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Le Fantôme dans les murs

Chapitre 5

One-shot

Hétéro
Franck prit place dans son fauteuil, comme ordonné par Jessica. La jeune femme se plaça à deux mètres de lui et commença à se déhancher sensuellement. Ses mains remontèrent le long de ses cuisses, soulevèrent légèrement la jupe, la laissèrent retomber au moment où Franck crut qu’il allait enfin voir son string, continuèrent leur route sur son ventre. Sans cesser de danser, la jeune femme effleura ses petits seins ronds, titilla, l’espace d’une seconde, ses tétons qui pointèrent encore plus sous l’étoffe blanche du débardeur.
Puis elle se pencha, Franck sentit son cœur s’arrêter lorsqu’il vit les deux adorables mottes de chair. Le spectacle fut de courte durée, Jessica s’était déjà redressée, retournée, elle agitait maintenant son joli popotin sous le nez du concierge. D’une main, elle fit remonter sa jupe, dévoila la ficelle rouge qui plongeait entre ses fesses, sur lesquelles elle assena une claque de l’autre main. Puis le tissu retomba, Jessica fit un nouveau demi-tour, pétrit sa poitrine en se déhanchant de plus belle. Elle devait faire de la danse du ventre pour bouger comme ça se dit Franck.
— Tu veux en voir plus ? demanda l’étudiante.

Franck acquiesça vigoureusement, Jessica passa les pouces sous son débardeur et le fit remonter doucement, atrocement doucement, un centimètre à chaque déhanchement. Les fins sillons de ses abdominaux apparurent les premiers, elle continua de danser, de soulever le tissu, dévoila ses côtes. L’homme d’entretien retenait son souffle, plus que quelques instants...
Enfin, le Saint Graal ! Jessica releva soudain son haut au-dessus de ses seins, seins qu’elle empauma, malaxa, relâcha. L’étoffe retomba aussi vite qu’elle s’était dressée, à la grande déception de Franck. Mais le spectacle ne faisait que commencer.
Les pouces s’attaquaient à présent à la jupe. Centimètre après centimètre. Le rouge du string apparut, l’étoffe moulait le pubis, suggérait les contours du clitoris et des grandes lèvres. Soudain, le vêtement en jean chuta sur les chevilles de Jessica, qui l’envoya valser à travers la pièce d’un élégant coup de pied. La danse, elle se poursuivait, la jeune femme retira une bretelle de son débardeur, puis l’autre.
Franck n’en pouvait plus, il ouvrit son pantalon, dégaina son espadon, ce qui arracha un sourire plus qu’appréciateur à la vile tentatrice. D’un mouvement aussi sensuel que lent, elle retira complètement son haut, le jeta sur l’observateur. Puis elle glissa une main sur son sein, une autre dans son string. Elle se caressait sous le regard du concierge qui n’en bandait que de plus belle. Elle fit un pas en avant, un autre.
Les joues de Jessica étaient en feu, elle gémissait du plaisir qu’elle s’infligeait.
— Est-ce que... articula-t-elle. Est-ce que tu as envie que j’enlève mon string ?

Franck fit « oui » de la tête plusieurs fois. Alors Jessica fit doucement descendre son dessous le long de ses cuisses. Entièrement nue, elle reprit sa masturbation sous les yeux de son partenaire qui, lui, n’osait pas bouger et à peine respirer.
— Tu as envie de moi ? demanda-t-elle.— Oh que oui, répondit l’intéressé.— Ça tombe bien, haleta-t-elle. Parce que moi aussi j’ai très envie de toi.


Jessica s’approcha de Franck, caressa son mastodonte du bout des doigts, descendit pour lui malaxer les couilles avec beaucoup plus d’entrain. Durant toute l’opération, sa main n’avait pas quitté sa vulve qu’elle massait avec vigueur.
— J’en peux plus, souffla-t-elle, mets un préservatif.

Tandis que Franck se levait pour caparaçonner sa lance de caoutchouc, la jeune femme prit sa place sur le fauteuil, les jambes écartées, les doigts toujours rivés sur son intimité. Lorsqu’il revint tout harnaché, elle le regarda dans les yeux.
— Je veux que tu me baises comme la dernière des salopes, murmura-t-elle. Défonce-moi avec ton énorme bite.

Le concierge ne se fit pas prier, il tira l’étudiante à lui, frotta son sabre contre sa vulve dégoulinante et l’empala aussi sec. Putain que c’était bon ! A chaque mouvement, il sentait la chair s’écarter pour laisser son membre fouiller toujours plus loin les entrailles de la jolie brune, il finit par cogner au fond de son vagin et lui arracher un petit cri de plaisir et de douleur.
— Oh mon Dieu ! lâcha Jessica. Elle est siii grosse, j’ai l’impression d’être complètement remplie.

Elle baissa le regard sur le membre profondément enfoncé en elle, eut un petit rire.
— Putain, t’es même pas en entier dedans.

Franck posa ses grosses paluches sur les hanches de la jeune femme et fit un aller-retour dans son fourreau brûlant, lui arrachant un cri de plaisir.
— Haaaan, c’est trop bon.

Le concierge continua son exploration de l’antre dégoulinant de Jessica, laquelle fit glisser une main jusqu’à son clitoris boursouflé. En un rien de temps, surexcitée par son strip-tease, ses attouchements et les coups de matraque de son amant, elle fut dévastée par un orgasme à la mesure du braquemart qui lui démontait la chatte.
— Ouiii, encore ! cria la jolie brune. Baise-moi fort, oui comme ça. Oooooh j’aime ça !

C’en était trop pour Franck, il fut traversé par une jouissance fulgurante, brutale, il eut l’impression de déverser jusqu’à ses tripes dans le préservatif tant il éjaculait. Il se retira, enleva le latex, regarda sa partenaire rouge et en sueur, le visage encore déformé par le plaisir.
— Oh et puis merde, grogna-t-il.— Quoi ? répondit Jessica soudain penaude.— Rien, bougonna le concierge en faisant quelques pas. T’es tellement bonne que je crois que tu vas encore y passer.

Lorsqu’il se retourna, son sexe toujours aussi bandé était recouvert d’une nouvelle capote.
— Attends, fit l’étudiante d’un ton incrédule. Tu vas quand même pas me rebaiser tout de suite après ?— Ben si...— Oh putain... (Elle écarta généreusement les cuisses). Mets-la moi tout de suite !

Franck la saisit par les hanches, l’installa à genoux sur le fauteuil et la pénétra tandis qu’elle posait les avant-bras sur le dossier.
— Oh mon Dieu, gémit Jessica, c’est encore mieux comme ça, je la sens tellement bien !

Franck posa ses grosses paluches sur la taille de sa partenaire. Elle paraissait si petite et frêle, comparée au colosse qui la baisait, c’en était presque comique. Jessica ne tarissait pas de mots crus pour décrire à quel point l’énorme sexe de son amant la comblait dans tous les sens du terme.
Le concierge était comme fou, il démontait littéralement la jeune femme en profitant de tout ce que la vie lui avait refusé de plaisir depuis plus de deux décennies, comme s’il essayait durant cet unique rapport de rattraper le temps perdu, les occasions ratées. Après un nouvel orgasme, Jessica se mit à jouir sans discontinuer, elle n’était même plus capable de parler et n’émettait plus que des râles incontrôlés tout en expédiant des flots de cyprine sur ses cuisses, le fauteuil et la bite de son amant.
Au bord de la rupture, Franck se retira, jeta le préservatif par terre pour éjaculer sur les fesses si rondes et obsédantes de l’étudiante. Il lui recouvrit littéralement le dos de longs jets de foutre chaud, lui en colla même dans les cheveux, avant de s’effondrer à genoux.
Suant et ahanant, il était à bout de forces. Jessica se laissa couler, le souffle court et le corps luisant de transpiration autant que de sperme.
— Putain, articula-t-elle. Je vais... (elle chercha sa respiration) :) Je vais plus... plus jamais... pouvoir prendre mon pied... après ça...— Content que ça t’ait plu...

Jessica se retourna, s’adossa au fauteuil (« Tant pis pour le tissu » pensa Franck) et écarquilla les yeux.
— Tu bandes encore ? fit-elle, incrédule.— On dirait bien, soupira Franck en caressant sa bite toujours aussi raide.— Mais t’es pas humain en fait ? — J’dois être fait bizarrement. Tu m’as fait jouir comme pas permis et j’ai encore envie de te sauter...

Jessica fit « non » du doigt.
— T’es fou, je pourrais pas la prendre encore, elle est trop grosse.

Franck se laissa aller un peu en arrière, un filet de sperme coula le long de son membre et colora ses poils de ses bourses.
— J’ai envie de te prendre le cul, avoua-t-il dans un rire.— Aucun risque, je suis vierge de là et elle rentrera jamais. Désolée.— Je vais pas me plaindre, répondit-il en essayant vainement de se lever.De toute façon, j’ai plus l’âge de ces conneries, j’arrive même plus à me mettre debout.

Pleine de sollicitude, Jessica l’aida à se redresser. En remerciement, il essuya son dos souillé. L’étudiante se rhabilla ensuite, mais elle donnait difficilement le change : ses longs cheveux en bataille, ses joues encore rosies par l’orgasme, son regard brillant de luxure ne tromperaient personne. Sans parler de son odeur : elle empestait la transpiration et le sexe, exhalait un puissant mélange de sperme et de cyprine à un mètre.
— Pas trop déçue ? demanda Franck.— Putain non ! répondit Jessica avec un enthousiasme sincère. Même si je culpabilise un peu pour mon copain...

Le concierge posa sa grosse main sur la frêle épaule de la jeune femme.
— T’en fais pas, dans quelque temps, t’auras oublié ça.— Haha, je risque pas d’oublier une baise pareille.— Je parlais de ta culpabilité.

Jessica haussa les épaules.
— Ça passera. D’ailleurs tant que je te tiens... Je peux le ramener dans ma chambre ?

Franck rit intérieurement. Elle ne perdait pas le nord.
— Tant que je ne reçois pas de nouvelles plaintes, je ne suis au courant de rien, fit-il en écartant les bras en signe d’impuissance.— Bon, ben merci pour tout alors ! exulta la jeune femme.

Elle se dirigea d’un bon pas vers la porte que Franck, galant, lui tint.
Sitôt après son départ, l’homme d’entretien se frotta les mains. Les choses s’étaient finalement mieux déroulées que prévu. Différemment certes, mais le résultat en avait été aussi inattendu que satisfaisant. Et ce week-end promettait lui aussi d’être des plus intéressants.
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