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Le fantasme de la baby-sitter

Chapitre 14

Mardi soir

SM / Fétichisme
Annabelle fut la première à se réveiller, elle se redressa et découvrit Nina profondément endormie. Sa Jolie avait été déchaînée hier soir. Elle ne savait pas très bien ce qui lui était arrivé, mais ça avait été magique. Nina était un vrai trésor dans cette maison.
— Nina ! Ma jolie, fit Annabelle pour la réveiller.
Nina ouvrit un œil et se redressa, elle faillit tomber du lit, parce qu’elle était près du bord. Elle regarda où elle était, un peu perdue. Ses yeux se posèrent sur Annabelle, et elle repensa à leur nuit. Nina rougit comme une tomate.
— Je suis désolée, je ne sais pas ce qui m’a pris. — Pourquoi t’excuses-tu ? — Eh bien... j’ai suis allée un peu... fort avec le... machin ! fit Nina en retrouvant le gode parmi les draps. — Mais... Nina, c’était magique. Vraiment ! Tu n’as pas à t’excuser, ma jolie. Tu as été extraordinaire, fit Annabelle en posant sa main sur la joue chaude de la jeune fille. — Ah... Ouf ! fit Nina avec le sourire. — En tout cas, tu t’es effondrée hier soir. Tu étais déchaînée. — C’est grave ? demanda Nina. — Là, non... crois-moi ! — Les filles, c’est l’heure ! cria David. Les garçons, c’est l’heure, ajouta-t-il.
Nina pouffa de rire, et se leva, fouilla dans la valise pour trouver de quoi se mettre.
— Tu pourras mettre tes vêtements, dans l’armoire, proposa Annabelle. — Oui, je n’ai pas encore eu le temps, je suis arrivée que dimanche.
Les deux femmes se levèrent, et prirent une douche ensemble, et s’habillèrent pour rejoindre David et les garçons dans la cuisine. Ils prirent leur petit-déjeuner ensemble. David observait sa femme et sa poupée, elles étaient vraiment très belles ce matin. Elles étaient rayonnantes, elles sentaient bon. Comme la veille, David conduisit Nina au lycée.
— Vous... vous êtes bien amusées hier soir, quand je suis rentrée, vous étiez épuisées dans le lit. — Je... crois... Oui !
— Tu sais, je suis très jaloux, fit David en posant sa main sur la cuisse de la jeune fille, et serra fort. — Ce soir, je serais avec toi, fit Nina avec le sourire.— Oui, ma poupée ! fit le jeune homme en se penchant pour l’embrasser à pleine bouche.
Nina quitta la voiture, et se rendit au lycée. David à son bureau, Annabelle déposa les enfants à la crèche, et se rendit à son travail. Vers 17h, Nina alla chercher les enfants à la crèche, puis les conduisit au parc et à la maison. La jeune fille savait que les enfants avaient besoin de repères et de stabilité. La routine était une bonne chose pour eux. Nina les mit au lit, en leur lisant une histoire.
David entra le premier, il fut accueilli par sa belle poupée. Le jeune homme tenait un carton dans ses mains. Il ne dit rien et passa devant elle, sans un mot. Nina fronça les sourcils et le suivit. Il entra dans sa chambre, et posa la boîte. La jeune fille ouvrit la bouche pour dire quelque chose, mais il posa un doigt sur sa bouche, et la ramena dans le salon. De son côté, Annabelle rentra chez elle, chez eux. Elle avait hâte de retrouver son mari et son amante. Il formait un beau couple... tous les trois. Mais ce soir, Annabelle serait toute seule.
Elle poussa la porte, Nina et David étaient assis dans le salon. Ils échangèrent un regard, et les habituelles salutations du soir. Est-ce que tu as passé une bonne journée ? Ce genre de choses très simples, et normales. Nina et Annabelle ne semblaient pas vouloir se séparer. David décida de prendre les choses en main. Il saisit la jeune fille par la taille et la tira vers la chambre.
— Tu es à moi, maintenant ! fit David en entrant dans la chambre de Nina.
Il referma la porte derrière lui, il donna même un tour de clé pour être sûr qu’Annabelle ne vienne pas les déranger.
— David... et Annabelle... ? fit Nina sans savoir quoi faire. — On a fait un planning, il me semble. — Oui, pardon ! Je suis tout à toi. — Oh, tu n’as pas besoin de me le dire. Tu m’appartiens, fit David d’un ton dur.
Le jeune homme s’avança vers elle, et l’embrassa avec passion, mêlant leurs langues, l’une avec l’autre. Il caressa le corps de la jeune fille, et commença à effeuiller Nina. Il fit disparaître les vêtements de sa poupée, les uns après les autres. Elle ne portait plus que sa culotte et son soutien-gorge.
— Allonge-toi ! ordonna David.
Nina fit docilement ce qu’il disait. Elle avait toute confiance en lui. Il s’avança vers la boîte qu’il avait laissé quelques minutes plus tôt dans la chambre de la jeune fille. Il ouvrit et sortit des objets divers. Il y avait une corde, une paire de menottes, des pinces étranges bizarres. Il y avait aussi un fouet, une cravache, un bandeau, des rubans enroulés, et il avait un étrange... collier avec une boule.
— C’est quoi tout ça ? demanda Nina, intimidée, en touchant doucement les objets. — Tu ne sais pas à quoi ça sert ? — Euh... si, mais... je ne vois pas le rapport avec euh... l’amour. — Tu me fais confiance, n’est-ce pas, tu te souviens du mot de passe ? — Oui ! Je te fais confiance. Oui ! C’est « rouge », c’est ça. — Alors, allonge-toi ! fit David.
Le jeune homme se saisit des menottes et attacha la jeune femme au barreau du lit. David aimait bien les lits à barreaux, il faut bien comprendre pourquoi. Le jeune homme sortit un dernier objet, c’était une simple plume. Il commença à caresser le corps de la jeune fille avec la petite plume.
— Comment s’est passée ta journée au lycée ? — Comme les autres jours. — Raconte-moi, exigea David.
Nina lui fit un résumé de sa journée, des cours qu’elle avait eus. David continuait de la caresser avec la plume. La jeune fille se mit à rire, elle n’arrivait pas à se concentrer, il passait dans des endroits très chatouilleux. Cela faisait maintenant plus de 20 minutes qu’il jouait avec elle. Nina était coincée, très excitée de cette situation.
Les doigts de David commencèrent à caresser le corps de la jeune fille, la plume s’envola dans la pièce. Il écarta doucement les jambes de la jeune fille. Il s’assit au-dessus d’elle. Son sexe se posa sur le ventre de Nina, il se pencha pour prendre un objet sur lit. Il hésita un moment, il saisit l’étrange collier.
— Ceci se nomme un bâillon. Il se met dans la bouche, pour ne pas parler ni crier, comme tu aimes le faire.
David reposa l’objet et saisit les pinces.
— Ça, ce sont des pinces à seins, ils servent à pincer tes tétons. Tu aimes quand je les pince fort, non ?
Nina pinça sa lèvre, en hochant la tête d’un air timide.
— Crois-moi, ça sera bien plus fort. Ceux-ci, continua David en prenant le fouet, et la cravache, servent à frapper, à fouetter son corps. Touche les lanières, j’ai pris une version soft, elles ne devraient pas de faire trop mal, mais quand même... Le bandeau sert à te bander les yeux, tu ne vois plus alors ce que je te fais, poupée. Et enfin, les rubans et les cordes sont là pour te saucissonner. Cela s’appelle le bondage. Est-ce que tu as tout compris ?
Nina hocha la tête. David la trouvait mignonne, à la voir. Elle regardait les différents objets, à la fois avec fascination, et crainte. Elle était vraiment mignonne sa petite poupée.
— Aujourd’hui ! On va rester très sages... Mais il va falloir que je te punisse. Alors, dis-moi, tu préfères le fouet, la fessée ou la cravache ? — La fessée ! répondit timidement Nina, elle avait un peu peur des autres objets. — Très bien ! répondit David avec un petit sourire.
Il se pencha pour détacher les menottes de la jeune fille. Il les garda attachées l’une à l’autre. David se releva. Il se mit à genoux sur le lit.
— Couche-toi sur le ventre, sur mes genoux !
Nina leva la tête vers lui, et s’allongea. Elle sentit les genoux de David sous son ventre. Le jeune homme demanda si elle était bien installée. Elle hocha la tête.
— Alors, voilà le jeu de ce soir. Tu n’as... pas obéi. Et tu as été dans les bras d’un... autre personnage. — Annabelle !— Oui, je veux que tu me racontes tout... et à chaque baiser, à chaque caresse, à chaque... jouissance, je te donnerais une fessée. On est d’accord ? — Oui ! — Bien combien de baisers y a-t-il eu ? Donne-moi la bonne réponse. — Euh... Est-ce que les baisers sur la joue comptent ? — Non, ça ira, poupée. — Alors le premier c’était... Elle a posé ses mains sur mes seins, et m’embrassait la nuque.
Clac ! Clac ! David claqua les fesses de la jeune fille, deux fois. L’un était doux, mais l’autre plus fort.
— Il nous arrivait de nous arrêter sur le parking désert, et puis souvent dans le salon.
Clac ! Clac ! Clac ! frappa David de plus en plus fort.
— Ah... cria Nina en mettant ses deux poings dans sa bouche pour éviter de crier trop fort. — Il ne faut pas réveiller les enfants, voyons, ni Annabelle, murmura-t-il à son oreille.
Nina hocha la tête timidement.
— Continue. Ensuite ? — Nous avons passé un samedi toutes les deux. — Vous avez fait l’amour ? — Oui !
Clac ! Clac ! Clac ! Clac ! Nina eut du mal à retenir son cri.
— Peut-être que je peux mettre le bâillon ? proposa Nina.
David ne s’attendait pas du tout à cette demande de la jeune fille. Le pire, c’est qu’elle n’avait sans doute pas conscience de ce que ça signifie vraiment.
— Tu ne pourrais plus me parler, poupée ! — Ah oui, c’est vrai.
Le jeune homme se pencha pour saisir le bâillon. Il plaça la boule dans la bouche de la jeune fille.
— Tu n’as qu’à la serrer pour étouffer tes cris. — Mmmh ! fit-elle avec le bâillon dans la bouche. — Alors, continuons ! Où avez-vous fait l’amour ? — Ici !
Clac ! Clac ! Nina eut juste le temps de serrer la boule entre ses dents. David fit un sourire, et descendit le bord de sa culotte, pour la descendre sous ses fesses. Il est temps de taper directement sur la chair de la jeune fille.
— Combien de fois avez-vous fait l’amour ? — Est-ce que celle d’hier compte ? Ou celle que tu nous as arrêtée ? — Oui, alors dis-moi. — Quatre !
Nina anticipa et mit le bâillon dans sa bouche, et mordit le tout, en sentant les mains de David s’abattre sur ses fesses nues.
Clac ! Clac ! Clac ! CLAC !La dernière était particulièrement forte, Nina baissa la tête, elle savait que ses fesses allaient être toutes rouges. Mais elle sentit étrangement qu’elle était en train de... mouiller sa culotte. C’était normal de... d’avoir du plaisir à se faire fesser de cette façon.
— Donc la première fois, c’était samedi, et la seconde fois ? — Quand nous sommes allées au Spa toutes les deux. — Ah oui... quand même.
Nina serra le bâillon, mais la claque ne tomba pas, au lieu de ça, elle sentit les lèvres de David se poser sur ses fesses. Elle enleva le bâillon de sa bouche. CLAAAAAAAAAAAC !
— Ah ! fit Nina.
David glissa sa main sur son sexe, et lui caressa son clitoris.
— Tu mouilles déjà, ma poupée ! — C’est... normal quand on se fait frapper. — Oui ! C’est le but la jouissance dans la douleur, ou de la douleur dans la jouissance, comme tu préfères.
Nina se redressa sur ses coudes, elle tenait le bâillon, entre ses mains menottées. Il la regardait avec fascination, elle était tellement merveilleuse, cette petite poupée. David tourna la jeune fille pour la mettre à nouveau sur le dos. Il attacha les bras de Nina aux barreaux du lit. Il dégrafa le soutien-gorge libérant les magnifiques seins de Nina. Il les caressa avec ses mains et sa langue, titilla ses tétons. La jeune fille redressa sa poitrine pour apprécier les caresses de David, il fit descendre ses mains, et lui ôta sa petite culotte. Il la doigta doucement. Elle était déjà au bord de la jouissance.
— Poupée ! Tu es... magnifique !
David la tira pour mettre son bassin sur ses genoux. Il déboutonna son pantalon, et sortit uniquement son sexe, avant de le plonger dans le corps de la jeune fille. Il la pilonna avec force, et puissance. Nina leva les yeux, et se mit à jouir, pour la première fois de la soirée. Il la pilonna pendant quelques minutes, et la jeune fille jouit de nombreuses fois. Soudain, David sentait qu’il allait éjaculer à son tour. Il se retira, car il n’avait pas mis de préservatif. Il se redressa et plaça son sexe entre les seins de Nina. Et son pénis se retrouva au chaud, il fit quelques mouvements de bassin.
— Prends-le en bouche ! dit-il à Nina.
Nina ouvrit la bouche et il glissa le bout de son pénis, et un mouvement de plus, David lâcha un long jet de sperme entre les dents de Nina. Il observa la jeune fille, elle avala bien sagement, comme il lui avait dit. La jeune fille fit une petite grimace.
— C’était si mauvais que ça ? — Non... c’est juste... bizarre !
David se redressa. Il se déshabilla, et se retrouva nu à son tour. S’il croyait qu’il en avait fini avec elle, elle avait tort. David lui fit à nouveau l’amour en la serrant contre lui. Nina s’endormit dans les bras du jeune homme. Il la trouvait si belle, elle était merveilleuse, sa poupée.
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