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Je fantasme sur ma mère

Chapitre 2

Un déjeuner particulier

Inceste
A la suite de cette nuit tumultueuse, mémorable, mais parfaitement imprévisible, je me réveille tard à l’appel de maman.
— Adrien, tu descends déjeuner ? — Oui maman, j’arrive, je viens juste d’émerger.— Bonjour mon garçon. As-tu passé une bonne nuit ? — Oui assez agitée, j’ai fait un rêve bizarre, comme beaucoup de rêves d’ailleurs. C’était très érotique. Je retrouvais une ancienne copine de mon adolescence et elle voulait absolument s’amuser avec mon corps. Le sien était admirable et excitant, mais quelque chose nous interdisait de nous adonner à un quelconque plaisir. Elle me courait après sans pouvoir me rattraper. Cette course folle a duré, duré, je revoyais tous les lieux de mon enfance et c’est ton appel qui m’a réveillé. — Tu sais Adrien, les rêves sont souvent une manipulation de notre inconscient. Tu devais être fatigué de ta journée avec tes copains. Tu m’as dit que vous aviez passablement bu. Je crois bien que j’ai participé contre ma volonté à une partie de ta nuit ! — Oui, c’est vrai et j’ai un peu forcé ta volonté de résister, mais je crois bien que tu as aimé. Crois-tu que nous recommencerons ? — Je ne sais pas, il est vrai que c’était très agréable, voire terriblement agréable, mais il serait plus sage que chacun reste à sa place : la mère avec les gens de son âge, le fils avec ses copines. — Bon, nous en reparlerons, mais tu sais qu’il est difficile de refouler ses fantasmes. Je vais faire une rapide toilette et je sortirai faire un footing sur quelques kilomètres. — OK, moi, je vais mettre un peu d’ordre dans mes dossiers pour attaquer la semaine prochaine d’un bon pied et je nous préparerai un bon petit repas.
A mon retour, la table était mise au salon comme pour un jour de fête. La pièce est dans la pénombre, mais j’aperçois un chandelier au milieu de la table à côté du seau à champagne. Curieuse mise en scène.
— Maman tu es là ? Je prends ma douche et je descends manger. Tu peux préparer l’apéro, c’est dimanche. — OK, je m’habille et je t’attends.
Sous la douche, je pense à la mise en scène aperçue à mon retour. Gisèle veut-elle fêter nos nouveaux rapprochements et aller plus loin ? Ce serait surprenant à l’égard de la conversation au petit-déjeuner et sa phrase : « il serait souhaitable que chacun reste à sa place ». Me remémorant la partie de cette nuit, son ardeur dans le déduit après un simulacre d’opposition me fait penser qu’elle aime la baise et que se faire baiser par son fils rend la chose encore plus excitante.

En m’habillant, il me vient l’idée de revêtir la parure qu’elle avait mise sur mon lit : soutien- gorge, porte-jarretelles, string et bas. En passant chacun des sous-vêtements, je sens une chaleur qui monte en moi et me provoque une imposante érection. Pas le moment d’entreprendre une masturbation, je me réserve pour... peut-être plus tard ! Un jean et un polo pour couvrir le tout et je descends au salon.Le chandelier est éclairé et une lampe Tiffany allumée près de la fenêtre crée un halo multicolore au plafond, augmentant la chaude ambiance de la pièce.Maman doit être à la cuisine.

Je m’installe sur le canapé quand je vois apparaître Gisèle dans l’embrasure de la porte, habillée en soubrette. Jupette très courte, noire bordée de dentelle blanche, petit tablier blanc, bas blancs, corsage blanc comme d’habitude dilaté par son imposante poitrine, chignon défait laissant retomber sa longue chevelure châtain avec des reflets roux de chaque côté de ses épaules jusqu’au galbe de ses seins. Elle tient dans sa main la bouteille de champagne.
— Oahou !! Qu’est-ce qui t’arrive maman ? — Aujourd’hui, je suis pas ’’ maman ’’.— Bien sûr que si ! tu es très belle, ravissante, j’ose dire bandante à souhait.— Laisse le ’’ bandante ’’.— Effectivement et servi de cette manière, je vais particulièrement l’apprécier.— J’ai préparé quelques petits toasts. Je reviens tout de suite, ouvre la bouteille.
En repartant vers la cuisine, Gisèle me montre la face cachée de son apparition à la porte. Le galbe parfait de son cul et ses fesses qui bougent à chaque pas me déclenchent une énorme érection.La voilà qui revient avec le plateau des mises en bouche. En se penchant pour le poser sur la table, ce sont ses seins à peine cachés par son corsage qui s’offrent à ma vue.
— Arrête de mater mon cul et mes seins, garde ta lucidité pour le repas. J’ai préparé un pigeon aux cèpes, accompagné d’un vieux St Emilion. Les toasts nous serviront d’entrée. Un peu de laitue, quelques fromages du sud-ouest et une coupe de fraises à la chantilly. — C’est parfait, votre idée est excellente Madame Gisèle ! — Bien, passons à table.
Le repas se passe bien, nous avions allumé la télé pour commenter l’actualité, ce qui a permis de faire retomber la pression qui remontait à chaque fois que Gisèle faisait un aller et retour vers la cuisine. Nous échangions nos idées sans polémique politicienne. De temps en temps, j’avais essayé de caresser les jambes de mon hôte en vis-à-vis avec mes pieds, mais sans résultat autre que : « Sois sage, je te promets une surprise à la fin du repas. »Le repas terminé, en voulant éteindre la télé, je déclenche malencontreusement le lecteur de DVD et le spectacle qui s’offre à nous est une partie de cul endiablée être deux gouines.
— C’est toi Gisèle qui regarde les ébats de lesbiennes ? — Bien sûr, qui veux-tu que ce soit si ce n’est pas toi.— C’était ça ta surprise ?

Elle se rapproche de moi, se plante en me fixant droit dans les yeux, se caresse les jambes puis les seins dont un est sorti de son soutien-gorge.
— Oui, je voulais voir ta réaction, mais aussi, je veux que tu me baises.— Alors ça, si c’est pas direct, t’entendre dire comme ça à froid « Je veux que tu me baises.
me surprend, mais je dois reconnaître que c’est particulièrement excitant.
— Dans la matinée pendant ton footing, je me suis masturbée en regardant la vidéo du DVD, mais je ne pensais qu’à ta queue, le souvenir d’hier soir m’a rendue accro. — Tu vas voir, tu vas être satisfaite, mais quelle idée de te branler devant un spectacle de gouines ? Tu aimes ? — Oui, j’ai découvert ces jeux en réalité il y a quelque temps.— Tu t’es gouinée ? Raconte-moi. — ça a commencé un soir de dîner d’anniversaire avec les collègues du cabinet. Au restaurant, j’étais assise en bout-de-table à côté de Mélanie, que tu as dû voir quelquefois avec moi et d’autres collègues, et à plusieurs reprises, elle a posé sa main sur ma cuisse comme pour esquisser une caresse. Dans un premier temps, j’ai repoussé ce geste, elle s’est excusée, mais devant son insistance, je me suis laissée faire. Cette main s’est même insinuée sous ma jupe me donnant une sensation bizarre voire même un léger frisson. A plusieurs reprises, j’ai pris sa main dans la mienne en la pressant fortement sur ma cuisse, je pense qu’aucun des convives n’a remarqué notre petit manège. A la fin de la soirée, tout le petit monde s’est embrassé pour un au revoir, c’est alors que Mélanie m’a chuchoté à l’oreille « Veux-tu terminer la soirée chez moi, nous prendrons un petit digestif ?
À demi surprise, mais quand même. Un peu hésitante, j’ai accepté.
Arrivées dans son appartement, après avoir fermé la porte d’entrée, Mélanie m’a plaquée par les épaules contre la cloison du couloir en m’embrassant partout sur le visage avec ces paroles : « Gisèle, depuis que j’attends ce moment, j’ai envie de toi, donne-moi tes lèvres, ton corps » Pendant qu’elle m’arrachait un baiser charnel, ses mains parcouraient mon dos, mes hanches jusqu’à atteindre mon entrejambe. Je sentais que je mouillais et me laissais prendre au jeu. Nous sommes allés dans sa chambre et nous avons fait l’amour pendant une bonne heure avec plusieurs orgasmes. De temps en temps, nous nous revoyons en inventant de petits jeux à l’aide plusieurs sex-toys.Voilà je suis devenue « bi ».Mais aujourd’hui, c’est une vraie queue dont j’ai envie. C’est ton corps que je veux. J’ai envie de me faire défoncer, déshabille-toi. »

Après avoir enlevé mes vêtements de dessus, apparaissent les dessous que j’avais mis avant le repas avec ma bite raide comme un gourdin qui émerge du string.
— He bien, Adrien, il ne te manque plus qu’une perruque et un peu de maquillage pour être un parfait travesti.— Non, ce n’est pas mon truc, mais j’avais envie de te montrer que j’utilisais bien ton cadeau. Chaque fois que j’éjacule dans ton string, je le garde sur moi et ne le lave jamais. Approche plus, viens me sucer, ne te déshabille pas, tu es trop bandante comme ça, j’ai vu que tu n’avais pas de culotte. Par terre, en 69, tu vas me donner ta chatte, j’adore quand ta touffe est mouillée de ton jus.
Allongé sur elle, pendant qu’elle engloutit ma queue qui entre et sort de sa bouche, je fouille sa chatte tour à tour avec mon nez, ma langue et mon menton. Je lui soulève les fesses, lui caresse la rondelle. La salope, elle mouille même du cul !
— Oui Adrien, mets-moi un ou deux doigts dans le cul, j’adore. Continue à me bouffer le con, c’est sublime quand tu aspires mon clito. Oui encore, je sens que je vais jouir. Encore, encore, je pars ahh.......
Un énorme jet de cyprine m’inonde la figure, je m’essuie sur ses poils.
— Continue à me caresser le cul pendant que je me repose un peu, après, j’aimerais que tu m’encules.— Tu es une vraie salope déchaînée, tu te fais baiser comme une chienne. Tu es ma pute. Je n’ai pas joui, mais je vais tout te mettre dans le cul.
Gisèle se relève, m’attrape la tête et me roule une pelle d’enfer avant de me redire : « Vas-y, prends-moi le cul, défonce-moi comme une brute, je veux crier de plaisir »

Accroché à ses seins sous son soutif, j’accélère les va-et-vient dans ses entrailles, mais malheureusement, l’orgasme monte trop vite, je n’ai pas le temps de la faire jouir du cul, j’envoie toute la sauce en m’enfonçant au maximum.
— Tu m’as tellement excité maman salope que je n’ai pas pu me retenir. Je pense que tu aurais voulu un deuxième orgasme.— C’est pas grave mon Adrien, on recommencera, tu es vraiment un terrible étalon. Je vais nous faire un café.
La partie est terminée, je me rhabille et reviens à table.
— Il reste encore un peu de champagne, on peut le terminer avec notre café.— Dis-moi maman salope, je pense à ce que tu m’as raconté de tes ébats avec Mélanie. Crois-tu qu’elle accepterait que j’assiste à une de vos séances ? Voir ma mère se faire gouiner devant moi doit être excessivement bandant.— Je ne sais pas, je peux lui demander ou tout simplement l’inviter en ne lui cachant pas ta présence.
« La deuxième idée me plaît beaucoup.— J’essaierai de lui en parler demain au bureau.
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