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Un fantôme dans le grenier

Chapitre 2

Divers
Joséphine se réveille, plutôt vaseuse. Sa nuit a été très perturbée par la découverte du fantôme du grenier.
Je n’arrive pas à y croire. Ma maison est hantée ! Mais qui pourrait croire une histoire pareille ?
Elle se tourne doucement sur le côté pour regarder son compagnon. Dorian se réveille doucement et lui décoche un beau sourire avant de l’embrasser délicatement. Elle le regarde se lever et filer à la salle de bain. Glissant ses mains sous la tête, elle fixe le plafond. Un grand nombre de questions l’assaille brutalement : pourquoi Dorian ne voit-il pas le fantôme ? Devient-elle folle ou dotée de capacités surnaturelles ? Aucune des deux options ne la ravit. Elle ne souhaite pas partager sa demeure avec un étranger... d’autant plus qu’il s’agit d’un fantôme !
Mais qui est-il donc ? Pourquoi m’intrigue-t-il autant ?
Après le départ de Dorian, elle va prendre sa douche et petit-déjeuner. Elle poursuit son rangement et l’aménagement des pièces.
Finalement, la matinée se passe tranquillement, sans que le spectre ne vienne la déranger.
J’ai dû rêver ! Oui, c’est ça ! C’était juste un mauvais, très mauvais rêve !
Pourtant, cela lui avait semblé si réel. Sans s’en rendre compte, ses activités ménagères la mènent jusqu’à l’échelle conduisant au grenier. Le doute l’envahit : et si c’était vrai ? Le besoin de connaître la vérité et la curiosité commencent à la dévorer de l’intérieur. Elle veut lever le voile sur ce qui s’est passé la nuit dernière.
Peut-être devrais-je en parler à Dorian ?
Non, il faudrait qu’elle lui avoue ce qu’elle a fait et elle s’en sent incapable. De plus, il est peu probable qu’il la croie. Il serait même capable de la quitter sur-le-champ. De toute manière, elle doit d’abord vérifier toute cette histoire et elle aviserait après.
Son portable se met à vibrer dans la poche de son short, la faisant sursauter. Elle le sort fébrilement et répond à son compagnon.
— Chérie ! Je vais chez mes parents récupérer quelques bricoles qu’ils veulent nous donner.— C’est super gentil de leur part ! Tu veux que je vienne avec toi ?— Non, ça va aller. Je rentre en fin d’après-midi.

Elle jette un œil sur son téléphone en soupirant, avant de le ranger. Puis, son regard se porte sur l’échelle qui monte au grenier : elle n’a pas besoin de réfléchir longtemps pour décider de la façon d’occuper son temps libre. S’armant de tout son courage, elle grimpe à l’échelle et arrive dans le grenier où elle voit le fantôme en train de se branler.
— Joséphine ! Enfin ! J’espérais te voir plus tôt ! s’exclame le fantôme.— Heuuu, comment tu connais mon prénom ? Il ne me semble pas te l’avoir dit hier.— Je t’ai entendue avec ton compagnon, Dorian. Je suis un fantôme, mais pas sourd. D’ailleurs, j’adore tes gémissements quand tu forniques.— Je ne sais pas trop comment le prendre, là... lui dit-elle. Mais... tu pourrais te présenter dans les règles, non ? Et m’expliquer toute cette histoire. — Très bien...— Et si tu pouvais arrêter de te branler quand tu me parles. Tu étais un gros pervers de ton vivant ou c’est venu après ta mort ?— Hey, cette histoire est sérieuse, alors ne blague pas ! Et puisque tu insistes, c’est bon, j’arrête... Pfff... Je m’appelle Salazar. Je suis un sorcier réputé de mon époque. Oui, tu as bien entendu, je suis un sorcier, lui dit-il alors que les lèvres de la jeune femme s’arrondissent de surprise.
Salazar lui raconte alors son histoire. Né en avril 1806, il est mort en novembre 1842.
— J’avais 36 ans. J’ai été assassiné, pour être plus précis. Un combat à mort que j’ai perdu.— Un duel ? demande Joséphine, intriguée par ce récit.— Oui. Tout a commencé avec Elettra. Ah Elettra était une femme incroyablement sexy comme on dit maintenant ! Longue chevelure noire et lisse, visage parfait à la peau légèrement bronzée. Un cul venu d’ailleurs : Gros, bombé, rebondi, musclé, bien ferme... Et des seins énormes ! Gros, fermes, droits, lourds... Vous les appelleriez 95D aujourd’hui... Et au lit, elle était...— C’est bon, j’ai compris. C’était une bombe et un bon coup. Quel est le rapport avec ta mort ?— Eh bah, son mari n’a pas aimé que je la baise dans son dos, rigole-t-il bêtement.— Elle était mariée ?— Oui, et avec ce con de Xandar. C’était aussi un bon sorcier, mais pas aussi bon que moi, et moins attirant aussi. Mais il avait la femme la plus belle de toutes. Elle était tellement inaccessible que je me suis donné pour objectif de la baiser ! Et le jour où j’ai réussi à la séduire, j’y suis allé à fond ! Ah, je l’ai besognée comme un fou. Elle a hurlé, crié et joui comme jamais... La meilleure partie de jambes en l’air de sa vie, et de la mienne... Elle n’est pas tombée amoureuse, mais mon dard lui a fait tourner la tête et elle a été prête à quitter son mari. Elle a adoré mon côté sauvage et brutal. Ce Xandar n’a alors pas aimé, mais pas aimé du tout. Et alors que je suis venu pour la besogner une nouvelle fois, il m’a attaqué. Bon, je te passe les détails, mais après on s’est battus. Sur le papier, j’étais meilleur que lui, mais je l’ai sous-estimé et sa colère l’a rendu encore plus imprévisible.— Et il t’a tué ?— Pire que ça. Il ne m’a pas laissé mourir. Il est parvenu à me maintenir à l’état de fantôme... Je suis prisonnier à jamais entre la vie et la mort. Enfin jusqu’à maintenant, je n’ai jamais pu parler à personne. Même Elettra, grande sorcière, et leurs deux enfants, n’ont pu jamais me voir.— Mais ça n’explique pas une chose. Pourquoi es-tu ici ?— Je suis mort ici. Il s’agit de l’ancienne demeure d’Elettra et Xandar, répond-il. Et votre chambre, c’était la leur, jusqu’à l’emplacement du lit, où j’ai baisé Elettra.
Joséphine frissonne en pensant à cette chambre dans laquelle elle dort puis... Elle se met à penser au vrai fait de l’histoire.
Alors... Elettra et Xandar possédaient cette maison dans les années 1800 et nous sommes en 2020. Et cette maison est dans sa famille depuis des siècles. Elettra et Xander doivent être mes ancêtres ! Et papa alors ? Il devait bien le savoir ? C’est pour ça qu’il n’a jamais parlé de cette maison ?
Joséphine est encore plus chamboulée qu’avant. Il lui faut une preuve solide pour valider son hypothèse. Elle pense alors à Salazar, le fantôme. Il ignore qu’elle a hérité de cette maison.
Mieux vaut éviter de lui en parler.
— Tu sembles pensive Joséphine...— Hein ? Quoi ? Heu oui... Il faut dire que cette histoire est difficile à croire.— Mais je t’assure que c’est la vérité.— Oui, je te crois... Salazar... Mais, il faut encaisser.— Oh oui, avec moi, tu devras encaisser !— Non, mais t’es sérieux là ? demande-t-elle en penchant la tête sur le côté les mains sur les hanches.— Désolé, mais j’adore les blagues salaces.— Sinon, pourquoi vous avez tous des prénoms bizarres... Salazar, Elettra, Xandar.— Ce sont des prénoms normaux dans le monde magique. Tu penses que Joséphine et Dorian c’est normal, toi ? C’est nul comme prénom, répond-il, semblant vexé.— Si tu le dis...

La journée touche à sa fin.
Après une bonne douche, Joséphine regarde devant la télé avec Dorian qui somnole à côté d’elle. Ce fut une bonne journée selon elle. Même si les informations l’ont secouée, elle a une partie de la vérité. Il ne manque plus que la seconde partie : depuis quand cette maison est-elle dans la famille ? Elle reprendra ses recherches dès demain. Voyant son compagnon somnoler, elle décide de le réveiller doucement pour aller se coucher.
— Mon chéri... On va au lit ?— Hmmm, oui, je tombe de fatigue.
Ils montent se coucher. Dorian s’endort rapidement. Ce qui n’est pas le cas de Joséphine. Elle se déshabille et se glisse sous les draps.
— Tu es sexy avec les cheveux bouclés, lance Salazar en surgissant de nulle part.— Haa ! crie Joséphine en sursautant. Putain, mais qu’est-ce que tu fous là !?
Comme elle a laissé ses cheveux sécher naturellement après sa douche, sa longue chevelure ondule de bien belle manière, lui donnant plus de volume que quand elle est lisse. Elle lui donne un petit air sauvage assez attirant. Et ce n’est pas le fantôme qui dirait le contraire.
— Je voulais encore te voir.— Et bah c’est pas réciproque. Allez, ouste !— Je suis sûr que tu mens !
Il saute sur le lit, à cheval sur ses genoux et l’embrasse. Bien que surprise et agacée, elle le laisse faire. Les mains de Salazar tirent le drap pour la découvrir, tandis que ses lèvres glissent le long de son cou, de sa poitrine, son ventre jusqu’à son sexe.
— Non, je n’ai pas envie... dit la jeune femme, laissant sa voix mourir dans un gémissement de plaisir.
Sans tenir compte de sa réponse, il retire complètement le drap. Malgré ce qu’elle dit, elle écarte les jambes, lui dévoilant une magnifique petite chatte rose et lisse.
— Je pensais que tu n’en avais pas envie, hé hé.— Mais tais-toi donc...
Son visage plonge alors entre ses cuisses et commence à la lécher avec force. Sa langue parcourt les lèvres intimes gonflées par le désir, le clitoris durci qu’il mordille ou suce de temps à autre. Lui écartant les lèvres des doigts, il lui lèche aussi l’intérieur du vagin.
— Hann, hannn, ouiii, tu fais ça si biennn, ouiiiiiii, jouit-elle, le corps tendu comme un arc.
Salazar ne lui laisse pas le temps de reprendre son souffle. Il se redresse et place son gros dard à l’entrée de ce sexe qu’il meurt d’envie de pénétrer.
— Tu ne veux pas que je te suce un peu avant ?— Non, tu me feras jouir direct à coup sûr !
Un rictus pervers s’affiche sur son visage. Il s’enfonce petit à petit dans cette chatte affriolante alors que Joséphine lâche un râle de plaisir. Elle gémit de plus belle sous cette pénétration qui distend douloureusement les parois très étroites de son vagin. Une fois bien ancré, il commence des va-et-vient en elle.
— Hannn, elle est groooosse... Hannn, hannnn.— Tu dors toujours nue ?— Hannn, ouiiii hannn, ça t’excite ? Hannn.— Peut-être... argh, Ta chatte est étroite ! C’est trop bon !— Hann, vas-y doucement, je ne veux pas qu’il se réveille ! Hann, hannn, ouiiii. Je vais... Je vais... Je jouiiis URGGGH !
Joséphine n’a jamais connu un tel orgasme. Jamais elle ne s’est sentie aussi remplie, aussi pleine. Alors qu’elle reprend difficilement ses esprits, Salazar lui lèche les seins dont les tétons pointent tout droit. Brusquement, sans prévenir, il l’a fait se tourner et mettre à quatre pattes pour la besogner en levrette. La chevelure bouclée de Joséphine valse sur son dos, ce qui excite le fantôme qui essaye de s’en saisir. Mais elle tourne la tête pour l’en empêcher et faire glisser ses cheveux le long de son cou.
— Non, ne me tire pas les cheveux ! Hann, hann, hann, continue d’être doux, hann, hann.
La partie de jambes en l’air se poursuit à côté d’un Dorian profondément endormi. Joséphine se redresse à genoux et s’empale profondément sur Salazar. Elle sent bien qu’il commence à être à bout. Ils font quand même l’amour depuis une vingtaine de minutes, ce qui n’arrive jamais avec son compagnon. D’autant que Salazar n’a pas connu de femme depuis près de deux siècles. Salazar empaume les seins de la jeune femme et les malaxe fermement, lui arrachant des couinements de plaisir. Leur entente semble si parfaite qu’ils pourraient passer pour un couple d’amoureux.
Finissant son fantôme avec son déhanché, elle le contemple. L’apparence du fantôme, sa couleur bleue et sa semi-transparence, la perturbent quand même. La situation l’excite énormément. Encore quelques coups de bassin et elle sent son bas-ventre se remplir de cette semence tout aussi étrange que son producteur : plus gluant et plus froid que du vrai sperme. Elle se retire de lui et il se lève du lit.
— Waouh, c’était de la bonne baise érotique tout ça. Mais je préfère le sexe bestial, moi. On verra ça la prochaine fois.— Dis-moi, je ne peux pas tomber enceinte avec ton... ton quoi au fait ?— Plasma.— Voilà, ton plasma qui fait office de sperme.— Non, il ne peut pas te féconder. Bon on se voit demain ma belle, grrr, lui dit-il en faisant semblant de la griffer.— Beurk, ne grogne plus jamais comme ça, c’est dégoûtant.— Moi, je me trouve sexy, grrr.
Le fantôme part et Joséphine se couche en pensant à cette partie de jambes en l’air. Elle a trompé son copain avec un fantôme. Mais il ne pourra jamais le savoir. Mais ce n’est pas bien... Partagée entre satisfaction et remords, la belle parvient à s’endormir malgré la culpabilité qu’elle ressent.

Lorsque Joséphine se réveille vers neuf heures, Dorian est déjà parti. Elle se débarbouille, se prépare, attache ses longs cheveux bouclés avec une grosse pince et se rend à la cuisine pour un petit-déjeuner. Elle trouve, avec surprise, Salazar « assis » sur le plan de travail de la cuisine.
— Hello ma belle. Bien dormi ?— Coucou toi. Étrangement, oui. Tu m’as fait jouir comme jamais cette nuit. Mais... hésite-t-elle un instant. Mais je me sens mal vis-à-vis de Dorian. C’est lui que j’aime.— C’est beau l’amour. Mais où est le problème ? Il ne peut pas me voir !— Mouais, ça t’arrange bien, hein ?— Bon, c’est quoi le programme d’aujourd’hui ? Grosse baise ? Sodomie ? Levrette sous la douche ? Elles sont super les douches ici.— Non, pas aujourd’hui. J’ai peut-être des désirs et des besoins que tu sembles capable de satisfaire. Et je dois reconnaître que tu es vraiment un super bon amant. Mais je me sens coupable.— Jo... ma petite Jo... C’est pas tromper, je suis...— Je sais ! Tu dis que baiser avec un fantôme n’est pas vraiment une tromperie. Tu as peut-être raison. Mais je n’ai pas envie de le blesser. Je l’aime, tu vois ?— Je comprends. Mais tu verras, tu finiras par me supplier. Alors on fait quoi, chef sexy ?— On passe la journée au grenier. Il faut que je trouve des infos sur mon histoire.— Ton histoire ?— Oui, cette maison est à ma famille depuis longtemps. Il faut que je sache depuis quand. Et je veux en apprendre plus sur ton Elettra et Xandar.— Tu penses que tu peux être leur descendante ?— Non, il y a peu de chance... ment-elle.
Ils montent ensemble fouiller dans le grenier. Ils trouvent plein de choses intéressantes. Salazar retrouve même une photo de lui, adolescent, quand il était dans la même classe qu’Elettra, dans leur école de sorciers.
— Regarde ça, j’avais dix-huit ans à l’époque. J’étais dans la même classe qu’Elettra.— Waouh, c’était toi ça ? Beau-gosse, le sorcier ! Tu as dû en chevaucher des filles de ta classe !— Et même des profs !— Ça ne m’étonne pas de toi, espèce de vieux pervers. Alors, vous étiez vraiment dans une école de sorciers ?— Bah oui, c’était la belle époque !— Et elle s’appelait Poudlard ton école ? rigole Joséphine.— De quoi ?— Non, c’est une blague, laisse tomber. Fais-moi voir Elettra... Waouh, elle est grave belle.— Et regarde celle-là, c’est elle.
Il lui montre une photo où l’on voie Elettra en gros plan, en portrait, de son visage à son opulente poitrine.
— Hum, sacrée paire de nichons, en effet... Mais elle est juste sublime, parfaite. C’est une pureté.— Et encore, tu aurais dû la voir avec mon sperme étalé sur son visage. Elle était encore plus belle.— Tu es répugnant ! Mais tu as vraiment joui sur son visage ? En facial ?— Bah bien sûr. Quand je salis une femme, je la salis jusqu’au bout !— Tu me dégoûtes... Je te préviens, tu n’as pas intérêt à me faire ça !— Tu serais étonnée de savoir que c’est elle qui me l’a demandé. Elle m’a même demandé de la soumettre.— T’as dû sacrement lui faire tourner la tête avec ta queue. Vous n’étiez pas plus évolués que les machos humains...— Non, ne vois pas ça comme de la soumission de machos, mais plutôt comme de l’art. Le visage de la femme fragile, c’est Pompéi et ma grosse queue d’homme viril, c’est le Vésuve.— C’est vrai que dit comme ça, cela fait très poétique. On pourrait presque y voir une certaine forme d’alchimie entre deux êtres...— Eh oui.— Mais ça reste dégueulasse. Bon, parlons d’autre chose. Il y avait déjà les photos à cette époque. Je ne m’attendais pas à voir autant de précision.— Dans votre monde, j’en sais rien, mais chez nous, on faisait ça avec la magie.— Intéressant. Mais pourquoi venir habiter ici et pas dans votre monde ? Maintenant que j’y pense, je trouve ça stupide.— Votre monde et le nôtre sont très proches. Et cette maison est à la frontière des deux. Il n’y a pas loin, dans ton jardin, un passage pour y accéder. Mais pour tout te dire, le monde sorcier n’existe plus depuis longtemps.— Quoi ? Sérieusement ?— Eh oui. La stupidité des sorciers à vouloir se familiariser avec le monde des humains. Baiser avec eux d’accord, mais tomber amoureux et leur faire des gosses. Pfff. On pensait que les demi-sorciers auraient des pouvoirs eux aussi, comme leurs parents sorciers. Mais non, c’était une erreur et petit à petit, tout a disparu. Et voilà où nous en sommes. Je ne sais même pas s’il reste un seul sorcier dans notre monde. Si certaines familles ont su rester « pures », c’est-à-dire rester entre sorciers, vers le début de ton siècle, les derniers sorciers mouraient sans avoir eu de descendant fiable.— Au début de mon siècle, mais tu as dit qu’il a disparu depuis longtemps, ton monde.— Oui, le monde a commencé à se vider à peu près à l’époque de ma mort. Ils avaient commencé déjà la grande migration des sorciers.— Je ne m’attendais pas à ça. Bon continuons à chercher, tu veux.
Joséphine et Salazar poursuivent leurs recherches. Et soudain, elle tombe sur un épais dossier. Le document attestant que la maison appartenait à son père. Elle remonte la liste de tous les précédents propriétaires et finit par avoir le tout premier titre de propriété : les noms posés sur le papier ne sont d’autres que « Elettra et Xandar ». Alors ce qu’elle a pensé sur ses origines s’avère être vrai : les ancêtres de Joséphine sont des sorciers.
— Alors tu es bien leur descendante...— Je ne m’attendais pas du tout à ça...— Après tout, cela explique pourquoi tu peux me voir.— Et, tu n’es pas en colère... Enfin, je veux dire... Mon ancêtre t’a tué.— Non. Pour moi, tu es surtout la descendante de ma chère Elettra. C’est incroyable. Ça me donne encore plus envie de toi. Ça vaut bien une baise !— Non, j’ai dit pas de sexe. Ça me rassure. Je ne sais pas comment j’aurais réagi à ta place. C’est quand même bizarre, comme situation.
Le fantôme embrasse Joséphine et faufile sa main sous son short pour venir lui caresser sa douce intimité.
— Humm, t’es chiant, j’avais dit non, pas de sexe...
Elle gémit lorsqu’il commence à lui enfiler un puis deux doigts.
— Humm, une masturbation, c’est pas du sexe, lui dit-il en enfonçant profondément ses doigts.— J’aime ta façon de raisonner, répond-elle en s’emparant de son membre pour le branler.
Elle pose son front sur son épaule, ils sont tous les deux à genoux l’un en face de l’autre. Ils se masturbent mutuellement, elle haletant et lui grognant. Joséphine contracte ses muscles et jouit dans un petit cri étouffé et lui éjacule son plasma sur son poignet. Ils s’écartent doucement. Joséphine s’assoit un instant pour se remettre de leur petit écart de conduite.
— J’ai une question qui me trotte dans la tête.— Je t’écoute.— Pourquoi tu es toujours en chemise et la bite à l’air ?— Ah, ça. C’est simple. Je suis mort comme ça.— Quoi ? Attends... Ça veut dire que tu t’es battu comme ça ? Ta queue pendouillant entre tes jambes ?— Bah oui... Je t’ai déjà expliqué que j’étais venu baiser Elettra. Alors quand je suis arrivé, je me suis déshabillé. Et sortir le monstre, c’est le plus urgent.
Joséphine éclate de rire.
— Ne te moque pas, ce n’est pas drôle !— Non, mais c’est la honte ! Mourir à moitié nu... Rassure-moi, tu ne bandais pas au moins ?— Bah... Si...
Elle ne peut plus s’arrêter de rire.
— Je suis content que ça t’amuse.— Mon pauvre... Et tu ne peux rien mettre d’autre ?— Non, je peux retirer le haut, mais rien mettre que je ne portais pas quand je suis mort.— C’est triste.
La journée se termine sans le moindre écart supplémentaire. Salazar raconte de nombreuses anecdotes à la jeune femme, certains très drôles, d’autres très salaces. Finalement, elle se rend compte que la peur qu’elle a éprouvée devant ses découvertes était exagérée. Regardant Salazar, à moitié débraillé, elle a la sensation qu’elle va se plaire dans cette maison.
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