Je profitais des jours précédents ce samedi soir pour faire quelques emplettes chez Rouge Baisers à Nice. Je me décidais pour une guêpière en dentelle blanche assortie d’un string ouvert. Je me laissais également tenter par un magnifique plug argenté orné d’une améthyste d’une taille supérieure à celle que m’avait offerte Marc. Je voulais ressentir de nouvelles sensations... Samedi ... Je pris mon temps pour me préparer. Je m’épilais le minou, pris un bain et commençais à sentir l’excitation monter au fur et à mesure de mon habillage. Je réservais une petite surprise à mes complices... Enfin arriva le moment de notre rendez-vous avec Maelis qui était ponctuelle. Elle se présenta dans une superbe robe évasée en cuir noir dont les bretelles se croisaient autour de sa nuque, laissant admirer un décolleté plongeant presque jusqu’au nombril. Sa tenue se complétait de talons aiguilles Louboutin qui la grandissaient encore plus. On apercevait une chaînette en argent qui devait relier les piercings de ses tétons et une chaînette en argent à sa cheville droite qui venait magnifier ses longues jambes nues. Marc portait une chemise en lin bleu qui faisait ressortir ses yeux, un pantalon en lin beige et des Vans beiges. J’avais quant à moi revêtu ma guêpière avec une jupe courte blanche et des escarpins argent. Maelis entra et nous embrassa d’un baiser enflammé et profond. Marc profita de mon baiser avec notre invitée pour récupérer sa valise dans la voiture. Je vous ai apporté à chacun un petit présent. A n’ouvrir qu’après le dessert.
Le traiteur nous avait livré un assortiment de plats fins et légers que nous avons mangés avec appétit. Vers 22h00, le dessert consommé Maelis nous proposa d’ouvrir nos cadeaux. Je déballais le mien et découvrais deux magnifiques piercings pour les seins ainsi qu’un bon pour me faire percer. Surpris, je regardais Maelis.
Lorsque tu décideras le moment venu, je serais ravie de t’accompagner cher mon ami. Laisse-toi le temps de la réflexion.
Marc reçut en cadeau une boîte contenant un plug et un cockring double vibrant. Il regarda à son tour Maelis. Notre contrat prévoit que chacun pourra subir ce qu’il fait aux autres...
Notre invitée sortit de son sac une boîte avec quatre compartiments contenant des cartes. Dans cette boîte se trouvent plusieurs scénarios ainsi que différentes possibilités : Le programmeLe rôle de chacunL’utilisation de jouetDivers Je vous propose de tirer maintenant le scénario de la soirée. Sophie, à toi l’honneur. Tu tires une carte, mais sans la lire ni la montrer.
Je m’avançais tremblante et tirais une carte que je posais devant moi, face retournée. Chacun va à tour de rôle tirer une carte dans le deuxième compartiment, toujours sans la lire. C’est le rôle de chacun. Chacun va ensuite tirer une carte jouet qu’il pourra ou non utiliser quand bon lui semblera. On finira en tirant chacun une carte divers qu’on révélera ou pas.
À tour de rôle nous avons tous tiré les 3 cartes que nous avons posées devant nous. Maelis, en maîtresse de cérémonie, nous annonce : Sophie, donne-nous le thème de la soirée.
Je retourne la première carte et découvre le sujet : soumission par le bondage. Maintenant, chacun retourne sa carte rôle.
Le résultat révèle que je serais attaché tandis que et Marc et Maelis seront mes tourmenteurs. Je mouille déjà, tellement je suis excitée. Retournons maintenant la carte jouet.
Marc a la carte bandeau de soie, Maelis la carte gode ceinture et moi la carte pinces à seins. Pour la carte divers, chacun a la possibilité de la mettre en uvre quand il le souhaitera sans en révéler le contenu maintenant.
Marc et Maelis se rapprochèrent de moi et m’embrassèrent langoureusement, à tour de rôle.Notre maîtresse de cérémonie se plaça dans mon dos et commença à me caresser les seins pendant que mon homme commençait à retirer ma jupe.Pendant qu’elle faisait rouler mes tétons avec ses doigts, il découvrit mon string fendu. Tu es déjà toute mouillée, me dit Marc en me mettant deux doigts dans la chatte qui me firent pousser un petit cri de surprise.
Maelis m’entraîna dans la chambre et demanda à mon mari de lui donner la valise qu’elle ouvrit sans que je puisse voir son contenu. Marc, souhaites-tu utiliser ta carte jouet ? Avec énormément de plaisir Maelis.
Marc se positionna derrière moi et me banda les yeux avec le foulard en soie. Ne voyant plus rien, mes sensations olfactives et auditives étaient décuplées.Je sentis les mains douces de Maelis m’ouvrir et me retirer ma guêpière. Pendant ce temps, Marc me retira doucement mon string. Je me retrouvais une nouvelle fois debout, nue, devant mes deux bourreaux. Sophie, donne-moi tes mains et laisse-toi guider.
La belle rousse me saisit les mains et me guida sur le lit, puis m’aida à m’allonger sur le dos. Elle me lia les mains, puis me fit écarter les jambes. Je me retrouvais dans une posture indécente où tout le monde pouvait voir mon sexe totalement épilé et suintant de mon jus ainsi que mon anus où était positionné mon nouveau plug. Oh quelle magnifique surprise que je vois là ! Tu es finalement beaucoup plus coquine que je ne le pensais. Marc, étais-tu au courant de cette excellente initiative ? Non pas du tout. Je suis comme toi, je découvre ce joli bijou. Sophie, comme tu n’as pas demandé l’autorisation à ton mari, tu vas être punie. Mais je pensais vous faire plaisir. Silence, tu as inséré ce plug pour ton plaisir et non le nôtre, donc je vais te sanctionner. Mais..... Tais-toi sinon mon mécontentement va se transformer en colère. A partir de cet instant, tu devras répondre par oui ou par non Maîtresse et Maître. As-tu compris ? Euh... oui Maîtresse. Je vais commencer ta punition et tu devras me remercier. Oui Maîtresse.
Je sentis presque immédiatement un objet rond puis un second envahir mon vagin. La sensation était extraordinaire. Je viens de t’insérer des boules de geisha dans ta petite chatte. Quelles sont tes impressions ? Oh, c’est magnifique, je sens que je ne vais pas tarder à jouir. Tu as oublié de finir ta réponse par Maîtresse. Je vais t’infliger une deuxième punition. Avec plaisir, Maîtresse. Marc, enlève le plug du cul de ta femme et remplace-le par ceci.
Ne voyant rien, je sentis mon époux me tirer au bord du lit, me relever les jambes, retirer avec délicatesse mon plug et le remplacer par un gode de taille respectable. Il devait être supérieur à celui offert par mon mari. Maintenant, mets cela à ta femme.
Je sentis les mains de Marc se saisir de mon téton droit et y mettre une pince à seins. La douleur était supportable, mais fit retomber un peu ma jouissance. Il installa une deuxième pince à mon sein gauche. Ainsi équipée, je me sentais vraiment soumise à mes tortionnaires, mais dans un état d’excitation très fort. Je sentis le lit s’enfoncer légèrement à côté de moi. Maelis vint me rejoindre et commença à m’embrasser et à sucer ma langue. C’était délicieux. Puis elle changea de position. Marc vient me lécher la chatte. Je n’attendais que ça, Maelis.
Ne voyant rien, j’étais frustrée d’entendre le clapotis de la langue de mon mari sur le sexe de la rousse et ses gémissements. Je t’interdis de jouir avant moi sinon Marc devra me baiser toute la nuit alors que tu resteras attachée dans le fauteuil à nous regarder. Oui Maîtresse, à ce moment-là, je pensais pouvoir me contrôler.
Mais brusquement, je sentis le gode commencer à vibrer dans mon anus et les boules de geisha dans mon vagin. Oh non, Maîtresse, arrête ce supplice, sinon je ne tiendrais pas bien longtemps avant d’avoir un orgasme. C’est ton problème catin, si tu jouis avant moi, Marc sera à moi pour toute la nuit.
Et elle augmenta la puissance des deux jouets. J’avais beau essayé de me retenir, j’eus un orgasme dévastateur qui me vit m’évanouir. A mon réveil, j’étais attachée sur le fauteuil en face du lit. Maelis attendait cet instant pour me retirer mon bandeau de soie. Marc me demanda : Ca va ma chérie, tu te sens bien. Oui ça va. J’ai été inanimée longtemps ? Non quelques minutes, le temps de te remettre de ton orgasme. Mais pourquoi suis-je de nouveau attachée sur le fauteuil ? Parce que tu n’as pas réussi à te contenir. Tu as joui avant moi, me dit Maelis. Mais... avec les sex toys, je n’avais aucune chance... Il n’y a pas de mais. Tu assisteras depuis ton fauteuil à nos ébats. Je vais rincer ton mari jusqu’à ce qu’il ne lui reste plus une goutte de sperme...
J’étais dévastée. J’allais devoir assister à leur baise sans rien pouvoir entreprendre. Les larmes commençaient à couler sur mes joues. Maelis le vit et me dit. Tu voulais jouer la voyeuse et voir ton homme baiser une autre femme devant toi : ton fantasme va s’exaucer... Mais d’après le contrat... Le contrat n’était qu’un leurre. Nous nous étions entendus avec Marc pour que tu souffres de le voir m’honorer pendant que tu regarderas.
Je fondis en larme. Je t’en supplie Marc, ne me fais pas ça... Mais c’est toi qui l’as voulu, ma chérie. Je te promets d’être le meilleur amant possible pour Maelis. Vu le mal qu’elle s’est donné, elle le mérite. Tu as joué une deuxième fois et tu as encore perdu. Mais je pensais qu’on était dans une relation de confiance. Je pensais que tout ceci serait un jeu sexuel, pas une punition pour moi. Mais ce n’est pas une punition, nous allons assouvir ton fantasme. Et si tu n’es pas contente, on te bâillonnera.
Et je vis Marc prendre Maelis par la taille, la coucher sur le lit et entamer un cunnilingus. Je ne voulais pas voir cela, mais ma position attachée en face du lit ne me laissait aucune latitude pour éviter d’assister une deuxième fois à mon cocufiage.La rousse me regardait avec un grand sourire. Elle avait gagné cette deuxième bataille. Mais je savais que j’aurais ma revanche. Viens, baise-moi Marc. Oh oui, ça fait un moment que j’attends cela. Viens défonce mon minou.
Au moment de l’introduction de sa bite, mon mari me jeta un regard vicieux de toute puissance sur Maelis, mais surtout sur moi. Je me jurais qu’il me le payerait. Après un bon moment à la baiser, ils changèrent de position. À genoux sur notre lit conjugal, Marc la prit en levrette tout en lui introduisant le pouce dans la rondelle. Elle gémit tout en me regardant lubriquement. Oh oui, enfonce-moi ton pouce dans mon trou de balle. Vas-y, montre à notre soumise le pouvoir de ta queue.
Marc lui démontait littéralement la chatte. Puis il se retira et se mit sur le dos. Elle allait venir s’empaler sur sa grosse verge. Il savait que c’était ma position préférée. Encore une humiliation à mon encontre. Il me regarda et me sourit... Je me jurais qu’il allait le payer cher, très cher. Au dernier moment, elle lui dit d’une manière perverse : Viens, encule-moi.
Et elle s’embrocha sur le vit de Marc en poussant un grognement rauque. Mon homme était aux anges. Il me jeta un autre regard libidineux. Avec sa main droite, il caressait le clitoris gonflé de sa maîtresse. Ah oui, mon chéri, encule-moi plus fort, fais-moi jouir. Je t’aime si fort mon amour. Moi aussi, je t’aime si fort Maelis. Tu es une vraie garce.
J’étais dévastée en les entendant s’avouer mutuellement leur amour. (Fictif ou réel ?)J’étais au bord de la crise de nerfs. En pleurs, j’apostrophais mon mari. Marc, si tu n’arrêtes pas sur-le-champ de forniquer avec ta putain, tu en subiras de lourdes conséquences.
Ils me regardèrent tous les deux avec un grand sourire tout en explosant ensemble dans un même orgasme. Ils s’affalèrent sur le lit côte à côte et je vis Marc embrasser tendrement Maelis. J’étais ravagée, je pensais que mon mariage était ruiné... Et tout cela à cause de mon fantasme que je voulais réaliser. Ils se levèrent pour aller prendre une douche réparatrice. Je les entendis remettre le couvert. C’était mon dernier souvenir. Mes nerfs flanchèrent, je fus pris de vertiges et je m’évanouis pour la deuxième fois ce soir...
