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Le Fantôme dans les murs

Chapitre 6

Nouvelle proie

Voyeur / Exhibition
Samedi matin, première heure. Franck frappa puissamment à la porte et patienta une petite minute. Le battant s’ouvrit sur la gueule enfarinée d’une petite beurette simplement habillée d’un grand t-shirt gris qui laissait deviner ses gros seins tombants et le bas de ses cuisses noueuses. Elle posa un regard noisette et surpris sur le concierge.
— Désolé d’vous réveiller, mam’zelle, fit Franck de sa voix la plus bourrue. On m’a r’mis ça pour vous.

Il exhiba une clef USB marquée au nom de la jeune femme.
— Qui vous a donné ça ? répondit-elle de sa voix légèrement rauque.

Franck haussa les épaules.
— Un étudiant. Y m’a dit qu’il l’a trouvée à la bibliothèque. Savait pas à qui c’est.— Mais il ressemblait à quoi ?— Chais pas moi. A un étudiant.— Bon ben... Merci.— A vot’service mam’zelle, conclut Franck en saluant.

Sitôt la porte refermée, le concierge fonça dans les combles. Il s’installa au périscope, à bout de souffle, en se jurant de se mettre au sport si son cœur survivait aux épreuves qu’il lui infligeait.
En bas, le spectacle avait déjà commencé. Myriam avait retiré sa culotte et caressait doucement son sexe velu en regardant fixement l’écran. Elle prenait son temps en découvrant la nouvelle fournée de vidéos servie par Franck, câlinait son clitoris, s’enfonçait de temps à autre un doigt, parfois deux, qu’elle suçotait ensuite. Après quelque temps, elle passa une main sous son t-shirt pour malaxer une de ses grosses mamelles.
Le voyeur sortit son sexe pour se donner lui aussi du plaisir. Comme pour la jeune femme, rien ne pressait, il avait tout son temps. Après quelques vidéos, Myriam remonta son t-shirt au-dessus de ses seins pour mieux les flatter. Entre ses cuisses, elle avait introduit trois doigts dans son vagin et les accompagnait de mouvements du bassin, lents et voluptueux au début puis de plus en plus rapides. La délivrance approchait, elle cessa de se pénétrer pour branler farouchement son clito.
Et à voir comment elle serra les jambes sur sa main et se mordit la paume, l’orgasme dut être violent. Comme à chaque fois, elle resta un long moment, presque immobile sur sa chaise, à passer doucement les doigts sur la peau de son ventre, de ses cuisses. Franck en profita pour mettre fin à son propre supplice, mais resta encore quelque temps à la regarder.
Le concierge se sentait particulièrement satisfait. Il avait touché le gros lot avec Myriam, son instinct lui annonçait d’ores et déjà qu’il pourrait tirer mille et un plaisirs de la jeune femme, de ses gros nibards, de sa chatte poilue et de son gros cul. Oh ça oui, qu’il avait hâte de se faire du bien entre les fesses de la petite beurette ! Il faudrait être patient, très patient, la faire monter petit à petit en pression. Mais elle était bien partie pour s’abandonner à la luxure, à voir comment elle était passée de l’abstinence la plus dure à la masturbation la plus fréquente. Tout ce qu’il lui manquait, c’était le dernier déclencheur.
Et Franck savait comment faire...
Le déclic vint le lendemain. L’homme d’entretien avait attendu que tous les signaux soient au vert, et ils l’étaient. Myriam s’était touchée trois fois sur les nouvelles vidéos et, surtout, elle avait accroché un lacet à la poignée de sa porte. Pourquoi ? Tout simplement à cause du fichier « ReadMe.txt » présent dans la clef USB. Celui-ci disait :
« Bonjour Myriam,
Je ne sais pas si tu as apprécié mon cadeau de la dernière fois ni si tu aimeras celui-ci. Si c’est le cas, je te propose d’accrocher un fil à ta porte cette semaine, comme ça, je saurais que tu aimes ce que je t’offre et que je peux continuer de t’en donner. »Alors quand la jeune femme partit se laver, l’homme d’entretien n’hésita pas : il était temps d’utiliser son nouveau système. Les escaliers menant aux combles passaient à côté des douches. Franck y avait depuis longtemps aménagé de petits trous permettant d’apercevoir les étudiantes faire leurs ablutions. On voyait certes moins et moins bien qu’avec les périscopes, mais la proximité et l’angle différent n’étaient pas pour lui déplaire.
Le voyeur repéra rapidement la cabine où Myriam était déjà en train de se nettoyer. Il prit une grande respiration et retira le cache qu’il avait aménagé dans un des carreaux du mur. Puis il baissa son pantalon, glissa son sexe fort raide dans l’orifice et attendit. Si ses calculs étaient bons, la vingtaine de vidéos de gloryhole sur laquelle Myriam se touchait depuis la veille devrait...
Des doigts hésitants parcoururent soudain la verge de Franck, l’effleurant à peine tandis qu’ils remontaient le long de la turgescence. L’homme d’entretien frissonna d’excitation et de plaisir, sa queue tressaillit. Le manège recommença une fois, puis il y eut quelques secondes de pause.
Tout à coup, une main ferme enserra le braquemart qui pointait à travers le mur, le branla maladroitement. C’était si bon ! Pas par la qualité de la branlette, mais par le savoir que cette verge était la première touchée par ces doigts vierges, par la conscience que tout ceci n’était que l’aboutissement d’un plan mûrement réfléchi pour faire tomber la jeune Myriam dans le stupre.
Des lèvres, si douces et charnues, se refermèrent sur la montagne de chair. Elles n’allèrent pas bien loin, ne dépassèrent même pas le gland. A la place, une langue au début incertaine, mais très vite agile titillait l’urètre, tournait autour. Petit à petit, la maladresse virginale laissa place à une assurance certaine, la main volait sur le sexe de Franck, la langue dansait sur son gland. Il sentit la libération arriver.
Un petit cri de surprise traversa le mur lorsque le premier trait envahit la bouche de Myriam, explosa au fond de sa gorge. Le contact cessa immédiatement tandis que Franck lâchait giclée après giclée. Une fois le geyser éteint, encore secoué par l’orgasme, l’homme d’entretien fit disparaître son sexe par l’orifice du mur et l’orifice du mur derrière le cache, qu’il remit en place.
Par le petit trou d’observation, il aperçut la jeune femme qui retournait sous le jet d’eau. Elle était littéralement couverte de sperme, elle en avait dans ses cheveux bouclés, plein le visage, sur ses gros seins tombants et ses petits bourrelets. Un fil visqueux pendait accroché à son épaisse toison pubienne. Un vrai régal pour les yeux, une consécration des efforts déployés par Franck !
Franck la regarda un moment se récurer, puis il retourna l’observer depuis les combles. Il regarda la porte s’ouvrir, Myriam faire quelques pas hésitants dans sa chambre, lorgner son PC portable sur le bureau, opter finalement pour le lit. Elle se mit entièrement nue, plia ses vêtements, les posa sur sa chaise et s’installa sur sa couche pour se masturber. D’une main, elle maltraitait son clitoris, de l’autre elle suçait ses doigts en imitant une fellation. Elle qui prenait toujours son temps pour se toucher, faisait monter son plaisir en regardant vidéo après vidéo, elle se donna un orgasme en quelques instants, à une vitesse qui défiait l’entendement.
Un étage plus haut, Franck jubilait. Voir Myriam jouir des vidéos qu’il lui fournissait était très satisfaisant. La voir jouir d’avoir sucé sa bite était extrêmement gratifiant, encore plus que la vision de son jeune corps dégoulinant de foutre.
Franck passa la journée sur un nuage, bien plus qu’après ses ébats avec Jessica. Tout roulait pour lui et il se coucha le plus heureux du monde. Le lendemain matin, il retourna au gloryhole aménagé dans les douches, tendit son sexe à Myriam par l’ouverture. Cette fois, elle le suça comme il l’espérait, enfonça autant que possible cette verge formidable dans sa bouche, la lécha comme une glace à l’eau, la branla avec talent. C’est qu’elle apprenait vite cette petite ! Si vite qu’elle se laissa sagement couvrir de sperme par cette bite inconnue à laquelle elle venait de s’abandonner.
Sitôt récurée, tout juste revenue dans sa chambre, elle baissa son jean et sa culotte sur ses cuisses. Elle ne prit pas le temps, elle ne pouvait pas, elle avait trop envie. Elle rampa jusqu’à son lit, posa un bras sur le matelas, la tête sur sa main. Et là, à genoux dans sa petite chambre d’étudiant, à peine déshabillée, elle se fit du bien. Elle se pénétra de ses doigts en s’imaginant, Franck le savait, qu’elle chevauchait sa bite et cette fantasmagorie suffit à la faire jouir à la vitesse de l’éclair, sans qu’elle n’ait besoin de s’occuper de son clitoris.
Elle perdait la boule et le concierge aussi. Maintenant, il en voulait plus, toujours plus. Il voulait dépasser cette cloison entre Myriam et lui. Il voulait la baiser comme il avait baisé Jessica, plus violemment même, la faire crier de plaisir. Il voulait la mettre à genoux, la soumettre à ses moindres désirs ; mieux, il voulait qu’elle le supplie de l’utiliser pour se satisfaire. Plus que tout, il voulait la sodomiser, lui prendre le fion, l’enculer, lui éclater la rondelle.
Mais chaque chose en son temps... A partir de cet instant, Franck délaissa son voyeurisme matinal de la belle Aurore pour, à la place, présenter son pal à la jeune Myriam. C’est ainsi que tous les matins, il se faisait pomper le dard par la petite maghrébine et aspergeait copieusement sa peau mate. L’étudiante ne manquait jamais un rendez-vous et elle se délectait d’arracher sa semence à son mystérieux partenaire. Une fois son office rempli, elle se masturbait contre le mur carrelé de la douche, encore couverte de foutre chaud.
Après une semaine à jouir comme un fou de la bouche et la main de cette fille qu’il trouvait de plus en plus jolie, Franck n’en pouvait plus. Il DEVAIT passer à la suite de son plan.
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