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Le Fantôme dans les murs

Chapitre 10

Dressage

Trash
Franck prit la main de Laura et l’aida à se relever. D’un geste, il fit tomber la serviette qui recouvrait son corps et le contempla de longues secondes. Il se demandait ce qu’il allait pouvoir lui faire et mille idées se bousculaient dans sa tête. Il savait simplement qu’il finirait par l’enculer et cette seule perspective suffisait à lui donner une trique de tous les diables. C’est qu’elle avait un sacré beau cul cette petite pute, encore plus beau que sa gueule d’ange et ses gros nibards pointus.   Finalement il se décida et l’emmena jusqu’à sa chambre. Là, il l’allongea sur le dos, la tête renversée hors du lit et s’enfonça à nouveau dans sa bouche. Il prit son temps, progressa doucement, il n’avait pas envie de la faire vomir cette fois. Il admirait le cou fin de la jeune femme qui se déformait à mesure qu’il la pénétrait de son sexe massif. A chaque aller-retour, elle émettait des bruits de gorge écœurants et des filets de bave coulaient sur ses joues. Franck posa les mains sur les gros seins étalés par la gravité, les malaxa un peu brutalement, tira sur les tétons qui n’en pointèrent que de plus belle, arracha des gémissements de plaisir mêlé de douleur à sa marionnette.   - Touche-toi si tu veux, dit-il doucement.  Laura ne se fit pas prier et glissa une main entre ses jambes ouvertes pour maltraiter son clitoris au moins autant que Franck rudoyait sa poitrine. Une fois encore, elle se fit jouir presque instantanément. Elle aimait vraiment ça, songea Franck, elle aimait se faire baiser la bouche, faire une gorge profonde à une bite colossale, être traitée comme un objet. Plus que tout, elle aimait avoir mal. Eh bien elle allait être exaucée !  Presque à contrecœur, le concierge se retira de la gorge de l’étudiante. Sous le regard interrogateur de Laura, Franck déplaça son imposante carcasse jusqu’aux jambes potelées de la jeune femme. Soudain, il leva la main et l’abattit sur le sexe ourlé de cyprine. L’étudiante poussa un cri.  - Ça va pas ? protesta-t-elle.  - Si tu peux pas supporter ça, comment tu vas faire quand tu prendras ma bite dans le cul ? Sans compter...  Il se pencha soudain et attrapa la jeune femme par le menton.   - … que t’aimes qu’on te fasse mal. Pas vrai ?  Laura déglutit, mais ne moufta pas.   - Pas vrai ? tonna Franck.   Elle acquiesça.   - Tu vois ? triompha le concierge en défaisant sa ceinture. Mets-toi à quatre pattes, petite pute.
  A peine l’étudiante en place, le cuir vola et s’abattit dans un claquement sonore sur son postérieur à la peau pâle. Laura cria de douleur, mais Franck avait déjà armé un nouveau coup, encore plus violent que le précédent. Une pluie s’abattit sur les fesses de l’étudiante, transforma rapidement le lait enécarlate. Puis le bourreau stoppa et enfonça brusquement deux doigts dans le vagin de sa victime, les ressortis luisants de jus.   - Tu es trempée, dis donc, jubila-t-il. Tu mouilles comme une grosse salope qui aime se faire fouetter le cul.  Il se pencha sur le dos de Laura, lui prit les joues d’une main pour la forcer à tourner la tête vers lui.   - Alors dis-moi sale pute, tu veux que je te la mette ?  - Oui, chuchota la jeune femme.  - J’ai pas entendu.  - Oui !  - Oui quoi ?  - Oui, mets-la moi.  - Où ça ?  - Dans ma chatte. S’il te plaît, j’ai trop envie.  - Tu as envie de te faire baiser ?  - Oui, oui, oui. Je veux que tu me baises.  - Parce que tu es une grosse pute ?  - Ouiiiii. Je suis une grosse pute, une énorme salope. Pitié, baise-moi, je veux sentir ton énorme bite en moi.  Franck l’exauça. Il plongea son madrier dans la petite fente de Laura. Bon dieu, qu’elle était serrée ! Rien à voir avec la grosse chatte de Myriam dont les lèvres épaisses s’écartaient toutes seules. N’eut été la cyprine abondante qui lubrifiait ce conduit, il aurait pensé s’être trompé de trou et sodomiser la jeune femme. Mais non, il était bel et bien en train de la baiser au son des « oui », « c’est trop bon » et autres « je la sens tellement bien ! »  Soudain, Franck souleva Laura et l’installa sur ses cuisses sans cesser de la fourrager. Il referma ses grosses paluches sur les mamelles de la jeune femme, les pétrit sans délicatesse. Il finit par s’allonger, laissant l’étudiante monter et descendre le long de sa bite, l’accompagnant de grands coups de boutoir. Quel pied !   Finalement, il bascula Laura sur le dos et se lança dans un sprint final entre ses jambes, cramponné d’une main à ses nibards, de l’autre à sa gorge. Le visage rouge, déformé par le plaisir, les dents plantées dans sa lèvre inférieure, la blonde s’agrippait à ses cuisses levées vers le ciel en gémissant non-stop. Et soudain l’écarlate de ses joues devint blanc.   Trois énormes jets de sperme venaient de traverser tout le corps de la jeune femme et de s’abattre sur sa face. Quatre autres suivirent sur ses seins, le reste termina de transformer son ventre en piscine de foutre. Franck essuya sa pine gluante sur les poils pubiens de Laura et la regarda.  « Alors, qui est pervers ? » songea-t-il en contemplant son air satisfait.   Pris d’une soudaine inspiration, il dégaina son téléphone et mitrailla la jeune blonde étendue sur le lit.   - Tu fais quoi ? s’insurgea-t-elle.  - Rien, c’est pour mes archives personnelles.  « Et au cas où tu voudrais utiliser ce qu’il vient de se passer contre moi » ajouta-t-il en son fort intérieur.   - Et maintenant, ajouta-t-il en rangeant son portable, c’est l’heure de te faire enculer.  - Quoi ? Non, sûrement pas.  - Allons, allons, dit Franck avec douceur. Tu es une grosse pute, pas vrai ?  Laura acquiesça.   - Et les grosses putes, ça aime se faire enculer. Tu n’es pas d’accord ?  - Si mais…  - Mais ?  - J’ai jamais fait par derrière et puis… (elle déglutit) elle est tellement énorme, ça va me déchirer.  - Ne t’en fais pas, on va bien préparer ton petit trou de balle et je ferai doucement.  Il lui adressa son sourire le plus chaleureux.   - Un aussi beau cul que le tien, ça serait péché de ne pas laisser un homme le prendre.  Laura déglutit de nouveau, fit « oui » de la tête.   - Bien, mets-toi à quatre pattes.  L’étudiante s’installa, la joue reposant sur ses mains croisées, les fesses bien tendues vers Franck. Le concierge s’empara de la bouteille de lubrifiant achetée pour Jessica et en fit couler un filet dans la raie de sa proie. Il commença par jouer avec la rosette de Laura, la titilla, l’enduisit copieusement de gel. Puis il enfonça précautionneusement un doigt dans son rectum, lentement, doucement, le retira, récupéra un peu de liquide, recommença.   - C’est pas si mal en fait, commenta la jeune femme.   Il prit tout son temps pour lubrifier convenablement l’anus de Laura, le dilater millimètre par millimètre. Lorsque son index et son majeur purent aller et venir sans aucun effort dans le fion de la blonde, il estima qu’il était temps.   Il présenta son madrier devant cet orifice convoité des mois durant et l’y poussa peu à peu. Chaque fois qu’il rencontrait une résistance, il se reculait et revenait délicatement à la charge. Au bout du compte, ses hanches touchèrent la peau douce des fesses de Laura, ses énormes bourses frottèrent contre la fente humide de l’étudiante. Enfin, elle était à lui. Enfin, il réalisait ce fantasme de la prendre par derrière. Enfin, enfin ! Il l’enculait de tout son long.   Franck enserra la taille de Laura de ses mains et donna le premier coup. Il en fut récompensé par un gémissement et une décharge de plaisir. Alors il recommença. Doucement au début, puis de plus en plus vite. Il avait promis d’être délicat, mais il ne se contrôlait plus : il pilonnait le cul de l’étudiante comme un dément, comme si sa vie en dépendait, comme si l’univers, à cet instant, se résumait au mandrin qui pistonnait l’anus et le rectum de la belle blonde.   Dans la pièce, les gémissements et les râles se muèrent en claquements de chairs et cris animaux. Même Franck, d’habitude si stoïque, gueulait son plaisir. Et il tapait, ponctuant chaque coup de reins dans le cul de Laura par un coup de paume sur ses fesses. Combien de temps la sodomisa-t-il ? Une minute ? Dix ? Peut-être cent ? A la fin, il retira son énorme pine du rectum qui l’avait si bien accueillie et attrapa la crinière blonde de sa victime pour qu’elle lui présente son visage. Alors il put jouir, sans aucune retenue, comme s’il n’avait jamais jouit de sa vie.   Un geyser de sperme, une fontaine de foutre, jaillit et s’abattit sur Laura. Jet après jet après jet de substance blanchâtre lui strièrent la face et les seins, certains la manquèrent mais le reste fut largement suffisant pour la recouvrir de la chatte aux cheveux.   Les deux amants s’effondrèrent sur le lit. Franck prit le temps de se remettre de ses émotions, mais Laura continuait de haleter. Le concierge récupérer la serviette qu’il lui avait retiré et s’en servi pour lui essuyer le visage et, comme il le pouvait, les cheveux avant de lui donner ses vêtements.   - Je suis couverte de sperme… nota la jeune femme en prenant sa culotte.  - Et alors ?  - Je peux pas rentrer comme ça…  - Bien sûr que si tu peux. Tu es une grosse pute et t’en as presque plus sur le visage. Tu peux bien assumer ce que t’as sur les seins et le ventre, non ?  - Moui…  Pas tellement convaincue, Laura s’exécuta néanmoins et renfila ses vêtements. Le tissu de son débardeur colla immédiatement à sa peau en absorbant le jus de Franck.   - Berk… Autant c’est excitant de se faire gicler dessus, autant les fringues trempées de foutre c’est dégueu…  - J’imagine…  Franck raccompagna ensuite Laura à la porte. Il ressentit un mélange de joie et de fierté en constatant qu’elle boitait.   - Du coup, je suis tranquille ? demanda l’étudiante sur le seuil.  - Oui, oui, pas de souci, je trouverai un truc.  - Merci.  Le lendemain, lorsque Franck salua Laura et sa copine dans le couloir, elles répondirent toutes deux poliment.   - T’avais raison, c’était pas sympa, répondit la blonde à sa pote qui s’interrogeait sur son revirement.  Franck fut bien content de l’entendre. Comme il fut très satisfait de voir qu’elle avait toujours du mal à marcher.
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