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Le Fantôme dans les murs

Chapitre 11

Séance pas si privée

Orgie / Partouze
Jeudi soir, Franck n’en pouvait plus d’attendre le week-end. Alors il fit ce qu’il ne devait pas : il frappa à la porte de Laura.   - Salut, dit-il sur le ton de la conversation.  - Bonsoir, répondit-elle en fronçant les sourcils de surprise.  - Je peux entrer ?  - Non, désolée.  Franck haussa les épaules et se pencha pour lui murmurer à l’oreille :   - Je me disais que comme tu es une grosse pute, tu voudrais peut-être venir te faire sauter.  Lorsqu’il se redressa, l’étudiante était toute rouge. Elle acquiesça en se mordant la lèvre et suivit docilement le concierge. Cinq minutes plus tard, son cul magnifique était à l’air et Franck la prenait sauvagement en levrette tout en lui malaxant les seins. Quel bonheur ! Non seulement Laura était une bombe, mais elle prenait son pied à se faire défoncer par l’énorme matraque du concierge.   Jean et culotte baissés sur les chevilles, soutien-gorge et t-shirt remontés au-dessus de sa poitrine, elle encaissait les coups de gourdin en poussant des « haaan » et « ouuuh » de plaisir. Franck finit de la déshabiller, puis il l’attacha au lit avec ses propres sous-vêtements et retourna la besogner tout en pressant ses grosses poires.   Lorsque le concierge jouit enfin après de longues minutes à entreprendre l’étudiante, son sperme gicla avec puissance, traçant de longues et élégantes lignes sur le ventre, les seins et même la joue de Laura. Puis il saisit son braquemart encore palpitant et le fourra à nouveau dans la chatte dégoulinante de la jeune femme qui poussa un long cri de jouissance.   - Oooh oui, baise-moi encore ! hurla-t-elle.  La gifle partit toute seule.   - Tu fermes ta gueule salope, cracha Franck. Tu l’ouvres que si je te l’autorise, pigé ?
  Pas choquée pour un sou, elle acquiesça vigoureusement, toute à son plaisir de se faire tringler par le colossal madrier du concierge. Une longue entreprise et une éjaculation plus tard, la belle jeune femme dégoulinait littéralement de sperme. Alors Franck la détacha, la retourna et la sodomisa aussi brutalement que longtemps. Après s’être vidé dans son cul, il passa une bonne minute à regarder l’anus écartelé et béant de Laura dégorger du foutre.   Tandis que Laura se remettait, Franck alla chercher le petit cadeau qu’il avait prévu pour elle et le mit en place. Puis il l’admira, nue et luisante de jus avec pour seul atour un collier de cuir muni d’un anneau sur le devant.   - Qu’est-ce que c’est ? demanda la jeune femme en touchant l’artefact.  - Un symbole, répondit le concierge. Dorénavant tu es ma chienne et tu ne l’enlèveras sous aucun prétexte. C’est compris ?  - Oui.  - Bien… Écris ton numéro sur l’ardoise de la cuisine, va te laver, rhabille-toi et fous le camp.  Le week-end se passa entre les cuisses de Myriam, laissant un Franck épuisé et heureux. Le mardi soir, il fit venir Laura chez lui, la sodomisa à deux reprises et la renvoya avec des flots de sperme cascadant le long de ses cuisses. Toute la semaine et la suivante il recommença, enculant encore et encore la belle blonde qu’il insultait et frappait copieusement, pour leur plus grand bonheur.   Après une quinzaine dans le cul de Laura, le mardi, il la fit venir sur le parking du CROUS avec pour consigne « habille-toi sexy ». La jolie blonde arriva vêtue d’une robe légère d’été avec un énorme décolleté, sans soutien-gorge. Après avoir vérifié qu’ils étaient seuls, elle releva son vêtement pour dévoiler un string qui disparaissait entre ses superbes fesses. Rien qu’à la voir ainsi, Franck bandait comme le dernier des salops, mais il parvint à se contrôler et à faire monter sa chienne en voiture. Direction la ville voisine.   Là, Franck paya leurs places de cinéma et conduisit Laura dans la petite salle où une quinzaine de personnes attendaient le début du film. Les deux amants s’installèrent dans les dernières rangées et patientèrent à leur tour. La projection commença et très vite Laura se laissa aller, une main dans le string tout en regardant la première scène où une belle infirmière rousse aux énormes seins refaits prenait soin de son patient d’une bouche experte.   La jolie chienne se mit à gémir, faisant tourner la tête à deux spectateurs quelques rangs devant. Franck les regarda puis, sous leurs yeux ébahis, plongea les mains dans la robe de Laura pour en sortir les nichons, qu’il pétrit et dont il pinça ostensiblement les tétons. D’un geste du menton, il désigna sa partenaire ; les deux gars comprirent le message et les rejoignirent dare-dare.   Ils devaient être à peine majeurs, deux gosses tout juste sortis de l’adolescence. La face encore boutonneuse, mais la bite fort vaillante déformant le jean de l’un et le short de l’autre. Franck se décala, ils se placèrent de part et d’autre de Laura avachie pour la peloter, maladroitement d’une part et assurément d’autre part. La jolie étudiante posa directement les mains sur leur entrejambe, palpa leur virilité par-dessus le tissu.   Bientôt le plus hardi, grand blond musclé, délaissa le sein de la soumise pour remonter sa robe et masser sa petite chatte à travers son string. Dans le même temps, il baissa sa braguette et sortit sa queue, longue et fine, qu’il posa sur la bouche de la blonde. Laquelle ne se fit pas prier pour gober et branler ce pénis offert. En un rien de temps, le gamin s’extirpa des lèvres de son amante et déchargea une grande quantité de semence sur ses nichons.   Alors la belle tourna son attention vers le second luron, grand échalas brun, qui s’empressa à son tour de dégainer son instrument ; lequel était, certes, de longueur moyenne mais aussi de belle épaisseur et d’une dureté à toute épreuve. Le jeune puceau ne fit que quatre allers-retours dans la bouche de Laura avant de jouir en visant ses seins. Sa première pipe donna un si fulgurant jet de sperme qu’il traça une ligne entre l’épaule et la cuisse opposée de la soumise, souillant au passage robe et string. Le deuxième trait, moins prodigieux mais tout de même puissant, atterrit dans le nombril de l’étudiante, le reste lui macula la poitrine, dégoulina sur le siège.   Comprenant bien que leur partenaire n’était pas rassasiée, le grand blond s’agenouilla entre ses cuisses, lui arracha la culotte et plongea le visage pour dévorer son abricot juteux. L’orgasme de Laura fut assez bruyant pour attirer l’attention de nouveaux spectateur. Et tandis que le blond se campait entre ses jambes pour la besogner de son membre à moitié bandé, deux nouvelles bites étaient présentées à Laura.  Elle s’empressa de les branler, les suçant à tour de rôle tout en gémissant sous les assauts de son amant qui durcissait à vue d’œil dans sa chatte dégoulinante.   D’épais jets de foutre lui recouvrirent la joue, une autre queue remplaça celle qui venait d’éjaculer. Le blond se retira, son pote prit sa place. Les gens se pressaient autour de Laura, une nouvelle décharge frappa ses seins. Il y avait trop de monde, alors on la souleva et l’installa sur les escaliers où tout le monde pourrait profiter de son corps. Un sexagénaire s’allongea, on plaça Laura sur sa queue de belles proportions, dos à lui. Elle rebondissait sur son amant tout en suçant une bite et en branlant deux autres.   Un gros type lui prit la tête à deux mains et s’enfonça dans la bouche de la belle blonde jusqu’à ce que son pubis lui écrase le nez. Avec des grognements bestiaux, il lui gicla directement dans la gorge. Le sexagénaire se retira, éjacula abondamment sur la toison intime de Laura. Elle se retrouva alors à quatre pattes, une pine dans la bouche, une dans la chatte. En quelques minutes, elle reçut trois nouvelles décharges sur le visage et deux sur les fesses. Les premiers à être passés bandaient de nouveau et faisaient la queue pour un deuxième round.   Le jeune blondinet reprit son tour, mais cette fois il enfonça profondément son dard dans l’anus de Laura sous les acclamations de la foule lubrique.   - Ça rentre tout seul ! commenta l’enculeur.  « Évidemment » songea Franck qui se délectait du spectacle « avec le calibre qu’elle prend dans le cul tous les jours, c’est pas ton petit machin qui va lui poser souci. »  Le temps continua de s’écouler et maintenant le trou de balle de Laura subissait les assauts concupiscents des hommes qui se pressaient autour d’elle. Ses fesses de madone ruisselaient de jus humain, ses traits étaient rendus méconnaissables par le plaisir qui s’y accumulait.   - Allez les gars, lança un type, on la prend en double cette salope.  Il y eut des vivats. On souleva l’étudiante comme un fétu et l’installa dos au sexagénaire qui avait repris de la vigueur. Dès qu’il fut enfoncé jusqu’à la garde dans son anus, un autre gars se campa entre ses jambes pour lui prendre la chatte. Plus haut, une bite fut présentée à sa bouche, deux à ses mains.   Un magnifique ballet de chair commença, une danse au début un peu maladroite mais rapidement parfaitement cadencée. Chaque crescendo ajoutait son lot de sperme sur la peau pâle de Laura. Après un bon quart d’heure, le vieux se vida dans le cul de la jeunette et provoqua un étrange enchaînement.   La chienne jouit brutalement en sentant le foutre se déverser entre ses fesses, elle referma par réflexe les jambes autour de son baiseur, le forçant à se vider au fond de sa chatte. Les cris de Laura furent alors étouffés par celui qu’elle suçait et qui, galvanisé par le spectacle, s’enfonça jusqu’à la garde dans sa gorge pour y lâcher son jus.   Tremblante, la jeune femme fut relevée, mais elle ne tenait plus sur ses jambes et tomba à genoux sur la moquette. Elle regarda d’un œil torve les cinq bites encore dressées devant elle. Elle n’avait plus de forces, plus de volonté. Alors elle entrouvrit la bouche tandis que les gars s’astiquaient et avala délicatement la semence que, l’un après l’autre, ils lâchaient sur son palais.   Galants, trois hommes l’aidèrent à se relever, se nettoyer un peu et se rhabiller. La jeune femme était littéralement couverte de foutre, des pieds à la tête. Franck avait fait les comptes : elle avait subi quarante-et-une éjaculations. Il était vraiment fier d’elle.   Comme le film était terminé, il la prit par la main et la fit sortir de la salle. Au guichet, le patron lui adressa un clin d’oeil.   - On dirait que la séance s’est bien passée, dit-il à Franck.  - Ouais, je crois que les spectateurs ont pas trop profité du film, répondit Franck.  - Ah ça, je veux bien le croire. Dommage que j’étais pas là.  - La prochaine fois.  - Volontiers, j’vous ferai un prix.  - Après si vous voulez un p’tit coup vite fait, vous pouvez hein. Elle est sale et fatiguée, mais elle aime se faire défoncer.  - Ah je dirai pas non.  Le type fit le tour du comptoir et se plaça derrière Laura. Elle ne réagit pas vraiment lorsqu’il sortit ses seins de sa robe pour les peloter.   - Ah c’est vrai qu’elle est sale, commenta le patron en regardant sa main pleine du jus d’autres hommes. Par contre, quel cul elle a ma parole.  Joignant le geste à la parole, il malaxa les fesses de la jeune femme, qui commença à s’animer et à remuer le popotin.   - Prenez-lui le cul si vous voulez, elle adore.  Le type ne se fit pas prier, il pencha Laura sur le guichet, releva sa robe, écarta son string et l’encula brutalement. La jeune femme en gémit de satisfaction.   - Ah putain, c’est qu’elle est bonne cette chienne!  Déchaîné, le patron bourrait l’anus de Laura comme un dément, lui arrachant de petits cris de plaisir.   - C’est qu’elle aime ça cette pute !  Il accéléra encore le rythme déjà soutenu.   - Tiens, prends ça salope !  Il s’enfonça profondément dans le cul de l’étudiante et y déversa son foutre.   - Ah putain, ça fait du bien, fit le patron en se rajustant et reprenant sa place. Vous avez vraiment trouvé une salope de compétition.  - Ouais, répondit Franck en tapotant la tête de sa soumise. J’en suis assez fier.  Laura s’endormit presque aussitôt montée en voiture. Elle était épuisée par les efforts et le plaisir et Franck se prit à ressentir une bouffée d’affection pour elle. Bien qu’il n’ait pas utilisé son corps ce soir-là, il avait passé une excellente soirée à la regarder prendre son pied en se faisant baiser encore et encore. Il la porta jusqu’à son lit, priant pour ne croiser personne. Par chance, ce fut le cas. Alors il la borda et la laissa récupérer tandis qu’il décidait de comment faire retomber l’érection qui ne le quittait pas.   Il était deux heures du matin lorsque Franck sortit de la chambre de Myriam. Ses couilles étaient vides et l’anus de la jolie beurette bien rempli.
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