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Le fantasme de la baby-sitter

Chapitre 37

Nina et Annabelle rencontrent Sara

Divers
Annabelle et Nina se promenaient avec la petite Nazélia dans sa poussette, la jeune fille se sentait fière d’être avec eux et avec sa petite fille. Elle lui montrait tous les vêtements et la fillette semblait rire parfois, et la jeune maman l’ajoutait dans son panier et parfois la fillette pleurait ou grimaçait et Nina reposait le vêtement dans le rayon. Sara, Mignonnette qui se trouvait, observait le manège entre la mère et sa fille. Elle doutait que les goûts de la fillette se montraient si vite sur le visage du bébé. C’était juste un hasard.
— Bonjour, fit Nina avec le sourire. — Bonjour, répondit Sara.— Nous nous sommes déjà croisées, non ? — Oui !— Je sais, chez le docteur, il y a quelques mois. — Oui !— Vous allez bien ? — Oui ! Merci. Et vous ? — Très bien. — Nina, j’ai trouvé un haut pour la fillette. — Oh, bonjour. Vous êtes une amie de Nina ? Annabelle, se présenta la jeune femme avec le sourire.— Sara ! répondit la jeune femme.
Et sans savoir comment et pourquoi, Sara se retrouva dans le salon de Nina et Annabelle... et David. John et Jack étaient deux garçons vraiment très mignons, elle reconnaissait leurs bouilles pour avoir vu leur photo dans son portefeuille. Et Nazélia, dans les bras de sa mère, tétait le sein.
— Elle a quel âge ? demanda Sara.— Un mois. — Elle est mignonne. — C’est parce que sa mère est la plus belle de toutes, fit Annabelle en caressant la joue de Nina.
Sara observait les deux femmes avec de grands yeux. Elle n’arrivait pas à comprendre ce qui se passait. Est-ce que Nina et Annabelle avaient une liaison ? Mais si Annabelle était mariée avec David et que David avait une liaison avec Nina... C’était un truc bizarre à trois et en plus le jeune homme venait chercher ses faveurs. Depuis... la tournante qu’elle avait « subie », elle n’avait pas rappelé ni John ni Dimitri.
Une voiture vint se garer devant la porte, Sara se leva, elle prit « peur », en se demandant ce que David allait penser de sa présence dans sa maison. Elle n’aurait pas dû y mettre les pieds. Elle avala de travers, en attendant que le jeune homme entre dans la pièce. Annabelle était partie l’accueillir, mais Nina encore assise dans le canapé, observait la jeune femme avec perplexité. Pourquoi semblait-elle si nerveuse ? Sara se tourna vers David qui venait d’enter dans la pièce, il marqua un temps d’arrêt en la voyant. Puis il se tourna vers Nina et s’avança vers elle, pour l’embrasser langoureusement. Il caressa la tête de sa fille, avec un sourire sur le visage.

— Vous avez passé une belle journée, toutes les deux ? — Oui. Et toi ? Oh, je te présente Sara. Sara, je vous présente David. — Enchanté, fit David en l’observant de haut en bas, d’un air un peu courroucé. — Enchantée... aussi ! répondit Sara. Je vais rentrer chez moi. — Oh, vous ne restez pas... Vous êtes la bienvenue. En plus... nous sommes lundi, dit Nina.— Quel est le rapport avec le lundi ? demanda Annabelle. — Eh bien... David va rejoindre Sara, les lundis soir. — Quoi ? Comment tu... commença David avant de se rendre compte qu’il venait de confirmer, sans le vouloir.
Annabelle ouvrit de grands yeux, elle regarda son mari, Sara qui baissa les yeux d’un air coupable. Et Nina qui lui sourit, mais à quoi elle pensait.
— Tu avais... promis... que Nina serait la seule, fit Annabelle, la voix brisée.
La jeune femme soupira et serra les dents, elle avait envie de mettre cette femme à la porte, en la tirant par les cheveux. Mais le regard... si tendre de Nina la fit changer d’avis et elle préféra quitter les lieux.
— Annabelle, fit David en lui courant après.
Sara qui se retrouvait seule avec Nina. La jeune fille se leva et déposa sa fille dans son berceau. Et se tourna vers elle, en la fixant d’un air si doux et si tendre. Elle lui saisit la main.
— Je suis si contente de vous rencontrer, fit Nina, toute joyeuse. — Vous êtes contente ? fit Sara, surprise. — Eh bien... vous avez pris soin de David, quand ni Annabelle ni moi ne pouvions le faire. Je crois que vous êtes la seule... — Comment savez-vous qui j’étais ? — Je n’en savais rien, avant de voir David marquait un temps d’arrêt en entrant dans la pièce. — Vous ne m’avez pas invité en sachant ? — Non ! Ce n’était pas un piège. — La femme de David semble l’avoir très mal pris... Et pas vous ? — Non, comme je vous le disais, je voulais vous dire merci... d’avoir été là pour David. Je suis sûre qu’Annabelle se calmera avec le temps. On n’est pas comme tout le monde, apparemment. — Non, pas comme tout le monde, ça je confirme, fit Sara.
Nina lui fit un sourire et David revint dans la pièce, il s’assit à côté de Nina, en soupirant de lassitude. Nina le regarda dans le sourire, il fixa sa poupée du regard, il était en colère contre elle. Qu’est-ce qui lui avait pris de lâcher cette bombe comme ça ?
— Qu’est-ce qui t’a pris ? Tu es folle ! gronda David.— Non... Annabelle ne pourra jamais accepter Sara, si on ne la met pas sous le nez. On a juste de la chance de tomber sur elle, comme ça. — Pourquoi tu veux qu’Annabelle accepte Sara au juste ?— Eh bien c’est évident... non ?
Les deux intéressés la regardaient d’un air ahuri, sans comprendre de quoi elle voulait parler. Qu’est-ce qui était si évident pour Nina, qui ne l’était pas pour les autres ? La jeune fille était tellement... à côté de la plaque, parfois, que David s’attendait à tout... Enfin pas à tout, puisque la réponse de Nina le surprit, autant que Sara d’ailleurs.
— Eh bien pour que Sara s’installa ici avec nous.— Hein ? fit David. Et... si je ne veux pas ! — Mmh !!! fit Nina en reprenant sa fille dans ses bras. Je crois que tu n’as pas le choix, fit-elle avant d’embrasser David sur la bouche, avant de quitter la pièce. — Et si Sara ne veut pas ? — Elle est amoureuse de toi, comme Annabelle et moi, je doute... qu’elle refuse de venir vivre avec nous tous. Et comme ça fait déjà des mois qu’elle... partage, je pense que ça ne la gênera pas de continuer, n’est-ce pas ! fit-elle avec le sourire, en croisant le regard de Sara.
Sara la regarda sans comprendre ce que cette jeune fille pouvait bien avoir en tête. Nina quitta la pièce en chantonnant à Nazélia. Elle semblait être contente de son effet. David et Sara se retrouvèrent tous les deux dans le salon de la maison.
— Je suis désolée... David ! Je te demande pardon. Nina et Annabelle ne savaient pas qui j’étais... mais moi je savais. Je suis désolée, c’est ma faute tout ça. — Apparemment pas entièrement, fit David en soupirant. A genoux, ordonna-t-il.
Sara se mit à genoux devant lui, il se leva du canapé, et avançant vers elle, il lui saisit les cheveux de la jeune fille et la tira vers lui. Il déboutonna son pantalon et lui présenta son sexe. Il bandait déjà à moitié. Il ne pouvait pas nier que Nina... avait de la suite dans les idées. Il aurait un harem à lui tout seul... Cela l’excitait un peu !
Mignonnette mit le sexe de David dans sa bouche pour lui faire une fellation au milieu de son salon, alors que sa femme se trouvait au-dessus d’eux. Que faisait-elle ici ? Et pourtant, elle n’avait pas envie de partir et s’activait avec plaisir sur la fellation de David. Le jeune homme baisa littéralement la bouche de Sara. Il tenait son visage à deux mains et la coinça pour qu’elle ne puisse pas fuir. Au bout de cinq minutes, il lâcha son sperme dans la bouche de la jeune femme. Il retomba assis sur le canapé et observa Sara qui essuyait sa bouche.
— Toi et Nina... vous allez toutes les deux être punies... une punition dont vous n’êtes pas prêtes d’oublier, fit David en grognant.
Sara hocha la tête, toujours à genoux au sol. Soudain, elle se mit à pleurer, en silence. David l’observa pleurer un moment, ne sachant pas ce qu’il pouvait faire. Il finit par se lever du canapé et la prit dans ses bras. Il l’aida à se relever et la fit asseoir à côté de lui. Il serra contre lui.
— J’avoue que ça me ferait plaisir que tu viennes ici avec nous. Je sais que c’est très macho, de vouloir un harem. — J’ai envie aussi... — Mais je ne ferais rien sans l’accord d’Annabelle, c’est ma femme. — Je comprends, mais si elle refuse, est-ce que tu viendras... le lundi soir me voir quand même ? — Mignonnette ! Tu me plais beaucoup, je n’ai pas l’intention de laisser partir. Mais... c’est toujours la même chose... Je ne peux pas t’offrir le mariage, la polygamie est toujours interdite par la loi. Je ne peux pas te donner des enfants...— Sans qu’Annabelle soit d’accord. — Et Nina aussi, oui. — Je comprends !
David se leva du canapé et tendit la main à Sara, elle glissa sa main dans la sienne et il la tira vers une des chambres de la maison. En passant devant une autre porte, elle entendit des gémissements. Annabelle et Nina étaient en train de faire l’amour. Elle comprenait alors pourquoi, il se retrouvait tout seul, le lundi soir. Ils entrèrent dans la pièce. Dans la même maison, David et Sara faisaient l’amour dans une pièce et en face, Annabelle et Nina faisaient la même chose.
Pendant que Sara et David discutaient, Nina et Annabelle faisaient de même. La jeune fille avait déposé sa petite fille dans son berceau, puis la regarda dormir un moment avec le sourire. Puis elle se rendit dans la chambre d’Annabelle et gratta doucement la porte.
— C’est moi, fit Nina.
Annabelle lui ouvrit la porte et la regardait, la jeune femme ne semblait pas être en pleurs ni trop en colère. Nina entra et ferma la porte derrière elle.
— Tu ... devais t’en douter que David ne pouvait rester dans son bureau, à travailler, quand nous ... Faisions l’amour toutes les deux, dit Nina avec le sourire, en penchant la tête. — C’est juste qu’il a menti... et...— Je crois que c’est mieux qu’on connaisse Sara, tu ne penses pas. Vu qu’on ne peut pas l’empêcher d’aller voir ailleurs, autant qu’on la connaisse, non ? — Ça n’a pas de logique pour moi ! J’ai accepté de te partager avec David et donc de partager David, parce que c’était toi... Mais elle, je ne la connais pas. — Eh bien dans ce cas, on va pouvoir faire connaissance maintenant, proposa Nina avec le sourire.
Annabelle soupira et s’apprêtait à lui sortir tout un tas d’arguments contre son idée, mais la jeune fille sourit et s’avançait vers elle et lui caressa les bras, remontant vers son petit haut, qu’elle lui enleva pour libérer ses seins. La jeune fille se pencha pour prendre les seins d’Annabelle dans sa bouche, titillant ses tétons, avec sa langue et ses dents.
— Ma jolie, fit Annabelle en gémissant.
Nina poussa doucement son amante sur son lit et se mit à califourchon sur elle. Elle lui enleva sa petite culotte, puis la caressa avec sensualité. Annabelle enleva le haut de la jeune fille et elle fit de son mieux pour ôter sa culotte. A califourchon sur elle, Nina se mit à frotter son sexe contre celui d’Annabelle. Elles se caressèrent comme ça l’une l’autre et elles se mirent à jouir toutes les deux. Nina parvint à taire son cri, en embrassant la jeune femme à pleine bouche.
— Ma jolie... — Annabelle, fit Nina en posant sa tête, son front contre l’épaule de la jeune femme. — Je t’aime, ma jolie. — Moi aussi.
Nina se pencha et prit le double gode dans sa main et regardait Annabelle avec un air gourmand. La jeune femme lui sourit, puis se mit à rire, devant la luxure que pouvait ressentir Nina, c’est comme si elle n’était jamais rassasiée. La femme de David hocha la tête et la jeune fille enfonça le gode dans le sexe d’Annabelle, elle gémit et pencha la tête en arrière dans le coussin, et Nina se recula et commença à faire des va-et-vient dans le vagin de plus en plus vite et profond. Annabelle se mit à jouir... Puis elle leva les bras pour retirer le gode de son sexe et poussa Nina pour l’allonger et enfonça le gode dans le sexe de Nina, et... lui fit même la chose.
— Annabelle ! Annabelle ! Annnnnnnnnnaaaaaaaaaaaabelle, cria Nina, alors qu’elle était en train de jouir.
Annabelle observa la jolie jeune femme dans ses bras. Elle l’adorait. La jeune femme s’allongea à côté de Nina et la prit contre elle. La jeune fille posa sa tête sur son épaule.
— Est-ce que tu vas laisser une chance à Sara ? demanda Nina.— Tu reviens à ça !— Eh bien... je veux te rendre toi et David heureux. David est heureux avec Sara.— Et si... moi je suis malheureuse de savoir David avec Sara. — L’es-tu ? demanda Nina.
Annabelle soupira et fixa le plafond, en réfléchissant à ce qui la dérangeait vraiment. Est-ce que David passe ses lundis soir dans les bras de Sara ? Ou bien qu’il lui ait menti, en lui disant que Nina serait la seule. Est-ce son infidélité qu’elle lui reprochait ou son manque d’honnêteté ?
— Non... je ne suis pas malheureuse, conclut Annabelle. — Donc Sara va pouvoir rester avec nous, fit Nina. — Tu veux qu’elle habite ici ? demanda la jeune femme, surprise.— Oui ! Ce sera plus simple... David n’aura pas besoin de courir dans tous les coins de la ville. — Et... s’il y a d’autres femmes ? — Je demanderais à David. Mais à trois, on devrait pouvoir satisfaire les besoins de notre homme. — Et mes besoins et les tiens ?— Tu veux prendre un autre homme ou une autre femme ? — Tu serais d’accord. — Eh bien... si ça te rend heureuse. — Non, je ne veux pas, toi et David, me suffisent. Et toi ? — Pareil, David et toi me suffisent, fit Nina avec le sourire en se calant dans les bras de la jeune femme.
Nina ferma les yeux et se mit à caresser le ventre d’Annabelle du bout des doigts. La jeune fille se sentait vraiment bien. Dans le calme de la maison, les deux femmes entendirent les... gémissements de Sara. Nina et Annabelle se regardèrent et au lieu de se sentir tristes, cela ne fit qu’augmenter leurs désirs, et les deux femmes s’embrassèrent à nouveau, Annabelle se mit à chercher le gode de sa main.
David et Sara étaient allongés nus dans le lit. La jeune femme n’en revenait pas de faire l’amour avec David, pendant que sa femme faisait l’amour avec Nina, dans la pièce en face.
— David, attends ! — Quoi ? — Ce n’est pas normal tout ça... Je veux dire ta femme, Nina... moi ici...— Mignonnette, ne pose pas trop de questions et profite simplement du moment. — Parce que demain nous pourrions ne plus être vivants, c’est ça ? — Oui, quelque chose comme ça.
Le jeune homme glissa sa langue sur le ventre de la jeune femme pour venir lui caresser son sexe avec sa bouche... Il la mordilla doucement, en la léchant avec délice. Ses mains remontèrent pour se poser sur les seins de la jeune femme et lui titiller ses tétons. Sara aurait bien voulu... faire partager son désir, et son bien-être à David, mais elle avait les mains attachées aux barreaux de lit. Elle se mit à gémir et à jouir.
David se redressa et enfonça son sexe dans le corps de la jeune fille, il souleva ses jambes pour pouvoir s’enfoncer plus profondément, et accentuant la vitesse. Sara gémissait de bien-être. Le jeune homme sentit qu’il allait jouir et sortit de la jeune femme et vint éjaculer sur son ventre. David se coucha sur le côté et se pencha pour prendre des mouchoirs, afin d’essuyer le ventre de Sara. Ils restèrent silencieux à regarder le plafond, puis ils entendirent les gémissements de Nina et Annabelle. Sara regarda David, un peu gênée, mais lui semblait... ressentir autre chose, il bandait à nouveau et vint caresser son cou avec sa langue, glissant sa main dans le sexe de la jeune femme. Les entendre avait réveillé sa libido. Il fit l’amour, jusqu’à ce que Sara s’endorme, et Annabelle fit l’amour jusqu’à ce que Nina tombe de sommeil.
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