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Fantasme professionnel

Chapitre 13

Trash
Enfermé dans la cave, StormX n’en menait pas large. En effet, il avait largement sous-estimé la difficulté de sa mission. Perdu, il se mit à penser à Rosalie Frei et à Georges Pittet qui lui faisaient confiance. C’est alors que, dans un élan de fierté masculine, StormX trouva un plan.
Il se balança du mieux qu’il pût vers un instrument qui lui semblait tranchant. Il prit appui contre un mur et frotta ses chaînes contre la lame. Au bout de quelques secondes, la chaîne qui le retenait prisonnier se brisa en deux et le jeune homme put retirer ses bracelets ; il récupéra ses vêtements et se rhabilla. Comme il pouvait s’y attendre, la poche intérieure de sa veste était vide : Charlotte Pittet avait récupéré son argent.
StormX s’assit sur le sol et attendit patiemment que Maîtresse C. revienne. Celle-ci reparut quelques minutes plus tard en faisant presque sortir la porte de ses gonds. En voyant le jeune homme rhabillé, Charlotte manqua de s’étouffer de rage.
— Diable ! Comment as-tu fait pour te sortir de cette situation ? En fait, peu importe ; tu l’auras voulu : j’appelle le commissariat !— Si j’étais vous, je ne le ferais pas car, voyez-vous, celui qui m’a envoyé a beaucoup de contacts dans la police. Par conséquent, il pourrait vous faire accuser de diffamation. Vous et moi savons pertinemment que j’ai tenté de vous voler ; mais, puisque vous ne pouvez produire aucun témoin de cet évènement, vous vous verrez contrainte d’accepter la proposition que je vais vous faire.
En réalité, StormX n’était pas aussi sûr de lui qu’il voulait le faire paraître, mais il comptait bien bluffer pour se sortir des griffes de cette momie pseudo-dominatrice et retrouver Rosalie qu’il désirait plus que tout.
— Ah oui ? Qui est ton patron, jeune homme ?— Information confidentielle, vieille momie. Tout ce que je peux te dire, c’est que mon patron n’hésiterait pas à faire usage de violence envers toi s’il savait ce que tu as voulu me faire.
Tout à coup, les rôles s’inversèrent ; Charlotte Pittet s’était mise à pâlir. Elle ne connaissait que trop bien l’organisation criminelle de la mafia napolitaine qu’elle et son mari avaient longtemps combattue en essayant de faire geler les fonds de ses membres.
— Tu... Euh... Vous... avez gagné. Prenez tout mon argent, si c’est ce que vous voulez. — Parfait. Je vois que nous nous entendons. Au fait, non seulement vous allez me donner votre argent, mais vous allez également verser mensuellement la moitié de vos recettes sur le compte de mon patron. Vous recevrez les coordonnées nécessaires sous peu. — Très bien ; comme vous voudrez, jeune homme. Je ferai ce que vous me demanderez, mais ne me faites pas de mal.
Charlotte Pittet guida StormX jusqu’à son appartement et lui donna l’intégralité de l’argent de ses passes. Le jeune homme la remercia sur un ton narquois et prit la direction du cabinet de Maître Pittet.
À son arrivée, celui-ci l’accueillit de son habituel "bonjour" et le fit entrer dans son bureau où les attendait Rosalie. Georges prit place derrière son bureau et demanda à StormX ce qu’il s’était passé.
— Alors, StormX ? Pourquoi avez-vous mis autant de temps à récupérer l’argent ?
— Votre femme n’a pas été aussi stupide que prévu. Elle m’a pris en train de voler son argent et elle a voulu me punir. J’ai donc bluffé en parlant d’un puissant patron qui lui ferait mordre la poussière. Mais bon, le résultat est là : j’ai réussi à lui prendre la totalité de son argent et à la convaincre de verser mensuellement la moitié de ses recettes sur un compte. Pour la discrétion, il vaudrait mieux que cela soit le mien. Bien entendu, je donnerai l’argent à votre assistante.
Georges tapa dans ses mains.
— Félicitations, StormX ; je savais que je pouvais compter sur vous. Vous voyez, Mademoiselle Frei ? Il se sort de toutes les situations ! Je suppose que vous allez le remercier comme il se doit. — Oui, Maître. Avec plaisir. Venez, Monsieur StormX ; suivez-moi.
Le beau ténébreux ne se fit pas répéter cette invitation, et c’est avec hâte qu’il emboîta le pas à la blonde stagiaire. Lorsqu’ils furent tous deux dans son bureau, elle se retourna vers le jeune homme ; elle ne se trouvait qu’à une trentaine de centimètres de lui, et StormX put même sentir son souffle chaud et mentholé lorsqu’elle s’adressa à lui en souriant :
— Je vous dois des remerciements ainsi qu’une récompense, comme me l’a suggéré notre employeur. Que diriez-vous d’un massage relaxant ? C’est une de mes spécialités…
En prononçant ces paroles, Rosalie se remémora celui – un peu particulier – dont elle avait fait bénéficier M. Edimbourg, le nouveau client du Cabinet Pittet et Associés. Elle n’y avait pris aucun plaisir, tant ce vieil homme adipeux était repoussant. Mais là, avec ce jeune homme qu’elle trouvait à son goût, ce serait bien différent…
De son côté, StormX était déçu ; il espérait bien autre chose qu’un simple massage. Depuis sa récente rencontre avec la jeune avocate, il fantasmait sur sa volumineuse poitrine et le souvenir de ses seins opulents avait souvent servi de support à ses fréquentes masturbations. Dans son fantasme le plus récurrent, il se voyait debout devant elle qui, agenouillée, tenait ses grosses mamelles dans ses mains placées en coupe pour les lui exposer tandis qu’il se branlait. Et invariablement, ses copieux jets de sperme venaient s’écraser sur les seins plantureux que Rosalie lui présentait en offrande.
La proposition de la jeune fille l’avait déçu, mais l’adolescent était toutefois timide concernant les choses du sexe ; en effet, il était encore presque puceau, n’ayant connu qu’une seule fois dans sa jeune vie les plaisirs de la chair ; et encore était-ce à l’occasion d’une relation tarifée avec une professionnelle du sexe. C’est pourquoi il n’osa pas exprimer ce qu’il désirait vraiment et obtempéra lorsque Rosalie lui demanda de se déshabiller et de s’allonger à plat-ventre sur son bureau. Par pudeur, il conserva cependant son caleçon.
Après s’être enduit les mains d’huile de massage, la jeune fille entreprit des mouvements circulaires au niveau des épaules et de la nuque. Elle était experte dans cet art, car StormX se sentit envahi par une douce torpeur. À plusieurs reprises, ses mains descendirent le long de la colonne vertébrale et remontèrent le long des flancs en les caressant avant de passer aux jambes. Elle commença par les pieds. StormX n’avait jamais pensé que masser cet endroit-là puisse procurer autant de bien-être ; il sentait des ondes de plaisir monter le long de ses jambes pour atteindre son bassin où elles se diffusaient en d’agréables fourmillements qui ne laissaient pas son sexe indifférent : il se surprit même à avoir un début d’érection.
L’excitation qui le gagnait augmenta d’un cran lorsqu’il sentit les mains de la jeune femme remonter le long de ses jambes pour atteindre ses cuisses ; il ne put retenir un gémissement. À présent, sa verge comprimée entre son ventre et le bureau s’était déployée, douloureuse, dans son caleçon.
— Allez, retournez-vous maintenant.
L’hésitation de StormX fut brève ; il avait envie de montrer à Rosalie le résultat de son massage, ou plutôt de ses caresses : cette virilité triomphante qui distendait le frêle rempart qui protégeait de plus en plus mal son restant de pudeur. La jeune avocate, du coin de l’œil, apprécia le volume du membre qui déformait le tissu. Elle reprit son massage ; lorsqu’elle arriva à l’intérieur des cuisses, ses mains remontèrent progressivement vers le sexe palpitant. Et quand elle se mit à effleurer le scrotum de sa victime consentante, StormX agita son bassin pour lui faire comprendre d’aller plus loin. Ah, comme il désirait que cette douce main se pose enfin sur sa verge…
La jeune femme était maintenant penchée pour masser ses abdominaux et son plexus ; sa minijupe dévoilait ses longues jambes gainées de nylon sombre. N’y tenant plus, StormX osa poser sa main sur une cuisse et la caressa tout en remontant jusqu’à la lisière du bas autofixant. Cette caresse ne laissa pas Rosalie insensible ; elle tressaillit lorsque cette main aventureuse reprit sa progression en direction de la jonction de ses cuisses, où elle rencontra une chaude moiteur : la belle stagiaire mouillait comme une folle. Son petit string était tout trempé…
Mettant fin à cette attente insoutenable, un doigt fureteur écarta le mince voile et se retrouva complètement englué dans le nectar qui s’écoulait de la vulve ruisselante de la blonde avocate. Encouragé par ce signal visqueux, StormX n’hésita plus ; il se mit à caresser la fente écartelée dont les petites lèvres déployées dépassaient largement. Il introduisit son index dans le vagin brûlant et le fit doucement aller et venir tandis que son pouce massait délicatement le clitoris érigé.
Lorsque Rosalie tira sur la ceinture élastique du caleçon, une verge gonflée en jaillit ; à quelques centimètres de sa bouche, un gland congestionné oscillait au gré des soubresauts qui parcouraient la longue hampe. Elle avait envie de prendre cette extrémité cramoisie entre ses lèvres pulpeuses mais, voulant faire durer le plaisir, elle ne voulait pas lui accorder une délivrance trop rapide. Elle se contenta de s’amuser en faisant jouer le prépuce d’avant en arrière, décalottant puis recalottant ce gland appétissant puis, saisie d’une inspiration, elle enleva son chemisier et son soutien-gorge. Ses seins admirables apparurent dans toute leur splendeur.
Lorsqu’elle rejoignit StormX sur le bureau et s’agenouilla au-dessus de lui, ses jambes de part et d’autre du bassin du jeune homme, répandit de l’huile de massage dans le profond sillon de sa poitrine et se pencha pour glisser la verge agitée de soubresauts entre ses seins, l’homme de main de Maître Pittet crut défaillir : son fantasme allait se réaliser ! Tandis que Rosalie enserrait cette bite gorgée de sang entre ses deux globes d’albâtre, l’adolescent donnait des coups de reins, faisant aller et venir son membre tuméfié dans le sillon abondamment lubrifié. Chaque fois que son gland en émergeait, la coquine avocate en profitait pour l’accueillir entre ses lèvres.
StormX était tellement excité par cette situation qu’il ne mit que peu de temps avant de sentir la sève monter dans sa tige ; lorsqu’il se mit à haleter, Rosalie comprit que son éjaculation n’allait pas tarder. Elle pointa sa langue entre ses lèvres entrouvertes ; à chaque coup de reins, le gland à présent violacé venait glisser sur cette langue vicieuse… Avec des râles de plaisir, StormX se laissa aller à la jouissance. Sous les contractions de sa verge, de longs jets de sperme furent expulsés directement dans la bouche de la jeune avocate ; lorsqu’ils cessèrent, elle déglutit le tout puis, avec un sourire mutin, elle déclara :
— Je vous avais bien dit, StormX, que je suis une spécialiste des massages relaxants !

[ à suivre ]
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