David ou Annabelle avait fait. David ne savait pas s’il était excité par son audace, et son envie d’en savoir plus et sans doute de lui faire plaisir. Et en même temps, fâché qu’elle ne le laisse pas l’éduquer comme il faut.
— Je vois ! commenta David. Je t’interdis de regarder ce genre de films... sans moi ! fit-il avec un petit sourire.— D’accord David !— Bref, que veux-tu boire ? redemanda-t-il.— Un jus de fruit ! répondit la jeune fille.
Elle fouilla dans son sac pour en sortir les porte-jarretelles, et le catalogue.
— Je dois les remettre ? demanda Nina.

David fit un petit sourire, et hocha la tête. La jeune fille prit ses vêtements, et se rendit dans la chambre d’amis pour s’habiller. Elle revint quelques minutes dans cette tenue magnifique. Elle était vraiment mignonne et sexy. Elle avait son petit charme à elle qui le rendait fou. David s’avança vers elle, il remit une bretelle de soutien-gorge sur son épaule, ajusta un bonnet, et remit une des épingles sur ses bas droits.
— Tu es parfait, ma poupée. Allez montre-moi le catalogue ! dit-il en prenant place dans le fauteuil.
Il posa les deux verres sur la table basse. Nina hocha la tête, saisit le catalogue, et vint s’asseoir sur les genoux de David. Le jeune homme la serra contre lui, en passant son bras autour de sa taille. Nina ouvrit le catalogue, et lui dit qu’elle était d’accord avec tous ses choix, sauf la minijupe. Ça, elle n’aimait pas. David sourit, il s’en doutait un peu, il avait cerné le caractère de la jeune fille. Elle était douce et gentille, timide, mais cachait un côté ... coquin. Elle était coquine.
— Est-ce que ... je veux dire pour l’argent ? demanda Nina. — Ne t’inquiète pas de ça ! Laisse-moi prendre soin de toi ! Laisse-moi jouer à la poupée. — C’est pour ça que tu m’appelles poupée ?— En partie ! Oui ! Est-ce que tu veux qu’on regarde un bon film porno tous les deux ? proposa David.
Nina hocha la tête, et se releva. Le jeune homme regarda dans sa collection de DVD, il fouilla dans ceux qu’il avait rangés au fond et en hauteur. Il hésita sur le thème. La jeune fille s’était rassisse sur le fauteuil. Elle était vraiment mignonne dans cette tenue... sexy. David choisit un film avec un peu de SM, pour voir sa réaction. Ce serait un bon début afin de voir ce qui pourrait lui plaire.
L’héroïne du film vivait seule dans un appartement d’une ville qui n’était même pas nommée, de toute façon, on ne voit que la maison de l’héroïne qui reçoit tout un tas de personnages. D’abord son ami d’enfance, avec qui elle baise avec entrain sur la table de la cuisine, entre le café et le sucre. David observait la réaction de Nina assise à côté de lui sur le canapé. Elle semblait sceptique. Il faut dire que ce genre de film n’a pas de scénario. Après son ami, c’est le livreur de pizza qui lui passe dessus au milieu du salon. Nina se cala dans les bras de David, et se mit à lui caresser la jambe du bout des doigts.
Le jeune homme passa un bras derrière elle, et la serra plus contre lui. L’héroïne, qui n’avait pas de nom, peut-être un prénom, mais David ne l’avait pas du tout retenu, criait sa jouissance. Une fois le livreur de pizza parti. C’était le soir, et la jeune fille se préparait à aller au lit dans sa chambre, quand ... un voleur entra par effraction. Il attacha sa « victime », et commença des attouchements sur l’héroïne, qui finit par gémir de bien-être.
— C’est pas un ... viol ? demanda Nina.— Eh bien... attaché l’autre n’est pas toujours du viol... si les deux sont d’accord. — Tu as déjà euh... attaché quelqu’un ... pour ça ?
David la trouvait mignonne à poser des questions aussi... osées avec son petit air si timide.
— C’est arrivé, oui ! répondit-il. — Oh ! fit Nina en se tournant vers le film. Mais la fille n’a pas l’air d’accord. — Et toi... tu serais d’accord ? demanda David.
Nina baissa la tête, elle mordillait sa lèvre, sans doute qu’elle réfléchissait à sa réponse, pensa David en l’observant avec attention. Nina se dit que cela ne la dérangeait pas tant que ça, si c’était David qui l’attachait. Elle avait confiance en lui, et puis il lui avait dit qu’il voulait lui apprendre toutes ces choses.
— Si c’est avec toi, je veux bien, répondit Nina. — Alors nous ferons quelque chose comme ça, tous les deux ! dit David en se pencha pour embrasser le cou de la jeune fille.
Elle pencha la tête pour que David pût mieux lécher son cou, il descendit sa bouche sur son épaule, sa main s’aventura sur ses seins, et descendit doucement entre ses jambes. Nina les écarta naturellement, en regardant la dernière scène du film, où l’héroïne découvrit que son « violeur » était son petit ami. Ding ! fit le portable de David. Le jeune homme soupira dans le cou de la jeune fille qu’il était en train de doigter avec avidité. La jeune fille se déhanchait doucement sur son doigt, en criant sa jouissance, elle aussi.
— Il est l’heure ! fit David avec ... regret.
Il allait devoir ramener la jeune fille chez elle, cela ne lui plaisait pas trop. Il aurait aimé pouvoir profiter plus longtemps du corps si chaud de sa poupée.
Quelques dizaines de minutes plus tard, il déposa la jeune fille non loin de chez elle. Nina aussi regrettait de ne pas avoir profité plus longtemps de son bonheur dans les bras de David. La jeune fille ne savait pas si demain, elle allait pouvoir profiter de sa bouche ou de ses doigts, mais ce n’était pas pareil, il fallait faire attention au retour d’Annabelle, et surtout aux deux enfants dans la maison.
Jeudi soir. David et Annabelle rentrèrent à quelques dizaines de minutes d’intervalles, donc elle passa une soirée « sage », n’échangeant qu’un baiser profond avec Annabelle qui était rentrée la première. David la ramena chez elle, et elle sentit la main de David sur son sexe pendant tout le voyage. Le lendemain soir, ce fut le contraire, David rentra le premier, elle partagea un baiser torride avec le jeune homme. Mais Annabelle honora sa poitrine sur le parking désert du supermarché.
Samedi après-midi, Annabelle profita de la présence de David, pour lui dire qu’elle allait faire un tour en ville. Mais en réalité, elle rendait visite à Nina. Elle sonna à la porte de la maison de Nina et de sa famille. Annabelle partagea un café avec la mère de la jeune fille, en ne tarissant pas d’éloges sur sa fille. Nina n’était pas là, et Annabelle découvrit le passé de la jeune fille. Sa mère lui expliqua qu’elle avait perdu son père très jeune, à la naissance de son petit frère. Et que Nina avait été une grande sœur douce et gentille. Mais une petite fille craintive et timide.
— Elle semble un peu plus épanouie depuis qu’elle va chez vous. — Je me suis attachée à Nina, elle est un peu comme une petite sœur. Je suis fille unique, alors ça me plaît de prendre soin d’elle. D’ailleurs, est-ce que vous accepteriez que j’amène Nina avec moi, je me rends dans un spa, le week-end prochain. — Euh... Je n’y vois pas d’inconvénient, si Nina est d’accord. — Oui évidemment ! fit Annabelle en souriant.
Nina rentra chez elle, avec ses deux petits frères, un peu trop tard, Annabelle devait partir, la jeune femme lui fit la bise, en posant discrètement sa main sur la fesse de la jeune fille.
— A demain ! Merci encore pour le café, madame, fit Annabelle en quittant la maison de la famille de Nina.
Cela faisait maintenant deux mois qu’elle avait été embauchée par la famille Darma pour s’occuper des enfants. Mais en plus de gérer Jack et John, avec qui elle se montrait douce, attentive et très gentille. Les enfants l’adoraient. Elle s’occupait aussi des parents, chacun de leurs côtés, sans qu’ils le sachent pour l’autre. Nina était tellement heureuse, qu’elle ne pensait pas une seule seconde que ça puisse s’arrêter. Que l’un puisse découvrir ce qu’elle fait avec l’autre.
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