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Fantasmes...

Chapitre 1

Hétéro
Ceci est une histoire fantasmée, écrite pour être lue et susciter ainsi l’envie pour une lectrice de partager un moment proche…

Mon topic ouvert deux forums libertins, dont un candauliste était clair :
Homme 32 ans, européen, brun aux yeux noisettes, coquin et ouvert aux jeux et à l’évasion érotiques propose un rendez-vous avec femme agréable et épicurienne, de 30 à 60 ans, pour un moment sensuel et délicat où mes jeux de langue et de bouche seront le principal thème.
J’ai bien eu quelques réponses mais une seule paraissait réellement intéressée, intéressante et sérieuse. Elle disait se prénommer Alice, 48 ans. Nous avons un peu échangé par messages privés pour bien être sûrs de nos attentes respectives. Au final, un rendez-vous est conclu demain soir dans un bar à Vincennes. Le but du rendez-vous est clair, sans aucune ambiguïté et correspond à l’avance en tout point à notre fantasme partagé.
J’arrive un peu en avance et commande un Perrier citron en l’attendant. 10 minutes plus tard, la voici qui entre en balayant les tables du regard. Je dirai 1.70m, brune aux cheveux courts, joliment maquillée et pleine de charme. Tout à fait ce que j’apprécie. Elle s’arrête quelques instants sur moi, plisse les yeux et s’avance en me tendant la main. Les choses sont assez claires. Je me lève et lui fait deux bises en réponse. Elle ne s’y attend visiblement pas mais ne semble pas trouver l’initiative désagréable. Elle ne prend pas la peine de s’asseoir car elle se penche vers moi pour me glisser dans l’oreille de la suivre jusqu’à sa voiture qui est garée un peu plus loin dans une rue un peu à l’écart. Puis la voilà qui sort. Je paye et la rattrape pour être à sa hauteur. Ce faisant, je profite de son parfum très agréable dans son sillage et la suis en marchant à ses côtés. Au bout de 3 minutes, on tourne dans une petite rue assez peu éclairée. Elle s’arrête, sort une clé et la voiture à côté se déverrouille automatiquement avec une petite veilleuse qui s’allume.Elle ouvre la porte arrière et s’y engouffre… à quatre pattes, se dandinant légèrement et faisant ainsi remonter sa jupe pour me faire apparaître la lisière de ses bas. D’une contorsion, la voici allongée sur le dos, relevant sa jupe sur ses cuisses ouvertes me laissant admirer un sexe glabre très appétissant avec ses grandes lèvres humides qui dépassent légèrement. Elle se redresse juste ensuite pour éteindre la veilleuse et m’inviter à entrer puis à ferme la portière de sa grande voiture. Je m’exécute, m’approchant doucement de son fruit qui m’a l’air si délicieux. Je sens une douce et enivrante odeur. Les lumières de la rue donnent une vision un peu surréaliste de cet instant. Je distingue ses yeux plongés dans les miens tandis que je me penche pour m’approcher avec gourmandise. Une de mes mains se posent près de son minou et s’avance pour esquisser quelques caresses quand un petit bruit m’indique que non, ce n’est pas prévu. Mes lèvres se posent alors sur son pubis glabre pour l’embrasser langoureusement et descendre un peu plus bas pour du bout de ma langue récolter un peu de sa cyprine. Son jus est délicieux, exquis, capiteux, totalement en adéquation avec sa douce odeur de femme excitée en quête de plaisir. Ma langue caresse ses grandes lèvres, puis s’insinue délicatement pour faire de même à ses petites lèvres puis à son bouton d’amour. S’ensuit alors un ballet de ma langue, de mes lèvres et de ma bouche pour la déguster, titiller, sucer, laper durant de longues et agréables minutes. Très vite elle pose ses deux mains dans mes cheveux, tantôt pour me guider, tantôt pour m’écarter selon ses envies, que je suis plus ou moins. Mes mains se sont posées sur ses cuisses, jouant et prenant plus de liberté jusqu’à ce que mon index se pose sur son clitoris pour le titiller et le branler tandis que mes jeux de bouche continuent de plus belle encore quelques minutes. Quelques minutes jusqu’à ce que la belle se cambre soudainement après quelques soubresauts avant-coureurs avec des gémissements allant crescendo jusqu’à un long cri pendant qu’elle me plaque le visage contre son sexe. Elle reprend un peu son souffle avec deux longues inspirations/expirations.Elle se redresse, remet un peu d’ordre dans sa tenue et plonge son regard entre mes cuisses, apercevant certainement malgré l’obscurité une rigidité liée directement à mon excitation et à mon activité précédente.
Elle me demande si je veux me soulager, ce à quoi je réponds volontiers. Elle ajoute immédiatement que ce n’était pas prévu dans le deal mais que c’est un des meilleurs orgasmes qu’elle ait eu avec juste une langue et qu’elle trouve juste de me rendre la pareille.Sans attendre, elle se jette sur ma braguette, la défait avec dextérité, baisse un peu brutalement mon pantalon pour prendre directement les choses en main. Mon boxer est vite descendu et la voici à ma masturber avec vigueur puis à me prendre dans sa bouche. Il y a peu de douceur dans ses mouvements, à tel point que je me demande s’il y a du plaisir. Je la laisse cependant faire et elle ralentit progressivement pour augmenter la pression plutôt que sa vitesse. Sa langue se fait plus douce, plus aventureuse. Elle me sort et doucement passe sa langue en gémissant légèrement pour augmenter encore mon excitation si cela était possible. Elle la fait encore tourner puis m’embouche pour s’activer et me faire monter progressivement jusqu’à ma jouissance dans sa bouche malgré que je l’ai prévenu avant.Je suis très surpris de la voir arrêter, bouche fermée, puis chercher à côté d’elle un mouchoir pour tout recracher dedans, ouvrir la porte et le jeter dehors. Avant même que j’ai eu le temps de réagir :
— « Nous sommes donc quittes, agréablement je dois l’avouer. C’était un très bon moment et un fantasme réalisé en bonne compagnie. Je te laisse trouver ton chemin, tu dois t’en souvenir. Je garde tes coordonnées au cas où. »
Et la voici qui rallume la veilleuse et déverrouille les portières. C’est correct, dans le deal. Juste réaliser un fantasme, sans attache, sans rien d’autre. Je remets un peu d’ordre dans ma tenue, la remercie et sors, heureux de cet instant fou et agréable.Y aura-t-il une suite ? J’en doute et ce n’était pas l’optique mais qui sait ?
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