Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 142 J'aime
  • 4 Commentaires

Farida

Chapitre 2

L'attente

Hétéro
Farida & moiNous étions déjà au début du mois de juin, près de deux mois après notre rencontre inespérée qui avait réveillé nos libidos endormies.
Si l’excitation et les plaisirs nouveaux de partager nos désirs, nos sensations et nos jouissances nous avaient depuis accompagnés à chaque instant au point parfois de parasiter nos quotidiens, ne pas pouvoir se toucher, se sentir et se ressentir, s’entendre et se voir un peu mieux que sur de courtes visio improvisées à la va-vite avec nos téléphones portables compte tenu de nos contraintes familiales était devenu rapidement inconfortable et frustrant, au point que, pour y trouver plus de plaisir, nous avions régulièrement recours à l’abstinence totale pendant quelques jours durant lesquels nos tensions sexuelles atteignant à chaque fois des sommets... la libération partagée n’en était que plus exquise, bien que toujours incomplète compte tenu notamment de la nécessaire discrétion de nos ébats virtuels.
MoiJe pensais à Farida à chaque instant, aux plaisirs que nous partagions, à ma joie de vivre retrouvée à l’idée d’un prochain échange avec elle. J’avais du mal à me concentrer, surtout lorsque nous échangions au travail des mails plutôt que des SMS. Je ressentais pour la première fois de ma vie, à 42 ans ! un désir profond, évident et viscéral pour une femme... Je la désirais, simplement, tout entière. Ma bouche avait envie de la sienne parée de longues lèvres finement dessinées, d’embrasser ses yeux noisette, son regard profond, ses pommettes hautes... et de dévorer tout le reste !
Un souvenir marquant de cette période ; très souvent, lorsque je me déplaçais à pied, par exemple pour me rendre à une réunion ou lors d’un footing, je sentais mes attributs, lourds, entre mes jambes... j’étais devenu une sorte de gros mâle en rut ! Oui, je crois que tu peux en témoigner aujourd’hui ma Chère Farida ;-)... je crevais littéralement d’envie de toi !
Alors, une question s’imposait désormais ; comment faire pour te rejoindre ? Il m’était impossible de prétexter un déplacement à Mulhouse...
FaridaJe ne pensais plus qu’à « ça » aussi et j’avais du mal à me concentrer aussi bien au travail que chez moi. J’étais continuellement mouillée, mon bouton dans une constante semi-érection... m’obligeant à renforcer mes protections intimes quotidiennes... J’étais super excitée, du matin au soir, au point d’avoir souvent eu du mal à contrôler ma main qui avait la fâcheuse tendance d’aller se balader sous mon bureau pour me faire patienter !
Le recours à la masturbation m’aidait, mais j’avais retrouvé l’appétit de mes jeunes années et je me savais être incapable de rester longtemps dans cet état.
De plus, bien que très excitantes dans leur attente et ponctuellement libératrices, nos séances de masturbation mutuelle étaient source d’une autre forme de frustration déjà ressentie dans le train, celle de ne pas pouvoir être serrée, embrassée et prise par Eric...
Aussi, après deux mois d’un « teasing » comme je n’en avais jamais connu, il fallait absolument... désolée d’être crue Cher Eric, mais tu sais à quel point cela me plaît parfois de l’être, voire qu’on le soit avec moi ;-), ... qu’on baise, enfin, et pour de vrai !
C’est à partir de ce moment-là que j’ai commencé à réfléchir à une solution pour nous retrouver à Orléans pendant mes congés d’été prévus mi-juillet cette année-là.
Durant cette période, au-delà de notre attirance physique mutuelle, nous nous sommes également découverts sous un autre jour. Eric plutôt sur le devant de la scène lors de la formation était finalement (en tout cas au début) plus réservé que moi dans l’intimité, et vice-versa. Connaissant sa situation et son attachement profond à sa famille, je ne voulais par ailleurs pas être à l’origine d’une séparation dont je sortais moi-même pour d’autres raisons. Nous convînmes donc que notre prochaine rencontre se cantonnerait à un magnifique plan c..., que cet unique objectif affiché et partagé serait aussi probablement facilitant pour nous retrouver le moment venu.
MoiJe reconnais que le cadrage de Farida m’avait bien aidée à assumer jusqu’au bout mon désir physique pour elle, en m’obligeant notamment à mettre entre parenthèses des sentiments amoureux naissants... Dès lors, et même à distance, nos moments intimes furent plus fluides. Notre objectif commun, clair et rassurant, autorisant et libérant de fait les seuls plaisirs du sexe... nous étions prêts.
Je connaissais le projet de Farida sans savoir s’il pourrait aboutir. Les jours passaient. Quelques semaines plus tard, alors que j’étais en réunion, je reçus en fin de journée sur mon portable un « YES !!! suivi d’une série de smileys hauts en couleurs » ...
La suite de la réunion me fut bien difficile ! J’étais ailleurs... « ça » allait pouvoir se faire ! J’avais du mal à réaliser tout en commençant à me projeter dans une organisation... Un peu plus tard, Farida me confirma qu’elle allait effectivement pouvoir passer une semaine seule chez ses parents (partis comme chaque année à cette époque dans le sud) à partir du 13 juillet, qu’elle s’était arrangée avec sa sœur parisienne pour qu’elle garde sa fille, très heureuse à l’idée de passer du temps avec ses cousins...
Farida et moiNous nous retrouverions donc le lundi suivant le week-end du 14 juillet, mais devions patienter encore trois petites semaines durant lesquelles nous allions à nouveau partager une abstinence calculée à laquelle nous avions bien pris goût, de sorte que, notre feu d’artifice si patiemment attendu et entretenu soit à la hauteur de sa préparation ; nous avions nous aussi une libération à fêter !!!
MoiBien que peu fier de poser une journée de congé (c’était la première fois pour une telle occasion), j’étais bien décidé à profiter de ce cadeau de la vie. Après autant d’années d’un amour si incomplet avec ma femme, l’idée de pouvoir serrer Farida dans mes bras, de l’embrasser, de la respirer et de vivre des moments de sexe harmonieux, me donnait des ailes.
Je rêvais de découvrir son corps autrement que par portables interposés, notamment ses hanches et ses fesses, de me rassasier de son intimité, de la faire languir aussi, longuement, avant que, me suppliant de la prendre, j’entame en elle, de longues minutes durant, de frénétiques et puissants va-et-vient, dans une danse ancestrale de nos corps rythmée par la seule musique du clapotement fébrile de nos sexes affamés et trempés, de ses gémissements et supplications, de ses cris et soubresauts enfin...
FaridaMoins lyrique mais tout aussi véridique, c’était tout simplement la fête au logis de mon côté ! J’étais joyeuse, au travail, à la maison, et les vacances approchaient ! Je m’étais fait plein de films de ce moment tant désiré... mais, à ce point chauffée à blanc, que ce soit en faisant les courses, le ménage, dans les transports, bref partout, bien qu’adorant aussi les longs préliminaires amoureux, j’étais obsédée par une seule chose ; qu’Éric me prenne bestialement à quatre pattes comme une c...... et me fasse, dans tout mon corps et de toute ma voix, hurler mes orgasmes...
J’étais dans une telle attente que j’avais l’impression que j’aurais pu baiser durant toute une journée... Ce qui à notre grand bonheur allait être le cas, depuis ce lundi gravé à jamais en nous ; du sexe, complice et intense, au-delà de tous nos films, reléguant d’emblée nos touches-pipi à distance aux jardins pour enfants !
Diffuse en direct !
Regarder son live