Je me réveille le lendemain matin...9 heures 30...c’est plutôt inhabituel pour moi qui suis d’ordinaire matinal.Marie est toujours endormie près de moi, à peine recouverte par le drap, seins offerts à ma vue. La porte de notre chambre est entrouverte, alors que je pensais l’avoir bien fermée hier soir. Je descends l’escalier et constate que notre jeune couple est déjà levé, attablé dans la cuisine."Hello, un bon café t’attend !" me lance Héléna, plutôt enjouée. Elle porte un simple peignoir, probablement rien en-dessous."Hello la jeunesse !", je réponds, d’une voix mal assurée, assez embarrassé par les événements de la veille. Je m’assieds entre eux, mon genou frôle celui d’Héléna, qui ne se dérobe pas. Elle décroise les jambes, laissant son peignoir remonter davantage sur la cuisse. N’ayant revêtu qu’un pyjama, mon incontrôlable excitation est déjà visible sous le pantalon. C’est au tour de Marie de nous rejoindre. J’ai dû la réveiller en quittant le lit.Je suis soulagé de la voir porter une tenue décente, masquant mieux ses formes que ma belle-fille.Elle porte le regard vers Alex, l’un et l’autre semblant gênés. Les caresses torrides de la veille ont laissé des traces dans les esprits. Nous parlons de choses et d’autres, du programme de la journée. Les jeunes ont décidé de visiter Lille, ayant apparemment la volonté de s’extraire de l’atmosphère très particulière régnant dans la maison. Surtout Alex, semble-t-il. Mon excitation ne décroît pas jusqu’à la fin du petit-déjeuner, Héléna ne cessant de croiser et décroiser les jambes, de me frôler le mollet. Je m’arrange pour rester le dernier à table, celle-ci servant à masquer ma protubérance sous le nombril. Néanmoins, Héléna s’en est aperçue et me fait un clin d’oeil en débarrassant la table. La journée se déroule calmement. Ni Marie ni moi ne sommes très bavards. Nous avons décidé d’organiser le dîner qui se déroulera à la maison. Je suis chargé des courses pour ce repas. Je n’oublie pas de remettre du champagne au frais. C’est avec fébrilité et envie que j’appréhende cette soirée, après ce qui s’est passé la veille. Héléna et Alex reviennent de leur promenade lilloise vers 20h, tenue décontractée et portant tous les deux un jean, les bras chargés du shopping de la journée. Ma belle-fille nous demande de patienter une petite demi-heure afin de faire une toilette sommaire et de revêtir une robe plus adaptée à la soirée. Nous les voyons en effet redescendre un peu plus tard. Héléna est...craquante. Petite robe noire comme j’adore, lui dessinant merveilleusement la poitrine et les fesses. Dans mon trouble, j’ai à peine remarqué que sa mère s’est également changée, ayant opté pour une petite robe rouge assez provocante. Le rouge et le noir...les ingrédients de la soirée sont réunis.
Nous voici tous les quatre au salon, nos couples se faisant face. Je sers une première coupe, puis une seconde, les conversations vont bon train dans l’atmosphère tamisée de la pièce. Je ne peux ignorer les échanges de regards appuyés entre Marie et Alex, les jambes qui se croisent et se décroisent. Mes yeux sont attirés par les seins magnifiquement mis en valeur d’Héléna. Je sers une troisième coupe...ou une quatrième, je ne sais plus très bien. C’est alors qu’Héléna prend un air grave, se tourne vers Alex, et lui dit : "peux-tu nous laisser et monter dans la chambre mon chéri ?". Je suis surpris qu’Alex s’exécute sans broncher, prenant la direction de l’escalier. Héléna se lève à son tour, ondulant des hanches, venant nous rejoindre dans le canapé, Marie et moi. Je sens qu’un truc incroyable va se passer.En effet, Héléna se tourne vers sa mère et lui dit avec détermination : "Maman, Alex m’a tout raconté de ce qui s’est passé hier soir quand je prenais ma douche. Il est incapable de me cacher quoi que ce soit. Au fait, as-tu apprécié ses caresses ?...".Marie est interdite, ne sachant quoi rétorquer à sa fille. A quoi bon nier l’évidence. Puis, se tournant vers moi : "à ton tour, cher beau-père !". Elle approche son visage du mien, puis sa bouche de mes lèvres, pendant que sa main gauche rejoint mon pantalon au niveau de l’entrejambe.La proximité de son corps, les caresses de ses lèvres font très vite leur effet. Je sens que ma queue se dresse puissamment, d’autant que la main chaude d’Héléna s’active davantage sur mon pantalon.La voici qui me déboutonne et défait ma ceinture. Sa main s’empare de mon sexe bandé et l’extrait du boxer bleu que je porte ce soir.Sa bouche quitte la mienne pour se diriger vers mon mât triomphant. Je ne tarde pas à ressentir la sensation exquise de sa langue qui me parcourt le gland, qui descend sur la hampe, puis remonte. C’est incroyable ce qui se passe. Pendant qu’elle s’occupe de mon intimité, la vicieuse écarte les jambes, s’avance vers moi, vient coller son propre sexe contre mon genou. Je perçois l’humidité de sa petite culotte, sa chatte profitant des frottements. Sa robe étant remontée très haut, c’est plutôt un joli string blanc qui s’offre à ma vue, découvrant une partie de sa vulve. Je ne peux m’empêcher de tourner la tête sur le côté, pour constater comment réagit Marie. Mais elle a quitté le canapé. Je devine qu’elle a rejoint Alex à l’étage. Héléna continue de s’activer sur ma queue. "Tu es mieux monté qu’Alex, dis moi" me susurre-t-elle...Elle retire soudain sa bouche, se redresse, elle relève totalement sa robe puis porte une main à son string pour l’écarter, et dévêtir complètement sa chatte. Puis elle se rapproche à nouveau. J’ai compris qu’elle veut venir s’empaler sur moi. Mon gland bien humidifié n’attend que cela. Je tente de garder le contrôle et de ne pas venir trop vite quand son vagin brûlant vient m’avaler. Que dis-je...me dévorer. Héléna est déchaînée, ses gémissements sont intenses, son petit cul imprime un rythme infernal sur ma bite, descend et remonte à vive allure. Je suis passé du statut de voyeur hier soir à celui d’acteur, et Héléna semble apprécier ce deuxième épisode avec un homme d’âge mûr.Elle finit par jouir très vite, au moment où mes mains ont rejoint ses magnifiques seins, durcis par le plaisir. Cela faisait des mois que je fantasmais sur ses seins. Je ne pouvais imaginer que le contact de mes doigts sur ses pointes provoquerait un tel orgasme.Une vague chaude et humide m’inonde le bas du ventre. Sa cyprine se répand sur moi. Héléna se tient maintenant debout, totalement nue, érotiquement superbe. Etant parvenu à contrôler mon excitation, je suis prêt à la recevoir à nouveau. Elle me dit : "Viens mon chéri, allons plutôt les rejoindre...". Je la suis dans l’escalier. Elle me tend la main. Nous savons tous deux ce qui nous attend, et nous laissons guider par les bruits de l’étage, plus précisément de ma chambre. La porte est ouverte. Sexe toujours dressé, je deviens spectateur de la scène qui s’offre à nous : Marie chevauche Alex avec la même intensité que celle de sa fille sur moi, quelques minutes auparavant. Ils occupent une partie de mon grand lit, laissant suffisamment de place pour qu’on les rejoigne sur l’autre partie. Je m’allonge sur le dos comme Alex, bite dressée vers le plafond, Héléna vient immédiatement se poser sur moi en prenant la même position que Marie. C’est une véritable chorégraphie qui se met en place, Marie et Héléna ondulant au même rythme, émettant des cris de plaisir au même moment. Rien ne peut les arrêter, le duo fonctionnant à merveille, mère et fille s’excitant mutuellement de baiser l’une à côté de l’autre. Le souffle de Marie s’accélère, comme possédée. "Je vais jouir !" crie-t-elle. "Moi aussi, maman !" crie à son tour Héléna.Cette fois, je ne résiste pas, je me laisse aller. J’explose en Héléna. Et Alex explose en Marie. Marie et Héléna continuent à onduler, profitant de nos érections qui ne faiblissent pas. Je caresse les seins d’Héléna, qui réagit par un véritable hurlement de plaisir. A nouveau, sa cyprine mélangée à mon sperme se répand sur mon ventre. Chacun de nous a donc réalisé son fantasme. Mais c’est surtout une belle aventure sexuelle à quatre qui a commencé ce deuxième soir...
