Il se passa plusieurs semaines, dans la vie de Nina, David et Annabelle mêlant le quotidien et les nuits torrides. Nina rentrait chez elle, chaque week-end pour retrouver sa mère et ses deux petits frères. Elle était heureuse, et rayonnait de bonheur. Enfin, elle essayait de ne pas trop le montrer à sa mère, elle ne voulait pas qu’elle se pose trop de questions. Le lundi soir, Annabelle et Nina se retrouvaient toujours ensemble. Et David se rendait au « donjon » pour avoir du temps avec Mignonnette. Mais il savait qu’il allait devoir y mettre fin, la jeune femme développait des sentiments pour lui, et ça, ce n’était pas une bonne idée. Le mardi soir, Nina et David étaient ensemble. Les activités sadomasos mais surtout les jeux sexuels avaient toujours cours entre eux. Sa poupée était la plus demandeuse. Elle était incroyablement sensuelle, sexy, et bouillonnante. Le mercredi soir, elle restait seule, il fallait bien qu’elle se repose après les nuits torrides qu’elle passait dans les bras de l’un ou de l’autre. Puis les jeudis soir, elle était soit avec Annabelle, soit avec David. Lui se retrouvait avec Mignonnette, et Annabelle était seule dans son lit. Nina y pensait parfois, mais elle finissait quand même par jouir dans les bras du jeune homme. Le week-end, elle passait chez elle, permettant à David et Annabelle de se retrouver tous les deux, ou en famille avec les jumeaux. David était dans son bureau, quand il reçut un coup de fil de son oncle. Ce dernier annonça sa visite dans les coins, et qu’il pourrait à l’occasion discuter avec son cher neveu. Le jeune homme l’avait donc invité à se joindre à lui, un mercredi après-midi. J’ai quelque chose à te montrer ! annonça-t-il à son oncle. D’accord. David et son oncle, John, passèrent un moment à la terrasse d’un café à discuter de la famille. Le frère de John était le père de David, le jeune homme et son père avaient eu énormément de mal à communiquer. Le fait que David joue à la poupée n’avait pas aidé. Puis John l’avait pris sous son aile, lui faisant découvrir l’univers du « donjon ». Ils parlèrent aussi du travail de David, et des difficultés liées à son travail. Mais l’entreprise du jeune homme allait bien, vraiment très bien. Il avait beaucoup d’argent de son côté, son capital et ses intérêts se portaient bien. Qu’est-ce que tu voulais me montrer au fait ? demanda David. Ah oui ! J’ai trouvé une poupée. Une poupée ? Une jeune fille vraiment magnifique. Elle est docile, et soumise à souhait. Sensuelle, son corps est divin. Elle se montre sexy et passionnée. Je la touche et elle s’ouvre dans mes bras, comme une fleur au soleil. Eh ben dis donc, mon gars. Cette poupée, ça doit être quelque chose. fit John. Oh oui ! Et ta femme ? Annabelle, figure-toi que c’est là où la situation est délirante. Ma poupée est aussi l’amante de ma femme. Sérieusement, fit l’oncle de David en ouvrant les yeux de surprise. Au début, je l’ai engagée pour être la baby-sitter des jumeaux, je dois dire qu’elle ne m’a pas laissé indifférent. Alors... je l’ai séduite, et elle s’est montrée... ouverte, passionnée, avide d’en savoir plus, d’en vivre plus. Mais ce que j’ignorais, c’est qu’Annabelle faisait la même chose de son côté. Et tu as fini par le découvrir ? Oui, un soir, je devais aller à un coloc pendant quelques jours, mais j’avais oublié un truc chez moi. Et quand je suis arrivé. J’ai vu ma femme allongée sur le dos, les jambes écartées, et ma poupée en train de lui lécher son sexe. J’ai vu rouge. C’est-à-dire ? Eh bien étrangement, j’étais en colère que ma poupée... n’ait pas obéi à mes ordres. Bon en même temps, je ne lui avais pas dit de ne pas... baiser avec une femme. Ça ne m’était même pas venu à l’esprit que Annabelle puisse être bisexuelle, et drague la baby-sitter.
Et ta femme ? Tu n’étais pas jaloux ? Si, c’est quand même, c’est ma femme... Et ta poupée ? Ma poupée. Oui. Tu veux la voir ? demanda David. Je suis très intéressé en effet. David envoya un message à Nina pour savoir où elle était. La jeune fille répondit qu’elle était à la maison, à se reposer, il lui dit qu’il rentrait. Nina était contente de le voir, elle sourit. La jeune fille attendit patiemment l’arrivée de David. Elle entendit le bruit de la clé, elle se précipita vers lui, mais s’arrêta en découvrant qu’il n’était pas seul. Un deuxième homme se tenait à côté de lui. Viens là, poupée. Je voudrais te présenter quelqu’un. Voici mon oncle, John. Enchantée, fit Nina avec le sourire, elle tendit la main, et il la serra. Poupée, tu me fais confiance ? demanda David. Oui... bien sûr. Je reste avec toi, d’accord ? Nina trouva étrange qu’il l’appelle « poupée » devant un autre homme. Elle fronça les sourcils. David lui prit la main, et la mit au milieu du salon. Ne bouge pas. David invita son oncle à boire quelque chose, et il prépara deux verres de scotch. John observa Nina, elle était au milieu du salon, et ne bougeait pas d’un pouce. Elle dandinait simplement d’un pied sur l’autre, d’impatience sans doute. David invita son oncle à s’asseoir sur le canapé, et prit place dans le fauteuil. Ma poupée, j’aimerais que tu fasses découvrir ton corps à mon oncle. Hein ? Ne t’inquiète pas, il ne va pas te manger. Nina fixa David du regard, il lui fit un sourire, en buvant son verre d’un air... insolent. Elle porta son regard sur l’oncle de David, qui la regardait de la même manière. La jeune fille commença à déboutonner sa chemise. Elle l’enleva et la posa sur le canapé, elle ôta sa jupe, et se retrouva en petite tenue devant les deux hommes. Continue, ma poupée, ordonna David. Nina enleva son soutien-gorge. Attends, fit John en se levant du fauteuil. Je peux toucher ? demanda-t-il. Mais ce n’était pas à Nina qu’il s’adressait, mais à David, le « propriétaire » de Nina. Ce dernier hocha la tête. John posa alors les mains sous les seins de la jeune fille. Il passa ses doigts sous les seins ronds. Elle avait la peau douce, et c’était chaud en dessous. Ensuite, il passa ses pouces sur les tétons, qui se dressèrent presque instantanément. Je comprends. Elle est sublime. Enlève le reste, ma poupée. Nina ne savait pas si elle devait apprécier les caresses de cet homme. Elle avait fixé le regard de David, pendant que John lui touchait les seins. Il ne lui avait pas autorisé à aimer les doigts de John. La jeune fille se pencha et enleva sa culotte, dévoila son pubis, avec son triangle de poils sur le corps. John se recula et s’assit sur le canapé pour être à la bonne hauteur. Oh ! Magnifique. N’est-ce pas ? Est-ce que je peux ? redemanda-t-il à son neveu. Nina avait l’impression de n’être qu’un objet qu’ils se partageaient. Est-ce qu’elle allait devoir... faire l’amour avec cet homme aussi ? Elle ne l’aimait pas, enfin... elle n’avait pas envie. John avança sa main vers le pubis de Nina. Ouvre-lui tes jambes, ma poupée ! Nina écarta donc un peu les jambes, et John lui caressa doucement le sexe, il sentit les poils de la jeune fille, un petit clitoris qui se tendit à souhait. Il devait être facilement excitable. Elle doit jouir beaucoup ? Tu n’as pas idée. John écarta les grandes et petites lèvres du sexe de Nina, elles étaient douces, et tendres. Il trouva le vagin de la jeune fille, et y plongea son doigt. C’était... serré, doux, humide et incroyablement chaud. C’est bouillant. Tu dois avoir du mal à ne pas y mettre ta queue toutes... les cinq minutes. Quand tu me l’as décrite, j’ai cru que tu exagérais, mais ça... je n’ai jamais vu une femme... comme elle. Est-ce qu’elle est majeure ? Oui. Est-ce que tu lui permets de jouir ? demanda John. Vas-y. John pinça alors le petit clitoris de la jeune fille, le tordant entre ses doigts, cela dura quelques secondes avant que Nina se mette à jouir. Il sentit la cyprine de la jeune fille couler sur ses doigts, et elle se mit à crier sa jouissance. Les jambes de Nina la portaient plus, elle tomba sur la main de John. David se leva pour la soulever afin de libérer son oncle. John mit ses doigts à la bouche. En plus, elle était délicieuse. Je suis jaloux que tu aies pu tomber sur une... poupée pareille. Tous les hommes comme nous passent leur vie entièrement à trouver une fille comme elle. Tu as de la chance. N’est-ce pas, fit David. Le jeune homme s’assit sur le fauteuil, il posa Nina sur ses genoux, elle était toujours nue. La jeune fille se cala dans les bras de David, et ferma les yeux. Elle voulait juste être bien entre ses mains. Elle était assise en amazone sur lui, sa tête posée sur son épaule. Et donc elle fait aussi l’amour à ta femme ? Comme une diablesse, parait-il. Tu n’as jamais partagé leurs jeux ? Je ne voulais pas qu’Annabelle soit au courant de... Du jeu de domination que tu fais vivre à Nina. Si je joue avec elles, Annabelle risque de vouloir jouer avec nous. Et tu veux avoir ta poupée pour toi, tout seul, je te comprends. J’ai peu de chance que tu me la prêtes ? Au moins une fois ? Je suis désolé mon oncle... mais... Alors laisse-moi fantasmer ! Raconte-moi ce que tu lui as fait ? Elle a encore un sexe très serré. Je l’ai fouettée, mains, martinet, fouet, cravache tout y passé. Elle a joui sous les coups. Ensuite j’ai utilisé les pince-tétons, j’ai commencé par les aimants, mais je pense passer aux étaux dans peu de temps. Un jeu coquin en perspective. Et les godes ? Annabelle s’en occupe. Elle a acheté un double, il y a peu de temps. Je crois qu’elles l’ont testé... lundi soir. Vous faites comment pour choisir... qui fait l’amour avec qui ? On a fait un planning ! Je sais c’était un peu débile, mais... j’ai eu peur qu’Annabelle et moi, on s’engueule à ce sujet. C’est le plus simple en effet ! Et donc ? Le lundi soir, elle est avec Annabelle, le mardi avec moi, le mercredi, elle se repose. Le jeudi avec moi ou Annabelle, une semaine sur deux. Et le week-end, elle rentre chez sa mère. Elle va encore au lycée, elle va passer son bac à la fin de l’année. Elle a redoublé son année, et... elle n’est pas douée en géographie. Encore tes jeux de professeurs ? Je ne sais pas d’où te vient ce... fantasme. Peu importe, au moins ça la fait réviser, pouffa David. Il détacha les cheveux de la jeune fille, qui dégringola le long de son dos. Elle avait de longs cheveux châtains, qui lui arrivaient jusqu’au niveau de ses fesses. Tu devrais l’amener chez un gynécologue, elle est active sexuellement. Pour être sûr, au moins. Elle ira peut-être plus facilement avec Annabelle, fit John. David caressait doucement la jambe de la jeune fille, et posa son regard sur elle, Nina dormait comme une bienheureuse. C’était étrange de voir une jeune fille nue dans ses bras, assis dans son salon, en compagnie de son oncle. Ce dernier observait aussi le corps de Nina, il avait une belle érection. Est-ce que tu l’as pris... son petit trou ? Non pas encore, répondit David. En tout cas, tu as de la chance. Est-ce qu’elle a une grande sur dans le même genre ? Je ne crois pas. Elle a une mère. Et tu crois qu’elle est dans le même genre ? Possible ! Je n’ai pas vraiment fait attention. On doit pouvoir organiser une rencontre, si tu veux. Si sa mère a ne serait-ce que la moitié de la... magnificence de sa fille, ce serait déjà plus que beaucoup de mes... soumises. Et ma tante ? Ta tante... Ce n’est pas pareil, c’est comme toi et Annabelle. Je vois. Bon, je vais vous laisser. Je vais rester quelque temps dans les environs. Samedi, on peut se retrouver avec Annabelle et les jumeaux, si tu veux. Très bonne idée. David se leva et déposa Nina sur le fauteuil, pendant qu’il raccompagnait son oncle à la porte. Ce dernier lui dit qu’il devrait honorer la jeune fille, tant que sa femme n’était pas rentrée. John quitta donc la maison de la famille Darma, il se tourna vers sa poupée qui dormait. Il la souleva et la conduisit dans sa chambre. Il s’assit sur le bord du lit, et l’observa un moment, hésitant entre la laisser dormir, ou lui faire l’amour. David se leva et commença à se déshabiller. Un coup vite fait ne devrait pas l’épuiser.
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