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Le fantasme de mon amie............ Peut être

Chapitre 3

Lesbienne
La suite de "le fantasme de mon amie...........Peut-être".
Quelques mois étaient passés. Je vis dans une autre région, et nous nous voyons quelques jours par mois. Des jours intenses sur le plan sexuel, et nous partageons toujours les mêmes fantasmes.
Une nuit, après de forts ébats, elle m’a avoué qu’elle avait de plus en plus envie de concrétiser avec une femme, qu’elle y pensait très souvent, mais qu’elle n’avait pas encore trouvé celle qui lui ferait franchir le pas. Elle se masturbait, prenait du plaisir. Mais elle voulait que je sois présent pour la voir, la regarder, et participer.
Nous avons refait l’amour, sur un de ses fantasmes, et elle a vraiment décollé. C’était le pied.....
Maintenant je vais laisser mon amie vous raconter, elle est mieux placée que moi.
Le lendemain après-midi, nous sommes sortis faire quelques achats vestimentaires. Il voulait trouver une robe sexy, que je pourrais mettre lors d’une soirée organisée par son entreprise, sur Paris.
Nous avons fait plusieurs magasins sans résultat, rien n’était assez attirant. Trop sage, trop classique, pour ce genre de soirée.
En passant devant une petite boutique, je suis tombé en arrêt devant la robe de mes rêves, celle que je voulais. Son coût était assez élevé, mais c’est celle-là que j’avais choisie, et le prix n’avait pas d’importance. Je lui ai montré, et ses yeux se sont illuminés comme des phares.
— Non ! Tu as vu le prix ! je suis sûre que l’on peut trouver moins cher.— Peu importe le prix. Je suis sûr qu’elle va très bien t’aller.— Peut-être, mais je ne mets pas des robes à ce prix.— Rien ne t’empêche de l’essayer, j’aimerais voir comment elle te va. En plus elle ressemble à celle de tes fantasmes.— Bon c’est bien pour te faire plaisir, mais juste pour l’essayer.

Nous sommes rentrés dans le magasin. Une femme d’une quarantaine d’années déambulait dans les rayons. Une très belle femme, mince, blonde. Elle portait une jupe noire assez courte, mi-cuisse, qui laissait entrevoir de très belles jambes, athlétiques, bien proportionnées. Elle avait un chemisier blanc, largement ouvert sur une poitrine généreuse, qui se tenait parfaitement. Sa jupe assez moulante, fendue derrière, faisait ressortir un joli petit cul. Elle était perchée sur des hauts talons, qui lui donnaient quelques centimètres de plus.
Une belle plante, qui, je dois le reconnaître attirait mon regard, elle devait faire craquer plus d’un homme. Elle nous a accueilli avec un large sourire, à faire pâlir le plus catho des cathos.
Bonjour ! Que puis-je faire pour vous ?Nous voudrions voir la robe bleue qui est en vitrine. A moins que vous en ayez une en rayon.Non c’est la seule que j’ai, c’est un modèle unique. Je vais vous la décrocher.Ne vous embêtez pas, je vais regarder ce que vous avez d’autre.
Mais elle était déjà partie, et nous la suivions des yeux. Mon regard s’était éclairé, admirant cette jolie femme qui enjambait la vitrine, pour nous satisfaire.Elle est revenue quelques instants plus tard, tenant la robe, et me l’a tendu.
— Les cabines d’essayage sont au fond, essayez là.
J’ai pris la robe, appréciant la texture du tissu.
— Elle doit être agréable à porter, j’aime ce tissu.
Je me suis enfermée dans la cabine pour changer de vêtement. Ça a été très rapide, le temps de quitter mes vêtements, et d’enfiler l’autre. Je suis sortie, finissant de nouer la ceinture qui retenait les pans de la robe. La vendeuse est venue nous rejoindre, donnant ses impressions.
— Elle a été faite pour vous ! Elle vous va à ravir.— Non, j’ai l’impression qu’elle est trop grande, tirant sur le haut de la robe, et faisant constater le lâche au niveau de la poitrine.— Je peux la reprendre, et vous arranger ça, ce n’est pas grand-chose, quelques retouches.— Non ce n’est pas la peine, il y a trop de boulot.— Elle vous plait ?— Bien sûr ! Je la trouve très agréable à porter, elle est légère.— Venez, suivez-moi, je vais vous arranger ça rapidement.
Elle est allée fermer la porte de son magasin, m’a prise par la main, et m’a entraîné dans une pièce du fond, derrière les cabines. Elle m’a invité mon ami à nous suivre.Nous avons pénétré dans un petit salon, meublé d’un grand canapé blanc, d’une glace plein pied, et d’une petite table basse. Elle m’a placé devant la glace, s’est placée derrière moi, et a commencé à mettre de l’ordre dans le vêtement. Elle tirait d’un côté, épinglait de l’autre, transformait la robe pour la faire épouser son corps.Au bout de quelques minutes, le tissu épousait parfaitement ma silhouette. Elle a fait le tour, me faisant tournoyer, pour admirer son œuvre. C’était bluffant, elle m’allait à ravir, sexy, très attirante.La vendeuse s’est remise derrière moi, face au miroir, en me demandant :
— Alors qu’en pensez-vous ? Elle vous va à ravir !— Oui là, ça va mieux. J’aime assez. Tu en pense quoi mon chéri ?— Parfait ! Tu es à croquer. Tu vas faire des ravages.— Je confirme ! Répondit la vendeuse, mais j’ai encore quelques petites rectifications à faire. Vous permettez ?— Faites ! Je suis entre vos mains.
Elle s’est affairée un court instant, tirant légèrement sur le tissu. Ses doigts lissaient les plis, s’attardant sur les cuisses, les fesses.A un moment elle s’est frayée un chemin par l’ouverture de la robe portefeuille. Sa main s’est posée sur une de mes cuisses, caressant du bout des doigts l’intérieur, là où la peau est la plus douce, pendant que son autre main remontait sous un de mes seins. Elle a enveloppé la chair, et ses doigts ont cherché le téton, déjà bien dressé sous l’influence du tissu. Elle l’a saisi, le faisant rouler, le triturant.
La caresse m’a fait me se redresser, une décharge électrique m’a traversé le corps. Mes jambes se sont légèrement écartées, facilitant la caresse de la main sur sa cuisse. Je cherchais du regard mon homme, pour connaître sa réaction. Mon regard et celui de la vendeuse cherchaient une réponse sur la suite des événements.
Le sourire qu’il affichait était plus qu’un assentiment, c’était une invite. J’ai répondu à son sourire, mes yeux se sont fermés, je me suis laissée aller contre mon inquisitrice, écrasant mon dos sur sa poitrine. Mes jambes se sont encore écartées, permettant à cette main possessive d’atteindre son but. Le bassin de la vendeuse s’est avancé et est venu se coller sur mes fesses, que je cambrais. Pour mon homme, l’effet a été immédiat, il s’est mis à bander. Il ne pouvait détacher ses yeux de ce spectacle, c’était à la fois captivant et excitant. La main de cette femme s’affairait sur ma cuisse. Elle venait de glisser son autre main dans le décolleté de la robe, palpait, malaxait le sein. Sa bouche s’est emparée de mon cou, de mon épaule. Je sentais sa main remonter de plus en plus haut sur ma cuisse, ses doigts finissant par s’emparer de ma chatte, à travers le fin tissu. J’ai laissé échapper un râle de contentement ouvrant encore un peu plus les jambes. Ma main est partie vers la tête de son amante, l’ai agrippé par les cheveux, et mes lèvres sont venues chercher les siennes. Nous nous sommes embrassées fougueusement, un baiser profond, intense.C’était excitant, je mouillais comme une folle. Sa caresse était douce, insistante, précise.Les doigts de la vendeuse se sont glissés sous le string transparent. Elle jouait avec ma douce toison, continuait sa descente, pour s’emparer de mon clito. J’ai été prise de convulsion, râlant de plus en plus fort. Les doigts continuaient de descendre.
— Hum ! Comme tu es mouillée ! Petite cochonne ! Tu en avais envie ! — Non ! Pas au départ, mais tu as su y faire !— Ça te fait quel effet de te faire toucher devant ton homme ?— C’est très excitant, ça me fait mouiller comme une fontaine ! On en avait tellement envie tous les deux. C’est encore mieux que je le pensais.— C’est la première fois ?— Oui, on avait juste fantasmé.— Je suis bien contente que ça tombe sur moi, tu me plais beaucoup, et je vais te donner du plaisir, te faire hurler de bonheur.
Nos bouches se sont de nouveau jointes, dans un baiser passionné.
Mon bassin remuait de plus en plus, mes râles devenant plus intense.J’étais au bord de l’orgasme. Mes mains se sont crispées sur celle de mon tortionnaire, l’obligeant à accentuer sa pénétration. Elle avait deux doigts bien au fond de mon petit minou. Ses va et vient se faisaient plus profond, plus rapide, plus intense.
— Ouiiiiiii ! Je jouis ! Plus fort ! Défonces-moi ! Oh mon chéri, elle me fait jouir comme une folle !— Oui ma belle ! Vas y ! Prends ton pied ! Laisses-toi aller ! Tu me fais mouiller !— Ouiiiiiii ! C’est trop bon ! Quelle...............
Je n’ai pas terminée ma phrase, secouée de spasmes, hurlant de plaisir. Mon orgasme dura plusieurs minutes. Même dans nos plus forts ébats, je n’avais pas joui aussi fort. J’étais à la fois désemparé et heureuse de prendre mon pied avec une femme. Je concrétisais mon fantasme. Quelle salope j’étais !
Dans le reflet de la glace, j’ai vu mon ami relâcher sa queue, il était au bord de la jouissance. Ce salaud se branlait devant le spectacle, me redonnant envie.
La vendeuse se retourna vers lui, un large sourire aux lèvres, et lui dit:
— Ça vous a plu ? C’est une bonne jouisseuse, vous ne devez pas vous ennuyer avec elle !— Vous ne croyez pas si bien dire ! Elle en avait très envie.
Je reprenais doucement mes esprits, terrassée par cet orgasme. Mes jambes avaient du mal à me porter, mon corps encore secoué de tremblements. J’étais sur un nuage.
J’ai senti sa main saisir la mienne, je ne réagissais plus, complètement dans le cirage. Elle m’a entraînée vers le canapé et m’a fait asseoir de biais. Elle était debout devant moi, je pouvais admirer ses jambes parfaites. J’ai posé mes mains sur ses cuisses. Elle avait la peau douce, parfumée. Elle restait debout, les yeux clos, appréciait ma caresse. J’ai senti ses mains se poser sur mes épaules, me pousser fermement pour que je m’allonge. Je me suis laisser faire, incapable de lui résister. Mon ami était derrière moi, et m’a accueilli dans ses bras. J’avais les jambes légèrement écartées, elle en a profité pour venir s’installer. Dans les bras de mon ami, j’étais totalement impuissante, surtout qu’il venait de poser sa main sur mon sein, l’autre me soutenant la tête. Elle s’est penchée sur moi, ses lèvres sont venues chercher les miennes. J’ai ouvert la bouche pour accueillir sa langue. Ses deux mains se sont posées de chaque coté de ma tête, puis sont descendues sur mes épaules. Sa bouche est venue dans mon cou, me couvrant de baisers, avant de continuer sa descente vers mes seins. Que s’était agréable, elle était douce, sensuelle. Elle a défait le nœud qui tenait ma robe fermée, puis me l’a ouverte, mettant mon corps à la vue de tout le monde.
— Tu es vraiment très belle ! Tu me fais craquer !
Ses mains se sont emparées de mes seins, ses lèvres sont venues me sucer les tétons droits comme des crayons. Elle alternait un sein après l’autre, mordillait, léchait, redonnant vigueur à mon envie.Que c’était bon ! Elle savait caresser, connaissait tous les endroits sensibles, s’attardait là ou il fallait. Elle m’emmenait de nouveau vers le septième ciel. Rien à voir avec les caresses d’un homme ! C’était encore plus excitant.
Elle a fait descendre ses mains sur mes hanches, et sa bouche est venue m’embrasser le ventre. Sa langue s’était insérée dans mon nombril, me procurant une sensation délicieuse. Je râlais de contentement, tellement ses caresses étaient précises et ciblées. Mon ami s’est emparé de mes seins, les massant avec vigueur. Cette caresse supplémentaire m’a fait décoller en me faisant râler plus intensément.Ce salaud en profitait, prenait du plaisir à me caresser les seins et le ventre. C’était irréel ! J’étais allongée sur un canapé, dans les bras de mon ami, une femme entre mes jambes qui me prodiguait des caresses plus que délicieuses.Elle a atteint mon mont vénus sur le string, l’aspirant entre ses lèvres, le mordillant à travers le tissu. Ses doigts sont venus crocheter la ficelle de chaque côté, l’a fait descendre un peu, et sa bouche est venue sur ma toison. Je me suis un peu soulevée, pour lui permettre de le faire descendre. Elle s’est levée, tirant sur le fin rempart, me l’a retiré complètement, puis est replongée comme une affamée entre mes cuisses. Au contact de sa langue sur mon clito, je me suis cambrée. Le cri que j’ai poussé a empli la pièce, et mes yeux se sont grand ouverts de surprise.
— Oh mon dieu ! Que c’est bon ! Ah Aaaaah ! Contnue !
Ses doigts m’écartaient les lèvres, sa langue voyageait entre le clito et l’entrée du vagin. Un vrai délice ! Je perdais la tête. Sa langue est venue se figer dans ma chatte, comme une bite. Elle l’a faisait tourner, lapait mon jus d’amour, ressortait, glissait vers mon clito, et repartait à la conquête de mon trésor. Je me tordais de plaisir, me crispais sur le bras de mon ami, qui n’en perdait pas une miette. Mon corps ondulait au rythme de ses va et vient, m’électrisant chaque fois qu’elle touchait mon bouton d’amour. Je n’avais jamais ressenti un plaisir pareil. Je ne voulais pas que cela s’arrête, mais je savais que je n’allais pas tenir longtemps à ce régime.J’ai senti ses doigts se présenter à l’entrée de ma grotte.Ils sont entrés très facilement, j’étais trempée, je dégoulinais. Un vrai bonheur. Elle s’est mise à me fouiller, les remuant, cherchant le point G. Elle les ressortaient complètement, me les renfonçaient facilement. A chaque pénétration, je bondissais, mon corps se tendait, je râlais de plus en plus fort. Ça a duré un moment, elle a quitter ma chatte, a tendu la main vers un tiroir de la table basse, et en a ressorti un gode de belle taille. Sa bouche est venue englober l’engin, pour le mouiller. Elle alternait entre le gode et mon clito, frottait celui-ci sur mon vagin détrempé. Estimant qu’il était assez mouillé, elle l’a présenté au bord de ma grotte d’amour.
— Ouiiiii ! Vas y ! Mets le bien au fond ! Défonces moi ! Baises moi ! Trop booooon !
Elle l’a fait pénétrer lentement, en le faisant tourner. C’était divin ! Je le sentais mieux que quand je me baisais seule. Même mon ami, avec qui je pratiquais souvent, ne me donnait autant de sensations. Deviendrai-je lesbienne ? Appréciant plus les caresses d’une femme que celle d’un mec bien équipé ! J’ai vite chassé cette idée de mes pensées.Sa langue s’activait sur ma rosette. Je sentais que je n’allais plus tenir très longtemps à ce régime, tout mon être commençait à basculer vers le nirvana. Je lui ai agrippé les cheveux, lui ai plaqué la tête contre ma chatte. Mes jambes se sont resserrées, et mon corps c’est arc-bouté. J’ai laissé échapper un long cri de jouissance.
— Ouiiiiiii ! Ah aaaaaah ! Plus foooort ! Je vieeeeens ! C’est trop fort ! je vais mouriiiiiiir !
Le violent orgasme qui m’ébranlait m’a précipité au bord de la syncope. Je me sentais partir, perdre le contrôle. Jamais je n’avais joui aussi intensément. J’ai cru que mon cœur allait exploser. Et ça durait, au point que je lui ai pris les mains pour l’empêcher de continuer.
— Stoooop ! Arrête ! Je n’en peux plus ! Tu vas me tuer !
J’ai desserré les jambes, elle a pu retirer la tête, et j’ai senti le gode sortir de mes entrailles. J’ai été prise de convulsions à sa sortie, comme si je voulais que ça continue encore et encore. Elle s’est encore amusée un peu en faisant glisser le gode le long de ma fente jusqu’à mon clito.
— Non ! Arrête ! Tu veux ma mort ! C’est trop fort ! Je n’en peux plus.— Je veux juste que ce moment soit inoubliable, que tu te rappelles de moi.— C’est réussi, je ne risque pas d’oublier ! Jamais je n’ai ressenti ça. Pardon mon chéri, mais c’est la vérité, elle m’a tué. Quel bonheur !
J’ai eu du mal à reprendre mes esprits, sa bouche remontait tout le long de mon corps, pour finir sur la mienne. J’ai eu beaucoup de mal à répondre à son baiser, anéantie par la jouissance. Je lui caressait les cheveux, la serrait contre moi. J’aurais voulu que ce moment dure une éternité.
Elle s’est séparée de moi, s’est levée, et mis le gode dans la bouche pour laper ma mouille. Apparemment elle appréciait ce nectar, émettant des râles de satisfaction.
— Tu as très bon goût, me dit-elle, c’est un délice !— N’est ce pas, répondit mon ami, moi aussi j’aime son goût. Mais bon sang qu’est ce que vous lui avez fait ! Je ne l’ai jamais vu dans cet état.— Moi rien ! Elle en avait juste très envie, et cela a décuplé son plaisir. Et vous qu’est ce que vous avez ressenti ?— J’ai failli décharger dans mon froc ! C’était vraiment très excitant ! Il s’en est fallu de peut !— Vous pouvez être fier de votre compagne, elle est vraiment une bonne maîtresse.
J’émergeais de mon coma, et je pouvais enfin suivre clairement leur conversation. Je me suis assise et j’ai regardé celle qui m’avait fait grimper au rideau. Je la regardais, la détaillais, la trouvais vraiment très belle avec ses magnifiques jambes, son joli petit cul, ses seins visiblement très fermes, et son beau visage. J’en aurais bien fait mon dessert. Qu’est ce qui m’arrivais ! J’avais envie de cette femme ! Je voulais la caresser, lui faire l’amour, la faire jouir. Comme dans mes fantasmes. C’est mon ami qui m’a sorti de mes rêveries :
— Alors mon amour, heureuse ! Tu t’es vraiment éclatée !— Il y avait de quoi ! C’est une experte ! Je ne m’attendais pas à un tel feu d’artifice !— Tu en avais vraiment envie, me dit-elle, tu as été très réceptive. On remet ça quand tu veux !— Hummm ! Ne me tente pas ! Laisses-moi le temps de récupérer. Mais pourquoi pas ! J’ai beaucoup aimé. Je ne me savais pas si salope, c’était le paradis.
Je me suis levée, je l’ai prise dans mes bras. Je cherchais ses lèvres pour la remercier. Nos bouches se sont jointes dans un baiser passionné. Mes mains sont descendues sur ses fesses, et j’ai pu apprécier la fermeté de son joli petit cul.
— A moi maintenant ! Tu me donne trop envie, et je veux te faire jouir autant que moi !
Elle me souriait, m’offrait ses lèvres pour un nouveau baiser fougueux.
— Je n’attends que ça, me dit-elle, avant de s’asseoir sur le canapé, m’entraînant avec elle.

A suivre...........
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