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Fantasme professionnel

Chapitre 11

Trash
Un bruit de porte qui se refermait derrière lui, puis une résistance transmise par son collier ; Andreas s’immobilisa, répondant à l’injonction silencieuse de Maîtresse C. En attendant avec une certaine appréhension ce qui allait suivre, il se remémorait avec délice ce moment de soumission qu’il avait connu avec Meredith, son éducatrice anglaise, lorsqu’elle l’avait obligé à nettoyer avec la langue sa robe souillée de son sperme.
Derrière son masque de porc, il entrevoyait avec peine une femme entre deux âges dont seul le visage aux traits sévères émergeait d’une combinaison de vinyle noir. Elle le dominait de toute sa hauteur, accentuée par des escarpins aux talons vertigineux. Sa petite verge se raidit encore plus lorsqu’il entrevit la cravache qu’elle tenait…
— À genoux, gros porc !
L’ordre qui venait de claquer le fit frémir ; il s’exécuta rapidement, impatient de découvrir les raffinements que Maîtresse C. lui réservait, dévoilant son minuscule sexe en érection. Celle-ci plaça l’extrémité de sa badine sous cette verge ridicule, semblable à celle d’un enfant, et la souleva à plusieurs reprises. C’est sur un ton méprisant qu’elle s’adressa au Conseiller communal :
— Hum... Tout petit, ton engin, mon goret ; il ne servira pas à grand-chose. Par contre, ta langue devrait pouvoir être utile…
Elle ponctua son ordre d’un vif coup de cravache sur les grasses fesses d’Andreas, dont l’excitation monta encore d’un cran, tout en dézippant sa combinaison au niveau de son bas-ventre. D’un geste brusque, elle plaqua sa tête contre ses grandes lèvres parsemées de poils poivre et sel.
— Lèche ! Lèche-moi la chatte avec ton groin de cochon !
Le soumis lécha avec application la toison pubienne, puis les lèvres proéminentes de sa dominatrice qui s’humidifiaient tandis qu’elle gémissait de plaisir. Une vive douleur interrompit les activités buccales d’Andreas : la cravache venait de s’abattre sur son cul adipeux, faisant trembloter ses grosses fesses comme de la gelée.
— Couche-toi sur le dos, petit goret, et lèche-moi le cul, maintenant !
Elle s’assit sur son visage ; un peu dégoûté, Andreas se résolut à passer sa langue sur le petit trou de Maîtresse C. qui se mit à pousser des râles incontrôlés. Après quelques minutes, elle se releva et attacha un gode-ceinture autour de ses reins.
— À quatre pattes !Elle s’agenouilla derrière lui et appuya le gros gland factice contre l’anus du digne président du conseil d’administration d’une importante banque, puis elle poussa progressivement, faisant progresser le sextoy centimètre par centimètre, écartelant les chairs meurtries par cette intromission contre nature. Le gros bourgeois se mit à hurler de douleur, ce qui fit rire sa tortionnaire qui lui adressa sur un ton dédaigneux :— Aucune résistance, petit goret. Tu ne vaux vraiment rien, petite pédale… Allez, gros porc, je vais faire cracher ta misérable zigounette.
Elle se releva et s’assit sur un sofa.

— Viens, mon goret, viens sur les genoux de ta Maîtresse…
Docilement, Andreas s’approcha de sa dominatrice et s’allongea sur ses genoux, dans la même posture que celle qu’il avait dû adopter une quarantaine d’années plus tôt avec sa préceptrice. La cravache siffla dans l’air avant de s’abattre ; il tressaillit sous la morsure brûlante.
— Tu vas répéter « Merci, Maîtresse » à chaque coup. Compris ?— Oui, Maîtresse…
La badine s’abattait sans relâche sur le postérieur du notable qui gémissait « Merci, Maîtresse » comme une litanie tandis que ses fesses rougissaient sous la violence des coups et que sa petite verge glissait contre le vinyle brillant de la combinaison de Maîtresse C. Dans la tête d’Andreas, le passé et le présent se confondaient sur un seul et même plan temporel ; il était à nouveau le jeune adolescent flagellé par sa gouvernante, sentant le plaisir monter en lui de manière irrépressible. Coincée entre son gros ventre et le vinyle, son membre ridicule fut pris de soubresauts tandis que de puissantes saccades de sperme jaillissaient de son petit gland et qu’il poussait une longue plainte, entre douleur et jouissance… Il s’abattit en travers des jambes de la dominatrice.
— Mais c’est un vrai petit goret… Regarde ce que tu as fait ; tu vas me nettoyer tout ça, et vite !
Sans se faire prier, le ridicule gros homme se mit à laper les flaques de semence qu’il avait déversées sur la combinaison noire ; et c’est de lui-même qu’il se mit à répéter, tout en léchant le vinyle et en avalant son sperme :
— Je suis un porc… Oui, je suis un porc, Miss Meredith, un véritable porc, Mademoiselle… Oh, Miss, quel porc, mais quel porc je suis ! Oh, Miss Meredith… Un porc ; oui, un porc…
Et il jouit encore en prononçant ces paroles avilissantes, mais ô combien excitantes pour lui.
Quelques minutes plus tard, s’étant rhabillé, le gros bourgeois, pleinement satisfait des services de Maîtresse C., la remercia en la gratifiant du double de la somme qui avait été convenue. Et c’est le plus discrètement possible, afin de ne pas être reconnu, qu’il quitta les lieux.
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Rosalie entra avec un air contrarié dans le bureau de son employeur.
— Cela fait à présent deux semaines que votre épouse a débuté ses activités, et je n’ai pas encore reçu le pourcentage qui me revient sur ses passes, Maître. — Patience, Mademoiselle Frei ; je vais envoyer quelqu’un chercher l’argent.— Ah bon ? Et qui, si je puis me permettre ?— Il va arriver d’ici quelques minutes.
À peine Georges eut-il prononcé ces mots que la sonnette du cabinet retentit.
— Le voilà, Mademoiselle Frei. Il s’agit d’un jeune homme compétent dans bien des domaines ; je pense que vous aurez l’occasion de vous en rendre compte par vous-même. Il me rend de précieux services dans le cadre de certaines affaires un peu, euh… délicates. Vous comprendrez que je ne puisse pas encore vous dévoiler son identité ; c’est pourquoi, dans l’immédiat, vous ne le connaîtrez que sous l’appellation de StormX. J’espère que saurez être aussi bienveillante envers lui qu’envers moi. — Oui, Maître ; je vois ce que vous voulez dire...
On frappa à la porte du bureau.
— Entrez, jeune homme.
La porte s’ouvrit, livrant passage à un jeune homme brun de taille moyenne, aux cheveux coupés court. L’avocat lui serra chaleureusement la main et fit les présentations. Après quelques échanges banals sur leurs vies respectives, Georges entra dans le vif du sujet.
— Bon, vous savez pourquoi je vous ai fait venir, StormX ?— Oui, Maître : vous voulez que je m’introduise dans l’appartement de votre épouse et que je récupère la moitié de ses gains pour la remettre à votre magnifique assistante ici présente. — C’est exactement ce que je veux, jeune homme. — D’accord. Et qu’est-ce que j’y gagne ? Je me permets de vous rappeler que vous ne m’avez toujours pas réglé mes précédentes prestations.— Vous m’avez laissé entendre que vous souhaitez fonder une fiduciaire de comptabilité à la fin de vos études. Si vous réussissez cette nouvelle mission, et pour solde de tout compte, je financerai votre installation ; à fonds perdus, bien entendu. Vous bénéficierez même d’un petit extra, que je ne vous dévoilerai que lorsque vous aurez accompli votre mission. — Cela me semble correct : j’accepte.
Les deux hommes se serrèrent la main et StormX prit la direction de l’appartement de Maîtresse C.

[ à suivre ]
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