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Le fantasme de la baby-sitter

Chapitre 19

L'amour est là.

Lesbienne
Nina et Annabelle furent seules quand David quitta la maison. Les deux femmes se regardèrent pendant un moment ... un peu triste pour lui, mais le baiser suivant, elles étaient trop heureuses de se toucher pour se soucier de l’homme de la famille. Annabelle se leva et entraîna la jeune fille dans la chambre de cette dernière.
— La dernière fois, tu m’as fait l’amour d’une manière si ... merveilleuse. Je vais t’avouer un truc... mis à part David et toi, personne n’avait réussi à me faire jouir autant. — Ah bon ! fit Nina un peu surprise. Ça fait longtemps que tu es mariée avec David ? — Quatre ans. Ma jolie, je vais donc te faire l’amour ce soir. — Mais... je veux participer aussi. — Ma jolie, laisse-moi te faire du bien, fit Annabelle.
La jeune femme commença à enlever les vêtements de Nina, elle lui caressa les seins, puis le ventre, ôtant le bas de son pyjama. Ils étaient vraiment mignons, ces petits cœurs. Elle caressa le corps de Nina. La jeune fille avait la peau douce, et incroyablement chaude, et l’intérieur de son corps était encore plus bouillonnant. Son visage, ses seins, son pubis, ses belles fesses rondes, tout donnait envie de la caresser, de lui faire du bien, de la faire jouir. Et en même temps, son petit air ravi, parfois boudeur, et son sourire éblouissant, donnaient envie de prendre soin d’elle, de veiller à ce qui ne lui arrive rien. Qu’elle soit la plus heureuse des femmes.
Annabelle plongea sa tête entre les cuisses de la jeune fille et sentit cette belle odeur.
— Tu sens bon, ma jolie. Tu sens l’envie... l’envie de te faire l’amour. — Annabelle, moi aussi... je veux te faire du bien...
La jeune femme soupira et se dit qu’elle n’allait pas pouvoir résister à cette petite frimousse très longtemps. Elle se positionna en 69, au-dessus de la jeune fille. Nina se mit à lécher son sexe, tournoyant sa langue et ses doigts dans son vagin. C’était vraiment très bon ce qu’elle faisait. Annabelle se concentra à faire de même sur le sexe de Nina... Elle avait un très joli pubis.
Soudain, Annabelle sentit qu’on soufflait sur son vagin, mais qu’est-ce qu’elle était en train de faire exactement ? Le bassin de Nina se souleva, elle était en train de jouir. Annabelle se souvint que Nina criait sa jouissance, elle ne voulait pas réveiller les enfants. C’était vraiment très mignon. Annabelle sentit soudain que Nina mettait son doigt près de son anus.
— Tu veux vraiment rentrer ton... doigt ici ? demanda Annabelle. — Est-ce que ça fait mal ? — Ça peut si ce n’est pas bien fait comme il faut. — Alors, je préfère pas... je veux pas te faire du mal, parce que je sais pas faire.
Nina replongea sa langue dans le sexe de la jeune femme, mais soudain, il disparut. Annabelle se retourna pour voir la jeune fille les yeux fermés, tirant la langue pour chercher son vagin. Elle ouvrit les yeux, et croisa le regard farouche d’Annabelle.

— Laisse-moi te manger, maintenant !— Mais j’ai pas réussi ... à te faire jouir, protesta Nina. — C’est pas grave, ma jolie.
Annabelle repartit à l’assaut du corps de Nina, elle était si belle. Elle tendit la main vers le nounours assis sagement sur le lit. Elle l’ouvrit et découvrit le gode dedans. Une idée un peu étrange, mais tellement ... excitante... Tellement Nina. Annabelle suça quelques instants le gode, avant de le plonger dans le sexe de Nina. Puis la jeune femme se mit à la pilonner avec entrain... Nina se cambra, elle saisit un coussin pour crier, et gémir en le serrant contre son visage pour étouffer les cris qu’elle poussait.
La bouche d’Annabelle se posa sur son clitoris, elle la lécha en même temps qu’elle faisait des va-et-vient dans le vagin de la jeune fille. Nina se mit à jouir, comme une folle, en criant dans son coussin qu’elle serrait fort contre sa bouche. Mais Annabelle n’arrêta pas non plus, et la jeune fille se mit à nouveau à jouir. Elle sentait vraiment bien dans les bras d’Annabelle, ou dans ceux de David. Elle voudrait que leurs vies à tous les trois ne s’arrêtent jamais.
Le traitement d’Annabelle continua et Nina jouit une fois de plus. La jeune femme se redressa, elle avait la bouche brillante sous la lumière de la chambre.
— Qu’est-ce que c’est ? demanda Nina. — Mais, ma jolie, c’est toi, c’est ta jouissance. On appelle ça, de la cyprine. C’est ce que tu as bu et avalé la semaine dernière. — Oui... Mais il y en a beaucoup. — Tu en sécrètes beaucoup.
Annabelle enleva le gode du corps de la jeune fille. Elle le posa sur le lit, et vint s’allonger aux côtés de Nina. Elle lui caressa le corps, sa poitrine, et son ventre du bout des doigts.
— Je voudrais te faire du bien aussi... dit Nina. — Pas ce soir, ce soir... c’est toi qui es à l’honneur.
Nina fixa le plafond un moment, puis se redressa et se coucha sur le corps d’Annabelle. Leurs deux paires de seins se posèrent l’une sur l’autre, leurs ventres se touchaient, et Nina commença à frotter son sexe contre celui d’Annabelle.
— Ma jolie ! fit la jeune femme en caressant les cheveux de la jeune fille.
Nina se saisit du gode, et le plaça entre leur sexe. Une partie entra dans le vagin d’Annabelle et l’autre moitié dans celui de Nina. La jeune fille poussa son bassin, et la jeune femme le sentit entrer en elle. Elle essaya de le faire remonter dans celui de Nina, en soulevant son bassin, mais ce n’était pas très facile. Alors elle roula dans le lit pour se retrouver sur Nina, elle le poussa dans le corps de la jeune fille. Qui refit le même geste dans l’autre sens, et elles dansèrent comme ça quelques coups.
Nina fut évidemment la première à jouir, à nouveau. Mais Annabelle ne mit pas longtemps à faire de même, elle embrassa la jeune fille dans un baiser long, sensuel et langoureux. Les deux femmes se glissèrent dans les bras l’une de l’autre.
— Il en faudrait un peu plus long, fit Nina en regardant le gode. — Un double, ça existe. Il existe aussi des godes qu’on attache à la ceinture, pour prendre les gens en levrette ? — En levrette ? Qu’est-ce que c’est ? — C’est une position pour faire l’amour. David ne l’a pas fait avec toi. Pourtant, c’est l’une de ses positions préférées. — Tu crois que je peux lui demander ? — Bien sûr. Ma jolie, je crois que tu peux tout demander à David. — A toi aussi ? — Oui, tu peux tout demander, mais là techniquement, la levrette ne serait pas intéressante avec un gode. Ce qui est bien c’est de sentir le corps de l’autre rebondir sur ses fesses. — Il y a beaucoup de position pour faire l’amour...— Oh... plus d’une centaine, je dirais. Il y a assis, debout, couché, sur les côtés, en face, par-derrière. Certains plus acrobatiques que d’autres. — Est-ce que vous pourrez toutes me les montrer, toi ou David ? — Ma jolie, parfois... je me dis que c’est toi la plus coquine de nous trois. — Ce n’est pas bien ? — Si bien sûr ! C’est juste ... surprenant. Tu avais l’air si timide, la première fois que je t’ai vue. — Oui... mais avec vous deux, je me sens... Libre, confiante, bien. — Tant mieux, on veut que tu te sentes le mieux possible, ma jolie. Que tu sois heureuse. — Je le suis, répondit Nina.
Les deux femmes se mirent en position de la cuillère, Annabelle tenait Nina dans ses bras, la jeune fille glissa une main derrière son dos, et partit à la recherche du vagin de la jeune femme, qu’elle se mit à caresser, à titiller son petit bouton d’amour. Annabelle fit de même dans le sexe de Nina. La jeune fille tourna sa tête pour étouffer un cri de jouissance. Soudain, Annabelle sentit que les doigts de Nina ne bougeaient plus dans son vagin. Elle se redressa et vit que la jeune fille dormait tout simplement dans ses bras. Annabelle éteignit la lumière, et s’endormit à son tour.
David rentra de sa soirée avec Mignonnette, et passa comme la dernière fois dans la chambre de Nina. Elles étaient endormies toutes les deux, dans les bras l’une de l’autre. Elles étaient vraiment magnifiques. Il s’avança vers le duo, et s’allongea à leur côté, il se mit sur le côté pour faire face aux deux femmes. Nina était ainsi encerclée par David et Annabelle. Il passa son bras sur le corps des deux femmes de sa vie, et s’endormit.
Le réveil de Nina se mit à sonner, la jeune fille tendit le bras, mais au lieu de rencontrer la table de nuit, elle cogna contre une poitrine.
— Mmmh ! fit la voix de David. — David...— Bonjour Poupée, fit-il en posant sa main sur la taille de la jeune fille. — Bonjour... Qu’est-ce que tu fais là ? demanda-t-elle, surprise. — Pourquoi tu n’aimes pas ça ? — Si mais... — Mais quoi ? — Mais rien !
Nina se redressa et se coucha sur le corps de David pour attraper son réveil, pour l’éteindre. Le jeune homme entoura les bras autour du corps de la jeune fille pour la coincer contre lui.
— Il faut ... se lever ! fit Nina.— Oui... je sais, dit David, un peu déçu.
La jeune fille se leva, David l’observa nue en train de préparer ses affaires. Elle était vraiment très jolie, non belle, merveilleuse.
— Tu devrais mettre la jupe blanche, avec ton petit haut, dit David.
Nina prit les vêtements, puis vint David, elle lui tendit ses vêtements, de la culotte à la chaussette. David se redressa et habilla la jeune fille, comme une poupée. Annabelle ouvrit un œil et observa le manège entre son mari et son amante. La situation était quand même hallucinante. David habilla donc Nina, comme si elle était une petite fille. Annabelle le regarda agrafer le soutien-gorge de la jeune fille, et lui mettre sa jupe, et son haut. Il est vrai qu’elle était très mignonne habillée comme ça.
— Tu es magnifique, ma poupée. — Merci David, répondit Nina avec cet air si mignon.
David se leva à son tour, et se rendit dans la cuisine pour préparer le petit-déjeuner, pendant que Nina alla réveiller les jumeaux. Annabelle se leva aussi, pour rejoindre sa famille. La jeune femme arriva sur le pas de la porte de la pièce. David était assis au bout de la table, les deux jumeaux installés devant leurs bols. Et Nina assise à côté de David. Annabelle vit que son mari avait emprisonné une jambe de Nina entre les siennes. Puis soudain, tout le monde se tourna vers elle avec le sourire.
— Bonjour, firent-ils presque tous en même temps.
Annabelle se sentit heureuse d’avoir cette famille rien qu’à elle. Tout était si beau, merveilleux. Elle ne pensait pas avoir ce bonheur, un jour. Elle s’assit à côté de Nina, et posa sa main sur la jambe de Nina, avec le sourire. Est-ce que David et Nina ressentaient aussi ce bonheur ?
Nina et David quittèrent la maison, et Annabelle resta avec les enfants. Elle passa sa matinée à ranger la maison. Elle aéra la chambre de Nina, elle refit le lit et trouva le gode au milieu des draps. En se penchant sous le lit, elle remarqua un carton, elle fronça les sourcils en se demandant ce que ça pouvait être. Mais elle voulait respecter l’intimité de Nina, elle se contenta donc de déplacer le carton, et le posa sur une chaise afin de pouvoir passer l’aspirateur. Elle prépara le déjeuner, puis déposa les enfants à la crèche, avant de filer à l’hôpital pour travailler. Ses collègues lui trouvèrent un air rayonnant, mais elle ne put pas leur dire que c’était parce qu’elle avait dormi dans les bras de Nina, et qu’elle s’était réveillée aux côtés des deux personnes qu’elle aimait, en sachant que les deux autres personnes qui comptaient le plus pour elle étaient dans la pièce d’à côté.
Quand elle rentra de son boulot, la maison était dans le noir et silencieuse. Elle s’avança vers la chambre de Nina, elle posa son oreille sur la porte, et entendit des étranges bruits. Elle haussa les épaules, et se rendit dans la salle de bain pour prendre une douche, puis se glissa nue dans son lit. Elle resta de longues minutes à regarder le plafond. Annabelle commença à se caresser les seins, pinça ses tétons, puis glissa sa main vers sa féminité, et chercha le plaisir en solitaire, elle pensa à la langue de Nina sur son sexe, à celle de David, au pénis de son mari, et au gode que la jeune fille, comme si tous étaient en elle en même temps. Elle sentit la jouissance parcourir son corps, Annabelle ferma les yeux, et savoura le moment avec délectation. La jeune femme se tourna sur le côté, et ferma les yeux et tomba dans le sommeil assez vite.
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