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Le fantasme de la baby-sitter

Chapitre 26

Les jouets d'Annabelle

Lesbienne
Nina et David marchaient dans la rue, le jeune homme se tenait derrière sa poupée, pour admirer le bas de ses reins et ses belles fesses rondes, et musclées. Il était toujours surpris par la beauté de la jeune fille. Il s’arrêta devant un magasin de sous-vêtements, de lingerie. Il imagina Nina dans certaines tenues, il ne lui avait rien acheté depuis quelques mois. Il fallait y remédier.
— David ? — Viens ! fit-il en tirant la jeune fille vers la boutique.
Pour la première fois, elle sembla résister à l’envie du jeune homme, mais il tira simplement plus fort, il était plus fort qu’elle pour l’attirer dans la boutique.
— David ! On devrait pas ... — Bonjour, je peux vous renseigner, proposa une vendeuse. — Oui, j’aimerais un ensemble pour cette jeune fille. — Évidemment !
Nina se retourna vers la femme, et elles se regardèrent un long moment en silence. David se demanda ce qui se passait, il fronça les sourcils.
— Bonjour Nina !— Bonjour Tante Sophie.
David ne savait pas s’il ne venait pas de faire une belle connerie. Sa poupée et cette femme semblaient bien se connaître, vu le « mot » Tante qui avait été prononcé, elles devaient être de la même famille.
— Vous voulez donc un ensemble de quel genre ? demanda Sophie avec le sourire. — Celui dans la vitrine, répondit David.
Pour la première fois, il pouvait observer Nina, nerveuse, de se retrouver face à un membre de sa famille, avec lui, dans une ... position moins normale que celle de baby-sitter. La jeune fille semblait être silencieuse.
— Quelle est ta taille, mon chou ? demanda Sophie à sa nièce.
— Euh ...— 85D, répondit David.
Nina lui fit de gros yeux, et semblait le supplier de se taire, mais étrangement, David avait d’autant plus envie de la taquiner. Même si dans le fond, il jouait à un jeu très dangereux. Mais bon après tout, Nina était majeure.
— Et pour le bas ? — Nina fait du 38 !— Euh... fit Nina...
Sophie prit les sous-vêtements, et les mit dans les mains de Nina, pour qu’elle aille se changer dans la cabine. David fit le tour de la boutique, et prit le même ensemble pour Annabelle et Mignonnette. Pour Annabelle, c’était un 90-C et du 40. Pour Mignonnette, ça devait être un 95D, elle avait une plus grosse poitrine et ses petites rondeurs devaient lui valoir un 42.
— Nina est une jeune fille très intelligente. — Oui, je sais. — Elle est aussi la fille de mon frère, donc je veille sur elle. — Je comprends et je n’ai absolument pas l’intention de lui faire de la peine. — C’est pour ça que vous prenez d’autres tailles ! fit Sophie.— David... fit une petite voix de l’autre côté du rideau de la cabine.
Le jeune homme s’excusa auprès de la tante de Nina et entra dans la cabine. Sa petite poupée lui montrait son dos, il agrafa le soutien-gorge de la jeune fille en croisant son regard dans le miroir.
— Je sais pas ... si Sophie ne va pas parler à ma mère, murmura-t-elle. — Ne t’inquiète pas, tout ira bien.
David pencha la tête, et appela la vendeuse, il ouvrit un peu le rideau pour qu’elle puisse voir sa nièce dans cette tenue.
— N’est-elle pas magnifique ? demanda David avec le sourire. — Si ! Tu es très belle, mon chou ! fit Sophie avec le sourire bienveillant d’une tante.
Il sortit de la cabine d’essayage pour prendre les sous-vêtements avec les tailles différentes. Sophie mit le tout dans un sac, et observa d’un œil mauvais, le jeune homme.
— Je pense que vous devriez avoir une discussion avec Nina, avant d’envisager d’en parler avec sa mère.
La jeune fille sortit de la cabine et déposa le tout sur le comptoir, il les mit directement l’ensemble dans sa poche.
— Tu as pris la même chose pour Annabelle ? — Oui ! Je crois que ta tante aimerait te parler. — Ah ! — Rejoins-moi au café en face quand tu auras fini, fit David en quittant la boutique.
Nina se tourna vers sa tante, avec un sourire un peu crispé et inquiet. Elle avait bien compris que sa mère ne devait pas être au courant de cette relation. Bon même si David était encore jeune, cela se voyait que la jeune fille était moins âgée que lui.
— Tu as une ... liaison avec cet homme ? — Une liaison ? demanda Nina. — Tu couches avec lui. — Oui ! les mardis soir et les jeudis soir, parce que les autres soirs, il est avec Annabelle, sa femme. Sauf quand... — Attends, coupa Sophie, il est marié et tu connais sa femme ? Elle sait pour vous deux ? — Oui, oui, et oui ! fit Nina, en répondant aux trois questions de sa tante. — Je suppose que je ne dois rien dire à ta mère. — Eh bien... je ne veux pas que tu lui mentes, si elle te pose des questions, réponds-lui, bien sûr, mais si tu pouvais éviter de lui répéter directement, tant que je ne lui en ai pas parlé avant... — D’accord ! concéda Sophie avec un maigre sourire.
Nina lui fit un sourire, puis un câlin, Sophie l’observa sortir de la boutique toute rayonnante, elle semblait s’être épanouie comme une fleur. Cet homme semblait être une bonne chose pour la jeune fille. Mais ... Sophie avait peur qu’une euphorie si grande ... soit la source d’une descente tout aussi grande. Et que Nina soit malheureuse comme les pierres, si David décidait de la quitter.
Nina rejoignit David, avec le sourire, la conversation avec sa tante s’était bien passée. Mais elle était maintenant consciente qu’il fallait qu’elle parle de sa vie chez les Darma avec sa mère.
— Tout s’est bien passé ? demanda David. — Oui ! — Tant mieux, ta tante a l’air d’être quelqu’un de bien. — Oui... mais il faudra quand même que je parle avec ma mère. — Veux-tu que Annabelle et moi soyons présents ? — Je sais pas, peut-être... Non dans le fond, je préfère lui dire seule. Mais peut-être plus tard... Je suis un peu perdue.
Nina s’assit en face de David, avec le sourire, il lui commanda un jus de fruits, il n’avait pas envie qu’une seule goutte d’alcool entre dans le corps de sa poupée, ni de drogue ou de tabac. Elle devait rester parfaite ! Avec son corps si beau.
Ils partagèrent un moment assis au bar. C’était un mercredi après-midi, hier soir, lui et sa poupée avaient fait l’amour, il avait ressorti le martinet pour taper sur ses petites fesses, qui avaient rougi. Il lui avait aussi donné des coups sur son sexe, et elle avait joui. David n’avait pas voulu jouer trop longtemps, parce qu’elle avait cours le lendemain, mais ... dès qu’elle serait en vacances, il la conduirait dans son bureau, pour qu’elle puisse y crier à volonté. Février approchait à grands pas, ça fait maintenant presque six mois que les Darma avaient rencontré Nina. Il avait bien envie d’en parler avec Annabelle afin de marquer le coup. Peut-être une petite fête.
Ce soir, Nina et Annabelle allaient se retrouver toutes les deux et David ira rejoindre Mignonnette. Sa femme avait accepté la troisième, mais elle refusait de la rencontrer. David pouvait comprendre. Il n’avait rien dit à sa poupée, il ne savait pas... ce qu’elle allait en penser. Il garda donc le secret. Quoique vu sa réaction quand Annabelle lui en avait parlé, elle n’avait semblé ni triste, ni en colère, ni même déçue ou gênée.
Le soir venu, donc David quitta la maison, maintenant il se rendait directement au domicile de Mignonnette, il lui avait acheté une rose rouge. Il fit un sourire quand la porte s’ouvrit sur sa Mignonnette. Elle était vraiment mignonne. A la maison des Darma, Nina et Annabelle se trouvaient dans le lit de cette dernière. Annabelle commençait déjà à ôter les vêtements de Nina.
Elle découvrit un ensemble sexy de dentelle, qui ressemblait à s’y méprendre à celui que David lui avait offert, hier soir. Il avait offert le même à sa poupée. Elle ne savait pas ce qu’elle ressentait à cette idée, de l’excitation. Nina se mit à genoux face à Annabelle. Elles se regardaient l’une, l’autre. La jeune fille tendit les mains pour caresser la poitrine d’Annabelle, elle pinça ses tétons. Prenant ses seins en coupe pour les exciter, du bout des pouces. Annabelle se pencha pour venir embrasser sa partenaire, son amante si belle.
— Ma jolie, tes mains... c’est divin ! fit Annabelle.
Les deux femmes se caressèrent comme ça pendant de longues minutes. Nina se pencha soudain vers le sexe de la jeune femme. Elle glissa sa langue dans les plis intimes d’Annabelle. Cette dernière se releva pour que ça soit plus facile d’accès à Nina.
— Ta langue est encore plus extraordinaire, dit Annabelle.
Elle posa ses mains dans les cheveux pour pousser sur son sexe, afin que la langue de Nina aille encore plus profond en elle. Puis elle avait une belle vue sur le sexe de Nina, qui gambadait au-dessus d’elle. Annabelle tendit la main pour la poser sur son pubis, afin de jouer entre les lèvres intimes de Nina avec ses doigts.
Annabelle se mit à jouir avec délice, sur la bouche de Nina. Elle sentit aussi la jeune fille jouir, elle souffla sur son sexe pour éviter de crier et réveiller les enfants.
— Relève-toi ! fit Annabelle d’un ton un peu autoritaire.
Nina le fit sans soucis. La jeune femme lui demanda de s’allonger sur le dos et de relever les jambes. Annabelle s’assit à califourchon sur elle et s’appuya sur les jambes de Nina, pour s’en servir comme d’un dossier. Annabelle caressa le corps de son amante, ses mains parcoururent ses seins, elle se pencha pour venir téter les seins de Nina... Qu’est-ce qu’elle était belle ! Elle releva la tête pour les poser sur les lèvres de la jeune fille. Annabelle sentit le bassin de Nina se mettre à bouger sous le sien. Leurs deux sexes frottaient l’un contre l’autre...
— J’ai acheté un nouveau jouet... fit Annabelle.
Elle sortit un étrange accessoire rose, elle souleva un peu son bassin pour poser le doigt vibrant contre son clitoris, et posa l’autre bout sur celui de Nina, puis elle le mit en route... Nina décolla dans une jouissance, un orgasme puissant. Annabelle parvint à se pencher pour prendre la bouche de Nina et parvint à étouffer son cri de jouissance.
— Préviens-moi ma jolie avant de... jouir. — Oui, pardon. C’est quoi ton machin ? — Un jouet sexuel, comme nos godes !— Oh...
Nina avait déjà essayé le machin vibrant de David, mais ce n’était pas le même et elle ne connaissait pas celui-là. Annabelle se mit à sourire, elle se mit à onduler contre le sexe de Nina avec délectation. Jolie leva les yeux vers elle, suppliante, Annabelle se pencha et pour prendre les lèvres de Nina, qui se mit à jouir une nouvelle fois...
Annabelle se releva et ôta le doigt de leurs vagins, puis présenta le sien à la bouche de Nina qui se servit goulûment. La jeune femme l’arrêta pour se retourner et procurer un cunnilingus à la jeune fille en même temps. Là encore, elle sentit le nez de la jeune fille entrer dans son vagin. Annabelle ferme les jambes pour étouffer le cri de Nina qui se mit à jouir. La jeune femme se mit à jouir à son tour. La langue de Nina était fantastique. Soudain, Annabelle sentit quelque chose entrer en contact avec son vagin...
— Je peux ? demanda Nina.
Annabelle se sentait un peu coincée, sans voir ce que Nina avait en tête, puis elle posa son regard sur le nounours de Nina et elle sourit.
— Oui, vas-y...
Nina la pénétra d’un coup de poussée et se mit à la pilonner... C’était si bon. Annabelle replongea son nez entre les cuisses pour lécher le sexe de Nina. La jeune fille se remit à jouir en se servant de la cuisse de la jeune femme pour étouffer son cri. Elle se remit à faire des va-et-vient dans le corps d’Annabelle.
— Oh, ma jolie, continue ! C’est bon... plus fort... plus vite ! — Changeons de position, Annabelle, fit Nina de cette voix douce.
Annabelle se retrouva à nouveau sur le dos, Nina se glissa entre ses jambes et reprit de la pilonner avec le gode. La jeune fille leva le bassin d’Annabelle et glissa un coussin sous le dos de la jeune femme, elle écarta les jambes de son amante et se penche pour la lécher en même temps qu’elle la pilonnait. Annabelle glissa sa jambe entre celles de Nina, pour frotter avec sa jambe pour le sexe de Nina, afin de la faire jouir aussi. Nina n’avait pas l’intention de s’arrêter tant que Annabelle n’aurait pas joui au moins ... autant de fois qu’elle. La jeune femme se mit à jouir... elle souleva son bassin pour apprécier la langue de la jeune fille.
— Ma jolie... C’est bon ! Arrête !— Pourquoi ? demanda Nina en se redressant.
Elle avait le visage couvert de salive et cyprine, surtout son magnifique menton. Elle avait laissé le gode dans le vagin d’Annabelle, bien au fond pour qu’elle le sente bien en elle.
— Je n’ai pas besoin d’autant orgasmes en une nuit... — Comme tu veux, fit Nina avec une petite moue un peu triste.
Elle s’allongea à côté d’Annabelle, et ferma les yeux pour s’endormir... Annabelle sourit, elle ne semblait pas avoir compris ce qu’elle avait en tête. La jeune femme se leva et retira le gode entre ses jambes, et observant Nina allongée sur le côté. Annabelle se mit en position de cuillère derrière elle... mais elle glissa doucement le sex-toy entre les lèvres intimes de Nina.
— Annabelle... Tu ne voulais pas...— J’ai que je n’avais plus besoin d’orgasmes, pas que je ne t’en donnerais pas. — Ah ... fit Nina.
Dans cette position en cuillère, Annabelle fit l’amour à Nina avec douceur et amour. Nina se mit à jouir plusieurs fois en mordant le coussin, mais finit par s’endormir, heureuse. Annabelle la regarda avec le sourire, et déposa un baiser dans son cou.
— Bonne nuit ma jolie... mon amour ! fit Annabelle.
Quand Nina se réveilla le vendredi matin, elle était seule dans son lit. Les draps étaient froissés, la jeune fille retrouva le doigt vibrant au creux de ses seins, qui vibrait tout seul... C’était étrange comme sensation. Elle sentit qu’elle portait toujours le gode entre ses jambes. Est-ce qu’elle l’avait gardé toute la nuit, où est-ce qu’Annabelle lui avait glissé à nouveau ce matin ? La jeune fille retira les jouets de son corps, et les posa sur sa table de nuit. Elle commença à fouiller dans son armoire, quand deux bras vinrent la serrer contre lui.
— Bonjour, ma poupée. Je suis venue t’habiller. — Oui, je m’en doutais.
Nina retourna s’asseoir sur le lit, et attendit que David choisisse ses vêtements, et vienne les lui mettre, comme beaucoup de matins. Puis ils allèrent dans la cuisine, où tout le monde était levé pour partager le petit-déjeuner. Annabelle fit un sourire à la jeune fille en venant déposer un baiser sur sa joue.
— Tu étais pleine, ce matin, murmura-t-elle avant d’aller s’asseoir.
Puis David et Nina partirent comme tous les matins au lycée pour faire leur journée. Le soir, elle rentra chez elle et se décida à dire la vérité à sa mère.
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