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Fantasme professionnel

Chapitre 19

Trash
Après un bon quart d’heure d’attente pour Georges et ses employés, Charlotte Pittet entra, furibonde, dans le bureau de l’avocat.
— Mon chéri, on m’a volé mon équipement. Il nous faut contacter le commissariat.
Avant que Maître Pittet ne puisse répondre quoi que ce soit, Maîtresse C. leva la tête et vit Andreas et StormX aux côtés de son époux.
— Maintenant, je comprends tout… C’est toi qui as envoyé ce jeune homme chez moi pour dérober mon argent ! Quelle idiote j’ai été de le croire quand il me disait qu’il travaillait pour la mafia napolitaine… Je suppose que l’argent n’était pas pour toi ; tu voulais simplement rémunérer la salope qui te sert d’assistante ! Voilà pourquoi tu m’as envoyée faire la putain en Basse-Ville : pour baiser tranquillement ta chère et tendre Rosalie Frei que tu t’amuses à récompenser pour chaque pipe qu’elle te taille ! Maudit soit le jour où elle est venue ici ! Je suppose que tu as également envoyé ces deux mécréants à la maison pour me voler mon équipement et m’attirer ici.
L’avocat jeta un coup d’œil à son homme de main.
— Je comprends maintenant pourquoi vous avez eu tant de mal, mon cher StormX : mon épouse n’est pas aussi stupide que je le pensais. Cependant, elle l’est suffisamment pour être tombée dans mon piège. Rosalie, Emmanuelle, venez ; elle est prête.
Les deux jeunes femmes entrèrent dans le bureau de Maître Pittet. Elles étaient toutes les deux en tenue d’Ève et fixaient Charlotte d’un regard empli de mépris. Les reins de Rosalie étaient équipés d’un gode-ceinture ; elle tenait une cravache dans sa main droite alors qu’Emmanuelle s’était contentée d’un fouet.
— Si vous croyez que je vais me laisser baiser par ces deux petites pimbêches écervelées, vous vous mettez le doigt dans l’œil !— Vous n’avez pas le choix, « Maîtresse », répondit StormX ; désirez-vous que la haute société de Fribourg apprenne que la respectable avocate du cabinet Pittet et Associés exerce aussi une activité de prostituée ?
Devant cet argument-massue, Charlotte baissa la tête, vaincue.
— Voilà, elle est à vous, les filles, reprit-il. Au fait, ma chère, je vous informe que Rosalie est devenue associée de droit en qualité d’actionnaire de ce cabinet. Par conséquent, je souhaite que vous l’appeliez « Maître Frei ». — Je vous hais !— La ferme, sale chienne ! ajouta Rosalie avec un rictus sardonique ; tu vas prendre ce que tu mérites… avec quelques intérêts, bien sûr !
Le coup de fouet qu’Emmanuelle fit claquer sur ses reins ponctua les paroles de son amie. L’épouse de Maître Pittet sursauta sous la morsure de la lanière mais, par fierté, elle retint un cri de douleur.
— Écarte tes fesses, la pute ! ordonna Rosalie en s’approchant du vieux cul flétri.
La digne avocate crut mourir de honte lorsqu’elle obéit aux exigences de sa jeune associée, exposant son anus aux regards réjouis de l’assemblée. Le gode-ceinture non lubrifié se positionna sur l’étroit orifice et, d’une lente progression, commença à s’enfoncer dans ses entrailles.
— Aaaah… Arrête, Rosalie, c’est trop douloureux !— Comment ça, « Rosalie » ? Et qui t’a autorisé à me tutoyer, vieille rombière ? Tu ne te souviens donc pas de ce que je viens de te dire ?— Je vous en supplie, Ros… Maître Frei, arrêtez de me torturer ainsi…
En guise de réponse, la jeune avocate donna un violent coup de reins ; le gode-ceinture s’enfonça jusqu’à la garde dans le rectum distendu et entreprit de longs va-et-vient. Emmanuelle vint se placer devant l’enculée et, ouvrant largement sa vulve déjà suintante, lança un ordre qui n’admettait aucune réplique :
— Lèche-moi la chatte, vieille salope !
Timidement, la langue effleura les lèvres écartées de manière obscène, puis elle plongea dans les replis gorgés de nectar.
— Mais c’est qu’elle y prendrait du plaisir, cette garce ! s’étonna à haute voix Emmanuelle.
Émoustillé par ce spectacle libidineux, Georges sentit sa verge prendre de l’ampleur ; son regard enfiévré ne pouvait se détacher de la croupe plantureuse de Rosalie qui ondulait au rythme des pénétrations qu’elle infligeait à celle qui, il y a encore quelques minutes, était sa patronne. Il extirpa son membre noueux de son pantalon, s’agenouilla derrière la blonde avocate et tenta de l’introduire dans son fondement sous le regard réprobateur de StormX. Rosalie se retourna.
— Excusez-moi, Maître, mais je préférerais que vous vous absteniez de ça…— Mais pourquoi ? Vous ne m’avez jamais rien refusé jusqu’à présent.— C’est exact ; mais aujourd’hui, c’est différent.— Expliquez-vous, que diable !— Eh bien… C’est au sujet de votre jeune collaborateur.— StormX ? Qu’a-t-il bien pu faire ? Pourtant, j’avais toute confiance en lui.— Alors, voilà : depuis que nous avons eu des relations, lui et moi – des relations incomplètes, je le précise – je me sens attirée par lui ; j’éprouve même de tendres sentiments à son égard et, si notre attirance est réciproque, je désire lui être fidèle. Me comprenez-vous ?
Cette déclaration eut l’effet d’une bombe sur StormX ; depuis longtemps, il éprouvait une folle passion pour la jeune avocate, passion qu’il essayait de dissimuler sous ses airs blasés. À ces mots, il se sentit envahi d’un bonheur intense.
— C’est vrai, Rosalie ? Et dire que… Je ne peux pas le cacher plus longtemps : dès que je t’ai vue, j’ai su que tu étais la femme de ma vie. Mais comment aurais-je pu te l’avouer ? Nous sommes tellement différents… Toi, tu es une avocate promise à un avenir brillant, alors que moi je suis encore étudiant. Tout nous séparait… jusqu’à ce que tu laisses parler ton cœur.
Après cet aveu, Rosalie dégagea son gode-ceinture du rectum de son ex-patronne, se redressa et, encore nue, se précipita dans les bras de StormX pour l’embrasser avec passion. Devant ce tableau touchant, Georges prit la parole :
— Eh bien, mes enfants, voilà qui est surprenant ; mais c’est de votre âge. Rassurez-vous, Rosalie : ceci ne changera pas mon attitude envers vous ; vous resterez ma talentueuse collaboratrice au sein de ce cabinet. Quant à toi, StormX, je n’ai qu’une parole : lorsque tu auras terminé tes études, je t’aiderai à t’installer comme expert-comptable.— Oh, merci, Maître !— Alors, soyez heureux ensemble ; vous avez ma bénédiction. Maintenant, à nous deux, ma chère épouse ! Je détiens assez de preuves de votre inconduite pour vous discréditer à tout jamais ; dans ces conditions, vous comprendrez que si vous désirez continuer votre carrière au sein de ce cabinet, vous allez devoir – dans votre propre intérêt – vous soumettre à mes exigences. Les voici : tout d’abord, vous quitterez notre résidence pour aller habiter dans notre maison de la Basse-Ville ; oui, là où vous exerciez vos coupables activités. Mais vous n’y vivrez pas seule, car notre ami Andreas, qui vous apprécie tant, devra cohabiter avec vous. Pas d’objections, Andreas, bien entendu… d’autant plus que vous serez à même de la satisfaire lorsqu’Emmanuelle aura réalisé une petite amélioration ; elle est experte en chirurgie réparatrice !
À l’évocation de sa quasi-infirmité, Andreas rougit et acquiesça silencieusement en hochant la tête.
— Quant à vous, Emmanuelle, à présent que je suis libre, j’ai une proposition à vous faire. Allez, tout le monde dehors ! À part vous et moi, Emmanuelle…
Rosalie et StormX partirent ensemble, main dans la main.
— Alors, mon beau ténébreux, aimerais-tu visiter mon appartement ? Je crois que nous avons beaucoup de choses à nous dire…
Le jeune homme ne se fit pas prier ; lui n’avait connu qu’une seule fois une relation complète – avec une prostituée – avait envie de découvrir ce que cela pourrait être avec une jeune femme qui ferait ça par plaisir et avec qui il partageait de tendres sentiments, qui plus est !
À peine entrés dans l’appartement, Rosalie se jeta sur lui pour l’embrasser avec passion, puis elle l’entraîna dans sa chambre et le déshabilla entièrement avant de le pousser sur le lit, où il resta allongé sur le dos. Il ne fit aucun effort pour masquer sa verge en érection qui palpitait au-dessus de son ventre ; son gland décalotté était déjà luisant du pré-sperme qui s’en écoulait. À cette vue, la jeune femme sentit ses mamelons se raidir et pointer sous le léger voile de son corsage.
— Ne bouge pas ; pour l’instant, contente-toi de regarder.
Elle commença à se déhancher devant lui et entreprit un strip-tease sensuel, se dénudant progressivement sous le regard concupiscent de StormX qui avait croisé les mains derrière sa tête pour mieux jouir du spectacle érotique qu’elle lui offrait.
Lorsqu’elle se retrouva en string, elle s’approcha de lui et tira la fine dentelle sur le côté pour qu’il découvre la fine toison noire qui ornait son pubis, surplombant les lèvres gonflées et suintantes de désir de sa vulve qu’elle écarta impudiquement pour lui dévoiler ses trésors intimes.
— Tu l’aimes, ma petite chatte ? Elle est à toi ; rien qu’à toi, mon beau ténébreux…
L’adolescent n’en pouvait plus ; il porta une main à sa verge et commença à se caresser lascivement.
— Non, laisse-moi faire.
Elle s’assit sur le lit, lui fit lâcher prise et enroula étroitement ses doigts autour du membre tressautant, faisant glisser sa main qui ne pouvait se refermer complètement sur cette tige de chair frémissante. Elle regarda attentivement le gros gland dont des gouttes de pré-sperme s’écoulaient.
— Ça te plaît ? Tu aimes que je te branle ? Tu aimerais peut-être que je suce ta belle bite… Tu aimerais que je prenne ta queue dans ma bouche et que j’avale ton sperme ?
La caresse de Rosalie était délicieuse, et il serait bien laissé aller entre les mains expertes de la jeune avocate ; il lutta contre cette idée, se réservant pour des plaisirs encore plus grands.
— Oh oui, ma chérie ; prends-la dans ta bouche et suce-la, mais ne me fais pas jouir encore.— Tu n’es qu’un petit garçon dégoûtant, un petit vicieux…
Elle se pencha, posa ses lèvres à l’extrémité du gros gland, darda une petite langue coquine et se mit à lécher le jus savoureux de cette bite luisante. StormX se cabra sous cette caresse voluptueuse.
— Oh, c’est tellement bon… Mets-la dans ta bouche ! Suce-la ! Oh oui, suce-moi bien…
Graduellement, elle laissa ses lèvres coulisser le long du membre turgescent, absorbant centimètre après centimètre la longue verge palpitante ; elle s’arrêta après avoir absorbé la moitié de cette grosse pine, craignant de s’étouffer si elle en avalait davantage. Elle pompait ardemment cette bite savoureuse qui grossissait encore dans sa bouche, écartant les mâchoires autant qu’elle le pouvait, alors que le gland tressautait contre sa luette.
— Mmm, je vais juter… gémit StormX. Oh, ça vient, je vais tout lâcher ! Arrête, maintenant, arrête !
Il saisit sa tête et la repoussa, à l’extrême limite du spasme qui allait projeter son sperme au fond de la gorge de Rosalie. Ce mandrin dur et violacé palpitait devant son visage. Elle l’imagina labourer sa fente ruisselante et s’enfoncer profondément dans son ventre…
— Et mes gros seins, tu les aimes ? dit-elle en lui présentant ses globes d’albâtre aux tétons érigés. Je suis sûre que tu t’es déjà branlé en pensant à eux… Viens les sucer, mon beau ténébreux.
Le jeune homme se pencha vers elle pour saisir ses seins voluptueux et se jeta voracement sur les mamelons qu’il se mit à téter avec avidité. Rosalie frissonnait du plaisir que ses seins communiquaient à sa vulve liquéfiée.
— Tu peux toucher ma chatte, chuchota-telle ; je suppose que tu veux faire ça aussi ?
L’adolescent se remémora le plaisir qu’il avait eu lorsque ses doigts avaient découvert son intimité moite, quelques jours auparavant. Il n’eut pas le temps de répondre ; la jeune femme avait pris sa main et l’avait amenée entre ses cuisses, au contact de son string. StormX glissa sa main dans le minuscule sous-vêtement et plaqua sa paume sur la vulve palpitante.
— Tu es toute mouillée, Rosalie… Je t’excite tant que ça ?
Elle rougit. Elle sentait bien que sa vulve était humide, mais pas à ce point-là ; sa cyprine lui coulait le long des jambes.
— Arrête de discuter et viens m’enfiler ta grosse queue.— Je veux d’abord te lécher, ma belle avocate !
Il descendit le string jusqu’à ses pieds et le lui retira ; puis, s’allongeant entre ses longues jambes fuselées, il passa ses mains sous ses fesses pour lui soulever le bassin afin d’avoir un meilleur accès à cette vulve magnifique qui déployait ses trésors juste sous ses yeux. Rosalie sentit la pointe d’une langue lui effleurer le sillon mais, désirant une caresse plus profonde, elle écarta largement sa vulve et appuya sur la tête de son amant pour faire pénétrer sa langue dans les replis onctueux. StormX se régalait du suave nectar de cette chatte juteuse…
— Et mon clito… ne l’oublie pas, gémit-elle.
Elle amena la bouche de son amant sur le petit organe qui se dressait, quémandeur de caresses. Il commença à le taquiner en lui donnant de petits coups de langue, mais ce n’en était pas assez pour Rosalie qui ondulait des hanches.
— Vas-y, le supplia-t-elle d’une voix rauque, suce-le… Oui, comme ça… Suce-moi bien, fais-moi jouir !
Il introduisit un doigt inquisiteur dans la chaude moiteur du vagin gluant de sécrétions et entreprit de masser l’étroit canal qui se distendait sous ses douces caresses.
— Oui… oui, mange-moi ! Bouffe-moi la chatte, mon chéri… N’arrête pas, je vais jouir… Oui, oui… Aaaaahhh !
Un long cri s’échappa de ses lèvres tandis que le corps de Rosalie, arqué, était parcouru de spasmes de plaisir. Mais, malgré la jouissance qui venait de l’emporter, la jeune femme ressentait toujours dans son ventre l’envie d’être pénétrée par le membre turgescent de son amant. Encore haletante, elle lui demanda :
— Et toi, alors ? Tu n’as pas envie de jouir en moi ? Viens, StormX, baise-moi…
Le beau brun s’allongea sur la blonde avocate qui sentit la verge gonflée palpiter contre son ventre ; elle la saisit et la dirigea vers sa chatte, puis fit glisser le gland gonflé à plusieurs reprises le long de sa fente baveuse. Le jeune homme crut défaillir ; alors qu’il allait se vider de son sperme, il retint la main de Rosalie.
— Non, pas maintenant : c’est dans ta chatte que je veux jouir, ma belle !
Elle dirigea alors le gland boursouflé vers l’entrée de son vagin, et d’un léger coup de reins, le fit pénétrer de quelques centimètres dans son fourreau brûlant. Le mélange de douleur et de plaisir qu’elle ressentit en sentant ses chairs intimes presque déchirées par le diamètre de cette bite imposante la fit crier.StormX, tout à son plaisir de sentir son gland enserré par cette gaine étroite et visqueuse, continua à enfoncer son gros mandrin un peu plus profondément à chaque coup de reins.
— Aaaahh… Tu es très gros, mon chéri ! Tu crois que tu vas pouvoir me l’enfiler entièrement ? Essaie, vas-y, bourre-moi bien la chatte ! Oui, encore… Enfonce-la, ramone ma petite chatte aussi loin que tu peux !
Le jeune homme ne se fit pas prier ; d’un violent coup de reins, il lui défonça le ventre, la clouant sur le lit. Il était à présent entièrement enfoncé dans ce vagin brûlant ; il s’immobilisa. Jamais Rosalie ne s’était sentie aussi remplie… Sa chatte se contractait de manière incontrôlable autour de ce gros piston qui commençait à se mouvoir lentement au plus profond de ses entrailles. Progressivement, sa course s’allongeait ; parfois, StormX laissait son membre sortir presque complètement du vagin pour mieux s’y replonger d’une lente et impérieuse poussée, puis il laissa son gros gland en butée tout au fond du fourreau distendu, ne le faisant se mouvoir que sur quelques centimètres. Sa partenaire haletait…
— Oui, mon amour… J’aime ta grosse queue ! Elle va me faire jouir… Ah, je viens, je viens, ouiiiiii !
Lorsqu’il sentit les contractions du vagin lui aspirer la queue, StormX ne put se retenir plus longtemps et se laissa emporter par un plaisir qu’il n’avait jamais éprouvé auparavant ; il crut que son orgasme n’allait jamais s’arrêter, tant les spasmes qui projetaient son sperme au plus profond de la belle avocate étaient nombreux, puis il s’effondra sur elle, terrassé par le plaisir.
Lorsqu’ils eurent repris leur souffle, Rosalie lui susurra tendrement à l’oreille :
— Tu sais, mon Stormy, je pense que mon appartement est assez vaste pour nous deux… Qu’en penses-tu ?
Pour toute réponse, elle n’obtint qu’un langoureux baiser.

FIN
Note de l’auteur : l’intégralité de cette histoire a été écrite par Lioubov et moi-même. Afin de pouvoir bénéficier de retours sur cette histoire, nous souhaiterions savoir à quel personnage de l’histoire vous vous identifiez le plus et pourquoi. Merci d’avance pour vos réponses.
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