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Je fantasme sur ma soeur

Chapitre 3

Avec plusieurs hommes
Chapitre 3 : Natasha doit faire un choix
    Ma sœur est vraiment la pire des salopes. Je n’en peux plus. Je l’aime. Elle le sait, je ne cesse de le lui répéter, mais on dirait qu’elle s’en fout. Nous baisons ensemble en secret depuis plusieurs mois. Je serais au comble du bonheur, si elle n’était toujours pas officiellement avec son petit copain. J’ai beau lui demander de rompre avec lui, elle continue de m’affirmer qu’elle l’aime. Elle me rend complètement dingue. Elle me torture, et je suis presque sûr qu’elle le fait exprès. Pourquoi ? Pourquoi me fait-elle ça ? Je me pose plein de questions. J’aimerais la comprendre ; savoir ce qu’elle pense vraiment. Lorsqu’elle me laisse la sauter, est-ce pour me frustrer encore plus, et se moquer de moi ? Ou a-t-elle vraiment envie de moi ? À chaque fois qu’elle me dit un truc, je n’arrive plus à distinguer le vrai du faux. D’un côté, elle me dit qu’elle est à moi, mais d’un autre, elle continue de rester avec l’autre connard. Se rend-t-elle compte à quel point c’est cruel de jouer avec les sentiments de quelqu’un comme ça ?
  Je devrais sans doute tout arrêter, l’oublier, ne plus faire attention à elle, et passer à autre chose ; après tout, c’est ma sœur, ce que nous faisons est mal et nous n’avons sûrement aucun avenir ensemble ; mais je n’y arrive pas. Je me laisse guider par mes hormones et mes pulsions. Car je dois avouer que malgré tout ce qu’elle me fait subir, je trouve un certains réconfort à pouvoir baiser la femme qui me fait rêver dès que j’en ai envie. Elle me laisse lui faire tout ce que je veux, et j’en profite pour bien me soulager. Au début, j’avais quelques états d’âme à me servir d’elle comme ça. Puis rapidement, en voyant comment elle me traite, j’ai eu beaucoup moins de scrupules à l’utiliser comme un vulgaire sac à foutre. Quand j’ai envie de tirer un coup, je vais la voir, je la prends, je me vide dans sa chatte, sa bouche, ou carrément sur elle, puis je pars sans demander mon reste. Vu comment elle semble toujours réceptive, je pense sincèrement qu’elle aime ça. Je ne pense pas qu’elle simule ses orgasmes. Elle est simplement insatiable. Il faut l’être pour satisfaire les besoins sexuels de deux hommes à la fois. De temps en temps, quand je la pénètre, je peux sentir le sperme de son petit copain dans son vagin. Cela me rend fou de savoir que ce salaud vient de la baiser. Cela me donne envie de la prendre encore plus fort, et de noyer son foutre par le mien comme pour marquer mon territoire.
Je ne me reconnais plus. Elle m’a transformé. Je ne parle pas seulement du fait qu’elle arrive à faire ressortir en moi le mâle dominant, mais elle me fait devenir de plus en plus pervers. Avant, quand je l’entendais se faire sauter dans la chambre d’à côté, je me contentais de me branler dans la mienne. Aujourd’hui, je n’hésite pas à aller les observer comme un gros voyeur. Je le lui fais parfois savoir en laissant un petit souvenir gluant devant sa porte. Je suis sûr que cela l’excite de penser que je suis peut-être en train de la mater pendant qu’elle se fait prendre par un autre. Moi, j’ai surtout beaucoup de mal à résister à l’envie de les rejoindre. Du coup, je ne rate pas une occasion de me venger en lui passant dessus après.
  Une nuit, je la surprends à se faire baiser en levrette. Il fait sombre, je n’ai pas un bon angle de vue, mais je jurerais qu’elle se fait enculée. Cette idée me rend aussi jaloux que dur. J’ai toujours rêvé de la sodomiser, mais je n’ai jamais osé faire le pas. Allez savoir pourquoi ; j’ai peut-être encore le cœur trop tendre. Je me suis toujours dis que si elle avait déjà essayé, et qu’elle aimait ça, elle m’aurait déjà demandé de la ramoner par son petit trou. Du coup, une partie de moi espérait pouvoir lui prendre sa virginité anale un jour. Alors m’imaginer quelle soit là, à quatre patte, à offrir son cul à ce fils de pute, quand elle, elle ne me l’a jamais proposé, ça me rend malade. Je prie sincèrement d’avoir mal vu. Je m’efforce de bien regarder pour m’en assurer, mais il n’y a pas moyen d’y voir clair.
  Elle jouit, et il se vide en elle. Je me retire dans ma chambre en remettant mon pantalon en place. J’ai la verge bien raide, je me suis masturbé un peu en les matant, mais je ne suis pas allé jusqu’au bout. Je me réserve pour elle. Je scrute la moindre occasion de pouvoir l’aborder quand elle sera seule, et celle-ci vient quand je l’entends aller aux toilettes. Lorsqu’elle en sort, je suis là, devant la porte. Je l’emmène de force dans la salle de bain, la retourne dos à moi contre l’évier, et lui baisse violement sa culotte. Je me mets à genou, et lui écarte son trou de cul pour en avoir le cœur net :
— Putain de salope, fais-je en lui donnant une fessée. Je n’y crois pas. Il t’a enculée !   Et pas qu’à moitié. Sa rondelle dilatée déborde de sperme. — Et alors ? me nargue-t-elle.— Tu ne m’as jamais laissé t’enculer ! — Tu n’as jamais essayé, ni même demandé. — Tu n’es vraiment qu’une salope ! dis-je furieux. Parce que tu m’aurais laissé faire peut-être ?!— Bien sûr, j’adore ça, moi.
  Je lui gifle une nouvelle fois les fesses, ivre de luxure. Elle sait très bien ce que ce genre de réponse provoque chez moi et ce qui va arriver. Elle ne s’en rebelle pas. Comme si elle n’attendait que ça. Je baisse mon pantalon et lui enfile ma bite tendue droit dans la raie. Je soupire de bonheur, et la sodomise comme un taré. Je suis heureux. Je réalise enfin mon fantasme le plus pervers avec ma sœur. Je veux son cul. Je la veux toute entière, rien que pour moi. Ça me rend malade de la partager et de sentir le jus d’un autre sur ma verge.
Elle gémit bruyamment. Elle se tient fermement par les bords de levier pour supporter mes coups de reins. Je suis penché sur elle et je lui presse les seins. Nos regards se croisent dans le miroir. Son expression est si érotique. Cela me rend amoureux. Elle aime ça, je le vois. Je n’arrive pas à y croire. Ma grande sœur qui prend plaisir à se faire enculée. Dorénavant, son cul sera mis à forte contribution. Je m’en servirais autant que je peux. Je veux que son mec se demande pourquoi elle marche bizarrement.
  Soudain, elle est prise d’un orgasme. Elle crie. Je suis sidéré de la voir jouir par le cul. Je ne savais même pas que c’était possible. Elle est magnifique. Je sens son anneau se contracter autour de mon engin. C’est terriblement bon. J’ai l’impression qu’elle cherche à me traire. En tout cas, ça marche, il ne me faut pas longtemps pour me vider dans son cul. Je lui mords l’épaule pour me retenir de hurler. Je n’en peux plus, j’en avais trop envie. J’éclate dans ses intestins en lui tapissant les parois d’un peu plus de foutre. Nous sommes tous les deux très épuisés. Surtout elle. C’est la deuxième fois qu’elle se fait prendre en moins d’une heure. Elle a pourtant l’air heureuse. Nous nous échangeons quelques mots, puis nous nous séparons. Je ne comprends pas comment elle peut partir rejoindre son mec comme ça l’air de rien après ce qu’on vient de faire. J’ai de nouveau le cœur brisé. Il n’y a vraiment que lorsque je la baise et la fait jouir que je me sens bien. Dans ces moments, j’ai l’impression qu’elle m’appartient. Le retour à la réalité me fait toujours très mal. Je retourne dans ma chambre moi aussi, et me retiens de pleurer.


***

  Je rentre dans ma chambre retrouver mon petit copain. Le pauvre, s’il savait que je venais de me faire sodomiser par mon propre frère dans la salle de bain... Je l’embrasse avant de me coucher. Il ne se doute de rien. Le meilleur dans l’histoire, c’est que s’il apercevait que mon cul débordait de sperme, il penserait que c’est le sien. Cela m’excite de savoir que je suis remplie du foutre de deux hommes. Je suis devenue une perverse. Parfois, je voudrais qu’ils me prennent en même temps. Mais ça, cela pourrait difficilement arriver.
  Cela faisait longtemps que je rêvais de me faire enculer par Julien. J’attendais qu’il prenne l’initiative. Je suis déçue. Il est décidément très lent. Il a fallu attendre qu’il voit Pascal me prendre par ce côté là pour en avoir l’idée. Je suis toutefois surprise par la vitesse à laquelle il m’a faite jouir. Je devais en avoir encore plus envie que je ne l’imaginais.
  Lui aussi a dû vachement apprécier vu comment il a joui tout aussi vite. Enfin, je dis ça, mais j’imagine qu’il devait se retenir depuis un bon moment déjà, au moins depuis qu’il m’a regardé baiser avec mon mec. Pour se soulager, il m’a limée comme un animal en manque. Ce qui était parfait ; moi, j’étais justement sa petite chienne docile en chaleur. Mon frère sait me rendre folle, voire carrément pute...
  À partir de cette nuit-là, il n’arrête pas de solliciter mon cul. Il en a presque oublié que j’ai une chatte. Il me la stimule parfois avec ses doigts pendant qu’il s’enfonce dans mon conduit, ou une me faisant un cunni, mais c’est tout. Il me ramone de son gros bout avec force, et j’adore ça. Je crois qu’il est devenu accro. Tant mieux, pourvu qu’il continue à me prendre. J’ai envie de le sentir encore éclater au fond de mes entrailles. Je crois qu’il n’y a rien qui me fait plus tourner la tête que de sentir un homme jouir pour moi, jusqu’à s’en vider les couilles.
  Il fait de moi sa trainée, et cette relation que nous entretenons me convient parfaitement. Je sais qu’il voudrait bien plus, mais qu’est ce qu’il croit ? Je suis sa sœur ! Jamais nous ne pourrons ouvertement sortir en ensemble ! Il faut bien qu’il le comprenne ! Il m’arrive pourtant de le regretter moi aussi. Je ne sais pas combien de temps cela peut encore durer, mais je m’en fiche. Je profite de l’instant présent.
  Un jour, alors que nos parents ne sont pas là, il me fait entrer dans sa chambre et me force à le sucer. Ce que je fais avec dévotion. J’adore avoir son délicieux gros bout en bouche. Je le lèche de haut en bas avant de tournoyer autour de son gland, la langue sortie pour le rendre de fou. Cela marche, il détourne les yeux en soupirant. Puis je l’engloutis pour le pomper. Nous n’avons pas beaucoup de temps, mon copain ne va pas tarder à arriver, et j’ai très envie de le sentir éclater dans ma gorge et d’avaler son sperme, alors je m’active pour le finir le plus vite possible. Il a de la résistance, je ne comprends pas pourquoi il se retient. Il en a clairement envie, alors pourquoi il ne se laisse pas éjaculer ? Je décide de le chauffer un peu pour l’aider à se décider :
— Vas-y Julien, jouis pour moi. Fais-moi gouter ta semence. — Non ! dit-il fermement. Je veux te baiser !
  Sur ces mots, il m’allonge sur son lit, me soulève les jambes pour les presser contre mon torse, et m’encule par devant. Rah le salaud ! Cela me fait un peu mal au début, sa queue n’est lubrifiée que par ma salive, mais cela passe vite ; il me fait du bien ; J’en veux plus. À l’origine, je voulais juste l’aider à jouir un coup, mais maintenant, je ne veux plus sortir de cette chambre avant qu’il m’ait donné un orgasme.
  Il me lime bien. J’adore sentir son beau chibre dans mon cul, mais ma chatte est elle aussi en manque. Je profite d’un de ses moments de faiblesse pour prendre l’initiative. Il obéit quand je lui demande de s’allonger à son tour, et je lui monte dessus pour m’empaler sur sa queue. Enfin ! J’avais trop besoin de le sentir dans mon vagin ! Je craignais qu’il soit un peu déçu, mais il semble beaucoup apprécier de retrouver la moiteur de mon con. Mes mains sur ses épaules, j’ondule du bassin pour me faire du bien. Je suis dans mon monde de plaisir, rien ne peut m’en faire sortir, pas même le cri scandalisé de mon petit copain qui vient de débarquer dans la chambre.
— Natasha ?! Mais... Qu’est ce que...
  Merde ! Je l’avais presque oublié ! Il devait venir dans l’après-midi. Il a dû s’étonner que personne n’ait répondu à la porte et en a sûrement profiter que c’était ouvert pour jeter un coup d’œil. J’imagine que le bruit que nous faisions mon frère et moi a dû beaucoup l’intriguer. Je n’arrive pas à croire la situation dans laquelle je me retrouve, et mon esprit embrumé par le plaisir m’empêche de réfléchir clairement.
— Pascal ! Je...
  Je n’ai pas le temps de formuler une réponse, que mon frère lui répond à ma place :
— Tu ne vois pas qu’on baise ?! Dégage ! Tu nous déranges ! — Mais c’est ton frère, Natasha ! Et je suis ton mec !
  Je suis surprise qu’il n’ait pas déjà essayé de me décoller de mon amant. Machinalement, je continue à remuer les hanches pour rebondir sur son sexe. Si la situation avait été inversée, je suis certaine que Julien serait déjà en train de lui casser la gueule. Dans un sens, je préfère ça, mais je reste surprise par son manque de réaction, et par le fait que mon frère n’ait aucune gêne.
— Non ! C’est moi son vrai mec, maintenant ! rétorque Julien. C’est à moi qu’elle appartient ! Dis-le-lui ! Dis-lui que c’est ma queue que tu préfères !
  Sur ces mots, il me serre contre sa poitrine et commence à me donner des coups de reins. Quel salaud ! Il me met dos au mur ! Comment peut-il me demander de faire un choix entre lui et mon mec dans un moment pareil ?! Et le fait que quelqu’un vienne de découvrir qu’il couche avec sa propre sœur, il s’en fout ? Non, bien sûr ; pour lui, il n’y a rien de plus important que de me baiser. Nous pourrions être sur une scène de salle de concert entourés de milliers de personnes en train de nous filmer, que cela ne l’arrêterait pas. Ce manque de honte chez lui me choque et m’excite à la fois. Cela démontre peut-être à quel point il me veut, mais cela ne m’empêche pas de le haïr. Il s’en fout de m’humilier. Cela doit bien le faire marrer au fond. Il se venge pour tout ce que je lui ai fais subir. Finalement, je ne fais que récolter ce que j’ai semé.
— Allez ! insiste-t-il. Dit-lui que tu es ma salope !
  Il me donne une fessée. Je suis confuse. Je ne sais plus où je suis ni ce que je fais. La gêne de la situation n’arrive pas à l’emporter sur mon envie de baiser avec lui. Quoiqu’il arrive, je veux qu’il me fasse jouir avec sa queue. Alors timidement, je réponds à voix basse :
— Oui, je suis ta salope.— Quoi ?! On a rien entendu. Plus fort !
  Quel enfoiré. Il veut vraiment m’humilier jusqu’au bout :
— Je suis ta salope. — Plus fort ! Je n’entends rien ! — Je suis ta salope ! fais-je cette fois en criant. — Dis-lui que tu aimes ma bite ! — Natasha... n’en crut pas Pascal.
  Mais c’est trop tard. Mon choix est fait. Je ne pensais pas que cela arriverait de cette façon, mais il est fait. Quand Julien arrête ses mouvements, je prends le relais toute seule tant qu’ai besoin de lui dans ma chatte. Je parvins soudainement à chasser tout sentiment de gêne et de honte, et je me laisse aller :
— Je suis désolée, Pascal, mais j’aime sa bite ! Il me fait jouir plus que toi ! — Tu mens ! Salope !
  En voyant son manque de réaction en me regardant baiser avec un autre homme, j’ai une subite envie l’humilier davantage :
— Non, c’est vrai. Il me baise depuis des mois. Je suis devenue accro. Je lui appartiens. Je l’aime comme je ne t’aimerais jamais, et je veux rester sa petite pute soumise pour toujours.— Oui. Tu es à moi, rien qu’à moi ! s’exclame Julien d’un ton victorieux.
  Ça y est, il a enfin ce qu’il voulait, le petit salaud. Le pire, c’est que je pensais chaque mot que j’ai prononcé. Je me sens étrangement libérée d’un fardeau.
— Oui, je suis à toi. À mon amour de petit frère.
  Pascal ne bouge toujours pas. Je m’attendais au moins à ce que sa colère éclate, qu’il s’enfuie de la maison en jurons, ou encore qu’il éclate en sanglot, mais non. Il ne fait rien. Il est juste... sidéré par ce qu’il voit. Julien profite de la situation pour aller plus loin dans la perversité :
— Tu es toujours là ?! dit-il à son adresse. Tu veux vraiment rester pendant que je baise ta meuf ? Parfait, prends une chaise et regarde alors !
Il me fait me mettre à quatre pattes, et me saute comme sa chienne. J’adore ça. Je suis totalement soumise. Libre de mes inhibitions. Je lance de temps en temps des regards provocateurs à Pascal pour lui faire comprendre que ce que me fait mon frère me fait du bien. Ce dernier me tire soudain par les cheveux en me pilonnant violemment, et je râle de plaisir.
— Oh oui, Julien. Fais-moi tout ce que tu veux !— Tu m’aimes ?! — Oui, je t’aime ! Pitié, prends-moi fort ! Fais-moi l’amour, mon chéri !
Je n’en reviens pas quand je vois Pascal sortir son chibre et se branler. Je ne le comprends pas. Je viens de le larguer de la pire manière qu’il soit, et il arrive encore à bander ?! Qu’est ce qu’il cherche ? Autant je peux en avoir envie, il ne me touchera plus jamais. Pourquoi cherche-t-il tant à se faire du mal ?
— Regarde, Pascal, dis Julien. C’est comme ça qu’on la baise, cette salope. C’est comme ça qu’on la fait jouir !
  Il me donne une nouvelle fessée qui me fait frémir. Je mouille comme une folle. J’ai envie d’aider mon frère à se venger de mon ex, pour me faire pardonner et pour bien lui confirmer que je suis toute à lui :
— Encule-moi, Julien ! Fais de moi ta chose !
  Sans discuter, il sort de mon vagin pour me fourrer le cul. Je hurle de bonheur.
— Oh oui !— Tu aimes ?!— Oui ! Bourre-moi le cul ! Sert-en pour te faire du bien jusqu’à en jouir ! Je suis ta pute !
  Pascal se masturbe de plus en plus vite. Il doit être jaloux à mort. Je ne lui ai jamais dit des choses pareilles à lui, et je m’amuse à bien le lui rappeler :
— Regarde ce qu’il fait de moi. Je suis sa soumise. Sa décharge à foutre. C’est tellement bon ! Il me rend folle ! Je veux qu’il se serve de moi pour se vider les couilles ! Tu ne m’as jamais mise dans cet état, toi !
  Je ne peux qu’imaginer à quel point il doit bouillir de rage en ce moment. Cela semble aussi plaire à mon frère qui me lime de plus belle. Après tout ce temps où j’ai nourris sa frustration de savoir que je couchais avec Pascal, il doit prendre son pied de pouvoir retourner la situation contre lui. Je lui dois bien ça.
— Tu feras tout ce que je te dis ?! me hurle Julien. — Oui ! fais-je en bonne chienne docile. — Absolument tout ?!— Absolument tout !— Alors que dis-tu de lui offrir un petit cadeau d’adieu. Je suis sûr qu’il meurt d’envie que tu le suces une dernière fois !
  Merde ! Il est sérieux ?! Il est vraiment en train de me prostituer, là ?! J’ai du mal à nier que j’en ai envie au fond de moi, mais je suis surprise que l’idée vienne de lui. Maintenant qu’il sait que je lui appartiens, je pensais qu’il ne me partagerait plus avec personne. À moins qu’au contraire, ce soit sa manière de bien faire montrer qu’il me possède, et qu’il sait qu’il n’a plus à être jaloux.
  Je suis certaine que Pascal n’osera pas, quand je le vois se lever pour présenter son sexe devant ma bouche. Je frisonne de savoir que malgré toute la douleur qu’il ressent, il a encore tellement envie de moi qu’il me saute dessus. Mon corps remue sous les coups de boutoir de mon frère, mais j’arrive malgré tout à l’attraper du bout de la langue puis à l’avaler. Je suis maintenant prise des deux côtés. Je n’ose pas croire que je vis mon fantasme inavoué. Je suis entourée de deux hommes qui me veulent. Deux verges dressées qui veulent éjaculer rien que pour moi.
  Je pompe le chibre de Pascal comme si c’était celui de Julien. Je trouve la force de le branler d’une main tandis que je le suce comme une gourmande. Mon vrai chéri qui s’amuse dans mon cul ne se soucie pas de mes soucis d’équilibre. Tout ceci m’excite follement. Rapidement, je n’en peux plus. J’ai envie de jouir. J’en ai besoin. Je lâche le sexe de Pascal et glisse ma main sur mon entrejambe. Je me caresse le clitoris avant de m’enfoncer plusieurs doigts dans la chatte. Cela ne tarde pas d’exciter mes deux amants.
— Regarde ça, déclare mon frère, cette petite pute n’a pas assez de nos bites, il lui faut des doigts !
C’est divin, tous mes trous sont occupés. Je sens un puissant orgasme arriver. Je ne parviens pas à le retenir. Je n’ai pas le temps de prévenir qui que ce soit que je suis frappée par une immense vague de plaisir. Je tremble fortement en gémissant à travers la bite que j’ai en bouche. Les deux me connaissent suffisamment bien pour savoir ce qui est en train de m’arriver.
— C’est ça, ma salope, me dis Julien. Jouis. Jouis pour nous. C’est bien !
Les yeux à demi-clos, j’ai la tête dans les nuages. J’en oublie tout pendant une seconde. Je leur livre mon orgasme sans aucune pudeur. Je prends un pied monstrueux. À mon grand regret, ils arrêtent ce qu’ils étaient en train de faire pour me laisser respirer. Je m’écroule sur le matelas, pantelante. Le plaisir commence à se dissiper, et je retourne petit à petit sur terre. Mon dieu, ce que c’était bon, mais je n’ai pas envie que cela se finisse aussi vite. J’en veux encore. Dieu merci, eux aussi. Ils n’ont pas terminé.
— Elle suce bien, ma sœur, hein ? — Oui, répond Pascal, un peu penaud. — Je vais être sympa. Si tu veux la baiser, tu peux te servir de sa chatte. Profite en bien, c’est la dernière fois !
  Sans qu’on me le demande, je m’allonge sur le dos et présente mon petit minou trempé à mon ex. Sans tarder, il m’écarte les cuisses et s’enfonce dans mon vagin. Tout ceci doit l’avoir bien excité, car il me baise avec ardeur. Je m’attends quand-même à ce qu’il prenne son temps puisqu’il sait qu’il ne pourrait plus jamais me toucher après avoir joui. Mon frère s’approche de mon visage et tapote son pénis sur ma joue. J’essaie d’instinct de l’attraper au vol pour le mettre dans ma bouche, mais il joue avec moi en le relevant pour le met hors de ma portée. J’ai l’air d’une chienne désespérément en manque de queues. Je relève même la tête pour essayer de l’atteindre. Il me le cède enfin et je l’engloutis. J’ai vraiment besoin de sucer une bite.
    Pascal me saute sans douceur. Je peux le comprendre, il veut me faire payer ce que je lui ai fais. Il veut juste se servir de moi pour se faire du bien et éjaculer. C’est tout ce que j’attends de lui de toute façon. De l’extérieur, je dois ressembler à une sacrée salope. Mais je m’en fou, je prends mon pied.
  Il me caresse et joue avec ma grosse poitrine. Les hommes ont toujours adoré mes seins, et j’ai toujours su les mettre en valeur. Après plusieurs minutes. Julien me fait changer de position. Il me fait m’assoir sur sa bite, dos à lui, et je m’empresse de m’empaler sur lui tant j’ai besoin d’être remplie. Mon ex nous regarde un moment, avant de se mettre debout sur le lit pour me donner son sexe à sucer. J’ai du mal à me concentrer sur mes deux tâches. Quand mes mouvements de bassins s’arrêtent, mon frère en profite pour me donner des coups de triques. Ce salaud me lime fort, et vite. Ses couilles claquent contre ma chatte. Ses assauts sont si puissants que mon corps tout entier tremble, et que j’ai du mal à garder la queue de Pascal en bouche. Ce dernier, frustré, me la force dans la gorge et me la baise. Loin d’être révoltée, j’essaie de l’avaler jusqu’à la garde. Je n’ai jamais eu autant l’impression qu’on se serve de moi comme un vulgaire garage à bite. Je ne sais pas pourquoi, mais cela me fait tourner la tête. J’ai hâte de les sentir jouir pour moi.
Mon Frère sort sa bite de ma chatte et me la met dans le cul. Je hurle de surprise, la bouche pleine. Il me ramone comme s’il cherchait à me fendre en deux. Pascal me maintient par la tête et me force à lui faire une forge profonde. Il a toujours aimé ça, et moi aussi. Je respire bruyamment lorsqu’il me relâche enfin.
— Tu veux la rebaiser ? demande Julien à mon ex comme si je n’étais pas là. — Oui, répondit l’intéressé.— Son cul m’appartient, mais sa chatte est libre.
  Non... Serait-il vraiment en train de lui suggérer que... J’hallucine, ce n’est pas possible ! Je suis choquée. On ne me demande même pas mon avis ! Je m’attendais au moins à ce que Pascal hésite ou me demande la permission ; qu’il ait un peu de respect pour moi en souvenir du bon vieux temps, mais même pas ! Me haït-il autant ? Où est-ce simplement l’excitation qui le rend fou ? Il se place entre mes cuisses et s’apprête à s’insérer en moi. Je suis terrifiée, mais aussi très excitée. Je n’ai moi-même rien dit. Je n’ai fais aucune objection ; parce que quelque part, j’en ai envie. J’avais déjà fantasmé sur l’idée de me faire embrocher par deux bites bien dures en même temps, mais je n’ai jamais pensé passer du rêve à la réalité ; ou du moins pas comme ça. Je m’imaginais plutôt une situation plus douce ; avec deux hommes simplement ivres de désir, et non deux barbares en manque.
  Je suis pourtant impatiente. Même si je pouvais reculer, je ne le ferais pas. Julien s’est arrêté pour aider Pascal à me pénétrer. J’écarte un peu plus les cuisses d’instinct afin de mieux m’offrir. Je sens d’abord son gland entrer en moi, puis il m’enfonce tout doucement sa tige. Je pousse un cri en fermant les yeux. J’ai mal. Je n’arrive pas à croire que j’ai une bite dans ma chatte et une autre dans mon cul en même temps, et que ces deux verges ne sont séparées que par une fine paroi de chair. Je suis remplie. Je ne pensais pas que mon corps pourrait supporter ce genre d’invasion. Après avoir attendu un moment à ce que je m’habitude à cette nouvelle sensation, mes amants commencent à remuer lentement. J’avais peur qu’ils soient de suite brutaux, mais je suis rassurée par leur comportement. Leur rythme est inversé ; quand Julien me fourre, Pascal ressort. La douleur s’estompe graduellement ; ou du moins, le plaisir devient plus fort.
  Ils accélèrent, et je perds la tête. J’avais très peur, mais je réalise que je fais vraiment bien partie de ces salopes qui aiment se faire baiser par deux hommes en même temps. J’aime ce qu’ils me font. J’aime les sentir bien dur rien que pour moi : sentir leur désir et leur besoin. J’ai encore envie de jouir.
— Tu aimes ça, frangine ?! vocifère mon frère. — Oui ! fais-je en hurlant. — Tu aimes nos bites ?!— Oui ! J’aime vos bites ! Je les veux ! Pitié, prenez-moi ! — Tu n’es vraiment qu’une salope ! n’en revient pas Pascal. — Oui. Je suis la salope de mon frère !
  Ma réponse a dû l’énerver, car il me lime plus violemment pour se venger. Après un moment, il sort de mon vagin et se relève pour que je le suce. Il me fait gouter le jus de ma propre chatte. Je trouve ça bon, mais je ressens une terrible sensation de vide au niveau de l’entrejambe. Je veux qu’il retourne en moi. Je voudrais le crier, mais j’ai la bouche pleine. Alors J’expulse sa queue en la rejetant avec ma langue :
— Pitié, baise-moi, dis-je. Ma chatte béante hurle qu’on vienne la remplir.— Natasha... je ne te reconnais plus... fait-il troublé.
  Mais pas assez pour ne pas obtempérer.
  Moi non plus, je ne me reconnais plus. Je pensais à avoir touché le fond, mais je suis en train de passer à un nouveau stade de dépravation. Totalement libérée, je suis esclave de mon envie de sexe. Il me faut de la bite. N’importe qui pourrait passer par là, et me présenter son sexe que je le sucerais et je le laisserais me baiser. J’ai juste désespérément besoin de jouir par tous les moyens. Je ne me suis jamais sentie aussi pute de toute ma vie.
  Mes deux hommes aussi prennent leurs pieds. Je pense que cela leur plait beaucoup de me voir autant aimer me faire sauter comme une chienne en rut. Même Pascal qui vient pourtant de se faire larguer ; je crois que dans son état, il n’y pense plus. Il est trop excité de me voir agir comme une trainée.
  Je ne vois plus le temps passer. Je ne sais pas depuis combien de minutes ils me ravagent tous les deux dans cette position. Je n’en peux plus, je finis par jouir d’une force inégalée. Sur le moment, je prie qu’ils jouissent avec moi ; qu’ils éjaculent en me remplissant de leur foutre. Je veux sentir leur sperme se déverser en moi ; mais au lieu de cela, ils se retirent pour me laisser récupérer. Je suis déçue. Leur endurance me surprend. Ils n’en ont manifestement pas fini avec moi.
— Tu veux son cul, Pascal ?! lui dit mon frère. — À mort. Mais tu avais dit que...— Je te l’offre quand-même. Tu l’as bien mérité.
  Ils me font changer de position. Je suis allongée sur Julien, mes seins écrasés sur sa poitrine, sa queue enfoncée dans mon vagin, tandis qu’il écarte mes fesses pour présenter mon petit trou à mon ex. Dilaté comme il l’est, il s’enfonce sans problème, et la folle chevauchée reprend comme si elle ne s’était jamais arrêtée.
Malgré mon récent orgasme, je prends encore beaucoup de plaisir. Je gémis, je crie, mais je les supplie de me prendre. Je ne comprends pas ce qui m’arrive, mais il m’en faut toujours plus.
— Regarde-moi cette pute, s’exclame Julien. Elle a déjà joui deux fois, mais elle n’en a pas eu assez. Donnons-lui ce qu’elle veut.
  Je sens qu’ils ne sont plus très loin de leur limite. Ils ont besoin d’éjaculer. Cela me ravi ; je suis aux anges. Leur cadence devient erratique. Leur rythme est tantôt inversé, tantôt synchronisé. Sentir leurs deux chibres se planter au fond de moi en même temps me fait hurler. J’ai l’impression de me faire déchirer ; mais cela me fait étrangement plus de bien que de mal.
— Putain, je vais gicler ! soutient Pascal.— Retiens-toi un peu, lui commande mon frère. On la fait jouir encore une fois, puis on lui giclera à la gueule. Tu sais comment elle aime le sperme.
  Le salaud, il veut vraiment me souiller jusqu’au bout. Je remarque que mon ex lui obéit. La perspective de me voir couverte de foutre parait manifestement lui rendre des forces. Je n’ai pas envie de leur donner ce plaisir. Je veux me retenir autant que je peux pour les forcer à éclater. Ils me baisent comme des affamés. Ils veulent manifestement tout faire pour me donner de plaisir. Le pire est qu’ils y arrivent. Je pensais avoir de l’avance avec mes précédents orgasmes, mais je remarque que le suivant n’est déjà plus très loin... Je suis exténuée. J’essaie de leur résister, mais je finis par céder. Je me détends et me laisse aller. Je m’écroule sur mon frère. Je ne suis plus qu’une poupée de chair qui ne demande qu’à être utilisée. Leurs queues s’agitent dans mon ventre. Je n’arrive toujours pas à croire ce que mon corps arrive à endurer. C’est divinement bon.
— Allez, Natasha ! m’encourage Julien. Jouis ! Jouis pour nous ! — Je vous veux... avec moi... parviens-je à prononcer.
Parler devient très difficile.
— Non, après, ne t’inquiète pas. — Je suis, votre sac à foutre. Remplissez-moi ! — Non !
  Je sens ma jouissance arriver. J’ai essayé de les exciter pour qu’ils se finissent, mais cela n’a pas marché. Tant pis. Je ne sais pas comment ils font. Nous baisons depuis tellement longtemps. Je ne peux même pas imaginer leur état d’agonie.
— Je... Ça vient, leur dis-je. — C’est bien, allez, vas-y, Natasha, me fais Julien.— Jouis ! Salope ! crie Pascal me donnant une fessée.— Aaaaaaaaaah !
  Je suis secouée par une nouvelle vague de plaisir. La troisième en moins d’une heure. Je n’ai jamais autant joui de toute ma vie en aussi peu de temps. Je tremble, incapable de bouger. Mes amants continuent de me baiser ; cela prolonge mon orgasme. Puis j’ai l’impression de perdre connaissance. Lorsque je reprends mes esprits, je ne sais plus où je suis. Je réalise qu’on m’a mise sur le dos. En ouvrant les yeux, je vois une bite bien tendue de chaque côté de moi. Ça y est, ils sont en train de se branler pour se finir. Je suis impatiente. Je les veux. J’ouvre la bouche en sortant la langue pour leur faire savoir que je suis prête. Cela ne manque pas de les exciter :
— Regarde-moi ça, comme elle veut notre foutre, s’exclame Julien. — Je n’en peux plus, il faut que je me vide les couilles ! s’écrie Pascal.
Je tourne légèrement la tête en sa direction. Je suis certaine que c’est lui qui va gicler le premier. Je fixe sa bite en attente de ses premiers jets.
— Vas-y ! crie-je comme une affamée. Éjacule ! Je veux gouter ton jus une toute dernière fois ! Vide-toi bien pour moi ! — Natasha... Raaah !
  Je vois du sperme éclater de son méat et qui m’atterrit en plein visage. Je lève la tête pour ne rien en rater. Je sens du liquide couler mes joues et mon nez. Une giclée m’arrive droit dans la bouche. Je me retiens de l’avaler tout de suite. Il continue de jouir. Je vois bien qu’il essaie vraiment de me donner tout ce qu’il a dans ses bourses. Je tends ma main vers sa tige pour l’aider à se masturber. Il me laisse volontiers la place. Quand ses jets se font moins puissants, je prends son gland en bouche pour aspirer ce qu’il reste. Il gémit de pur bonheur. J’avale, puis je le suce pour nettoyer sa bite avec beaucoup de plaisir. Subitement, mon frère me tire par les cheveux et me maintient la tête en me collant sa queue à la figure. Ça va être son tour. J’ouvre grand pour l’accueillir en le regardant droit dans les yeux. Mon regard suppliant finit par l’achever, et il jouit en me traitant de salope. Il m’en fout plein la gueule et dans la bouche. Je récolte tout avec dévotion. Ses giclées sont copieuses ; plus que d’habitude. Il s’amuse à me salir autant qu’il peut. Cela me plait moi-aussi d’être sa pute. Lorsqu’il a fini, j’ai l’impression d’en avoir partout. Je dois avoir l’air pitoyable. Je me relève partiellement pour engloutir son sexe à son tour. Je le ressors un moment pour lui montrer son sperme dans ma bouche, juste avant d’avaler pour l’exciter. Il m’insulte à nouveau. Cela me fait sourire. Il goute bon. J’aime le jus de mon petit frère. C’est désormais ma nouvelle drogue.
  Pascal se rapproche avec sa queue ramollissante qui réclame elle-aussi un peu d’attention. Je l’écarte d’un geste de la main :
— Non, c’est fini, dis-je. Tu as jouis, tu peux t’en aller. — Mais je... — Tu as entendu la dame ?! enchérit Julien. Tu as eu ce que tu voulais. Maintenant, barre-toi, et ne revient pas. C’est MA copine !
Penaud, Pascal ramasse ses vêtements et s’en va. Sur le palier, il me lance un dernier regard. Je le lui rends, le sexe de mon frère en bouche, pour bien lui faire comprendre que je suis sa chienne ; puis il disparait pour de bon.
— Je t’aime, Natasha, me dit Julien maintenant que nous sommes seuls. Je vais prendre soin de toi maintenant.
  Nous nous allongeons sur le lit, et il me prend dans ses bras. Cela me fait bizarre de recevoir un peu de tendresse de sa part après la brutalité avec laquelle nous venons de baiser, mais cela me fait du bien aussi. Je me blottis contre lui, couverte de jus collant.
  Depuis ce jour, notre existence a changé. Aux yeux du monde, nous ne sommes qu’un frère et une sœur qui sont très proche l’un de l’autre ; mais en réalité, nous formons un couple. Je l’aime et je lui suis dévouée. La vie à la maison est devenue particulièrement excitante. Parfois, nos parents s’inquiètent de nous voir rester tous les deux célibataires. Les pauvres, s’ils savaient qu’on baisait dans nos chambres juste devant leur nez... Braver l’interdit a quelque chose d’enivrant.
  J’aime la façon dont mon frère me fait l’amour. Tantôt tendre, tantôt comme un animal. Il me fait jouir comme aucun de mes anciens amants. Il me comble de bonheur. Je n’ai besoin de personne d’autre, et lui non plus. Pourtant, cependant, il m’arrive de chercher à le rendre jaloux. J’aime toujours autant être cruelle avec lui. Parfois, je drague ouvertement d’autres garçons, rien que pour le plaisir de le sentir se venger par après en me prenant brutalement. De temps en temps, je lui mens en lui disant que je l’ai trompé, et il me saute comme sa pute pour me le faire payer. J’adore cette façon qu’il a de me posséder quand il est en colère contre moi. Je suis toute à lui.
  Des années plus tard, nous avons pris un appartement ensemble. Certaines personnes trouvent ça bizarre, mais ils sont loin pour autant d’imaginer que nous entretenons une relation incestueuse. Ce fut une nouvelle étape pour nous, d’avoir un endroit où nous pouvons vivre pleinement notre amour sans devoir se cacher. Il n’y a pas une pièce dans laquelle il ne m’a pas souillée.
  En de rares occasions, il me laisse séduire un autre garçon, afin d’organiser une partie à trois. Je lui avais confié à quel point j’avais aimé sentir deux queues me ravager en même temps, et il s’est montré assez ouvert d’esprit pour m’accorder quelques fois ce genre de petit plaisir. L’inconnu n’est évidemment jamais au courant de notre lien de parenté, et nous ne le revoyons plus jamais. Il vient, il tire son coup, et il s’en va. Je prends toujours un plaisir pervers de sentir un homme que je connais à peine désirer mon corps à s’en faire éjaculer dans mes orifices. J’aime avoir la chatte et le cul dilaté et dégoulinant de sperme. Je m’offre entièrement à mes amants afin qu’ils se servent de moi pour se faire du bien.
  Voilà le genre de salope que mon frère a fait de moi. Pourtant, je suis heureuse. Afin de lui rendre la pareille, je lui ai déjà dis que j’accepterais de faire une partie à trois avec une autre fille, mais il a toujours refusé. Il me rétorque qu’il n’a aucune envie de faire l’amour avec une autre femme, et que nos petites sauteries lui plaisent autant qu’à moi. Cela me touche de m’aimer autant, et je l’aime aussi, pour toujours.
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