Après avoir entendu l’escalier craquer, ce qui nous a avertis de l’arrivée imminente d’Héléna, c’est Alex et moi qui sommes plus rapides et lucides, Marie étant encore baignée par le plaisir des caresses prodiguées par ses deux mâles. Et pourtant sa fille n’est plus très loin d’elle. En un temps record, je réajuste ma tenue, et Alex fait de même. Ce n’est pas évident de se rhabiller et de remettre en place un sexe d’homme au meilleur de sa forme. Héléna a enfilé un peignoir assez léger en sortant de sa douche. Elle est magnifique, et le fait de la voir ainsi entrer dans le salon ne ralentit pas mon excitation. La demi-pénombre permet en partie de masquer le climat particulier qui doit régner dans la pièce après ces fortes émotions, malheureusement interrompues. Peut-elle ressentir l’odeur de sexe et de désir qui doit habiter la pièce ? Héléna semble effectivement étonnée : "que faites-vous ainsi serrés tous les trois dans le canapé ?". Je bredouille : "Euh...je montrais sur mon Iphone des photos des dernières vacances en Corse...".Alex est très mal à l’aise, essayant maladroitement de cacher avec ses mains la bosse encore bien visible dans son jean.La tenue de Marie reste négligée, les cuisses bien découvertes et la poitrine offerte à tous les regards. Sa coiffure témoigne des assauts qu’elle a reçus. Pour éviter que la situation ne s’éternise, je propose à Marie de monter nous coucher. Nous laissons donc le jeune couple finir la soirée dans le salon. Marie décide à son tour d’aller se doucher avant de passer au lit. Nous sommes tous les deux gênés l’un envers l’autre de ce qui s’est produit dans le canapé. Elle doit avoir l’impression d’une forme de tromperie avec son gendre, même si j’étais plutôt consentant. Sa douche me paraît interminable. Certainement le temps nécessaire pour reprendre ses esprits...ou de poursuivre en solitaire les caresses inachevées d’Alex... J’ai la bouche sèche. Je me rends compte que j’ai omis de prendre une bouteille d’eau pour la nuit. Me voici à mon tour dans la descente de l’escalier. Je peux entendre le bruit toujours présent de la musique d’ambiance. Je marche à pas de loups pour ne pas déranger Héléna et Alex, au cas où ils se seraient assoupis. Arrivé dans la cuisine, qui est mitoyenne du salon, c’est un autre type de bruit qui arrive à mes oreilles : celui de couinements et de gémissements. Il ne me faut pas longtemps pour comprendre ce que j’entends : notre jeune couple est en train de batifoler dans le canapé. Avec beaucoup d’ardeur apparemment. L’échauffement d’Alex avec ma compagne a dû le mettre très en forme.La porte entre cuisine et salon n’étant pas fermée, j’ose passer la tête. Je peux deviner, face à moi, la tête et le buste d’Héléna. Elle chevauche Alex, lui-même assis dans le canapé et me tournant le dos. Hélène ne me voit pas...enfin je crois. Je m’approche donc, et chaque pas augmente mon excitation. Mon sexe est à nouveau terriblement dur. D’autant que les ébats s’accompagnent d’un dialogue très chaud que je n’aurais pas imaginé dans la bouche d’Héléna, si sérieuse habituellement : "J’aime ta queue chéri"..."Oh oui, caresse moi le clito"..."J’aime comme tu bandes dur en moi"..."Tu aimes mon cul petit salaud"..."Tu sens comme je mouilles pour toi ?"...
Je suis maintenant à cinq mètres environ du visage d’Héléna. Gagné par une sorte de folie sexuelle, j’ai déboutonné mon pantalon, que j’ai laissé glisser sur mes chevilles avec mon boxer. Sans en être vraiment conscient, je suis face à Héléna, queue dressée, ma main droite lui imprimant un lent va-et-vient. Je m’approche encore et entre dans son champ de vision, malgré l’obscurité. Un silence se fait subitement au milieu des gémissements d’Héléna...elle m’a vu, c’est certain. Je peux admirer ses magnifiques seins, très généreux, et ses tétons pointés par le désir. Je redoute qu’elle prévienne Alex de ma présence. Ce serait une catastrophe s’ils allumaient le lustre, une honte pour moi. Mais non...au contraire...elle reprend son ondulation, et l’amplifie même, avec une ardeur décuplée.Elle porte un doigt à sa bouche, dans une posture très coquine, comme pour me stimuler davantage. De l’autre main, elle se caresse maintenant le sein gauche. Je peux deviner son regard fixé sur moi et sur mon membre dressé vers elle. L’intensité de ses gémissements me fait penser que l’orgasme n’est plus très loin. Je l’entends murmurer : "j’ai envie de ta belle queue". Parle-t-elle de moi...de ma queue ?Puis elle dit "Je vais bientôt jouir...humm comme c’est bon...". A son tour, le cerveau Alex ne retient plus ses paroles : "Tu es en feu ma petite salope !". A cet instant, je résiste pour ne pas répandre ma semence sur le carrelage du salon. Vient l’apothéose de leur accouplement : Alex et Héléna me gratifient d’un orgasme magnifique, Alex venant certainement d’exploser en elle. Pourtant, Héléna continue de bouger et de prendre son plaisir sur le sexe d’Alex en me regardant. J’aimerais tant venir en elle et la posséder à mon tour. Elle en meurt peut-être aussi d’envie...si toutefois Alex était consentant.Mais non, ce serait insensé. Je dois reprendre mes esprits, me rhabiller et regagner la chambre. Je reprends le chemin de l’escalier, le moins bruyamment possible. Je ne prends finalement pas le temps de me réajuster, et entre dans la chambre les fesses à l’air...et le sexe toujours au garde-à-vous. Comment pourrais-je débander en pensant à la scène tout juste vécue ? Marie a pris possession de notre lit, lumière éteinte, ce qui m’arrange dans l’état où je me trouve, que j’aurais bien du mal à lui expliquer.Je me glisse sous les draps. Marie ne dort pas. Je pose ma main sur son ventre : elle semble totalement nue. En descendant ma main, je peux constater que, non seulement elle est nue, mais également totalement offerte, cuisses écartées. Sa chatte est trempée. La caresse de mes doigts sur son clitoris la fait immédiatement réagir. J’introduis deux doigts dans son sexe brûlant. "Baise moi Alex...euh...Fred". Ce lapsus, plutôt que de me déstabiliser, renforce mon excitation. Oui, j’ai envie de la baiser, de lui faire profiter de ma queue généreuse, comme Alex le ferait certainement. Je viens lourdement sur elle, et la pénètre sans aucun préliminaire. Je ne lui fais pas l’amour, je la baise sauvagement. Le sexe de Marie est en feu, elle étouffe des cris de plaisir quand je cogne au fond d’elle avec un rythme démentiel.Je repense à Héléna en plein orgasme dans le canapé, et m’imagine au plus profond de ma belle fille. Je caresse les seins d’Héléna...de Marie, je veux dire. Ces pensées m’empêchent de résister plus longtemps. Un fluide me parcourt le corps. J’explose en Marie d’un jet surpuissant, suivi d’une deuxième salve qui la fait hurler sans retenue. Nos corps se relâchent. Aucun de nous ne prend la parole, comme nous le faisons habituellement après l’amour. Nous avons l’un et l’autre joui comme cela ne nous était jamais arrivé ensemble. J’entends des bruits dans la salle de bains mitoyenne de notre chambre. Nos ébats n’ont pas été très discrets. Je pense déjà au lendemain : comment se passeront les retrouvailles avec Héléna et Alex ? Pourrai-je affronter le regard d’Héléna ?Marie doit se poser la même question : pourra-t-elle affronter le regard d’Alex ?La nuit porte conseil, dit-on.
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