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Fantasme sur beau-frère

Chapitre 1

Travesti / Trans
Après pas mal de péripéties avec mon ancien compte, me revoilà :).Rappelez-vous, je vous ai laissé le visage plein de sperme, celui de mon beau-frère, qui a découvert mon travestissement et a décidé de me faire "chanter" si je refusais ses avances... Pour ce qui ne l’aurait pas lu, rechercher "fantasme sur beau-frère" dans la section "travesti".Bref, voici la suite de mon fantasme...Donc après cet après-midi riche en émotion (et en foutre ^^), le reste de la semaine se déroulait dans une pseudo normalité... En parlerait-il à ma sœur ? En parlerait-il à quelqu’un d’autre ? Devrais-je faire tout faire pour ne pas qu’il me "dénonce" ?... Autant de questions en attendant son éventuel futur SMS...Et en effet, un vendredi en milieu d’après-midi, je recevrais ce fameux texto :
— Ce soir, 21 h 00 à la maison. Ne prépare rien et quand tu arriveras, file directement dans ma chambre !
Ce mélange d’excitation et de stress me rendrait presque malade... Son texto serait autoritaire, mais froid, limite distant, jusqu’à ce qu’un autre suive...
— Compris salope ?
Son "salope" fit ressortir tout mon désir et je répondis d’un ""d’accord"", enfin, le pensais-je, car dans l’excitation, voici ce que je répondrais :
— D’accord, à ce soir... J’ai hâte de te resucer la bite :p.
Sa réponse était équivoque :
— Tu vas pas être déçue petite pute !
Les quelques heures qui suivront sembleront durer une éternité puis l’heure fatidique approchera... 20h55, en avance, je toquerais à la porte.
— Rentre !
Selon ses "ordres", je me dirigerais vers la chambre, son appartement (et donc, celui aussi de ma sœur) est composé d’une entrée, d’un petit couloir desservant leur chambre, leur salle de bain et leur cuisine-salon. En entrant dans la chambre et en pensant le trouver aussi, je ne vis qu’un ensemble de tenue et autres accessoires posé sur le lit.

— Prépare-toi et viens me rejoindre.
Ni une ni deux, me voilà donc à regarder ce qu’il y avait sur ce fameux lit... C’est simple, il y avait tout.Me voilà à enfiler une paire de collants opaques noirs, un string et... oh... une fausse poitrine à soutien-gorge... Une petite robe mi-cuisse et décolleté viendrait accompagner la lingerie. Ensuite, il y aurait une petite veste en jean et une paire d’escarpins à talons hauts... magnifique...Pour finir, je mettrais la perruque posée sur le lit (étrange, elle ressemble à la coiffure de ma sœur) et enfin, je trouverais un miroir pour appliquer le rouge à lèvres qui accompagnerait la panoplie. Me voici prête... mais pas le temps de réfléchir...
— Dépêche-toi un peu !
D’une démarche féminine et quasi féline, je ferais les quelques mètres me séparant du salon, d’où Olivier m’appellerait.
J’entrerais dans la pièce, Olivier attendant sur le canapé, torse nu et en caleçon, une bière et un sandwich sur la table, en train de regarder du foot (l’euro sans doute lol). Affalé comme un Viking (je ne sais pas si cette expression excite, mais c’est l’effet que j’aurais en tout cas lol), un beau mâle, à moitié nu, se caressant l’entrejambe en me voyant débarquer devant lui.
— Oh putain, pas mal, viens par là, me lancerait Olivier, me montrant le sol devant lui et écartant les jambes.
Je me retrouverais donc à genoux, le visage devant la bosse de son caleçon. Serait-ce moi ou la situation qui le mettrait dans cet état, toujours est-il, que sous ce bout de tissu, le doute ne serait pas permis sur son sexe déjà en érection.Il déboutonnerait son caleçon pour libérer "la bête", se redresserait pour saisir sa bière et se vautrerait de nouveau sur le canapé, me laissant hypnotisé par son membre bien raide. Et tout en saisissant sa bite pour la décalotter et la pointer vers moi :
— Alors salope, elle t’avait manqué ?
A ce moment-là, ma seule réponse serait de la prendre en bouche pour commencer à le sucer doucement. Je serais la suceuse qu’il a toujours rêvé ; m’appliquant à lui donner des coups de langue sensuels en variant avec de petits aller-retour sur sa verge gonflée à bloc.
Rien que d’y penser, la situation m’excite terriblement. Moi, en train de pomper mon beauf, le symbole même du mec viril, voire macho... Devant son match de foot, une bière à la main et sa bite dans ma bouche. Il poserait sa main sur mon crâne comme pour m’encourager comme il fait devant son match. Soudain... il se redresserait légèrement, mais brusquement.
— Vas-y ! vas-y ! vas-y !
Je saurais qu’il parle du match, mais je prendrais ses mots pour moi... Et je tenterais de gober sa bite aussi loin que possible...
— Oh oui ! Putain !
Sans doute un but, mais je m’en fous, et je serais limite vexée qu’il préférait son foot plutôt qu’à moi. Mais pris dans son excitation du moment, il me saisirait la tête de ses deux mains puissantes et me baiserait littéralement la bouche.
— Un but et une pute ! Que demander de plus ? Tout en continuant à accélérer entre mes lèvres devenues humides sous l’effet de ma salive.
Là, il sortirait sa bite de ma bouche et se recalerait dans son canapé.
— Oh la baveuse, allez crache sur ma queue petite pute !
J’enverrais un filet de bave qui s’écraserait sur son gland et dégoulinerait sur sa bite... monstrueusement veinée.
— Oh la salope, elle veut bouffer ma bite hein ?
Ca sonnerait comme une question à laquelle je n’aurais droit qu’à une seule réponse... car, sans même attendre si j’étais pour ou non, il m’agripperait mes courts cheveux à travers la perruque et plaquerait ma bouche ouverte sur sa bite. Elle viendrait s’écraser sur le fond de ma bouche, mais pas entièrement. Et là, il continuerait à appuyer sur ma tête jusqu’à ce que je sente son gland venir m’écarter la gorge et s’y enfoncer... Plus moyen de respirer, mon nez collait à son bas-ventre, je me ferais littéralement étouffer par sa grosse bite. Puis, il relâcherait la pression, l’occasion de reprendre ma respiration.
— Voilà, une bonne gorge profonde pour une petite salope. Ca t’a plu ?
Pour réponse, il recevrait une bonne décharge de salive sur sa bite, et, sans son aide, je viendrais y rebouffer la queue.
— Oh putain, t’es douée petite pute !
(En effet, je m’entraîne en pensant à lui, mais chut ^^).Après quelques minutes de pipe intensive, il ouvrirait le petit tiroir du meuble à côté du canapé et en sortirait une boîte de capote...Même si je ne suis pas une lumière, je comprendrais très vite à quoi ils allaient pouvoir servir... et mon petit cul aussi...(la suite bientôt ^^)
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