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Le Fantôme dans les murs

Chapitre 8

Dépucelage anal

Trash
Attendre, patienter, ce n’était pas le fort de Franck ; encore moins depuis qu’il s’amusait avec certaines étudiantes. Il fit les cents pas en attendant l’arrivée de Myriam, but une bière, regarda la télé. Finalement on frappa à la porte.  Lorsque la jeune maghrébine entra dans l’appartement, elle portait un long t-shirt qui lui arrivait à mi-cuisse. Sitôt l’échappatoire refermée, elle souleva son vêtement : elle ne portait absolument rien en dessous, exhibait sa chatte poilue au regard concupiscent du concierge.   « Quelle petite salope ! » jubila-t-il en posant sa main sur l’abricot juteux de la jeune femme.   Bon sang qu’il aimait jouer avec ses lèvres charnues, sentir sa mouille couler sur ses doigts.   - Content ? minauda-t-elle.  - Très. Encore mieux que ce que j’avais demandé.  « Tu vas prendre cher » songea-t-il en l’amenant vers le minuscule salon.   Là, il lui retira son t-shirt, malaxa ses énormes seins. Puis il les téta, depuis le temps qu’il en rêvait ! Intérieurement, il souriait comme rarement : la vierge d’il y a quelques semaines était à présent à poil devant lui, à soupirer en se faisant bouffer les nichons comme la petite pute qu’elle devenait. Franck saisit les fesses de Myriam des deux mains, y planta ses doigts, elle n’en gémit que de plus belle. Galvanisé, il les écarta, avança l’index au petit trou de l’étudiante, joua avec. Puis il plongea dans cet orifice diablement serré.   - Tu vas me sodomiser ? demanda Myriam avec un mélange d’appréhension et d’excitation.  - Ouais, répondit Franck. Je vais te baiser et ensuite je t’enculerai.  Elle avala sa salive. L’idée de recevoir un braquemart pareil dans le cul l’angoissait quelque peu, mais elle ne répondit rien.   - Viens, continua le concierge en lui prenant la main. J’ai envie de te bouffer la chatte.  Il l’installa sur le lit et s’occupa de son minou. Vraiment quel régal ! Il ne pensait pas pouvoir s’en lasser un jour. 
  Une fois Myriam satisfaite, ce fut son tour de se déshabiller complètement et de présenter son immense vis aux portes du plaisir. Il saisit la jeune femme par la taille et s’introduisit en elle. L’assaut fut violent, Franck ne ménageant pas sa partenaire qu’il pilonnait et à qui il arrachait des hurlements de plaisir chaque fois que sa queue cognait au fond de sa chatte. En un rien de temps, excité comme il l’était, il se déversa en elle et elle jouit fortement en sentant les contractions qui expédiaient de puissants jets de sperme dans ses entrailles. Lorsqu’il se retira, le foutre abondant dont il l’avait remplie coula de son sexe, ruissela entre ses fesses jusque sur les draps.   Franck ne perdit pas de temps, il attrapa la jeune femme par les hanches, la força à se mettre à quatre pattes devant lui.   - Prête à te faire enculer ? demanda-t-il.  - Non, répondit-elle en toute franchise. Mais je suis ton esclave alors vas-y.  - Bien dit.  Franck récupéra son jus dans la raie de Myriam, en enduisit sa rondelle, força l’entrée d’un, puis deux, puis trois doigts. Entre chaque mouvement, il ajoutait sperme et cyprine pour lubrifier. Enfin il présenta sa verge à l’entrée de l’anus béant de Myriam et l’y enfonça. Quel bonheur de sentir les chairs s’écarter pour livrer passage à son vis, d’aller et venir dans ce cul tant et tant désiré !   Franck augmenta petit à petit la cadence, referma une main sur les boucles de la brunette pour la sodomiser avec une joie toute animale tout lui tirant les cheveux. Putain que c’était bon ! La posséder ainsi, pleinement, complètement, enculer celle qui n’était plus une vierge effarouchée mais une chienne en chaleur gémissant de bonheur sous les assauts du mâle.   L’orgasme de Franck fut violent, il s’enfonça si fort en Myriam pour y lâcher sa semence que la jeune femme perdit l’appui sur ses bras et se retrouva la tête dans l’oreiller. Le concierge ne se donna même pas la peine de se retirer, il continua ses coups de boutoirs dans le derrière de celle dont il écrasait le visage dans la literie, pilonnant ses grosses fesses lubrifiées par la décharge de foutre. La beurette hurlait son plaisir dans le coussin, jouissant sans retenue par le cul.   Après une longue sodomie, l’homme d’entretien se vida encore une fois dans l’anus dans l’étudiante. Elle tremblait de tous ses membres lorsqu’il se retira et essuya son sexe souillé sur le séant de la demoiselle, encore secouée par les nombreux orgasmes qui se dissipaient. Ses cuisses se dérobèrent sous elle et elle s’effondra sur le matelas.   - Je… articula-t-elle. J’ai tellement joui…  Franck la regarda avec ses deux orifices béants qui dégorgeaient un flot de liquide blanc. Quelle satisfaction. Il se sentait enfin complet, il avait poussé une vierge dans les tréfonds du stupre. Il avait pris sa bouche, sa virginité vaginale et anale. Il l’avait faite jouir par le cul moins de vingt-quatre heures après son dépucelage. Et tout cela, il ne le devait qu’à lui-même. S’il avait été plus jeune, il aurait sans doute entamé une danse de la victoire.   A la place, il retourna Myriam, se pencha sur elle pour lécher ses gros seins salés par la transpiration. La jeune femme se laissa aller à ses caresses buccales tout en faisant délicatement courir ses doigts sur ses cuisses et son ventre, comme elle le faisait toujours après s’être masturbée. Les yeux clos, les lèvres entrouvertes, elle flottait dans un océan de bien-être et de doux plaisir, si différent de la brutalité du sexe et de ses orgasmes.   La magie se dissipa brutalement lorsque Franck enfonça deux doigts dans son vagin dégoulinant de sperme et de cyprine. Myriam poussa un long cri de surprise et de plaisir que son amant accompagna en la fourrant toujours plus vite et fort. Pendant une minute ou une heure, il l’entreprit de ses doigts épais tout en massant son clitoris du pouce et elle l’accompagna en ondulant des hanches comme une forcenée.   Lorsqu’elle jouit enfin, son ultime orgasme de la journée, tout son corps s’arqua sous la décharge de plaisir tandis qu’elle poussait un grand râle incontrôlable. Lorsque Franck lui présenta ses doigts, elle les lécha délicatement, savoura le goût de leurs jus mélangés.   Une fois la vague passée, Myriam se rassit en tailleur, considéra d’un air presque absent le sexe du concierge, toujours aussi raide. Un vague sourire étira ses lèvres.   - Je vais pas pouvoir la prendre encore, fit-elle d’un air pensif.  - T’en fais pas, répondit Franck. Je bande encore, mais je suis satisfait.  - Je peux te faire une branlette si tu veux.  - Je dirai pas non, fit l’homme d’entretien en riant franchement.  Myriam se mit à l’œuvre. De la main droite au début, puis de la gauche lorsque son bras fatigua. Elle termina allongée sur le ventre, à branler Franck des deux mains comme une forcenée. Elle en fut finalement récompensée par deux longs jets de foutre qui lui strièrent la face et une cascade blanche, épaisse et visqueuse qui recouvrit ses doigts et son poignet.   - Tu n’es pas humain, rigola-t-elle en léchant le sperme sur sa main. Comment tu peux encore en sortir autant ?  - Hahaha, j’en ai aucune idée.  Franck se pencha et embrassa doucement Myriam.   - Merci, fit-il. C’était une sacrée partie de jambes en l’air.  - Ah ça…  La jeune femme se rassit et s’étira.   - C’est officiel, j’adore le sexe. Je pensais vraiment pas que c’était si bien.  - Et la sodomie ? Pas trop douloureux ?  - Un peu, mais c’était tellement bon. Je me demande même si je préfère pas me faire enculer que baiser.  Elle émit un petit ricanement gêné, comme outrée de ses propres mots.   - Mon dieu, écoute-moi parler. Je suis devenue une sacrée salope.  Elle ricana encore.   - Dire qu’il y a deux semaines je bitchais sur les nanas qui baisent… Et regarde-moi, je suis la pire salope.  - Non, fit Franck. Tu es MA salope.  - Ha ha ha. C’est vrai que je sais pas si je pourrais être aussi pute avec d’autres mecs. Enfin c’est pas comme si je comptais coucher avec d’autres garçons, rajouta-t-elle rapidement.  Franck haussa les épaules.   - On ne sort pas ensemble. Si tu veux coucher avec d’autres, tu peux autant que tu veux.  - On verra si l’occasion se présente. Pour l’instant est-ce que tu es d’accord si je me fais la main avec toi ?  - Autant que tu veux ma belle.  Dès lors, les semaines s’enchaînèrent à toute vitesse. Du lundi au vendredi, c’était fellation à travers le gloryhole, le week-end c’était baises et sodomies à répétition dans le petit appartement de Franck. Insatiable, Myriam en réclamait sans cesse et après quelques temps devint même plus endurante que le concierge qui demandaitsouvent grâce avant elle.   Plusieurs fois elle branla Franck entre ses gros seins, lui faisant découvrir une nouvelle pratique des plus plaisantes. A trois reprises, elle présenta sa vulve plutôt que sa bouche au trou des douches. L’homme d’entretien était si excité de la savoir en cours avec sa belle chatte poilue dégorgeant des flots de foutre qu’il se masturba toute la journée pour faire passer son émotion.   En somme, tout se passait très bien pour Franck, il était aux anges et profitait à fond de la situation. Mais une fois de plus, il en voulait plus. Toujours plus.  Et le destin s’apprêtait à lui sourire.
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