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Le fantasme de la baby-sitter

Chapitre 23

L'appartement de Mignonette

SM / Fétichisme
Mignonnette se gara au pied de l’immeuble et observa David, sortir de la voiture. Il était tellement beau et elle était toute émoustillée de le voir venir chez elle. Ils montèrent dans la demeure de Mignonnette. Ils entrèrent dans un petit hall, le jeune homme y enleva ses chaussures. Puis il fit la visite de la maison, c’était un petit appartement de deux pièces, une salle à manger et salon et une chambre. C’était simple et tranquille.

— C’est très bien chez toi.
— Merci. Est-ce que tu veux boire quelque chose ?
— Oui... toi, je veux te boire et te manger... fit David en saisissant la jeune femme dans ses bras.

David lui fit sentir son érection dans son dos. Mignonnette se mit à gémir, en se frottant contre lui à son tour.

— On n’a pas les jouets... du club ?
— Tu as une brosse à ongles, du riz et du scotch ? demanda David. Après si tu veux... plus, on peut utiliser de la cire de bougie.
— Ça fait mal ?
— C’est le but, non ?
— Je veux dire... !
— Mignonnette, tu sais qu’on fait... uniquement ce que tu veux.
— D’accord, va dans ma chambre, je ramène tout ça.

David se rendit dans la chambre, il y enleva son pantalon et son tee-shirt pour être en boxer, dans la chambre de Mignonnette. C’était étrange de se trouver là, mais il aimait bien les lieux. La jeune femme entra dans la chambre, elle posa la brosse à onglets, un paquet de riz, un rouleau de scotch et... une bougie.

— Mets-toi nue, et assois-toi sur le lit ! ordonna David.

La jeune femme fit ce qu’il dit, enleva ses vêtements et s’allongea nue sur le lit. David défit la ceinture de son pantalon, pour entourer les mains de la jeune femme, et les attacher ensemble.

— Est-ce que tu es sûre ? demanda-t-il, en jouant avec le scotch.
— Oui, vas-y... dit-elle.

David détacha des morceaux de scotch qu’il colla sur le sexe de la jeune femme. Il se saisit de la brosse, et commença à frotter doucement le ventre de Mignonnette, puis il appuya plus fort, en frottant sur l’intérieur des cuisses de la jeune femme.

— Quel jeu va-t-on jouer aujourd’hui ?
— Aujourd’hui, je suis inspecteur de police, je vais vous faire subir un interrogatoire, madame. Êtes-vous confortablement installée ?
— Oui, monsieur.
— A chaque question, vous devez répondre, la vérité... En cas de silence, je frotte ma brosse sur... votre corps. Et si je crois que c’est un mensonge, je retire un morceau de scotch.
— Et si je dis la vérité ?
— Vous serez bien sûr récompensée par un baiser.
— Très bien, je suis prête, monsieur l’inspecteur.
— Première question : tu habites cette maison seule ?
— Oui !

David se pencha vers elle pour l’embrasser, mêlant sa langue avec la sienne. Il se recula et s’assit en tailleur face à elle. La jeune femme était assise contre la tête du lit, les deux mains achetaient dans le dos, les jambes écartées où du scotch était collé sur elle.

— Deuxième question : Combien as-tu eu d’amants ?
— Quatre !
— Seulement ?
— Oui...
— J’ai du mal à te croire ? Seulement quatre...

David se pencha pour l’embrasser, mais avec sa main, il saisit un morceau de scotch qu’il ôta d’un seul coup. La jeune femme avait épilé son sexe, mais quelques poils s’arrachèrent avec le geste vif de David. Et la peau suivit le scotch, sans s’arracher. Mignonnette ouvrit de grands yeux et se pencha en arrière, attendant que la douleur passe. Mais la douleur déclencha un courant électrique dans son corps, qui... la fit mouiller.

— Combien as-tu eu d’amants ? demanda David.
— Quatre ! redit Mignonnette.

Cette fois-ci, David se pencha vers elle et lui fit un baiser profond, mêlant leurs langues. Il se recula pour observer le sexe de la jeune femme, il était un peu rouge, mais elle était déjà... humide de cyprine.

— Troisième question : As-tu déjà joui... à ton travail ?
— Non !

David se redressa et la fixa dans son regard, il tendit sa main vers un morceau de scotch, décolla un petit bout. Il vit que Mignonnette fermait les yeux pour encaisser la douleur, alors il se pencha pour poser un baiser furtif sur ses lèvres, avant de se rasseoir.

— Je te crois ! fit David avec un petit sourire.
— As-tu fantasmé sur ton patron ?
— C’est une femme !
— Et alors ? As-tu déjà fantasmé sur ta patronne ?
— Non ! Je suis pas...

David ne lui laissant même pas finir sa phrase, et arrachant un autre morceau de scotch, elle cria malgré elle, devant cette douleur qu’elle venait de ressentir, en même temps son petit clitoris venait d’être stimulé. C’était... bon.

— Tu crois que je n’ai pas remarqué ta façon d’observer certaines femmes au club.
— Je suis... surtout fascinée par cette capacité qu’elles ont à soumettre les hommes.
— Oh ! Excuse-moi alors !

Le jeune homme se pencha pour venir lécher l’endroit où le scotch avait été arraché, pour se faire pardonner. Mignonnette sentait l’orgasme monter... mais David s’arrêta avant qu’elle ne puisse... jouir. Il la regarda avec un sourire en coin, il était très conscient de l’état dans lequel, il venait de la laisser.

— Nouvelle question : Dans un rapport, combien d’orgasmes as-tu eus ?
— Le record d’orgasmes dans un seul rapport ?
— Oui.
— Trois. C’était avec toi !

David soupira et se pencha pour l’embrasser, avec force. Il saisit même sa tête, pour qu’elle ne puisse échapper à son baiser. Il fallait qu’il la maintienne dans un état d’excitation sexuel, s’il voulait que son... dernier tour fonctionne.

— Saurais-tu me donner un nombre ? Pour les rapports que tu as eus ?
— Euh... trente ! répondit la jeune femme au hasard...
— Seulement trente... C’est dommage pour toi...

Il se pencha à nouveau pour l’embrasser, il glissa sa main doucement sur les seins de la jeune fille. Il va falloir qu’il s’occupe de ces deux-là, tout à l’heure. Il la gardait en excitation... Et maintenant la dernière question.

— Peux-tu me donner le nombre de rapports que tu as eus sans orgasme ?
— Euh... beaucoup.

David prit le dernier morceau de scotch et tira avec vigueur. La douleur se répandit dans le corps de la jeune femme. Mais son clitoris... au bord de l’orgasme se mit à vibrer... Il posa simplement la main dessus, et Mignonnette leva son bassin, en se mettant à jouir comme une folle. C’était trop bon.

— Est-ce que ça va ? demanda-t-il en allant s’asseoir près d’elle, pour caresser tendrement ses cheveux.

Mignonnette n’aurait jamais pensé que les jeux sado-maso puissent être aussi... bons. Elle avait toujours imaginé le truc, avec un homme fouetta une femme ou des... choses perverses et malsaines. Mais il avait raison, si les couples établissaient d’avance les règles de leurs relations sexuelles, ça pourrait mieux marcher entre eux. La jeune femme posa son regard sur le sexe de David en érection dans son boxer.

— Oui, ça va... ! Est-ce que tu fais ce genre de choses avec ta femme ?
— Mignonnette... Tu cherches à te torturer l’esprit en parlant de ma femme. Est-ce qu’elle t’obnubile à ce point ?
— Oui !
— Est-ce que je vais devoir te punir alors ? Pour te la faire oublier !
— Oui, punis-moi ! Punis-moi ! Je suis une vilaine fille, s’écria Mignonnette...
— Qu’as-tu fait de si... vilain ?
— J’ai... fouillé dans ton portefeuille, avoua Mignonnette.

David soupira et tira la jeune femme hors du lit, en saisissant la ceinture autour des mains de Mignonnette. Il la fit s’asseoir sur le sol, et étala du riz sur le sol. Les grains se répandirent ici et là. Il força la jeune femme à se mettre à genoux sur les grains de riz. Elle ne comprenait pas... ce qu’il voulait faire. Il la força à se mettre à quatre pattes, comme s’il allait la prendre en levrette. Il se saisit de la brosse et frotta contre ses cuisses, avec vigueur. Les poils durs de la brosse laissaient des traces rouges sur sa peau.

— Qu’as-tu appris ? exigea de savoir David.
— Que ton nom est David Darma, et que tu diriges une grande entreprise.

David frotta la brosse contre sa cuisse et son bras frotta le sexe de la jeune femme, excitant son petit clitoris. Elle sentait le plaisir déjà remonté dans son corps.

— Quoi d’autre ?
— J’ai vu une photo de deux garçons... tes fils !

Il gratta la peau de Mignonnette et la peau devait vraiment sensible, et très rouge. La jeune femme commença aussi à sentir les grains de riz dans sa peau, ce n’était pas agréable du tout. Ils s’enfonçaient dans ses genoux.

— Et c’est tout ? redemanda David.
— Oui...

Il frotta une dernière fois avec la brosse, le sexe de Mignonnette était à la limite de jouir, mais David se recula. Il prit un nouveau morceau de scotch, le posa sur son clitoris et tira à nouveau. La jeune femme décolla en orgasme, en criant le nom de David. Le jeune homme posa sa main sur sa bouche pour étouffer le nom. Il enleva son boxer, écarta les lèvres intimes de Mignonnette, avant d’y enfoncer son sexe. Il commença à lui faire de va-et-vient, de plus en plus vite, de plus en plus profond. Il attendit que la jeune femme se mette à jouir, pour la troisième fois de la soirée. Il se retira, vu qu’il n’y avait pas de préservatif. Il fit le tour pour se présenter devant la jeune femme.

— Je peux ? demanda David en saisissant son sexe au-dessus d’elle.
— Oui ! répondit Mignonnette d’une petite voix.

Il se mit à se branler pendant quelques instants, avant d’éjaculer sur elle, un jet de sperme tomba sur ses cheveux, un autre sur son sein et l’autre sur ses genoux. David s’accroupit, il saisit la jeune femme sous les aisselles et la souleva pour la remettre debout. Elle avait des traces sur les jambes des grains de riz, elle avait les cuisses rouges. Le jeune homme prit sa main, et la conduisit vers la salle de bain en silence.

Ils se mirent sous la douche, et David fit couler l’eau à bonne température, se mit à laver la jeune femme pour nettoyer son sperme, chasser les derniers grains de riz sur ses genoux, puis utilisa un peu de crème pour atténuer la douleur entre les cuisses de la jeune femme. Mignonnette se tenait dans les bras de David, en silence. Elle n’avait jamais connu un homme comme lui. Il l’essuya doucement et la ramena dans sa chambre. David et Mignonnette s’allongèrent l’un à côté de l’autre.

Mignonnette pensa aux trois amants qu’elle avait eu avant lui. Le premier était un petit ami de lycée, avec qui elle l’avait fait parce que c’était « normal » de le faire. Elle n’en avait pas vraiment envie et les choses ne s’étaient pas très bien passées. Ignorants tous les deux, ils avaient fait au mieux, sans vraiment connaître l’orgasme. En tout cas pour elle. Le second était un... homme plus âgé qu’elle, qui avait réussi à la faire jouir pour la première fois. Elle avait commencé à s’attacher à lui... Avant de réaliser qu’il était marié, comme quoi, elle était maudite avec les hommes.

Et le troisième, elle l’avait rencontré sur Internet sur un de ces sites de rencontres. Il lui avait semblé bien. Mais après l’expérience du « donjon », elle l’avait quitté, bien consciente qu’elle ne pourrait jamais... atteindre le septième ciel avec lui. Ils avaient fait l’amour plusieurs fois... mais elle n’avait pas atteint la moitié de la jouissance que David lui avait fait sentir en une seule fois. Cet homme avait des doigts magiques, une langue divine et un sexe merveilleux.

— J’aimerais que tu évites de fouiller dans mes affaires, fit David.
— Je suis désolée. Mais tu étais si mystérieux, je voulais...
— Mignonnette, si tu respectes les règles... Je pourrais me libérer les lundis, et certains jeudis, dit David. Mais au premier caprice, j’y mets fin.
— J’accepte ! fit Mignonnette.

La jeune femme se cala dans ses bras, et ferma les yeux pour s’endormir. C’était la première fois depuis leur rencontre qu’elle trouvait le sommeil avec lui à ses côtés. David se pencha vers son téléphone, et mit le réveil à 3heures, du matin, il fallait qu’il rentre chez lui, avant de filer au travail.

Quand Mignonnette ouvrit les yeux, elle était seule dans son lit. Il y avait quand même un petit mot de David sur l’oreiller à côté d’elle.
« Tu as été parfaite cette nuit. Toi et moi, pouvons vivre une magnifique aventure. Passe une bonne journée, ma mignonnette. Petit défi du jour : Acheter des jouets dans un sex-shop. J’ai laissé cinquante euros, prends ce qui te plaît ou qu’on te conseille. Il y a une surprise dans ta boîte aux lettres.

A lundi. David ».
Le jeune homme avait laissé une adresse, et le nom d’une personne à qui s’adressait. Mignonnette se leva, elle découvrit qu’il avait fait couler du café, et en ouvrant sa boîte, pour découvrir une pochette de boulangerie, où il y avait un croissant et une chocolatine. Mignonnette se mit à sourire, elle se sentait heureuse, aimée, et épanouie sexuellement.
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