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Le fantasme de Sophie, femme candauliste

Chapitre 7

Avec plusieurs femmes
A mon réveil, j’étais dans notre lit et Marc était couché à mes côtés.J’avais une grosse migraine, ce qui me poussa à me lever pour prendre un analgésique.
Dans le salon, je vis la valise de Maelis. Elle devait dormir dans la chambre d’amis.
J’ouvris la boîte où il y avait les compartiments avec les cartes. Je découvris ce que je soupçonnais. Ils m’avaient piégée. Dans le premier compartiment pour le scénario, tous les bristols avaient le même thème.Dans le deuxième compartiment (rôle de chacun), sur chaque carte était noté ATTACHE.Comme je n’avais pas vu les cartons des deux autres, je ne pouvais qu’être la soumise.
C’est le moment que choisit Maelis pour arriver dans le salon.
— Bonjour Sophie. Comment ça va ce matin ?— Tu as deux minutes pour quitter ma maison.— Ola; de quel droit me parles-tu sur ce ton.— Tu dégages de chez moi et tout de suite.

J’avais haussé le ton, ce qui avait réveillé Marc qui arriva à son tour dans le salon.
— Que se passe-t-il ici ?— C’est ta femme qui me demande de quitter votre demeure.— Sophie, de quel droit te permets-tu de vouloir que notre invitée nous quitte ?— Du droit que vous m’avez piégée avec des cartes truquées.— Ne te mets pas en colère, c’était juste un petit jeu.
— Un petit jeu !! Tu te fous de moi !! Vous avez baisé devant moi alors que j’étais attachée. Je t’ai demandé d’arrêter et vous avez ri de mon désarroi. Tu crois que j’ai oublié vos paroles. Des «mon chéri» par ci des « je t’aime» par là. — Mais je t’assure que ce n’était qu’un jeu que tu as d’ailleurs toi-même initié. Tu sais que je n’aime que toi.— Alors, demande-lui de quitter notre maison sur-le-champ.— Mais je ne veux pas la renvoyer comme cela. Elle nous a beaucoup apporté grâce à ce petit scénario.— C’est elle ou c’est moi.— Mais calme-toi mon cœur. Il n’est pas question que Maelis s’en aille.

Je les laissais au salon, me rendis dans notre chambre et commençais à faire ma valise. Marc me rejoignit. Il allait falloir jouer serré.
— Mais que fais-tu mon amour ?— Je te quitte. Je vais demander le divorce. Mon avocat te contactera.— Tu n’es pas sérieuse. Attends, je vais demander à notre hôte de partir.— Il est trop tard, tu peux rester avec ta pute. Je m’en vais.— Arrête Sophie, tu ne peux pas me quitter comme ça.— Eh si, je le peux et je vais le faire. Hier soir, je t’ai demandé d’arrêter de la baiser et tu ne m’as pas écoutée. J’ai commis une grande erreur de vouloir réaliser mon fantasme. Mais j’ai aperçu cette nuit dans ton regard et ton sourire un homme détestable que je n’aime pas.— Mais tu ne vas pas me quitter. Je t’aime.— Je suis désolée, mais j’ai besoin de prendre du recul et faire un break. Je te contacterais peut-être dans quelques jours.

Je vis pour la première fois Marc en pleine consternation. Mais je devais tenir bon. Je terminais de rassembler mes affaires puis repassais par le salon avant de partir.Maelis était toujours là et m’interpella.
— Sophie, tu n’as pas le droit de quitter Marc. Il t’aime très fort.— Toi tais-toi. Je vous ai bien vus hier soir prendre votre pied en vous moquant de moi alors que j’étais attachée. Ce matin, je t’ai demandé de quitter cette maison et tu as retourné mon mari contre moi. Il est temps que je vous laisse la place.— Mais je n’en veux pas de ton mari. Je voulais juste baiser avec lui.— Et bien tu peux continuer à le baiser, tu as ma bénédiction. La voie est libre.

Marc nous avait rejoints et assistait à la conversation. En pleine confusion, le beau mâle, le coq qui était si vaillant hier n’arrivait pas à prendre la parole.
— Marc, surtout, n’essaye pas de me contacter. Je ne prendrais aucun de tes appels.

Je récupérais mes affaires et quittais la maison sans me retourner.
Je fis le tour du pâté de maisons et revins m’installer près de la maison à un endroit d’où je pouvais observer notre domicile sans être vue.
A peine 10 minutes plus tard, je vis Maelis sortir de chez nous. Je la suivis pour constater qu’elle retournait chez elle. Marc se retrouvait tout seul dans notre grande maison.
Je louais une chambre et décidais de laisser passer une semaine avant de reprendre contact avec mon mari.
Lundi matin, je téléphonais au boulot pour leur dire que j’étais souffrante et que je ne viendrais pas de la semaine.Je louais une voiture et décidais de surveiller Marc afin de voir son attitude.
Je le découvrais abattu et fatigué. Toute la semaine, il rentrait aussitôt la fin du travail sans jamais commettre le moindre écart.
Le vendredi soir, je décidais d’appeler la belle rousse.
— Bonsoir Maelis, es-tu disponible ce soir ?— Pourquoi me demandes tu cela ?— Je voudrais te voir afin de discuter avec toi.— Si tu es calmé, je t’attends dès que tu veux.— J’arrive.

Je pris mes affaires ainsi que l’enregistreur dont je me sers pour consigner les réunions et partis chez Maelis.Elle m’accueillit sans amabilité.
— Que veux-tu ?— Tu ne me proposes pas de m’asseoir ni une boisson ce soir.— Je t’en prie, prends place dans le fauteuil. Que veux-tu boire ?— Sers-moi un verre de vin, blanc si tu en as.— Ce n’est pas parce que je ne bois pas d’alcool que je ne possède pas de vin.

Elle me servit un verre de Chardonnay et je repris le fil de ma présence.
— Je veux tout savoir sur la manière dont vous avez monté ce piège contre moi.— C’est simple, Marc a découvert tes recherches sur Internet et m’a contactée. Je lui ai tout raconté et à notre premier rendez-vous, nous avons fait en sorte que ton fantasme de candauliste se réalise.— D’accord, j’ai bien compris cela, mais que s’est-il passé la fois suivante ?— C’est simple, on ne s’attendait pas à ce que tu tombes dans le piège la deuxième fois. Marc pensait que tu refuserais une nouvelle fois d’être la victime. Après ton accord, le jeu devait consister à te soumettre à nos désirs communs. Je t’avoue que j’avais très envie de te découvrir. Mais le plan a changé en cours de soirée lorsque ton mari a décidé de te faire jouir avec les sex toys avant moi. Il voulait te punir et te montrer qui était le maître du jeu. Tu connais la suite, tu l’as vécue en direct. Je te promets que j’ai essayé de faire changer d’avis à Marc, mais il ne voulait rien entendre. Il était parti dans son délire. Dommage parce que je t’avoue que j’avais autant envie d’une relation avec toi qu’avec ton homme. J’aime la bite, mais je suis bi et j’aime la douceur des femmes.

Je n’en revenais pas de ce que Maelis venait de me révéler même si lors de ma première visite, elle m’avait déjà tendu la perche. Un plan commençait à émerger dans mon cerveau.
— Ce salopard doit payer pour sa trahison. Je veux que tu m’aides à lui tendre un piège. Mais cette fois, ce sera toi la victime.— Pas question de jouer le souffre-douleur.— Mais qui te parles de souffrir. Je te propose d’inviter Marc dans 1 mois chez toi. Le motif sera que tu en as assez d’être harcelée par moi. Quand il arrivera, tu lui serviras une boisson dans laquelle tu auras mis un somnifère. Je te donnerais la suite de mon plan plus tard. Mais tout de suite, j’aimerais bien que nous profitions du spa.

Je me levais, commençais à me déshabiller, tout en me dirigeant vers la terrasse. Maelis était médusée par mon attitude.
— Tu viens ou je dois venir te chercher.

La belle rousse se leva et me rejoignit près du spa.
— Je suis désolé, mais j’ai oublié mon maillot de bain.
Je me dénudais et entrais dans l’eau. Maelis se mit également nue et vint me rejoindre.Dès son entrée dans le spa, je me rapprochais d’elle jusqu’à la toucher. Je l’embrassais chaleureusement et lui dis :
— J’ai de la tendresse et de l’amour en retard, montre moi ce que tu sais faire. C’est ma première fois avec une femme.— Je vais bien m’occuper de toi. Tu en redemanderas. Est-ce que tu me donnes carte blanche ?— Tu as mon consentement total. Fais-moi jouir.

Elle commença à me lécher les seins avant de mordiller mes tétons qui étaient érigés et durs comme du bois. Maelis sortit du spa et revint presque immédiatement avec un petit coffret dont elle commença à sortir une magnifique paire de pinces à seins.
— L’autre soir, j’ai constaté que tes tétons étaient très sensibles. Mets tes mains dans le dos et laisse-moi faire.

Je lui obéis. La belle me tritura les tétons puis vint clipser sur chacun d’eux une pince avec une chaînette. La douleur provoqua un courant qui me transperça des seins jusqu’au sexe. J’étais aux anges. La soirée s’annonçait prometteuse.
— Viens, mets-toi sur le bord du spa, je vais m’occuper de ton minou.

Je vins m’asseoir sur la plage et Maelis commença par m’écarter les cuisses avant de venir lécher mon abricot glabre. Elle en profita pour y plonger deux puis trois doigts. Elle se tourna vers son coffret en retira un magnifique gode et le présenta sur mon œillet.
— J’ai cru comprendre que tu commençais à apprécier la sodomie.— Oui, va, enfonce-moi ce gode dans le fion. Mais n’arrête pas avec tes doigts. J’adore quand tu les fais pénétrer dans ma chatte.

Sa langue reprit son action sur mon clitoris. Elle rentra trois doigts dans mon minou. Elle me branlait fort. Je mouillais énormément et je sentais mon sexe se dilater. Je me demandais jusqu’où il pouvait s’ouvrir. Elle me rentra un quatrième doigt. Je gémissais de plaisir et la suppliais de ne pas s’arrêter. Je sentais ses doigts entrer et sortir à un rythme lent. Je mouillais excessivement, je n’avais jamais connu ça. Je gémissais de plus en plus fort. Maelis retira à mon grand regret le gode de mon anus. Je sentis qu’elle plaçait son pouce avec ses quatre doigts. J’allais être fistée pour la première fois. Je sentis sa main pénétrer doucement dans ma chatte puis en ressortir. Je me sentis vide après le retrait de sa main.
— Oh non, remets ta main dans ma chatte.— Réclame-le-moi. Dis-moi ce que tu veux.— Fiste-moi putain ! Je veux te sentir remplir ma chatte.

Sur ces paroles, la belle rousse présenta son poing devant ma fente. Elle força un peu pour rentrer, mais je mouillais tellement que le passage se fit assez facilement. Je me retrouvais avec son poing dans mon sexe. Elle commença à bouger le bras pour le pénétrer. Je n’avais jamais connu ça ! Je hurlais de plaisir et un orgasme monstrueux m’emporta.
Maelis retira doucement sa main et je l’embrassais sauvagement. Je la pris par la taille et la plaça sur la plage du spa.Elle me tira vers son sexe par les chaînettes qui étaient fixées sur les pinces à seins.
— Lèche-moi. Et n’hésite pas à honorer ma rosette avec ta langue.— Avec plaisir ma belle, je veux te rendre la pareille.

Je faisais venir ma langue sur les lèvres de son abricot et son bouton d’amour, gonflés par le désir. Je continuais jusqu’à son petit trou. Elle commençait à haleter. Je lui enfonçais deux, puis 3 doigts dans sa vulve tout en suçant son clitoris.
— Oh oui, branle-moi, plus vite, vas-y, plus fort. Je vais jouiiiir.

D’un coup, elle démarra d’un orgasme violent. Je la sentis partir en arrière en expulsant un liquide de son vagin... comme une fontaine...Enfin, je la sentais redescendre sur terre. Elle me retira les pinces et me suça doucement les tétons endoloris. Nous sortîmes du spa et nous sommes séchâmes avec les draps de bain avant de nous couvrir de magnifiques peignoirs en soie. Je fus la première à prendre la parole.
— Je n’avais jamais eu autant de satisfaction, d’euphorie et de plénitude. Ta main dans ma chatte, c’était fabuleux. — Moi non plus je n’avais plus joui aussi fort depuis très longtemps. Je te propose de passer la nuit ici. J’ai une chambre d’amis qui devrait te convenir.— Merci, je vais rester, mais j’espère que tu as un lit king size pour cette nuit.

Je me rapprochais d’elle et l’embrassais. Je lui ouvris son déshabillé et commençais à embrasser ses seins. Je mordillais ses tétons ornés de ses magnifiques piercings. Cela m’excitait beaucoup et je lui dis :
— Je veux que tu m’emmènes voir ton tatoueur. Je veux qu’il me perce les seins.— Si tu es gentille avec moi cette nuit, je t’y conduirais demain.— Rien que d’y penser, je suis tout excitée.— Viens Sophie, je vais te montrer ma chambre.

Elle me prit la main et me conduisit dans sa pièce d’amour. Elle me fit allonger et me demanda.
— J’ai constaté que tu aimais le jeu de la soumission. Mais si tu le désires, on peut inverser les rôles. Pour cette nuit, veux-tu dominer ou être soumise ?— Je veux être votre soumise et vous serez ma tourmenteuse... Maîtresse.— Alors il faut que tu me donnes un mot de sécurité ainsi qu’un geste si tu ne peux parler.— Le mot sera rouge, le geste un zéro formé avec mon index et mon majeur.— D’accord ma belle. Je te rassure, je suis une dominatrice soft. Si tu ne veux pas d’une forme de punition, j’arrêterais tout de suite. Je veux que tu te sentes vraiment en sécurité.— Je vous donne ma confiance Maîtresse, ne la trahissez pas... — Commence par te mettre nue et à genoux devant moi.— Tout de suite maîtresse.

La séance pouvait commencer.....
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