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Le fantasme de la baby-sitter

Chapitre 30

John et Noémie

Hétéro
Noémie observa sa fille dans un air ahuri, quand cette dernière lui annonça sa grossesse. David et Annabelle se trouvaient aussi dans son salon. Passée la surprise de la nouvelle et la peur de la grossesse de sa fille et de la vie de sa fille et de l’enfant, elle fut rassurée par Annabelle et David qui lui dirent qu’ils s’occuperaient de l’enfant. Puis elle réalisa qu’elle allait être grand-mère et prenait un sacré de vieux. Passé tout ça, elle se réjouit enfin de l’annonce de sa fille.
— Je suis contente, pour toi, ma chérie. — Merci, maman !

Une fois tout ce petit monde parti, Noémie téléphona avec John. Elle parlait souvent avec lui, au téléphone. Ils échangeaient beaucoup de choses. Elle se sentait bien dans cette relation, pour l’instant, elle restait surtout à distance. John avait 53 ans, il était plus vieux qu’elle, mais ce n’était pas grave. Il lui avait parlé de sa famille : son père à l’hôpital pour la maladie d’Alzheimer. Son frère avec qui il avait des difficultés à s’entendre, de sa première épouse, morte d’un accident de voiture, il y a 12 ans maintenant. Il ne s’était jamais remarié. Et bien sûr de son neveu, David, qu’il avait considéré comme un fils. Nina découvrait un homme doux et sensible qui l’écoutait parler patiemment de sa vie. Elle aussi avait parlé de son histoire : les deux hommes qui avaient partagé sa vie.
Elle n’avait malheureusement pas grand-chose à dire sur ses parents, vu qu’elle ne les connaissait pas, et avait passé les trois quarts de son enfance dans les foyers, ou les maisons d’accueil. Et puis évidemment de ses trois enfants, dont Nina.
— Nina et David... et Annabelle vont avoir un enfant. — Oui, David vient de me le dire au téléphone. — J’ai peur pour ma fille, John !— Mais c’est normal, tu l’aimes ta fille. Nina est ... une perle. Mais je ne peux pas croire que David ne soit pas là pour elle. Il l’aime, Annabelle aussi. — Ils forment ... un trio étrange. — On appelle ça, un trouple, fit John. — Un trouple. Tu veux dire que ça arrive, qu’il y a même un nom pour ça, fit Noémie, surprise. — Oui... ça arrive, et sans doute plus qu’on ne le pense. Si on n’entre pas dans la maison, je crois qu’on ne peut pas deviner... ce qui se passe. — Oui, sans doute. — Comment te sens-tu ? Quand David a annoncé la naissance des jumeaux, j’ai eu l’impression de prendre un coup de vieux. Alors j’imagine pour toi. — Dis... tout de suite que je suis vieille.— Pas encore... mais dans 9 mois, tu seras ... grand-mère. Mais tu seras la plus belle des grands-mères.— Merci... — Noémie, je vais revenir dans la région, dans quelques semaines. Est-ce que tu voudras qu’on se voie ?— Oui, j’aimerais beaucoup, répondit Noémie rougissante.

La jeune femme était assise sur son lit, au téléphone avec lui. Elle aimait beaucoup ces moments avec John.

Quelques semaines plus tard, Noémie entra dans une boutique de naissance, pour regarder un peu ce qu’elle pouvait acheter pour sa fille. La vendeuse vint vers elle, avec le sourire, en lui demandant si c’était pour elle.
— Non, c’est pour ma fille ! expliqua la mère de Nina. Elle vient de m’annoncer sa grossesse, je fais un peu le tour. — Je vous en prie ! répondit la vendeuse.
Noémie reçut un appel de John lui annonçant son retour. Il passait voir son neveu et il était tout à elle. La jeune femme sourit à cette pensée. Cela faisait des mois, des années qu’elle n’avait pas été dans les bras d’un homme. Elle se demanda si elle saurait toujours faire pour donner du plaisir à un homme. Mais ce genre de choses, ça devait être comme le vélo, non ? Noémie prit quand même un petit quelque chose pour sa fille.

Il était 17heures, quand John frappa à la porte de chez elle. Il avait le sourire et portait quelques paquets dans ses bras, dont un énorme bouquet de fleurs.
— Bonsoir. J’ai déjà donné son cadeau à Nina, elle est toute fofolle d’être enceinte. — Qu’est-ce que c’est ? fit Noémie. — Oh, ça c’est un cadeau pour Nathan et celui-ci est pour Nolan. Et celui-là, c’est le tien, fit John en lui donnant une petite boîte.
Noémie l’ouvrit et trouva une paire de boucles d’oreille, c’était des anneaux, des créoles de la taille de son pouce. La mère de Nina fut très surprise de son attention, autant pour elle que pour ses enfants. D’ailleurs les deux enfants rentrèrent de l’école. Nolan ramenait son petit frère à la maison, mais il repartait souvent aller jouer avec ses copains au foot.
— Bonjour Nolan, Nathan. — Bonjour Monsieur John. — John tout court, ce sera bien, fit David. — Bonjour John tout court, dit Nathan avant de rire...— Ah elle est bonne celle-là ! fit John avec le sourire.
Il donna les deux cadeaux aux deux enfants. Nolan, grand fan de foot, il lui avait offert un maillot de foot de son équipe préféré. Le garçon le mit aussitôt sur son dos, et fila de l’appartement pour aller le montrer à ses copains.
— Je suis désolée, il ne vous a pas dit merci, fit Noémie, un peu déçue de son fils. — Mais si, il l’a fait, d’une certaine manière. Puis qu’il l’a mis aussitôt sur son dos pour aller le montrer à ses copains, signe qu’il ... est content, et ça me suffit.
Nathan ouvrit à son tour son cadeau, il avait acheté une panoplie de petits scientifiques pour faire des expériences, et il y avait trois billets pour visiter le musée aéronautique de Toulouse.
— Ta mère m’a dit que tu étais branchée science ? — Oui... Merci beaucoup, John. — Je t’en prie. — Merci pour eux, John, et pour les boucles... Tu n’étais pas obligé. — Je sais Noémie, et c’est pour ça que ... les cadeaux font plaisir. Autant pour celui qui les reçoit, que celui qui les donne.

John resta avec Nathan pour qu’ils réalisent une expérience scientifique tous les deux. John était beaucoup plus manuel. Il travaillait en menuiserie, et designer-mobilier. Il concevait des meubles, à l’ancienne, il dessinait encore sur feuille. Il travaillait avec un petit jeune qui se servait de l’ordinateur pour les concevoir avec le programme. Les ordinateurs étaient un vrai mystère pour lui.
— Est-ce que tu veux rester dîner ? proposa Noémie. — Oui, je veux bien.
Noémie était un peu rougissante d’avoir fait une telle proposition à John. Elle se doutait qu’il voulait aussi rester toute la nuit. Il n’avait pas été brusque avec elle, ni parlait de sexe au téléphone, comme certains l’avaient fait sur Internet. Il était gentil et patient avec Nathan. Maintenant son fils était dans sa chambre et Noémie sentait le regard de John sur elle. L’homme observait en effet, la femme, la déshabillant du regard. Elle avait une bouche avec des lèvres fines et d’une jolie couleur rose. Elle avait le visage ovale et elle était plus grande que sa fille, une poitrine de taille modeste, elle devait être plus poire que pommes, vu qu’elle avait sans doute donné le sein à ses enfants, elle avait une chute de reins profonde, des hanches larges, et de longues jambes fines.

John se leva et posa sa main sur le bas de son dos et lui demanda en murmurant au creux de son oreille.
— Est-ce que tu veux que je t’aide ? — Euh... Eh bien... non, ça ira. J’ai prévu de faire un petit chili. — C’est parfait !
Noémie avait déjà mis à chauffer les différents ingrédients, haricots rouges, maïs, oignions, tomates et viandes. Le tout mijoté dans le wok. Nolan rentra de sa partie de foot, tout heureux de sa sortie. Il tomba sur la chaise dans la cuisine, fatigué. Nathan trouva le chemin de la cuisine. Les deux enfants aidèrent leur mère à mettre le couvert et tout le monde se mit à table.

Noémie observa John poser des questions à ses enfants, il semblait en effet bien aimer les enfants. Mais elle n’était pas encore certaine que ça ne soit pas ... de la comédie pour s’attirer ses faveurs. On ne sait jamais, son dernier compagnon, lui avait bien fait le même coup et il était parti un an après la naissance de Nathan, qui n’avait pas connu son père, tout comme Nolan d’ailleurs. Les deux garçons allèrent se coucher, le plus grand avait le droit de garder la lumière dans sa chambre plus longtemps. Le garçon en profitait souvent pour lire ou passer un moment sur sa console de jeux. Mais ce soir, il montrait sa collection de posters de foot et des cartes de joueurs à John.
— C’est impressionnant ! — Ah bon ? — Au-delà du foot, où j’avoue humblement être ignorant, je parle surtout de la patience qu’il faut pour récolter et classer les cartes dans des albums. — Maman m’en offre dès qu’elle peut, quand j’ai des doubles, je les échange avec les copains. Et Nina m’a offert le classeur pour les ranger. Elle aussi trouvait ça... impressionnant. — Ta sœur te manque ? — Parfois, mais c’est moi, le grand-frère maintenant, alors je veille sur mon petit frère. — C’est bien, tu es un brave garçon ! fit John en lui donnant une petite tape amicale sur son épaule. — Merci John. — De rien. — Merci aussi pour le tee-shirt !— Je t’en prie.
Il quitta la chambre de Nolan en lui disant qu’il devrait se coucher et dormir maintenant. John rejoint Noémie dans le salon et s’installa avec elle. La maîtresse de maison lui proposant un café, un thé que John refusa poliment.
— Si je bois trop tard le soir, je passe ma nuit à me lever pour vider ma vessie. — Ah !

John et Noémie passèrent une partie de la soirée à discuter. Mais il fallait quand même aller au lit au bout d’un moment. Elle se leva et rangea la tasse qu’elle avait bue puis se tourna vers John. Il se leva pour la prendre dans ses bras.
— Si tu ... n’es pas prête, je ... peux rentrer chez moi ! proposa John. — Non, j’ai ... envie, sauf que ça fait longtemps qu’aucun homme ne m’a pas touchée. — Oh... Ne t’inquiète pas. Je peux te guider si tu veux.
Noémie leva le nez vers lui, sa réponse était un peu étrange, mais avant de poser plus de questions, John se pencha vers elle pour l’embrasser, un baiser profond et doux. Puis il lui prit la main et guida la femme vers sa chambre. Il referma la porte derrière lui et s’approcha d’elle.
— Attends, je vais éteindre la lumière... — Ah, non, laisse la lumière, je veux voir ton corps, ma douce. — Oh... euh ! — Déshabille-toi ! dit-il d’un ton... qui était à moitié un ordre, et à moitié un désir impérieux qui émoustillant Noémie.
Cela fait des années qu’aucun homme n’avait voulu d’elle à ce point-là. Elle commença à enlever son tee-shirt, dévoilant un soutien-gorge bien sage. Elle enleva aussi son pantalon, elle portait une petite culotte blanche simple. John s’assit sur le bout du lit, et encourageant Noémie à continuer. Elle enleva son soutien-gorge et il découvrit une paire de seins, en forme de poire. Ils tombaient doucement vers son ventre, qui était plat, avec les vergetures liées à ses trois grossesses. Ils trouvaient ses petits plis, très sexy, peut-être parce qu’il avait toujours rêvé d’avoir des enfants, mais il était stérile, il souffrait de tératospermie, qui rendait la plupart de ses spermatozoïdes biscornus et incapables de féconder l’ovule d’une femme.

John se leva et vint poser ses mains sur les seins de Noémie, il les prit en coupe et passa ses pouces sur les tétons, comme il l’avait fait sur le corps de Nina. Tout comme la fille, les tétons de la mère ne mirent que peu de temps à se durcir.
— Ils sont magnifiques, murmura-t-il en se penchant vers le cou de la femme pour l’embrasser doucement. Tu veux bien me laisser découvrir le reste, demanda John.
Il fit glisser sa main sur le ventre de Noémie, et continua de descendre la culotte de la femme. Il saisit les deux côtés, avec ses deux mains, et baissa le sous-vêtement qui tombait le long de ses jambes. John s’agenouilla devant ce corps vraiment très joli. Le sexe de Noémie était couvert de poils marron comme sa chevelure, mais le poil n’était pas dur, il était doux. John posa un baiser sur son sexe. Il se releva et posa ses doigts sur le pubis de Noémie, et commença à la caresser doucement. Il prit la bouche de la femme en même temps. Le petit clitoris de Noémie qui se tendit, elle mit peu de temps à jouir dans ses bras.
— Tu es très belle, Noémie, fit John en la tirant vers lui...

Ils se reculèrent vers le lit. John se déshabilla et présenta aussi son corps à Noémie, cette dernière posa sa main sur sa verge et commença à faire des va-et-vient. Il voulait d’abord voir ce qu’elle avait « l’habitude » de faire à un homme, ce que les autres lui avaient montré avant de l’ouvrir à d’autres idées, à d’autres expériences. Si elle était aussi ouverte que sa fille, s’il arrivait à l’ouvrir à lui, il serait le plus heureux des hommes. Noémie le branla doucement et de plus vite avec une main, son autre main caressa sa poitrine et sa bouche l’embrassait ou caressait son cou avec sa langue. Lui, caressait son corps, ses seins et son dos.
Puis Noémie le tira vers lui et l’invita à s’allonger sur lui et ouvrit les jambes. Il se retrouva entre ses jambes.
— Tu es sûre ? Tu prends la pilule, tu veux que je mette un préservatif ! proposa John. — Je n’ai pas ce qu’il faut... fit Noémie, visiblement déçue. Excuse-moi, je t’en prie, pardonne-moi. — Oula ! Que me fais-tu exactement ? Tu n’as pas à t’excuser, voyons. C’est à moi d’y penser aussi.
Noémie le regarda un peu surpris et hocha la tête, elle essaya de se redresser pour chercher son tee-shirt. John l’observa faire.
— Tu sais ... que je peux t’offrir ... un peu de plaisir. Et qu’il y a d’autres façons de faire l’amour. — Tu parles de ... l’autre trou, fit Noémie. — Euh... non, pas du tout. Je n’ai jamais été attiré par la sodomie. — Ah bon, je croyais que c’était le fantasme de tous les hommes. — Eh bien, il faut croire que non...
John avait longtemps souffert de son manque de fertilité, alors le peu de sperme qu’il avait fait, il voulait le mettre dans le vagin des femmes, enfin de la sienne en particulier. C’est pourquoi il n’éjaculait pas non plus dans la bouche de femmes, non pas qu’il puisse aimer se trouver entre les lèvres d’une femme.
— Non, je parlais d’autres choses. — Je suis pas sûre de comprendre. — Tu me fais confiance ? demanda John.— Euh... oui ! répondit Noémie.
Il aida Noémie à enlever le tee-shirt qu’elle avait remis et l’allongea sur le lit. Il ajouta que s’il faisait quelque chose qui la gênait, il fallait l’arrêter. Noémie hocha la tête et John commença à fouiller son sexe avec sa langue. Il avait des poils dans la bouche, mais cela le chatouillait et il aimait bien, surtout que cela n’avait rien à voir avec les poils durs qu’il avait eu l’occasion d’avoir dans la bouche.

Noémie serra les draps entre ses doigts en gémissant. Elle avait eu peu de cunnilingus dans sa vie. Son premier mari lui en faisait parfois, alors que son second trouvait ça ... sale, par contre il ne se gênait pas pour la forcer à lui faire des fellations. Mais Noémie ne pensait rien à tout cela, elle se mit à jouir sur la bouche de John.
— Tu ... es vraiment délicieuse ! fit John en se relevant. — Est-ce que tu veux que je ... fasse la même chose ? — Si tu veux, ne te sens pas obligée.
Noémie hocha la tête, mais descendit vers le sexe de John pour le prendre en bouche. Elle se mit à le sucer, le téter et le lécher. Elle mit un peu de temps à retrouver son ... expérience dans le domaine. Son ex-mari lui avait toujours obligé à lui ... tailler une pipe, avant de la pénétrer et de jouir ... bien souvent sans elle. Il était très égoïste dans les rapports qu’il avait eus avec elle. John posa sa main sur sa tête, elle se raidit, de peur qu’il enfonce sa tête, mais il caressa sa joue tendrement et Noémie se sentit bien, elle avait envie de faire jouir cet homme.

John saisit son menton et l’aida à sortir son sexe de sa bouche. Elle le regarda, surpris, pourquoi arrêtes-tu, sembla dire ses yeux.
— C’est très bien, mais je vais venir. — Tu peux ... venir là, fit Noémie en posant ses doigts sur sa langue. — Tu es sûr ?
Elle hocha la tête et retourna à son œuvre et elle reprit le sexe de John en bouche, il éjacula quelques minutes plus tard. Noémie se retourna pour cracher dans un mouchoir. Il sourit et la regarda le mettre à la poubelle. Il l’invita à s’allonger à ses côtés.
— Je suis désolée de ne pas avoir ce qu’il faut. — Il ne faut pas t’excuser, je te l’ai déjà dit, ce n’est pas grave. Ce n’est pas comme si on n’allait plus jamais faire l’amour. — Est-ce que j’ai été bien ? — Oui... très bien. Tu as de l’expérience... pour faire des fellations. Mais est-ce que... tu aimes ? — Eh bien... — On te les a imposées ? — D’une certaine manière, oui ! Il ... Je ne voudrais pas t’embêter... — Tu peux m’en parler, ça ne me gêne pas !— Quand nous faisions l’amour, il voulait que je lui ... prenne le sexe en bouche... ensuite il me pénétrait et puis ... C’était fini ! expliqua Noémie avec résistance. — Je vois ! soupira John en prenant Noémie dans ses bras, contre lui. — Ce que tu m’as fait ... un cunnilingus...— Un cunnilingus, rectifia-t-il en souriant. — Oui, c’est ce que j’ai dit, répondit-elle, c’était ... vraiment bien. — Je peux recommencer, si tu veux. Tu as le sexe fait pour ça...
Noémie le regarda, sans savoir s’il était sérieux, s’il plaisantait, si elle avait vraiment le sexe pour ça, ou s’il aimait lui faire ça.
— Ne te sens pas obligé... dit-elle d’une petite voix. — Sache une chose, je ne fais jamais rien dont je me sens obligé. Si je te le propose, c’est que je veux le faire, que j’ai envie de le faire... maintenant tu en disposes ou non, c’est ton choix. — Alors, oui, je veux bien, répondit-elle d’une voix timide, et en même temps très coquine.

John sourit et sentit qu’il ... bandait à nouveau devant les paroles de Noémie, il se pencha sur le sexe de Noémie et se mit à la lécher à nouveau le sexe de la femme. Elle mit quelques minutes à jouir, il mit la propre main de la femme sur sa bouche pour qu’elle évite de jouir trop fort. Puis il recommença une nouvelle fois. Noémie serrait les draps avec une main et cachait sa bouche avec l’autre pour étouffer ses gémissements de plaisir. C’était vraiment bon, ce qu’il faisait. Elle sentait de petits courants électriques vibrer dans son corps, jusqu’à atteindre son petit clitoris, qui semblait trembloter sous la langue de John. Elle jouit à nouveau. John se releva enfin et la regarda, elle avait le regard vague et semblait complètement hagarde, et semblait planer sur une autre planète.
— Tu es parfaite, Noémie. Vraiment.

Il se rallongea à côté d’elle, Noémie tendit sa main pour caresser le sexe de John et le branlait doucement, John glissa sa main dans le sexe de la femme, pour la doigter et lui faire connaître encore le plaisir. Il se mit à éjaculer quelques instants, après qu’elle ait joui. Il nettoya ses dégâts avec quelques mouchoirs.
— Dormons, maintenant, fit John, en cherchant le drap pour les recouvrir.
Noémie, qui d’habitude se rhabille, après avoir fait l’amour, n’éprouva pas ce besoin, au contraire, d’une certaine façon, elle avait envie que la main de John vienne se perdre entre ses cuisses.
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