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Le Fantôme dans les murs

Chapitre 9

Revanche

Trash
Le mois de mai finit par arriver et avec lui les premières chaleurs. A mesure que la température montait, les vêtements des filles raccourcissaient. Jupes et débardeurs remplaçaient blousons et pantalons épais, pour le plus grand bonheur de Franck. Juché sur son escabeau pour remplacer un néon, il ne perdait pas une miette du spectacle offert par les jeunes femmes qui se rendaient en cours.   - Bonjour mesdemoiselles, lança-t-il gaiement à Laura et une copine à elle qui le dépassaient.  La petite brune lui répondit poliment, la blonde toute en forme ne pipa mot et reçut, quelques pas plus loin, un coup de coude dans les côtes.   - C’est pas sympa, meuf. Pourquoi t’as pas répondu ?  Laura haussa les épaules.   - Rien, il me met mal à l’aise ce type. On dirait un gros pervers. Un porc libidineux.   Elle avait parlé tout bas, mais sa voix, répercutée dans le couloir quasi désert, avait porté jusqu’à Franck.   - Arrête, c’est pas parce qu’il est gros que c’est un porc.  Franck en aurait pleuré. Gros, passait encore, il n’aurait de toute façon pas pu le nier. Mais libidineux ?   Le temps de redescendre à son petit atelier, le dépit l’avait cédé à la colère, puis à la rage. Libidineux, pervers, lui ? Cette petite pute ne perdait rien pour attendre, lui au moins ne se branlait pas à heure fixe sur du porno trash.   Il avait eu le temps de voir ses goûts. Elle ne regardait que des vidéos où des meufs se retrouvaient soumises, forcées ; du chantage, des menaces, des simulacres de viol, du BDSM hardcore et des gang-bangs violents et c’était lui le pervers ? Cette salope allait le regretter !  A 20h32, il tambourina à la porte de Laura. Il avait eu toute la journée pour ruminer son plan et cette fois il n’allait se faire avoir comme avec Jessica !   La jeune femme lui ouvrit la porte, les joues légèrement rosies, l’air contrarié. Elle portait un simple débardeur qui laissait entrevoir son soutien-gorge blanc orné de dentelles et un jean qu’on devinait renfilé à la hâte grâce à la braguette ouverte. Interrompue en pleine masturbation, comme prévu. 
  - Qu’est-ce qu’il y a ? demanda-t-elle avec irritation.  - Puis-je entrer mademoiselle ? répondit Franck. Je dois vous parler et vous n’avez pas envie que vos voisines entendent ce que j’ai à vous dire.  La blonde acquiesça nerveusement et le laissa pénétrer dans sa chambre. Elle ferma précipitamment son ordinateur portable, mais pas avant que Franck n’ait pu voir un gros plan sur deux énormes bites fourrées dans la chatte et le cul d’une actrice porno noire.   - Je n’irais pas par quatre chemins mademoiselle, fit le concierge. Vous utilisez le WiFi du CROUS pour aller sur des sites à caractère pornographique.  Laura déglutit.  - Vous… Vous n’avez aucune preuve, nia-t-elle sans conviction.  - Mademoiselle, le réseau est surveillé. Nous avons remarqué que vos identifiants sont utilisés tous les soirs à cette heure pour se connecter sur des sites pornos. Et j’ai pu le constater ce soir même si vous avez essayé d’éteindre votre ordinateur, ajouta-t-il en pointant un index accusateur sur l’arme du crime.  Franck prit une grande inspiration, savourant le visage piteux de la jeune femme. Il jubilait et son exaltation commençait à faire grossir son pénis.   - Vous n’êtes pas sans savoir que c’est formellement interdit par le règlement. Vous avez signé ce règlement.  Nouvelle pause. Franck bandait à présent complètement, il était temps de porter le coup de grâce.   - Vu la période de l’année, vous ne serez probablement pas exclue du CROUS, mais je vous conseille de commencer dès maintenant à chercher un appartement pour l’an prochain.  Sur ce, le colosse pivota comme s’il allait partir, présenta son profil et son imposante érection à Laura. Puis il acheva son demi-tour et fit un pas. Elle était ferré, allait-elle mordre ?   - Attendez !  Gagné. Franck exulta intérieurement, n’en banda que de plus belle.   - On pourrait pas s’arranger ?  - Comment ? répondit-il en se retournant.  - Je sais pas, vous pourriez dire que mes identifiants ont été prêtés ou volés et que c’est pas moi ?  Franck se gratta théâtralement la tête.   - Je pourrais, ouais. Mais j’ai rien à y gagner et tout à perdre si mes supérieurs se rendent compte que je leur ai menti.  - Je pourrais vous payer ?  - Si vous êtes au CROUS, vous avez pas les moyens de me corrompre mademoiselle.  - Et en nature ?  Bingo.   Franck fit un pas en avant, légèrement menaçant.   - C’est à dire ?  - Si je vous fais une fellation par exemple ?  Et voilà ! Qui était pervers maintenant ?   - Une fellation ne suffira pas, je le crains…  - Plusieurs alors, autant que vous voudrez !  Franck fit mine de réfléchir. La petite blonde était suspendue à ses lèvres. Elle-même avait les joues légèrement rosies et un petit éclat libidineux dans le regard. En fait, elle aimait ce qu’elle proposait, elle avait envie de sucer cette verge massive qu’elle devinait à la toile de pantalon distendue.   - Très bien… Je vais partir. Attends dix minutes, puis rejoins-moi à mon appartement.  Il lui prit soudain le menton.   - Ne t’attends pas à ce que je sois gentil avec toi.  Elle acquiesça mollement. Au fond d’elle, c’était ce qu’elle voulait, Franck le savait maintenant.   Il n’eut pas longtemps à attendre, Laura était si excitée et désireuse de sucer la bite colossale du concierge qu’elle fila sans tarder le rejoindre. Franck lui ouvrit la porte, referma derrière elle.   - Déshabille-toi, ordonna-t-il.  - C’est pas nécessaire pour une pipe.  - Si.  Laura s’exécuta. Qu’elle était belle avec ses superbes fesses de madone, ses hanches larges, sa taille fine, ses gros seins pointus aux larges aréoles brunes et sa petite vulve surmontée d’une crinière de poils châtains et bouclés.   - Viens.  La jolie blonde emboîta le pas de Franck qui l’emmena dans son salon, la fit agenouiller et dégaina son sabre. La jeune femme écarquilla des yeux gourmands devant ce vis massif, cette verge colossale plus grosse que toutes celles qu’elle avait vu dans sa vie ou ses vidéos pornos.   - Suce.  « Salope » ajouta-t-il intérieurement.   Laura se mit immédiatement à l’ouvrage. Quoique plus expérimentée que ne l’était Myriam il y a peu, elle peinait à enfourner une queue aussi énorme, mais se donnait néanmoins au maximum. Frank posa une main sur sa tête pour l’accompagner, l’aider à aller un peu plus loin. Les doigts du concierge se refermèrent sur la chevelure de Laura, il enfonça son pal entre ses lèvres. La jeune femme grogna en une faible protestation, mais il continua à pousser plus loin son organe dans la gorge de l’étudiante.   Elle ne suçait plus vraiment à présent, elle laissait Franck aller et venir dans son gosier. De longs filets de bave coulaient des commissures de ses lèvres, cascadaient sur sa poitrine et ses cuisses. L’homme d’entretien augmenta la cadence, toujours plus vite, toujours plus loin. Il sentit son gland titiller la glotte de Laura, arrachant de lourdes larmes à la jeune femme. Elle eut un haut le cœur, puis un autre, mais Franck n’arrêtait pas. C’était si bon de baiser cette bouche.  Et soudain elle vomit. Franck la laissa rendre tout ce qu’elle pouvait sur ses seins et le sol, tousser à s’en déchirer les poumons, puis il lui tira les cheveux pour fourrer à nouveau son madrier dans la gorge de la jeune femme. Non seulement elle ne protesta pas, mais le concierge s’aperçut rapidement qu’elle avait glissé une main entre ses cuisses et astiquait vigoureusement son clitoris tendu de désir.   Être soumise, pleinement possédée, maltraitée comme jamais, cela l’avait tellement excitée qu’elle jouit en un rien de temps, entraînant Franck avec elle. De longs jets de sperme, chaud et épais, éclaboussèrent le visage de l’étudiante, recouvrirent ses traits.   Le concierge la contempla. A genoux, la face et les nibards maculés de larmes, de bave, de foutre et de vomi, la main encore posée sur sa chatte, elle était une parfaite allégorie de la luxure et de la dépravation.   Franck releva Laura et la conduisit à sa minuscule salle de bain. Là, il lui donna une serviette et lui ordonna de se laver.   Lorsqu’elle en sortit, enveloppée dans l’éponge, elle semblait sereine. Puis elle posa le regard sur le sexe raide du concierge, poussa un soupir feint et s’agenouilla. Elle savait que son calvaire ne faisait que commencer.
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