CHAPITRE 1 Je m’appelle April, je viens de fêter mes 38 ans et malgré mes 2 grossesses, je suis plutôt bien roulée : pas très grande certes, mais féminine et sexy !Quant à mon homme, c’est une belle histoire : Jack ! aaah Jack…Nous nous sommes rencontrés il y a tout juste 4 ans, je venais de démissionner et il était le responsable avec qui j’ai passé mon entretien d’embauche. Je me rappelle ma première impression lorsqu’il est venu me chercher dans la salle d’attente, une carrure imposante, grand et carré, une assurance certaine et du charme qui ne laisse pas indifférent, en tout cas pour ma part !L’entretien s’est plutôt bien passé et quelques jours plus tard il me confirma que ma candidature était retenue ! Super ! je pense que ce sera sympa de travailler avec lui… Les mois passent, si niveau professionnelle tout se passe pour le mieux, je ne peux pas en dire autant niveau personnelle. Je suis dans une relation un peu compliquée, séparée depuis 6 ans du père de mes enfants, je vis une relation que je qualifierai « à distance » avec un homme divorcé. Un homme qui a 10 ans de plus que moi, où parfois, soyons honnêtes, un certain faussé de génération se ressent. Séparé également, il se consacre à ses nombreuses passions et finalement je passe au dernier plan.Notre relation avait pourtant bien commencé, tout en douceur et avec beaucoup de patience, peut-être trop de lenteur d’ailleurs… et niveau sexe, c’est ce qui fut à mon sens l’un des éléments qui nous a mené à la rupture 2 ans plus tard.Il faut dire que l’on pourrait me qualifier de « demandeuse » ou « gourmande » ! j’ai toujours eu besoin d’orgasmes quotidien, et n’étant pas une « coureuse », la masturbation matin et soir a rythmé ma vie de célibataire endurcie ! pas besoin d’hommes pour avoir du plaisir… mais une fois que cet homme est rentré dans ma vie, je me suis peut être fait trop d’idées en m’attendant à être comblée sexuellement en ayant ces orgasmes de manière plus charnelle et partagée. J’ai vite déchanté, tant par la fréquence que la durée et au final ce ne fut que grande frustration… même si je me considérai comme libérée sexuellement, il me paraissait dépassé et j’ai fini par comprendre que mon épanouissement sexuel ne serait pas avec lui et par conséquent ma vie de femme ne serait pas comblée… Au boulot, je prenais plaisir à partager des moments purement professionnels avec Jack. Nous étions bien souvent sur la même longueur d’onde, nous nous comprenions quant à nos choix et décisions… Chaque matin lorsque je passais le saluer à son bureau, je remarquais ses yeux que je qualifierai de charmeurs et son agréable sourire lorsqu’il me répondait me faisait fondre…Il nous arrivait de faire des pauses déjeuné tout en se promenant dans les rues avoisinantes, et d’avoir des discussions plus personnelles sur nos vies familiales…Les mois passaient, ma situation personnelle ne s’arrangeait pas, bien au contraire, lassée je fini par y mettre un terme… Me voilà à nouveau célibataire mais pas désespérée ! Niveau professionnelle, j’étais de plus en plus amené à partir en clientèle avec Jack. J’appréciai sa compagnie, c’est un homme serein, toujours de bon conseil, cultivé et plein d’humour ! tout ce que j’aime chez un homme, ajoutez à cela son physique qui ne me laissait pas indifférente et son charisme et me voilà toute chose en sa présence ! …et hors présence, il suffisait que je pense à lui le soir ou le matin seule dans mon lit pour que mon esprit s’invente des scénarios des plus torrides entre ses mains, ses lèvres etc… Un peu avant l’été 2013, un changement d’organisation professionnelle fut annoncé. Jack ne serai plus mon responsable à la rentrée… j’allais reprendre une partie de ses fonctions et Jack assurerai les siennes dans une autre agence.Si j’étais emballé par cette future mission qui m’attendait, l’idée de ne plus côtoyer Jack au quotidien m’attristait un peu. Nous étions devenu finalement assez proches même si cela n’était que purement professionnel. Nos échanges s’en ressentirent, des barrières se brisaient peu à peu et nous nous permettions des discussions plus personnelles.Parallèlement nous devions assurer les passations de ses fonctions et donc de ses clients, c’est ainsi que nous nous sommes retrouvés à devoir nous rentre chez un client à Avignon, où il était prévu que du fait de la distance, nous passerions une nuit à l’hôtel… Une nuit dans une chambre à deux pas de la sienne, moi, nue dans mon lit et lui si proche hummm… l’idée me fit rougir intérieurement et je sentis mon string s’humidifier face à mon esprit qui se remplissait d’idées les plus coquines. Le jour « J » arrive enfin, bizarrement j’ai mal dormi, je suis contente de passer deux journées pleines en sa compagnie, mais je suis excitée également car mon esprit vagabond a alimenté mes fantasmes les plus chauds et inavouables…J’attends au bas de mon immeuble, quand tout à coup, je vois sa voiture, il arrive… mon cœur bat la chamade, mais qu’est ce qu’il m’arrive ? on dirait une collégienne lors de son premier rancard !Il stoppe à mes pieds, je mets ma valise dans son coffre et en venant m’asseoir à ses côtés, je le salue d’un timide bonjour (Grrr ! mais ressaisie-toi April !!! me dis-je en mon fort intérieur). Il n’a pas l’air de s’en être rendu compte,… la route sera longue, bercée par la musique et la chaleur des rayons du soleil, nous discutons comme deux vieux amis de tout et de rien… et de lui ! s’il a une longueur d’avance sur ma vie affective, moi je ne sais pas grand-chose de la sienne. Marié depuis fort longtemps, deux enfants du même âge que les miens. Point !Cette fois, le voilà plus bavard, il se livre enfin… et son histoire est loin d’être idyllique, même s’il ne donne pas de détails je dirai que ça sent la fin…De temps à autre je le regarde, il est beau, j’ai envie de l’embrasser, de poser mes lèvres sur les siennes, si je le fais ça ferai quoi ? il dirait quoi ? …STOP April ! tu divagues !Quelques heures plus tard, nous voilà arrivés à l’hôtel, nous récupérons nos clés et décidons d’aller s’installer et se rafraichir avant de se donner rendez-vous au bar de l’hôtel afin de passer la soirée et diner ensemble.Nos chambres sont côtes à côtes, un souvenir coquin me revient, « à tout à l’heure »La chambre est belle, claire et spacieuse, je déballe mes quelques affaires et file sous la douche, je laisse couler longuement l’eau sur mon corps, plus pour me ressaisir des pensées qui sont à train de revenir, et puis… et puis au diable, je ne fais rien de mal que de penser à cet homme qui me fait de plus en plus envie, à penser que ses mains pourraient caresser mon corps, et tout en y pensant mes propres mains caressent mon corps chaud et humide par l’eau et la mousse, mes mains s’attardent sur mes seins galbés et durs par l’excitations, mes tétons sont dressés et je les titille un peu, hummm… la chaleur se ressent maintenant à l’intérieur de mon ventre, pendant qu’une main reste sur mon sein et pince délicatement mon téton entre mes doigts, mon autre main glisse vers mon entre jambe et la voilà sur ma chatte, douce et épilée ne laissant qu’un fin triangle de poils que je caresse sans trop m’y attarder… mes doigts se retrouve sur mon clitoris tout gonflé par l’excitation, j’insiste par des caresses appuyées, ohhh que c’est bon, j’introduis mon majeur dans ma chatte, je le ressors pour le voir totalement luisant de ma cyprine tellement je mouille d’excitation, je fais des vas et viens tout en appuyant avec ma paume sur mon petit bouton, j’enfonce deux doigts cette fois et je continue mes « caresses » avec un rythme plus soutenu… je vais venir, je vais jouir, ça vient, oh oui Jack ! baise-moi !!! et j’explose… mes jambes flageolent, des spasmes parcourent mon vagin et me font trembler un peu… qu’il était bon cet orgasme… je fini par me rincer et sors de la douche. La salle de bain est toute embuée tout comme mon esprit est embrumé… mais qu’est ce que c’était bon ! Je me balade nue dans la chambre, les fenêtres sont grandes ouvertes et les rideaux volent au gré de la brise légère de cette fin de journée. J’ai besoin de retrouver mes esprits afin de ne pas laisser transparaitre mes idées perverses lorsque je serai en sa présence…18h30, j’ai encore une bonne heure devant moi… le vent s’est levé, un courant d’air fait voler le rideau de la grande baie vitrée, suffisamment pour que je voie un homme sur son balcon, pile en face de ma chambre ! le vicieux devait me mater depuis tout à l’heure, pas gêné dit-donc !Et si je jouais moi aussi ? Après tout, personne ne me connait, et je ne le reverrais plus !Je m’assoie sur le bord de mon lit, face à lui, et commence à me caresser avec mon huile hydratante tout en laissant le vent faire le reste et lui dévoiler mon corps luisant et …glissant ! J’insiste sur mon entre-jambe, j’écarte bien mes cuisses et caresse ma chatte bien ouverte, le spectacle que je montre à mon spectateur ne le laisse pas indifférent, je vois qu’il a sorti sa queue, déjà bien en érection, d’une taille honorable et qu’il se branle énergiquement… c’est à ce moment précis que j’ai une pensée pour Jack, juste derrière le mur, que fait-il ? est ce qu’il se masturbe en pensant à moi ? et sa queue, comment est sa queue ? mes caresses redoublent d’intensité, mon corps se cambre et bien que je me sois déjà masturbée sous la douche, l’envie est encore là, je pense à la queue de Jack, je l’imagine proportionnelle à sa taille, c’est dire que j’imagine un beau morceau ! « Oh oui Jack donne-moi ta queue, prends-moi, baise-moi bien, j’ai envie que tu me défonces la chatte… » hummm, ouiii j’imagine bien sa grosse queue remplir ma chatte, rentrer et sortir, j’en peux plus... deuxième orgasme de la journée, encore meilleur que le premier, j’ai chaud, mon clito est hyper-sensible et encore bien gonflé, je suis là, les jambes écartées et pantelantes face à la fenêtre, face à mon voyeur qui continue de se branler avec frénésie quand soudain, croisant mon regard il se lâche et un jet épais et blanchâtre jaillie de sa queue par saccades, tellement puissant et abondant qu’il parsème en partie son visage, son torse et dégouline sur son ventre… au moins un qui s’est fait plaisir ! il me regarde l’air gêné, tourne les talons et disparait rapidement… je m’essuie la chatte, je ressers les cuisses et ressens une légère honte… mais pas le temps de m’attarder, il faut que je me prépare, qui sait, ce soir ce n’est pas mes mains qui caresseront mon corps, mais celles de Jack…
