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Le Fantôme dans les murs

Chapitre 4

Un secret dévoilé

Hétéro
— Que diriez-vous que je soulage cette tension ? proposa Jessica tout en massant la queue de Franck.— Je ne peux pas... (la pression s’accentua sur son sexe). Très bien, d’accord, faites ce que vous voulez.

Un sourire étira les lèvres de l’étudiante.
— Bien, allez vous asseoir.

Franck obtempéra. Les choses ne se déroulaient vraiment, mais vraiment pas, comme il l’avait imaginé. Jessica s’installa à genoux devant lui, dégrafa son pantalon et plongea la main dans son caleçon. Elle écarquilla les yeux en extrayant le sexe atrocement bandé du concierge.
— Mon Dieu, suffoqua-t-elle, c’est quoi ça ?

Sous son regard se déployait une vis immense, colossale, un braquemart à nul autre pareil, une tour de chair dressée vers le ciel, ornée de veines violacées tout aussi proéminentes.
— Elle est énorme, souffla Jessica avec un mélange de crainte et de vénération. Je ne pensais même pas que c’était possible une bite aussi grosse.

Franck n’osait rien dire, la jeune femme regardait sa queue sous tous les angles, comme une curiosité. Soudain, les doigts de Jessica se refermèrent sur son manche, décalottèrent le gland, firent quelques doux et lents allers-retours. Elle continuait de fixer cette improbable turgescence comme si elle ne parvenait pas à lui donner de sens.
— Je sais même pas si j’arriverai à la mettre dans ma bouche, marmonna-t-elle.

Et elle essaya. Elle ouvrit grand les mâchoires, fit plusieurs tentatives, mais elle ne parvint à enfourner guère plus que le gland et quelques centimètres de chair. Elle continua néanmoins de sucer Franck comme elle pouvait, jouant surtout avec sa langue autour de l’urètre. Lui était au comble du bonheur et du plaisir ; s’il ne s’était pas branlé deux fois un peu plus tôt dans la journée, il lui aurait déjà éjaculé dans la bouche.

Jessica se recula un peu, reliée à la virilité de l’homme d’entretien par un mince filet de salive et de liquide séminal, donnant toujours du poignet.
— Tu as un préservatif ? demanda-t-elle.

Franck secoua la tête en se traitant mentalement de gros con.
— Dommage... J’aurais vraiment aimé sentir une queue aussi grosse en moi. Tu sais que... (elle fit courir sa langue sur la verge de Franck, des couilles au gland, en lâchant un long « huuuum » de satisfaction). Tu sais que je n’ai pas de culotte ?— La salope ! pensa le concierge. Elle avait donc prévu de se faire sauter avant même de venir. Pendant ce temps, Jessica avait recommencé à le sucer tout en gémissant de bonheur. — Tu peux jouir si tu veux, susurra-t-elle, j’avalerai tout.

Alors Franck jouit, instantanément. Toute la frustration accumulée durant plus de 20 ans, toute l’excitation qu’elle lui avait procurée ces dernières semaines, tout le plaisir qu’elle lui avait donné ces dernières minutes explosèrent en lui en un immense orgasme. Le sperme jaillit puissamment sur le joli visage de Jessica, éclata sur sa joue, son menton, l’arête de son nez. Elle reprit immédiatement Franck en bouche, mais elle ne pouvait pas tout récupérer, le foutre s’échappa de ses lèvres puis de son nez tandis qu’elle s’étouffait. Elle se recula, mais la prodigieuse éjaculation de son amant n’était pas terminée et deux longs traits de semence s’abattirent encore sur elle, l’un sur ses lèvres, l’autre sur sa robe. Et le volcan toujours dressé continua un moment de cracher sa lave lactée, qui ruissela sur ses pentes et sur les doigts qui l’étreignaient.
— Mon Dieu, fit une Jessica incrédule. Mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu.

Elle était presque paralysée par la surprise et l’excitation. Mais Franck n’en avait pas fini avec elle. Il se leva brusquement, la saisit, la souleva comme une plume et la déposa sur le rebord du plan de travail de la cuisine, lui écarta les cuisses et souleva sa robe. Elle n’avait pas menti, elle ne portait pas de culotte et exhibait sa petite chatte rasée luisante de mouille. Franck prit place entre les jambes de la jeune femme, sa pine dégoulinante de foutre frotta contre le sexe glabre dont il écarta facilement les grandes lèvres. Il allait la pénétrer lorsqu’elle l’arrêta.
— Arrête, s’il te plaît. Je prends pas la pilule, je vais tomber enceinte avec autant de sperme. (Elle le regarda, hésita) Achète des capotes demain, je reviendrai le soir.— Tu es sûre ? demanda-t-il, soudain hésitant.— Oui, sûre. J’ai trop envie de sentir ta bite.— Et ton copain ?— Peu importe, on le fera juste une fois. Mais s’il te plaît, pas ce soir, pas sans capote.— D’accord, répondit Franck, partagé entre déception et espoir face à cette promesse.

Puis il s’agenouilla, huma la chatte de Jessica... Et y fourra sa langue. La jeune femme poussa un petit cri de surprise et de plaisir. Il s’enivra de son goût musqué tandis qu’il la léchait au début doucement, puis de plus en plus vite. Tandis que la langue de Franck virevoltait à toute allure sur le clitoris de la jolie brune, il lui plongea deux doigts dans le vagin, qu’il pilonna comme un dément.
— Han oui, gémit Jessica. Oh que c’est bon. (Puis très vite : ) Arrête, je vais jouir si tu continues.

Franck ne stoppa pas, il sentait bien que ce n’était pas ce que voulait Jessica, pas à la façon dont elle bougeait pour accompagner son cunnilingus. Puis elle jouit en lâchant un long râle, un orgasme puissant qui la secoua un moment et la laissa tremblante, haletante.
Franck aida la jeune femme à descendre de son piédestal, la soutint lorsqu’elle chancela, rajusta sa robe souillée de sperme, lui nettoya le visage, la main et, comme il le pouvait, les vêtements. Jessica se laissa faire, dans un état second. Elle ne sembla à nouveau s’animer que lorsqu’il la ramena doucement vers l’entrée, cligna plusieurs fois des yeux et dit :
— Euh... merci.— De ? répondit Franck en se grattant la tête.— Ben... J’ai jamais joui aussi fort. Et tu m’as essuyée. C’est gentil.— Ah ben de rien. J’ai quand même une question...— Oui ?— Pourquoi ?

Jessica prit un air pensif.
— Ben, j’avais pas tout prévu en fait. A la base, j’ai été touchée que tu tentes rien alors que tu bandais dur et que j’étais à poil et vulnérable. Et puis bon, t’as une grosse bite, je me demandais ce que ça faisait d’en toucher une.— Tu pouvais pas savoir, releva Franck.— Bah si. Même avec ton pantalon, ça se voyait que t’en as une grosse. Je pensais juste pas qu’elle était AUSSI grosse. Et puis voilà... A la base, j’étais partie pour juste une branlette et t’allumer à mort, mais j’ai pété les plombs quand je l’ai vue. (Petit rire gêné) Même quand mon chéri me doigte, je mouille pas autant que quand j’ai vu ta queue. Et alors quand je l’ai sucé... Huum, rien que d’y repenser j’ai envie.— Envie ?— De la voir.— Euh... Tu veux que je te la montre ?— Non, de l’avoir. De l’avoir en moi.— Ah.

Franck partit d’un grand rire qui contamina Jessica.
— Juste, reprit-elle sérieusement, je veux que tu me promettes que ça sera juste une fois pour essayer.— Pas de problèmes pour moi, répondit un Franck déjà au comble du bonheur.

Il raccompagna Jessica à la porte, elle lui fit un petit signe de la main en partant.
Cette nuit-là, Franck dormit extrêmement bien. En fait, il était heureux : la jeune femme lui avait témoigné une forme d’affection sincère, tous deux avaient joui fort de l’autre et la promesse du soir à venir l’exaltait. Plus que tout, il avait compris le secret de sa délivrance : son sexe disproportionné qui détenait le pouvoir de faire perdre la tête aux femmes.
Il se réveilla d’excellente humeur. Après son café et la séance de masturbation d’Aurore, il fonça à la pharmacie acheter préservatifs taille XXL et lubrifiant. Puis il s’attela à la suite de l’affaire. Il savait comment recommencer avec d’autres étudiantes, mais il avait de nombreux préparatifs à faire.
Il commença par ajuster le système bricolé l’avant-veille et déjeuna une fois son travail accompli. Puis il s’intéressa à la clef USB : la première sélection qu’il avait faite la veille devait être complètement revue et il devait terminer aujourd’hui...
Il venait de boucler cette tâche lorsqu’on frappa à la porte. Il jura en constatant qu’il était 21 heures passées et alla ouvrir. Jessica était là, ravissante dans une minijupe en jean et un débardeur ultra-moulant qui laissa deviner ses tétons déjà bien pointés. Elle fit deux pas à l’intérieur et, sitôt l’échappatoire condamnée, lança un joyeux :
— J’ai un string cette fois. Tu as les capotes ?

Franck acquiesça. — Va t’asseoir, j’ai une surprise pour toi. Et toute la nuit pour que tu en profites.
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