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Fantasme de jeunesse

Chapitre 1

Hétéro
Cette histoire se déroule durant mes années estudiantines. J’habitais encore chez mes parents et la fac n’était qu’à quelques stations de métro. J’avais dix minutes de marche jusqu’à la station. Durant mes années de collège et de lycée, j’empruntais également ce mode de transport. Depuis des années, en tout cas depuis que je m’intéressais au sexe opposé, j’avais remarqué une femme qui habitait à peu près à mi-distance et qui avait attiré mon attention et je la croisais ou la suivais régulièrement. Je m’étais surpris à plusieurs reprises à regarder cette femme, à détailler son corps, sentir son parfum.Elle n’avait rien de vraiment particulier : la quarantaine, mince et sans trop de forme : ni grosse poitrine, ni fesses rebondies. Elle était blonde aux cheveux longs. Par contre, je lui trouvais un charme fou et des jambes superbes. Je pense d’ailleurs que c’est ce qui m’a attiré chez elle. Elle portait toujours des jupes ou des robes dont la longueur variait au gré des saisons et du climat parisien. Je me souviens ainsi d’un matin de mai où je contemplai ses jambes et où la légèreté de sa jupe ainsi qui sa longueur, et aidé par le vent, me permis d’apercevoir une jarretière ainsi que le bas d’une jarretelle. Cette vision m’a, je pense, marqué à vie. J’avais déjà vu et j’appréciais énormément la lingerie dans les films que je qualifierai de "pas de mon âge" à l’époque même les plus softs diffusés sur M6. Je trouvai superbe ces culottes, strings, tangas, ces bodys, guêpières, porte-jarretelles, bas, collants... La vue de ce bas et de cette jarretelle m’a donc vraiment émoustillé car je me pensais pas en voir hors d’un écran et a fortiori porté par quelqu’un que je voyais aussi souvent.A partir de ce jour, il m’arrivait donc d’accélérer pour la rattraper, de ralentir afin qu’elle me double, de faire semblant de chercher quelque chose dans mon sac afin d’obtenir le même résultat. Mon jeune âge au départ devait faire illusion mais je me doutais bien qu’avec les années, elle ne devait pas être dupe.
Ce jeu du chat et de la souris durait donc depuis quatre ou cinq ans. Pour autant, jamais nous ne nous étions parlé au-delà d’un simple bonjour. Cette femme m’hypnotisait donc depuis des années et j’avais pu constater et apprécier à de nombreuses reprises qu’elle était amatrice de lingerie et toujours de ces bas. Le temps passait et mon intérêt pour elle ne déclinait pas. Elle représentait la féminité, la femme.Mes horaires étant plus diversifiés en fac, il m’arrivait également de me retrouver à la suivre le soir. La rue étant légèrement en pente, je pouvais ainsi voir encore mieux ses jambes fuselées. Un soir de printemps, encore une fois, j’aperçu en plus de ses bas et de ses jarretelles, un superbe tanga, encore une fois, grâce à l’intervention du vent. Sa jupe se soulevant, elle tenta comme elle le put de la rabaisser. Elle se tourna ensuite et me dit dans un sourire attendrissant :
— Pardon de t’imposer cette vision, je ne suis plus celle que j’étais.
Effectivement les années étaient passées mais elle pouvait porter fièrement sa récente cinquantaine. Je ne savais pas si elle faisait allusion à ces années ou pas donc je n’en dis rien.
— C’était une vision très agréable. — Tu as déjà vu mieux dans le passé tout de même, et puis je ne suis pas une pinup.
Ma couleur a alors dû changer et virer au rouge écarlate. J’étais découvert, même si je m’en doutais avec tout ce temps passé. Ne répondant rien, elle enchaina :
— Tu n’as pas à rougir, c’est moi qui te remercie. J’ai remarqué que je ne te laissais pas indifférent il y a un moment maintenant. Je trouve ça très touchant d’avoir éveillé cet attrait chez le garçon que tu étais et que celui-ci ne disparaisse pas en devenant un homme. Pourquoi est-ce que ça ne s’est pas arrêté d’ailleurs ?
Tout en continuant à parler, elle avait recommencé à marcher et je me tenais à ses côtés.
— Je vous trouve superbe. Effectivement, depuis petit. J’ai pu un jour voir vos pas et votre porte-jarretelle et ça a déclenché une irrésistible attirance envers vous. Pour moi, vous êtes l’incarnation de la féminité.
— Merci pour ce compliment. Je ne connaissais pas l’origine de cette attirance mais je l’ai remarqué et cela m’a amusé, au point que j’en ai joué par moment en jouant sur l’amplitude de ma démarche ou la longueur de mes vêtements.
Je ne savais pas où me mettre. J’avais l’impression d’être complètement découvert, je ne savais rien de cette femme, je ne connaissais que son corps que j’avais pu observer avec insistance et peu de discrétion semblait-il. En arrivant au carrefour qui marquait la divergence de nos chemins, elle me dit :
— Alors, même en faisant le premier pas, tu n’as toujours pas l’assurance pour venir vers moi ?— Non... Enfin, si, enfin je ne sais pas, je ne sais même pas si vous êtes mariée ou pas, si vous avez quelqu’un...— J’ai quelqu’un ou plutôt j’avais. Cet homme m’a laissé il y a maintenant deux mois après m’avoir trompé pendant plus de deux ans. Maintenant j’ai envie non pas de me venger, il s’en fout et ce serait de toute façon bien trop tard, mais je veux profiter de la vie. J’ai un charmant garçon qui est aujourd’hui un homme, à qui je fais de l’effet, j’ai pu le constater car je pense que tu as été aussi fidèle à moi que mon mari m’a été infidèle. De plus, je suppose que j’ai dû te donner matière quand tu étais seul le soir et je trouve que ce n’est que justice de pouvoir en profiter à présent alors tu vas me suivre gentiment.
Comme on dit, elle me l’avait coupé. Je me retrouvais donc chez elle. C’était une petite maison très coquette où tout était à sa place et où le superflu n’avait, lui, pas sa place. La décoration semblait récente et je pense qu’elle a dû se débarrasser de tout ce qui lui rappelait son mari. Je ne m’en offusquais pas et sa proposition m’intéressait énormément même si elle s’avérait sans lendemain.Elle revint uniquement vêtue d’une magnifique guêpière noire, de bas couleur chair avec une jarretière noire et des escarpins noirs. Son sexe était épilé de manière arrondie comme si sa fente était surmontée d’une coupe afro. Elle avança vers moi tandis que ma mâchoire se déboitait.
— Alors, c’est bien comme ça ?— Vous êtes superbe !— Merci, viens approche.
Elle s’appuya sur un coin de la table et s’assied ensuite dessus en écartant les jambes. Elle commença à doucement caresser ses lèvres puis fit aller et venir doucement son majeur dans son intimité.
— Tu aimes ça mon cochon, ton pantalon est tout déformé. Viens, retire tout ça tu n’en as pas besoin.
Elle me tendit ensuite son doigt que je léchai sensuellement.
— Oh oui, sois doux ! Tu aimes ?— Oui, c’est bon et chaud.— Viens me gouter alors.
Je m’assieds sur une chaise afin d’être à l’aise. Elle bascula en arrière et pris appui sur les coudes, prête à se faire manger. Bien que mon inexpérience était flagrante, elle n’en dit rien et préféra en profiter. Je commençai alors à laper sa chatte, montant et descendant, tentant d’aspirer son clitoris comme j’avais pu le voir faire dans des films. Elle tentait tout de même de me donner des indications pour m’aider.
— Reste concentré sur mes lèvres pour commencer. Laisse le clitoris, tu vas le voir se gonfler. Ne l’aspire pas non plus, en tout cas pour le moment, ça me coupe tout plaisir, c’est trop fort.
J’appliquais donc ses consignes et effectivement, j’en voyais et entendais les conséquences.
— Hmmmm oui, c’est bon mon cochon. Goute-moi bien. Comme ça... Oui
Mon sexe n’était pas resté au repos, à vrai dire, je bandais comme un fou depuis que notre conversation a commencé. Je faisais ce que je pouvais pour contenir mon excitation mais je ne pu m’empêcher de jouir. Mon foutre jonchait le sol mais je n’en dis rien pour ne pas interrompre ce cunnilingus.
— Voilà, mmm c’est bon. Maintenant, remonte vers le clitoris. Voilà... Lèche-le, aspire-le... Joue avec
Je sentais son bassin bouger et ses cuisses faisaient des spasmes de plus en plus importants.
— Putain... Oui continue... Je vais venir. Aaah c’est bon !!! Aaaah !!!
Elle se coucha sur le dos quelques instants tandis que je continuais à la lécher en ralentissant et ne réalisant pas vraiment ce qui venait d’arriver.
— Et bien... Tu es doué dis-moi. Une fois que tu sais quoi faire, tu es délicieux.— A mon tour de vous remercier de ce compliment.— Oh mais j’espère bien que ce n’est pas la dernière fois. Tu penses vraiment que je vais te laisser partir. Tu vas être à moi encore un moment. Pour commencer, on va échanger de place. Viens contre la table.
Elle se leva pour me faire de la place, j’étais donc appuyé sur la table. Elle se mit devant moi, mit la chaise sur le côté afin de me faire face. Je me doutais de ce qu’elle allait faire mais n’en croyais pas mes yeux. J’avais tellement fantasmé sur elle durant tout ce temps. Elle s’agenouilla devant moi et regarda mon sexe.
— Et bien mon petit jeune, on est tout excité par un cunni ?— Oui c’était bon, j’ai vraiment aimé.— On va y mettre bon ordre et nettoyer tout ça. Pour la vigueur, je vois que ça ne l’a pas entamée.
Elle ramena ses cheveux d’un côté, commença à me caresser la base du gland avant de me donner un premier coup de langue. Elle s’amusait comme ça pendant quelques instants, faisant tournoyer sa langue avec douceur autour de mon membre gonflé. Elle donnait l’impression, peut-être était-ce une vue de l’esprit, qu’elle avait longtemps patienté avant d’obtenir ce qu’elle souhaitait.
— Mmmm elle est bonne— C’est bon— Mmm il aime ça mon cochon quand je lui suce la bite !
Je profitais de l’instant présent, de me faire sucer par une cinquantenaire, du haut de mes à peine 20 ans. On ne les appelait pas encore cougar ou MILF, mais j’étais flatté, d’autant plus que j’avais toujours été attiré par les femmes plus âgées, et encore plus par elle.Avec le recul, j’étais bien content d’avoir joui pour que sa fellation puisse durer.J’aimais la regarder, voir sa tête faire des va-et-vient, voir ses yeux me regarder pour apprécier mon plaisir et le bien qu’elle me faisait. D’un coup, elle engloutit mon sexe. Je fus surpris d’un tel assaut, connaissant pourtant le terme de gorge profonde.
— Mmmmmm
Elle continua ainsi à me pomper littéralement jusqu’à ce que je vienne dans sa bouche. Elle m’avala par gorgée et n’en laissa pas une goutte.
— Mais c’est qu’il commence bien mon p’tit jeune. Je sens que je vais me régaler encore !
Elle me regardait comme une affamée. Mon état d’excitation associé à mon jeune âge faisait que j’étais toujours "en forme". Je profitais tout de même de ce moment de calme pour admirer ma mature. Elle était magnifique, toujours vêtue de sa guêpière et ayant gardé ses escarpins. Elle se dirigeait vers le canapé en se déhanchant. Elle exagérait dans ses mouvements et me regardait par-dessus son épaule pour voir ma réaction. Je marchais derrière elle. Elle s’arrêta devant le canapé et posa un genou sur l’accoudoir, posant ses coudes sur le dossier. Elle s’offrait à moi dans cette position si lascive.Je me mis derrière elle et commença à la caresser avec mon index. Elle gémit et se cambra un peu plus.
— Viens, prends-moi !
Timidement, j’écartai ses lèvres avec mon gland. Je découvrais ainsi l’intimité féminine, la douceur, la moiteur aussi car elle mouillait TRES abondamment.
— Vas-y maintenant
J’entamai mes vas et viens. De plus en plus fort au gré de ses demandes.
— Haaa, oui, continue...— Vous aimez ça— Oh ouiii j’aime mon cochon ! Prends-moi plus fort.— Je suis bien en vous— Oui... Continue, encore !
J’essayais tant bien que mal de la prendre de plus en plus fort mais j’avais l’impression qu’elle en voulait toujours plus.
— Hannn oui, oui, défonce moi, prends-moi bien fort mon cochon.
Cette manière qu’elle avait de m’appeler mon cochon m’énervait au début même si je ne lui en avais pas fait part mais je compris que ça l’excitait et ça avait le même effet sur moi à force quand j’entendais la manière dont elle me le disait.
— Ouiii, ahhh, oui... C’est bon ! Bien profond !
Je la pilonnais du mieux que je pouvais essayant maintenant de contenir mon propre plaisir pour ne pas venir avant elle malgré mes éjaculations précédentes.
— Putain... Oui... Ah... J’aime !!!
Je sentais son plaisir monter et ça m’excitait de plus en plus.
— Vous aimez ça, hein, vous faire prendre par un gros cochon !— Oh... Tu y prends goût ! Continue à me défoncer ! J’aime quand tu me baises !— Mmmm oh oui ! Prenez ça !— Ohhh... Oooh... Mmmm... Oui !!!! Aaaah c’est boooon
Elle jouit alors dans un énorme orgasme, m’inondant les cuisses à me plus grande surprise, ne connaissant pas l’éjaculation féminine.
— Ouiiii !!!
Je vins à mon tour avant de ralentir et de continuer à la prendre doucement et ralentissant peu à peu.Nous sommes restés ainsi quelques instants. Je la devinai songeuse. Notre "aventure" dura ainsi quelques semaines. Ce fut comme on dit bref mais intense. Suite à sa séparation, elle revendit la maison et déménagea en Bretagne. Je n’ai plus de nouvelle depuis bien longtemps maintenant mais je reste nostalgique de ce fantasme de jeunesse.
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